mardi 17 décembre 2013

2008 En Pire ! Un Tsunami de dette est en train de se ruer sur nous



Suisse : la banque la plus puissante au monde annonce « le crash »


Que je vous dise d’abord ce qu’est la BRI (Banque des règlements internationaux). La BRI,c’est en quelque sorte la banque des banques centrales, la banque de toutes les banques, la banque en chef. Une sorte de Météo France du vrai climat de la finance, mais au niveau mondial, et en beaucoup plus secret. Et ses dernières prévisions sont des plus alarmistes.

L’alerte que vient de lancer la BRI la semaine passée dans un rapport signé de son chef  Jaime Caruana est rouge cramoisi. Une vague immense, un véritable mur de dette, en train de se ruer sur nous. Un véritable crash cyclonique à nos portes.

Et ce n’est pas le recul mortifié de Ben Bernanke, patron de la Fed américaine, renonçant mercredi à limiter comme promis l’injection massive de 85 milliards de dollars chaque mois pour soutenir l’économie défaillante de son pays, qui va arranger quelque chose.

Célébrée par toutes les places boursières en état hallucinatoire avancé, cette annonce n’a pourtant rien de reluisant : elle reconnaît l’impuissance de l’ex-puissance américaine à redresser sa situation économique compromise sans injections permanentes de stimulants artificiels. Parallèlement, et malgré ces injections massives de liquidités, la Fed revoit une nouvelle fois à la baisse sa prévision de croissance pour 2013.

Le compteur affolé

William White, ancien économiste en chef de la BRI, confirme les prévisions sinistres de Caruana. Nous sommes retournés à une situation pire que celle qui prévalait à la veille de l’effondrement de Lehman Brothers en 2008, affirme-t-il.
Toutes les déséquilibres antérieurs sont toujours là. Les niveaux d’endettement public et privé ont augmenté de 30 % par rapport à ce qu’ils étaient alors.
Au final, selon le compteur affolé de The Economist, la dette mondiale court à grand pas vers le chiffre totalement extravagant de 52 mille milliards de dollars (51,594,469,960,484 $ – Dette publique mondiale au 21 septembre 2013).
C’est dire le poids des chaînes qui nous lient à nos prêteurs. C’est dire encore plus l’hécatombe qui menace ces derniers quand déferlera sur eux le tsunami impitoyable de cette dette infernale.

Fuite en avant éperdue

En plein débat mouvementé sur un plafond de la dette une nouvelle fois pulvérisée (au 15 octobre, c’est plié, selon leurs propres spécialistes), le Congrès US va probablement voter un nouveau déplafonnement de dernière minute. Que peut-il faire d’autre, sinon exploser instantanément ? Pas grave, même si, aux dires de William White, cette politique de folie scie les pieds aux pays émergents :
Nous avons ajouté un tout nouveau problème avec des bulles sur les marchés émergents qui ponctuent un cycle d’expansion-récession.
Le Japon va poursuivre son hara-kirienne fuite en avant. Endetté à 211 % de son PIB, il doit consacrer plus de la moitié de ses rentrées fiscales à rembourser les seuls intérêts de sa dette actuelle. Et 46 % de son budget 2013 ne peut être financé que par de la dette supplémentaire. Mais pas grave tant que les médias fermeront les yeux sur le seul résultat probant de cette politique : une augmentation conséquente du déficit commercial.

En Chine, les dettes privées sont passées de 8 à 23 milliards de dollars depuis 2008. Mais pas grave, tant que les ex-apparatchiks communistes pourront nous refourguer des chiffres de croissance que plus personne n’est en mesure de valider.

En Europe, le ratio d’endettement a augmenté en un an de 88,2 à 92,2 %. Mais pas grave tant que chanteront les sirènes ridicules de quelque président français claironnant que la crise est derrière nous.

