mardi 5 novembre 2013

La Chine Aux États-Unis : On A Les Moyens De Vous Rayer De La Carte!



Le message transmis par ces articles et graphiques est très clair : la Chine est prête à répondre à toute attaque contre son territoire de la part des Etats-Unis et de l’OTAN. 



Si une telle attaque devait avoir lieu, les sous-marins de la force stratégique chinoise seraient alors en mesure, avec des missiles nucléaires, d’atteindre les grandes agglomérations de Los Angeles, San Francisco et Seattle. Les cartes accompagnant les articles montrent que les retombées radioactives détruiraient essentiellement toute la côte ouest américaine, jusqu’au mid-ouest et la région de Chicago.

Ces articles précisent que la Chine dispose d’une force de 7500 missiles intercontinentaux (ICBM), capable d’atteindre les grandes villes de la côte est des Etats-Unis en survolant l’Arctique.

Ces annonces ne sont pas une menace mais une réaction à ce qui est perçu par la Chine continentale comme un danger absolu, potentiellement immédiat, en provenance des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de l’OTAN, avec leur déploiement militaire global ciblant la Russie et la Chine.

Tout ceci a été amplement rapporté par la presse américaine, y compris avec une carte détaillée de la situation, où on distingue la zone de retombée des représailles potentielles chinoises sur la côte ouest des Etats-Unis.

(...) Ceci n’est pas réellement une surprise pour ceux qui ont suivi de près la situation. Plus tôt cette année, un article assez choquantavait été publié dans l’une des publications officielles des forces aériennes américaines, où on affirmait qu’en raison du développement de missiles nucléaires ainsi que des techniques de ciblage, une attaque contre les forces nucléaires ennemies (première frappe) pourrait être lancée sans provoquer de représailles (deuxième frappe). Ainsi, la vieille stratégie de destruction mutuelle assurée (doctrine MAD) de l’OTAN, une doctrine selon laquelle toute attaque nucléaire conduirait à l’annihilation totale de l’espèce humaine et que par conséquent tout recours à l’arme nucléaire serait impossible, se trouvait reléguée aux oubliettes grâce aux nouvelles avancées technologiques. C’est ce qu’affirmait cet article.

Quelques mois plus tard, le Prof. Amitai Etzioni publiait un autre article, dans une revue de l’Université de Yale, intitulé « Qui a autorisé des préparations de guerre contre la Chine ? », où il affirmait que l’armée américaine se trouvait actuellement en train de préparer une guerre contre la Chine. Les faits rapportés sont exacts, à part le blâme qu’il met sur les dirigeants du Pentagone. Il demande qu’une discussion urgente soit ouverte au Congrès et à la Maison Blanche et dans les autres cercles de réflexion sur les conséquences d’une telle politique.

Etant donné le fait que ce sont bien les dirigeants du Pentagone qui ont été à l’avant garde des tentatives pour freiner toute escalade militaire [en particulier le général Martin Dempsey, le chef d’Etat-major des armées, ndlr], comme l’a montré l’exemple de la Syrie récemment, il est clair que ce n’est pas le Pentagone en tant que tel qui est responsable mais la politique actuelle des Etats-Unis.

Le chemin menant à la confrontation, incluant au recours à des armes nucléaires, a été emprunté depuis un certain temps déjà. Mon mari Lyndon LaRouche a fait remarquer que cette voie a été choisie depuis ou grâce à l’assassinat du président Kennedy, et elle n’a été que brièvement interrompue lorsque, au début des années 1980, il est devenu très clair que nous nous approchions dangereusement d’une troisième guerre mondiale.

Cela était dû au fait que les missiles de portée intermédiaire de l’OTAN et du Pacte de Varsovie se trouvaient à cette époque à une très proche distance les uns des autres : les missiles pershing-2 et les SS-20 se faisaient face en Europe centrale, et nous ne disposions que d’un court délai, de quelques minutes tout au plus, avant de déclencher le tir d’un missile. Dès que l’un des deux côtés lançait un missile ou avait la perception que l’adversaire avait procédé à un tir, tout l’arsenal devait être lancé en représailles avant de vérifier quoi que ce soit, car le délai d’avertissement était trop court.

