dimanche 24 novembre 2013

Syndicats Corrompus par le MEDEF : Seule une Coordination peut Protéger de la Trahison


son et lumière pour gogos financés



Les syndicats trahissent parce qu'ils sont financés 
par l'État et par les patrons.


Références
1°) Wikipedia
3°) Un article du Canard Enchaîné datant de 1986-87.
Selon des observateurs de plus en plus nombreux, les financements des syndicats seraient en partie occultes ; Le magazine Capital de mars 2002 y a ainsi consacré un dossier en mars 2002 tandis qu'Agnès Verdier-Molinié de l'Ifrap considère qu'il n'y a « pas plus occulte que le financement des syndicats et du patronat »

Les syndicats sont financés par les patrons

Une caisse noire de l'UIMM sert à financer les syndicats. L'UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie) est une organisation patronale.
L'historien Jacques Marseille rapporte qu'en juin 1936, Alfred Lambert-Ribot, délégué général de l'UIMM, rencontra grâce à Léon Blum les représentants des syndicats. De ces rencontres découla un « modèle où l'État, le patronat de la grande entreprise industrielle et le syndicalisme alors ouvrier s'entendirent pour "fluidifier" au mieux le dialogue social tout en jouant, pour la galerie, le spectacle de l'accord arraché ».
L'UIMM a été accusée en octobre 2007 d'avoir retiré des sommes s'élevant entre 18 et 20M€ en liquide de 2000 à 2006. Ces sommes auraient servi, entre autres, à financer des syndicats.
Yvon Gattaz, ancien patron du CNPF (ancêtre du Medef) a estimé à propos des retraits : « C'est le financement des syndicats. [..] Ce sont les entreprises qui finançaient des caisses destinées aux syndicats ». Selon ses propos tenus sur France Inter, ce mode de financement des syndicats par le patronat serait vieux comme la loi Waldeck-Rousseau.
Daniel Dewavrin, ancien président de l'UIMM, a été dans le même sens que Denis Gautier-Sauvagnac à propos de l'utilisation de ces fonds pour « fluidifier les relations sociales »
Cet argent sert à « mettre de l'huile dans les rouages et à prévenir les grèves ».

Les syndicats sont financés par l'État

C'est après la grande grève de 1986 que le Canard Enchaîné rappela que les syndicats sont financés à 88% par l'État.
Rappelons que, comme le disait Marx, l'État, c'est l'arme de la bourgeoisie contre le prolétariat.

Les syndicats sont financés par l'État et les patrons

C'est bien pourquoi les syndicats font tout pour qu'il n'y ait pas grève ou que la grève soit la plus inoffensive possible.
C'est bien pourquoi les syndicats n'appellent jamais à la grève générale.
C'est bien pourquoi, et en toute circonstance, les syndicats veulent toujours préserver l'outil de travail.
C'est bien pourquoi les syndicats sont toujours contre la radicalisation des luttes.
C'est bien pourquoi les syndicats sont toujours contre le sabotage, même quand il est destiné à interdire aux jaunes de travailler à la place des grévistes.
C'est bien pourquoi les syndicats sont contre les grèves insurrectionnelles.
C'est bien pourquoi les syndicats veulent toujours faire croire que les émeutiers sont TOUS des policiers déguisés en manifestants.
C'est bien pourquoi les syndicats aident les CRS à coincer les émeutiers et les livrent eux-mêmes à la police.
C'est bien pourquoi, et même quand l'Assemblée Générale en a décidé autrement, avec les gros bras de son SO aussi terrible que les CRS (et dans le même camp), il arrive si souvent que la CGT force manu militari les travailleurs à reprendre le travail.
C'est bien pourquoi pour vaincre le patronat, nous devons toujours commencer par vaincre les syndicats !

Seule une coordination peut nous assurer de ne pas être trahis !

Coordination mode d'emploi :

Le PS Embarassé : L'Ancienne Gauche C'est Plus Possible, la Nouvelle Personne n' en Veut!