Menace sur les comptes des particuliers

Bref, devant nos pieds, des gouffres en pagaille sont en train de s’ouvrir. Les acteurs sont tétanisés, dépassés depuis belle lurette. Que vont-ils faire ? Rien. Rien d’autre que d’assister impuissants au passage du cyclone dévastateur en tentant juste de reculer en catastrophe l’inéluctable trépas de leur système.

Rien d’autre que de se donner le droit, comme vient de le proposer une directive de l’Union européenne dans le plus assourdissant des silences médiatiques, de saisir d’autorité les comptes bancaires des particuliers pour combler, en vain, ses trous béants (la garantie des 100.000 euros a bon dos).

Sauf que désormais, cette issue fatale n’est plus seulement annoncée par quelques observateurs esseulés, mais par les plus hauts responsables au coeur même de leur empire condamné.


Traduction par yetiblog.org
Notes :
La Banque des règlements internationaux (BRI pour Bank for International Settlements en anglais ou BIS) a été créée en 1930. C’est la plus ancienne organisation financière internationale. Son statut juridique est celui d’une société anonyme, dont les actionnaires sont des banques centrales. Elle est située à Bâle en Suisse, et surnommée la «banque centrale des banques centrales ».
Le capital de la BRI est composé d’actions appartenant à 60 banques centrales, son capital étant divisé en 600.000 actions, dont la moitié appartiennent aux banques centrales d’Allemagne, d’Angleterre, de Belgique, de France, d’Italie et des États-Unis d’Amérique. Ce sont les gouverneurs de ces six banques centrales qui se partagent la direction de la BRI, avec les gouverneurs des banques centrales du Canada, de Chine, du Japon, du Mexique, des Pays-Bas, de Suède et de Suisse, et le président de la Banque centrale européenne (wiki).

Guerre Hollande Ayrault : Le Match Retour De Léonarda !


Léonarda, ça ne passe pas...


Tout ce que l'Elysée compte de fidèles, interessés ou non à la succession d'Ayrault ,veut planter son poignard dans le dos du Premier Ministre », déplore en haussant les yeux un cadre du PS. 

Toute la hollandie a mobilisé ses troupes, objectif :  faire un pressing de tous les diables, mettre une tension maximale sur Matignon. Tous se sont saisis de ce rapport sur l'intégration comme d’une occasion de blesser mortellement sur le plan politique la bête furieuse nichée au 57 Rue de Varenne. 

Le dossier "intégration" est chaud bouillant et hautement stratégique, de la nitroglycérine : publier ça  sur le site officiel du premier Ministre est considéré par les proches de François Hollande comme une belle erreur.

Plus grave ! Cela casse des mois et des mois d’efforts du ministre de l’intérieur. Beaucoup pensent d'ailleurs que c'était là le but de JM Ayrault, expédier un missile bien placé sur son ministre de l' intérieur qu'il déteste cordialement depuis l' affaire Léonarda, (lequel le lui rend bien).

Propos glissé en off d’un conseiller ministériel : « Pour Valls, il s’agit d’éthique et de conviction, il a été désavoué une fois de trop sur son terrain. De plus, Manuel n'a pas digéré le fait d’avoir été écarté pour succéder à Ayrault." 

Entre le Premier ministre et le "premier des ministres" c'est la guerre ouverte!


Fabius attend...


 "Laurent Fabius non plus ne supporte plus Jean-Marc Ayrault et sa façon de faire", lance un conseiller  ministériel. "la cacophonie devient pour lui insupportable, il développe une réaction quasi épidermique contre Matignon." 

Fabius trouve les dernière sortie d'un Ayrault aux abois mal fagotées. Il fustige l’amateurisme du maire de Nantes. 

Fabius joue les sages, il se sait incontournable parmi les proches d'un François Hollande désireux de remanier, il attend sa nomination , estime un haut dirigeant du PS. 

« Il y a une très mauvaise ambiance et aucun esprit d’équipe », regrette un proche du premier ministre,  « Le travail de sape est quasi permanent, c'est la curée!. 