C’est dans ce contexte que Lyndon LaRouche avait développé l’Initiative de défense stratégique (IDS), qui fut ensuite adoptée en mars 1983 par le président Reagan. Elle fut mise sur la table pendant quelques mois comme option permettant d’éviter la guerre. Elle fut toutefois rejetée, en premier lieu par le gouvernement soviétique, mais aussi par la faction Bush (père)-Kissinger au sein même de l’administration Reagan.

Lorsque l’Union soviétique s’effondra entre 1989 et 1991, une véritable opportunité d’établir la paix se présenta. Avec la défaite du communisme, l’ennemi avait disparu. L’oligarchie britannique décida alors, avec ses valets Margaret Thatcher, George H. Bush et les néo-conservateurs, d’utiliser la chute du bloc de l’est pour construire un empire global, s’appuyant sur la relation spéciale entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni. C’est à partir de ce moment que la marche vers l’actuel danger de guerre s’est accélérée.

Nous avons assisté en Europe à l’expansion de l’OTAN vers l’est, accompagnant l’expansion de l’UE, ce qui, du point de vue de la Russie, a été jugé à juste titre comme une stratégie d’encerclement. Ceci inclut, par exemple, le développement par les Etats-Unis d’un système de défense antimissiles en Pologne et en République Tchèque, provoquant des avertissements de la Russie. Cette dernière a fait savoir qu’elle n’allait pas tolérer la complétion de la dernière phase de ce bouclier, car il priverait la Russie de sa capacité de représailles en cas d’attaque occidentale, ce qu’elle ne peut accepter.

Vous avez vu ensuite les autres étapes de cette politique de confrontation globale, avec, par exemple, la doctrine Air-Sea-Battle, que le président Obama appelle sa politique de Pivot asiatique, qui est un encerclement de la Chine. Si de nombreux politiques en Australie ont reconnu assez ouvertement qu’une guerre contre la Chine devenait inévitable, et si plusieurs d’entre eux ont critiqué le fait que tout le continent australien se voyait transformé en une gigantesque base aérienne américaine dans le but de mener une telle guerre, on peut alors comprendre la réaction de la Chine face à tout ceci. Celle-ci, de même que la Russie, se sent encerclée, et ce à juste titre. Tout officier militaire honnête en Europe ou aux Etats-Unis reconnaît bien volontiers ceci.

Si vous gardez à l’esprit le fait que nous somme assis sur une poudrière, en particulier en ce qui concerne l’état du système financier de la région transatlantique et les conséquences d’un effondrement du dollar pour le monde, vous saisissez l’étendue du problème.

http://www.solidariteetprogres.org/orientation-strategique-47/article/en-cas-d-agression-la-chine-s-annonce-prete-a.html

Otages Fiscalité Réformes : Tout ce que Hollande Touche se Transforme en Fiasco



Les Bretons démontent les portiques écotaxes et en sont à six radars incendiés. Cela se transforme en jacquerie contre ce régime de racketteurs. Ce qui se passe en Bretagne peut et doit s’étendre à toute la France. Un gigantesque ras-le-bol fiscal doit s’exprimer. Pas un seul rassemblement ne doit se terminer sans des slogans exigeant le départ de Hollande, Ayrault, Fabius, Taubira, Valls, Moscovici, Belkacem, Peillon, Touraine et toute cette bande de nuisibles, haïs des Français.


Les élus PS foutent le camp


Ces derniers jours, le Château s’affole de voir non seulement des défections d’élus mais aussi des prises de distance que d’aucuns qualifieraient de salutaires ! En effet, certains maires commencent à claquer la porte du PS pour essayer de sauver ce qui peut l’être, à savoir leur cul. Le PS étant ce qu’il est, à savoir un ramassis de petits professionnels de la démocratie, c’est leur job qui est en jeu en mars prichain. Alors, tous les coups sont permis : certains, donc, quitte un navire solférinen à la dérive. D’autres font campagne en tapant sur Pépère et les peintres du gouvernement. D’ailleurs, la première dauphine parisienne, Anne Hidalgo n’hésite plus et cogne à tout va sur la folie fiscale de ses ex-amis au pouvoir ! Quant aux poids lourds de la socialie locale tels qu’Aubry à Lille ou Colomb à Lyon, ils se distinguent par leur silence assourdissant, préférant sans doute rester à bonne distance d’un attelage baroque qui fonce dans le mur… Mars 2014 : enfin une perspective réjouissante…

Même quand c'est facile Hollande Foire!