Juillet 2012 : Le peuple embrassait Hollande 18 mois plus tard la colère est à la mesure de la trahison!


extrait de : À gauche, la confusion règne de Hashtable | Petites chroniques désabusées d'un pays en lente décomposition…

Eh oui : la gauche, gentille, câline, ouvrière, multiculturelle et de tous les combats, semble franchement en peine, ces derniers mois, pour trouver un angle d’attaque solide lui permettant à la fois de regagner une assise auprès des classes populaires et moyennes qui l’ont désertée, et offrir un souffle, même modeste, à ce pays dont elle a la charge à présent, un peu à l’instar d’une poule qui aurait un couteau pour se défendre contre le monde méchant.

Mais voilà : les discours des « élites » ne suffisent pas pour galvaniser les troupes. Personne ne croit plus en la parole de Hollande ou d’Ayrault qui passent clairement pour des charlatans, des bonimenteurs ou de pénibles technocrates perdus dans leurs tactiques politiciennes de plus en plus minables et déconnectées des besoins de la population. La droite ne produit rien de valable, ne s’oppose finalement en rien au projet de société catastrophique que la gauche balbutie entre deux cocktails éventés, ce qui met la gauche dans l’embarras, tant son sparring partner lui est indispensable pour exister un peu.

Vient alors le temps des révoltes ouvertes : la grogne, jusqu’à présent rentrée, ressort de mille et une façons. Les actes de résistance plus ou moins active se font jour. Les messages sont multiples mais le fond est parfaitement constant : les impôts, les taxes, les cotisations, les ponctions, les prélèvements ont atteint un seuil insupportable. Et là, c’est la stupeur : ces protestations sont, clairement, populaires et ne déclenchent pas de désapprobation massive. 
On y trouve de tout, mais on y trouve aussi des jeunes. Pire ! Le mouvement le plus clairement contestataire provient directement de l’une de ces régions où le socialisme se croyait en terrain conquis.

Génération sacrifiée


Qu’il est intéressant de voir le douloureux passage de témoin d’une génération qui aura toujours pu voir l’avenir comme rempli de progrès et d’améliorations, à cette génération qui n’hérite essentiellement que de dettes, de promesses creuses, et d’incertitudes sur tout son avenir ! À cet aune, que semblent ridicules les tentatives d’analyses de cette classe qui n’a jamais voulu admettre sa défaite devant les évidences de la chute du mur, de la libéralisation progressive de l’empire chinois, des dérapages catastrophiques de la démocratie socialisante, qu’elle fut européenne ou américaine.


Pas étonnant qu’ils déclarent ne pas comprendre : ils n’ont pas les outils pour !


À gauche, la confusion règne | Hashtable

L'Aristocratie Républicaine Française à Bout De Souffle Comme La Monarchie Absolue en 1789

Qui dit roi dit cochon dit courtisane dit "gateries royales" (avenir assurée pour ces demoiselles)



L'aristocratie ripoublicaine


Désireux d'égalité réelle, le peuple des gueux de France s'est révolté de manière ultra violente en 1789. Il a tranché la tête de Louis XVI, Marie Antoinette et toute la bande des aristocrates et leurs caniches. Lors de la célèbre nuit du 4 aout 1789 Il a aboli les privilèges. Ce n'était pas définitif, seulement un répit en attendant l'aristocratisation des républicains, nouveaux maîtres du Pays.

Ce qui se passe dans la France du XXIème siècle est le constat accablant d'un retour en arrière "anti démocratique" ! 


Le bouffon de l' Elysée a remplacé le gros cochon de Versailles


Nous avons un bouffon, certes élu mais qui règne en maître absolu. Il a délaissé Versailles pour un autre palais, celui de l'Élysée. Comme nanti on ne peut mieux faire car même si son pouvoir est limité dans le temps (5 à 10 ans) les privilèges n'en sont pas pour autant abolis, loin s'en faut. Mis à part son train de vie, royal pendant son mandat, il se retrouve au bout avec "une misère de retraite" de 5600 € mensuel mais , car il y a un mais, il arrive à des sommes faramineuses avec le cumul des ses anciens mandats (36000 € pour Chirac, 30000 pour Giscard, mensuels bien entendu). Sans compter un véhicule avec chauffeur, un bureau, des gardes du corps, tout cela à vie. Ce bouffon là a remplacé le Roi.



La Jacquerie grand Rendez-Vous de sa majesté depuis 1000 ans!