François ne veut pas choisir!


Depuis São Paulo, Hollande a lâché cette phrase étrange: «Quand on est premier, il ne faut pas laisser le second le prétendre ; il pourrait y croire et le devenir.» Inconsciemment ou pas, tout est dit. 

Pour le moment, Hollande sait qu'il ne peut se passer d'Ayrault. S'il a bien évoqué l'hypothèse d'un remaniement, il y a finalement renoncé. «Hollande ne veut pas choisir entre Aubry ou Valls, résume un député PS. 

Conserver Ayrault l'arrange pour le moment.» Jusqu'à quand?

Fukushima : Une Image Vaut Mieux Qu'Un Long Discours

Tout va bien à Fukushima (c'est un ordre!)

N'oubliez pas de "pêcher des idées chez votre poissonnier"


Centrafrique : Violences dans les rangs de la FOMAC !


Quand les banguissois conspuent les soldats tchadiens de la FOMAC ils ne leurs demandent pas leur S'ILS SONT CHRÉTIENS OU MUSULMANS ils huent le Tchad et Idriss Deby (que François Hollande a laissé faire en mars 2013!).

 Les violences interreligieuses continuent, jusque dans les rangs de la FOMAC, la force multinationale d'Afrique centrale. 
la population centrafricaine accuse la FOMAC de s'être faite complice des crimes de masse de la redoutée Séléka...
Bienvenue dans le merdier!



Aéroport De Bangui : Les Réfugiès (dont des enfants) Affamés Se Battent Pour De La Nourriture

La République centrafricaine menacée par la famine

 Près de 25% de la population de la Centrafricaine pourrait souffrir de la faim en raison des massacres  dans ce pays de 5,2 millions d'habitants.


Michel Sapin Traite Un Fonctionnaire Magrebin De "Racaille" Puis...s'Excuse En Invoquant Sarkozy


Un socialiste ça peut tout dire, et c'est même à ça qu'on le reconnait


 Patrick Mennucci qualifie sa rivale d'"arabe" (alors qu'elle a grandi et vécu à Marseille) ; Manuel Valls explique que les roms sont quasiment impossible à intégrer "par nature", ça va plus loin que Gueant ou Hortefeux qui ne parlaient que de respect de la loi, mais ça passe...malgré l'indignation (non sélective) d'E.Plenel ; Ségolène Royal explique que si Najat Vallkaud Belkacem est là où elle est, elle le doit à ses "origines", ben voyons (imaginez si Morano avait osé une telle sortie!).

 Et voici maintenant le sapin de Noël de Bercy qui qualifie Mohamed REKHAIL inspecteur du travail de "racaille", normal quoi!

lire à ce propos : Samia Ghali et le racisme des élites socialistes 


« cela fait un peu racaille. » 


Lors de la remise de la carte professionnelle de notre collègue Mohamed REKHAIL, vous avez, après avoir pris connaissance de son nom et de son prénom sur sa carte, déclaré, nous vous citons : « cela fait un peu racaille. » 

Dans un texte adressé au ministre du Travail, des inspecteurs du travail l’accusent d’avoir te- nu récemment des propos "inadmissibles" lors de la cérémonie de remise de leurs cartes professionnelles. Les inspecteurs de la promotion 2012 reprochent à Michel Sapin d’avoir fait rimer le nom à consonance étrangère d’un de leurs collègues avec "racaille". Le ministre s’est excusé en adressant également une lettre, dans laquelle il assure qu’il voulait faire "un mot d’humour".

«Lors de la remise de la carte professionnelle de notre collègue [...] vous avez, après avoir pris connaissance de son nom et de son prénom sur sa carte, déclaré, nous vous citons : cela fait un peu racaille» écrivent des inspecteurs dans une lettre. «Ces propos tenus le 3 décembre 2013 dans le cadre d'une cérémonie solennelle» sont «inadmissibles pour notre collègue et pour chacun d'entre nous», s'insurgent-ils. «Face à la pression des circonstances et de la hiérarchie, notre collègue n'a pas eu d'autre choix que de prendre sa carte en faisant bonne figure. Pour autant, nous ne pouvons accepter un tel jeu de mot» poursuivent-ils. 