Cette semaine a vu tout de même une bonne nouvelle : la libération des otages du Niger. Les 4 français retenus là-bas ont été libérés après plus de 3 ans de captivité. Soulagement. Pépère s’est empressé à Villacoublay pour les accueillir, les occasions d’être associé à quelque chose de positif n’étant pas légion dans son agenda. On passe sur le grand moment de solitude de Ducon quand, une fois son allocution mielleuse passée, il invita les ex otages à parler. Sans doute attendait-il un « merci président » enthousiaste, franc est massif. Or rien n’est venu, aucun des 4 bonshommes n’ayant voulu parler ! Pépère a été obligé de marmonner un piteux « bon, ben c’est fini » à la presse… 

Pire, lui et son équipe de pieds nickelés ont réussi à transformer une évidente bonne nouvelle en couac. Naturellement, la doctrine de l’état n’a pas changé avec lui : aucune rançon n’a été versée pour nos ressortissants, telle que l’a clamé la petite Najat en point presse. Le problème, c’est qu’au même moment, Le Monde publiait le montant versé par l’état à Aqmi pour nos otages : entre 20 et 25 millions d’euros ! 

Le soir même, l’info tournait en boucle sur toutes les antennes… Pépère ou comment transformer une réussite en sombre caca… Reste qu’à ce prix-là (5 millions d’euros minimum par tête), on ne trouvera jamais un mec assez fou pour réunir la somme nécessaire à libérer les 60 millions de français retenus en otage en République Socialiste de Hollandie…




Peillon Comme Tous Les Politiciens Grillés Ira à Bruxelles en 2014


Vincent Peillon, L'homme qui concocte des réformes impossibles à mettre en place en l'état, réformes qui seront à leur tour réformées par d'autres réformes. 
L'Education Nationale dans toute sa splendeur! 
En annonçant sa candidature aux Européennes Peillon s'assure simplement une porte de sortie vers le futur. Ces gens savent mieux gérer leur propre intérêt que celui des Français "lambda" qu'ils prétendent représenter...

source : Peillon va payer et il le sait…  Gabrielle Cluzel


Qu’a donc fait lundi matin Vincent Peillon, après son passage sur France Inter ? Gageons qu’il a commencé à rassembler ses petites affaires. Là-bas, au ministère. Rangé ses papiers, décollé ses Post-it, fait le tri des stylos, serré dans son cartable le cadre avec la photo de famille qui trônait sur son bureau. Peut-être commencé à serrer des mains émues à des secrétaires dans le couloir : « Je vous regretterai, Ginette ! »

Car ça sent la fin. Le monsieur a réussi à mettre tout le monde en pétard. On se bouscule, on s’arrache les dates de cette première quinzaine de novembre pour aller battre le pavé : le 5, le 7, le 13, le 14. Les profs, les parents, les élèves. Les uns contre les rythmes scolaires, les autres pour Leonarda.

Alors si Hollande doit faire un exemple, s’il doit sacrifier l’un des siens à la foule en colère qui crie sous ses fenêtres, ce sera celui-là : Peillon va payer…

Peillon le sait si bien qu’il a déjà assuré ses arrières et annoncé, il y a quelques semaines, qu’il serait à nouveau candidat aux européennes. On s’inquiète, on s’ébaubit, on se perd en conjectures : mais comment diable va-t-il se débrouiller avec le cumul des mandats ? Bande de naïfs. Puisqu’on vous dit que Peillon va payer… Sera-t-il plus efficace dans une instance européenne qu’il ne l’a été dans son ministère ? Non, bien sûr, mais une étiquette européenne vous donne une expertise, une hauteur, une apparence de neutralité qui vous mettent à l’abri des invectives du petit peuple. Non que ce dernier ne souffre plus, mais dans votre Olympe, vous êtes comme derrière un mur anti-bruit.