Nouvelle aristocratie des "élus"


La France est fragmentée en 22 régions  alors que 10 suffiraient à administrer efficacement notre pays. Elles sont tenues d'une main de fer par des proches du pouvoir et ont remplacé les princes d'antan, avec le mêmes privilèges.


Des ministres toujours plus nombreux, (La place est bonne et rémunératrice), des élus à foison constitue  un énorme boulet que l'on traîne depuis des décennies, quasiment 1000 parlementaires (Députés et sénateurs) avec leurs "famille" de conseillers, secrétaires et "ayant droit". 
Ils nous mangent le bénéfice avant même que celui ci ait été produit par le dur labeur quotidien des "con-tribuables". 

C'est la nouvelle aristocratie. Aristocrates qui rèvent de devenir à leur tour prince ou bouffon, cochon à l'engrais des impôts du petit peuple (les autres ayant les moyens de s'y soustraire grâce à des avocats fiscalistes qui exploitent les "manquements" des lois fiscales écrits spécialement pour eux). Le diable est dans les détails...

Des dizaines de milliers d'élus de toutes sortes bouffent au râtelier du tièrs-état moderne pour son plus grand malheur et sa paupérisation inéluctable à terme.



Armée de "clients électoraux" inutiles


Pour servir et faire vivre tout ce beau monde, les administrations, embauchent des armées de personnels à ne même plus en connaître le nombre exact (à 500000 près selon un ancien ministre). 
Et ce nombre est en augmentation constante, notamment en ce moment avec les "500000 emplois d'avenir" sans aucun avenir, dans les collectivités territoriales. Ceux-là sont les gens d'armes, les Fermiers des gabelles, les percepteurs et autres inquisiteurs de l'ancien régime, en un mot les fonctionnaires.

Et le bon peuple dans tout ça, eh bien il renâcle, jure, peste mais subit écrasé sous le joug des impôts, pris sur sa sueur, à la seule fin de nourrir les nouveaux aristocrates. Mais jusqu'à quand, voilà la question.

Des Salariés Européens pour Briser la Grève à Lufthansa Roissy

Contre la grève, Lufthansa fait venir des salariés étrangers

Les agents d'escale de Roissy (Val-d'oise) sont en grève. Qu'à cela ne tienne, la direction de Lufthansa a fait venir des salariés du Royaume-Uni, de Suisse, ou d'Espagne pour les remplacer. Les salariés français de la compagnie aérienne allemande Lufthansa se sont mis en grève pour protester contre le plan social qui prévoit la suppression de 200 postes, dont la quasi-totalité des salariés à terre de Roissy.


 






La direction séquestrée


À bout de nerfs, les salariés grévistes (100 % des effectifs à Roissy selon les syndicats) ont profité d'une réunion extraordinaire du comité d'entreprise sur le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) ce 22 novembre matin pour séquestrer leur direction, a-t-on appris sur le compte Twitter de l’Unsa Self, syndicat représentatif du personnel de Lufthansa en France. Cette information nous a été confirmée par le délégué syndical Franck Bonot, joint par téléphone.

Les syndicats revendiquent la mise en place d’un plan de départs volontaires (PDV) pour l’ensemble du personnel en France, ainsi que des garanties quant à la préservation des emplois des salariés qui ne souscriraient pas au PDV. « Nous demandons de vraies négociations », indique au Journal de l'Aviation Franck Bonot,.

La direction aurait dévoilé ses intentions lors de la première réunion extraordinaire du comité d’entreprise qui s’est tenue le 5 novembre dernier, révèle l’intersyndicale de Luthansa France, composée de l’Unsa Self, la CFDT, le CFTC et le CFE-CGT.

Les licenciements secs en France s’inscrivent dans le vaste plan de restructuration de la compagnie « Score », dont l’objectif est de permettre au groupe Lufthansa d’améliorer son résultat opérationnel de 1,5 milliard d’euros d’ici fin 2014 à travers notamment la suppression de 3 500 postes. Le groupe Luthansa emploie à ce jour 117 000 personnes, dont 262 en France.




http://videos.leparisien.fr/video/face-a-la-greve-lufthansa-fait-venir-des-salaries-etrangers-24-11-2013-x17k5t2