Ça visait Sarkozy!


Michel Sapin explique qu'il parlait au second degré. Ce mot se voulait «précisément un clin d'oeil amical» vu «l'usage qui en a été fait en d'autres circonstances par un responsable politique que j'ai combattu», qui lui «donnait un sens -au premier degré cette fois- en effet détestable», s'excuse-t-il. 

Le ministre du Travail affirme avoir appelé l'inspecteur en question afin de s'expliquer «de vive voix». Selon ce dernier, qui a confirmé que le ministre du Travail s'est bien excusé, «l'incident est clos».

Des "aristo roses"

C'est dur d'être battue par un vieux con qui vit 30 ans en arrière!

Les Socialistes que nous avons au pouvoir sont des aristocrates (Hollande, Fabius, et DSK en sont temps) ou des ralliés à la grande aristocratie comme Ayrault. 
Ils fonctionnent comme une caste de privilégiés fermée sur elle-même et méprisant le reste du monde.

Finalement, le PS est pareil ou pire, vu ses attitudes, que les autres partis (dont l'UMP qu'il dénonce de manière pavlovienne quand il est dans l'opposition.) 

Ce parti de machos racistes expose sa face au grand jour : "faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais". 

Voilà ce qu'on devrait lire sur les tracts de la rue de Solférino!


Sapin qualifie un inspecteur du travail de « racaille » » République écosocialiste

La France Fait l'Unanimité Contre Elle En Centrafrique



Depuis le déclenchement de l’opération Sangaris par François Hollande il y a une semaine et demi, les Centrafricains de toutes confession  déchantent et accusent désormais la France. 

L’enthousiasme, qui au début était de mise, a depuis laissé place à une rancoeur sourde pour diverses raisons.


 Les Séléka continuent de tuer en brousse


 Les membres de cette milice musulmane composée de Tchadiens, de Soudanais vivent extrêmement mal la présence des Français, qui réduisent leur pouvoir autrefois "tout puissant" (Ils avaient droit de vie et de mort sur la population). 

Ces mercenaires  ont semé la terreur dans le pays, multipliant les exactions  contre les chrétiens. Sur les quelque 5 000 à 6 000 hommes de la Séléka, 2 000 sont à Bangui  cantonnés dans leurs casernes en attendant des jours meilleurs ou un autre pays à terroriser. Les autres continuent de "tuer sans remords" en brousse et ne se plient pas au désarmement. 

Les soldats de l'armée française n’ont fait que traverser la campagne du Centrafrique pour s’installer à Bangui, où se déroule le gros des opérations. « On est retourné dans la brousse, les exactions ont repris de plus belle », tente d'alerter un des rares fonctionnaire centrafricain resté en poste, à l’ouest du pays. 


 Les chrétiens déjà déçus


« D'ici peu, les chrétiens de Bangui vont se retourner contre nous», angoisse un soldat français inquiet pour l'avenir. "Nous ne sommes vraiment pas nombreux, si la population majoritaire (les catholiques) se coalise contre nous il faudra des renforts massifs ou partir piteusement du pays...". 

Dans les régions d’abord. Le convoi militaire français qui a traversé le pays en provenance du Cameroun avait levé beaucoup d’espoir chez les habitants, dont beaucoup vivaient cachés, loin des mercenaires de la Séléka. 


Dans la capitale aussi, le soufflé est retombé. Lorsque les Français retrouvent des mercenaires qui ont commis des exactions, s’ils ne sont pas armés, ils doivent les relâcher. Des scènes qui se multiplient sous le regard incrédule et dépité des chrétiens qui ont subi la loi des "exécutions sommaires" des Séléka.