Peillon va payer et on se dit que la gentillesse, elle, ne paie pas. Car on n’a pas connu plus onctueux, plus miséricordieux, plus à l’écoute que ce ministre-là avec les lycéens. Les lycéens qui manifestent pour le retour de Leonarda, mais aussi pour celui de Khatchik, un jeune Arménien. Et puis encore, tant qu’on y est, pour celui de tous les autres, la foule des jeunes expulsés anonymes. Autant vous dire qu’à ce train-là, les boutonneux en colère ne sont pas près de revenir en classe. Peillon, sur France Inter, a demandé aux lycéens d’éviter « violence » et « blocus », mais il dit avoir entendu leur « émotion » et leur « générosité »… Voyez-vous, chers amis, nous avons été lycéens bien trop tôt. Lorsque nous autres séchions les cours, avant l’ère Peillon, personne n’entendait notre « émotion ». On ne nous disait pas « c’est de la générosité » mais plutôt « c’est une heure de colle et un mot dans le carnet de correspondance ».

Peillon aime d’ailleurs tant les enfants qu’il veut les mettre à l’abri de leurs propres parents. Déjà, l’an passé, il parlait d’une morale laïque qui serait « indépendante de tout déterminisme familial ». Lundi, toujours sur France Inter, évoquant le courroux des parents concernant les rythmes scolaires, il a rétorqué que cette réforme était faite « pour les élèves, pas pour les parents ». Comme si, dans une famille, les intérêts des uns et des autres n’étaient pas convergents. Comme si le cher homme oubliait que, dans l’urne électorale, ceux qui glissent la petite enveloppe sont encore… les parents. Hollande lui, ne l’a pas oublié, et c’est pour cela que Peillon va payer. Mais sera-ce suffisant pour régler la facture ?


http://www.bvoltaire.fr/gabriellecluzel/peillon-va-payer-et-il-le-sait,40244

Tremblement De Terre, Tsunami : Le Jour Où Le Japon s'Arrêta



Quand soudain ce 11 Mars 2011, un tremblement de terre de magnitude 9,0 (un gros!) frappa sous l'océan au large de la côte pacifique du Japon. 

Quasi immédiatement, les sirènes à tsunamis retentirent, pour alerter les habitants vivant le long de la côte du Japon.

Dans les heures qui suivirent, les résidents regardèrent avec horreur la série de vagues massives qui frappa la côte, inondant des villes entières et la campagne, dévastant tout sur son passage. 

Tout au long, des vidéastes amateurs, des journalistes, des organismes gouvernementaux, des touristes, et bien d’autres ont enregistré la catastrophe en cours. 

Ce film propose de vivre ces tragiques événements à travers les yeux de ceux qui l’ont vécu.



Kidal : Les Journalistes De RFI Au Mali Tués Par l' Armée Française Comme En 2011?

"un hélicoptère de l’armée française a survolé l’endroit. Les ravisseurs et les otages étaient déjà sortis du véhicule. C’est alors que l’hélicoptère a tiré plusieurs salves en leur direction, tuant sur le coup les trois ravisseurs ainsi que les deux otages»


El Watan évoque la thèse d’une bavure militaire de l' armée française. 

Le quotidien algérien témoignages à l' appui, accrédite la thèse d’un tir ami venant d’un hélicoptère français qui aurait tué  ravisseurs et journalistes en voulant les intercepter. 

Des témoins oculaires locaux affirment que les deux journalistes avaient été embarqués par trois hommes armés, enturbannés, à bord d’un 4×4 beige sans immatriculation.

Nouvelles révélations sur la mort des deux journalistes français de Radio France Internationale (RFI), Ghislaine Dupont et Claude Verlon, samedi à Kidal, dans le nord du Mali. Joints par téléphone, des témoins oculaires font état des circonstances dans lesquelles les deux journalistes ont été tués en revenant sur des détails assez surprenants. «Ils ont tenté d’avoir des entretiens avec de nombreux notables, notamment l’amenokal de Kidal, mais en vain. Ils ont pris attache avec Ambéry Ag Rissa, un notable de la tribu des Imgad, qui habite en plein centre-ville. Lorsqu’ils sont sortis de chez lui, leur voiture était garée juste derrière celle d’Ambéry.

Les deux assaillants, dont le visage était couvert d’un chèche, ne voulaient pas entrer à l’intérieur de la maison d’Ambéry. Ils attendaient que les journalistes en sortent pour les embarquer à bord d’un 4×4 de couleur beige, sans plaque d’immatriculation, conduit par un troisième homme qui avait mis le moteur en marche. Un autre véhicule similaire, avec à son bord deux hommes enturbannés surveillaient de loin la scène. A peine sont-ils montés dans le 4×4 (qu’ils avaient loué auprès du maire de Tessalit), que deux hommes, le visage masqué d’un turban, leur ont intimé l’ordre de ressortir. Mon fils était à quelques mètres seulement. L’unité de l’armée française n’était pas loin. Elle a été informée au moment où les ravisseurs embarquaient les deux journalistes…», révèle notre source. Et de préciser : «L’action était très rapide. Il était 13h35, lorsque les deux véhicules avaient pris la direction de l’est de Kidal, en empruntant la route de Tin Inssako.»

Sous le couvert de l’anonymat, de peur de représailles, notre interlocuteur précise que cette route mène au Niger, «lieu où se rencontrent souvent contrebandiers et terroristes». La même source affirme avoir obtenu des informations «fiables» qui permettent de reconstituer les circonstances de la mort des deux journalistes. «En fait, le véhicule qui transportait les deux journalistes s’est arrêté à 27 km de la ville, alors que celui qui assurait l’escorte a continué sa route. Nous ne savons pas pourquoi. Est-ce qu’il est parti récupérer du carburant ? Est-ce qu’il attendait ceux qui devaient prendre les otages ? Rien n’est sûr. Ce qui est certain, c’est qu’une trentaine de minutes plus tard, un hélicoptère de l’armée française a survolé l’endroit. Les ravisseurs et les otages étaient déjà sortis du véhicule. C’est alors que l’hélicoptère a tiré plusieurs salves en leur direction, tuant sur le coup les trois ravisseurs ainsi que les deux otages», raconte notre source. Selon elle, personne ne peut être sûr de l’identité des auteurs, mais certains évoquent une «commande» qu’auraient pu exécuter des groupes armés, des contrebandiers surtout, au profit des terroristes.

«Ici tout le monde sait que les Français représentent une lourde monnaie qu’il est facile d’échanger contre d’importantes sommes d’argent. Il est probable que les journalistes aient été enlevés par des contrebandiers. Ces derniers devaient les revendre par la suite à un groupe terroriste qui, lui, négocierait leur libération contre une rançon», souligne notre interlocuteur.  En tout état de cause, ce témoignage permet de comprendre les informations fournies hier par le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius. Tout d’abord, il met un terme aux rumeurs selon lesquelles les deux journalistes ont été égorgés par leurs ravisseurs en disant : «Ils ont été tués par balles par les groupes terroristes que nous combattons», précisant : «Ils ont été assassinés froidement. L’un a reçu deux balles, l’autre trois balles.»

Lors d’une réunion de crise consacrée à cette affaire et présidée par le chef de l’Etat, François Hollande, Laurent Fabius a souligné : «Les assassins, ce sont ceux que nous combattons, c’est-à-dire les groupes terroristes qui refusent la démocratie et qui refusent les élections (…) Ghislaine Dupont et Claude Verlon ont été kidnappés par un petit commando et emmenés hors de Kidal. Leurs corps ont été retrouvés à 12 km (…) à quelques mètres de la voiture fermée à clé, il n’y avait aucun impact de balle sur la voiture.»

Des détails importants qui rejoignent le témoignage de notre source. Ce qui rappelle étrangement la bavure de l’armée française, au cours de l’été 2011, lorsqu’une unité militaire avait pourchassé les ravisseurs de deux otages français et mitraillé leurs véhicules, tuant tous les occupants (y compris les otages). Peut-on mettre cette affaire dans la case «pertes et profits» de la guerre contre le terrorisme au nord du Mali ? Pour nombre de spécialistes des questions sécuritaires, cela va de soi. «Il n’est pas question pour l’Etat français, qui venait de dépenser plus de 20 millions d’euros pour la libération des quatre otages détenus par des terroristes depuis plus de trois ans, de reprendre à zéro une autre négociation et de payer une nouvelle rançon, d’autant que ces derniers jours, le gouvernement est au centre de lourdes critiques», explique une source sécuritaire au fait de la situation au Sahel.
Pour notre interlocuteur, «en s’installant militairement dans la région, la France a ouvert la boîte de Pandore. Le terrorisme sera de plus en plus fort et les populations locales de plus en plus exclues et sous-développées faute de sécurité et de stabilité. Les unités militaires présentes sur le terrain, qu’elles soient françaises, africaines ou maliennes, ne pourront rien faire, si ce n’est multiplier les bavures dont les victimes se compteront surtout parmi les civils».

Salima Tlemçani / Al Watan

des témoins avancent la thèse d’une «bavure militaire» - International - El Watan

l'Etat Revend Skyrock la Radio de "Jeunes" où 93 % du Temps de Parole à l’Antenne Revient aux Hommes


Merci d'avoir appelé à voter Hollande Pauvres Cons!

source : L’État se retire du capital de Skyrock http://www.lelibrepenseur.org/


Très bonne nouvelle après celle de la baisse d’audience. On comprend un peu mieux les rouages politiques qui soutiennent P. Bellanger via Malek Boutih. 

C’est très bien huilé et efficace. Continuons à attaquer cette radio, les résultats seront eu rendez-vous…

Entré en 2011 au capital de Skyrock, une radio dans laquelle les filles sont inaudibles, l’État s’est finalement désengagé. Perdant quelques plumes au passage.

Fin 2011, dans des circonstances particulières, l’Etat entrait au capital de la radio pour jeunes Skyrock. Il vient d’en sortir. Le Fonds Stratégique d’Investissement (FSI), fonds souverain français désormais englobé dans la Banque Publique d’Investissement (BPI) a discrètement revendu ses parts à l’ex France-Télécom, Orange, qui acquiert 14,6% de plus dans l’activité internet de la radio (sa part se porte désormais à 48,75 %). Mauvaise affaire pour l’État qui vend 5,1 millions d’euros ce qu’il avait acheté 6 millions d’euros fin 2011.

Il s’agissait à l’époque de sauver le PDG de la radio, Pierre Bellanger, ami de Nicolas Sarkozy, qui était en conflit avec son actionnaire principal, le fonds d’investissement Axa Private Equity auquel il avait cédé 70% du capital de son groupe en 2006. Le fonds souhaitait l’évincer de la direction de la radio dont la rentabilité s’émoussait. 

Pierre Bellanger avait alors organisé une vaste entreprise médiatique de soutien, dormant plusieurs nuits dans son bureau et demandant à de nombreux politiques de l’aider. Rama Yade, Laurent Wauquiez, Rachida Dati ou encore Xavier Bertrand avaient par exemple soutenu le patron de Skyrock, au micro de la station. Le 22 avril 2011, Pierre Bellanger avait lui-même remercié « les pouvoirs publics » sur son antenne. L’entourage du président de la République justifiait l’investissement en expliquant que Skyrock était un bon moyen de s’adresser aux jeunes.

Des jeunes et des stéréotypes


Mais quels jeunes, pour diffuser quels stéréotypes ? Le rapport sur l’image des femmes dans les médias en 2011 signalait par exemple que 93 % du temps de parole à l’antenne revenait aux hommes. Une vision particulière de la démocratie…

Et ce n’était pas la première fois que l’État se montrait généreux avec Skyrock. En 2010, 1 millions d’euros avaient déjà été confiés au patron de l’antenne, pour diffuser des messages gouvernementaux en direction des jeunes via internet.

Au même moment, l’homme était en procès pour « corruption de mineure » et a été condamné le 5 février 2010 à trois ans de prison avec sursis et 50.000 euros d’amende.

Reste à savoir si la sortie de Skyrock a été décidée par les anciennes équipes du FSI ou par la nouvelle équipe de la BPI comme le rapporte BFM Business. Le FSI a exercé son option de sortie à la mi-janvier 2013, en pleine période de transition entre les deux équipes.

Toujours est-il que cet épisode pénalise l’ensemble des médias puisque le nouveau directeur général de la BPI Nicolas Dufourcq a prudemment fait inscrire dans la doctrine de la BPI qu’elle exclut tout investissement dans « les organes de presse d’opinion et les instituts de sondage ».

http://www.lelibrepenseur.org/2013/11/05/letat-se-retire-du-capital-de-skyrock/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=letat-se-retire-du-capital-de-skyrock

Oubliez Poutine l'Homophobe ! Bientôt Des Détecteurs d' Homos Au Koweit !


Le ministère koweïtien de la Santé veut mettre en place des tests de dépistage de l'homosexualité à l'entrée du pays. Vous avez dit absurde ? Ou homophobe ?

Homosexuels assumés ou dissimulés : tous refoulés. Avec beaucoup d'aplomb, Youssouf Mindkar, le directeur de la santé publique du ministère koweïtien de la Santé, a proposé que les six États du Conseil de coopération du Golfe (CCG) imposent des tests de dépistage de l'homosexualité aux étrangers venant y travailler. Cette proposition sera débattue lors d'une réunion de l'organisation, le 11 novembre à Oman. Si elle était adoptée, les "dépistés positifs" se verraient interdire le séjour dans ces pays. Examens morphopsychologiques, génétiques et vestimentaires, détecteur de mensonges ou technologie confidentielle ? Le responsable n'a pas dévoilé comment les fonctionnaires de l'autorité sanitaire pourraient déceler les orientations sexuelles des candidats à l'installation et nul laboratoire au monde n'en a encore découvert l'hypothétique formule.

Arabie saoudite, Bahreïn, Émirats, Koweït, Oman et Qatar : dans tous ces pays, l'homosexualité est durement réprimée, et la législation saoudienne est l'une des six au monde à prévoir la peine de mort. 

(voir vidéo ci dessous d'une décapitation capitale) 

"Ces tests sont une insulte au droit fondamental à la vie privée", s'est indigné Amnesty International, qui demande le rejet immédiat de la proposition. Les expatriés, cadres occidentaux comme ouvriers asiatiques, se voient déjà imposés de multiples tests à leur arrivée dans les pays du Golfe. Les séropositifs y sont ainsi partout interdits de séjour.



Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Koweït | Koweït : êtes-vous "homopositif" ? | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique 
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Conseillers De François Hollande "On Est Tout Près De La Ligne Rouge!"


C'est la grande peur!


Majorité Socio-dégradable!


Nous avons tout gagné avec F Hollande ! un pantin suffisant, ridicule et prétentieux, qui se prend pour un président, une équipe de bras cassés, une France en déroute, des français au bord de l'asphyxie, tant ils sont ponctionnés, un pouvoir d'achat laminé, un nombre de chômeurs et d'inactifs jamais atteint, une industrie en déconfiture et cerise sur le gâteau, un niveau d'endettement et de déficits à leur plus haut historique.

Même si nous n'avons pas en France l'équivalent de l'impeachment, les mensonges réitérés et le comportement d'un président lorsqu'il devient irresponsable doit pouvoir être sanctionné, par une renvoi..

La décadence annoncée de notre économie ramené au niveau le plus bas de son histoire, devrait être un motif légitime pour mettre tous ces incapables dehors, président compris.


Hollande proche de son cauchemar, la "coagulation" 


Hollande redoute un large mouvement de contestation. Sa méthode pour prévenir "la coagulation" a échoué. Sa majorité craint un débordement parti de Bretagne 

 La révolte bretonne contre l'écotaxe contient tous les ingrédients du cauchemar politique que François Hollande s'efforce de conjurer depuis son élection : une agrégation spontanée de multiples franges de la société contre son action. Le concept, au centre des préoccupations du président français depuis les grandes mobilisations contre le mariage homosexuel, porte un nom, celui de "coagulation". Il désigne le moment où des mouvements de contestation aux intérêts potentiellement opposés, comme ceux des salariés et des patrons bretons défilant sous le même bonnet rouge samedi à Quimper, se muent en crise politique majeure que seules des initiatives politiques radicales parviennent à désamorcer. La décision de suspendre dans la précipitation la mise en oeuvre de l'écotaxe illustre la prise de conscience, par l'exécutif, que les forces sociales du pays sont en passe de se coaliser et de rendre la France ingouvernable. Si l'exécutif a été critiqué, notamment par ses alliés Verts, pour son recul sur l'écotaxe, son analyse sur la gravité de la situation est largement partagée au Parti socialiste.


"On n'est pas loin de la ligne rouge"


...estime un élu du Parti socialiste, où de nombreux députés disent avoir intégré la possibilité qu'un conflit social ou que "la rue" puissent avoir raison d'un gouvernement discrédité, avec un François Hollande plus impopulaire qu'aucun autre président avant lui. C'est ce qui avait amené Jacques Chirac à renoncer en 1995 à ses velléités de réformes radicales, dont celle des retraites, ou entraîné l'abandon en 2006 du Contrat première embauche par le Premier ministre Dominique de Villepin devant la coalition des syndicats et des lycéens dans la rue. A l'Elysée, où l'on s'efforce de couper court aux spéculations sur l'imminence d'un remaniement ministériel, on redoute depuis des mois une contestation qui surgirait d'un dossier dont la sensibilité aurait été sous-estimée. "Il y a toujours un risque, il y a toujours des choses que l'on ne voit pas venir et qui éclatent", disait François Hollande lui-même l'été dernier, avant une rentrée sociale attendue mouvementée pour cause de réforme des retraites. Mais pour le président français, la menace ne venait pas du dossier des retraites, qu'il avait désamorcé en faisant une réforme modérée contre laquelle les syndicats n'ont pas réussi à mobiliser, mais sur ce qu'il ne pourrait pas anticiper. "Il faut faire très attention à un pays qui vit depuis des années des sacrifices, des inégalités, des discrimination ou des sentiments de déclassement", jugeait-il, alerté par les révoltes populaires au Brésil, parties d'une simple augmentation du prix des transports en commun, ou celles de Turquie, nées de la contestation d'un projet d'urbanisme. "Les Turcs se sont fait rattraper sur une histoire de jardin public", rappelait François Hollande en référence aux émeutes de la place Taksim, devenues un vaste mouvement de contestation du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. La théorie de la "coagulation", qui peut provoquer un caillot fatal s'il n'est pas repéré et traité à temps, explique les reculades à répétition du président. La "liberté de conscience" proposée - puis retirée - aux maires opposés au mariage homosexuel s'explique ainsi par sa volonté de ne pas laisser "coaguler" la grogne des élus et les courants politiques hétérogènes unis lors des manifestations. 

"COMMENT VA-T-ON S'EN SORTIR ?" 


De l'épisode des entrepreneurs "pigeons", aux dernières reculades sur le front fiscal, en passant par son offre de laisser la collégienne kosovare Leonarda terminer seule sa scolarité en France, les mouvements tactiques du président témoignent de sa vigilance sur le front social. Ses conseillers notent que le terreau devient propice à une contestation généralisée et constatent l'échec de François Hollande à tenir sa promesse d'une présidence apaisée. "On sent une tension de plus en plus forte de certaines franges de la population sur l'immigration, la laïcité, la pauvreté (...), cela devient éprouvant", dit-on dans son entourage, un constat partagé au gouvernement. "Je ressens un grand désarroi de la part de ceux qui nous ont élu" note un ministre. "Au point où on en est, je me demande vraiment comment on va s'en sortir", note ce membre du gouvernement, pour qui un remaniement avant les élections municipales de mars serait "une façon de reprendre la main". Cette option n'a cependant pas les faveurs de l'opinion et l'idée d'une dissolution de l'Assemblée nationale évoquée par la présidente du Front national Marine Le Pen ou le centriste Jean-Louis Borloo relève du suicide politique pour les élus. Si plus de neuf Français sur dix réclament un changement de politique, selon un sondage publié par le Journal du Dimanche, ils ne sont que 18% à vouloir un changement d'attelage. La base de la majorité réclame, elle, plus simplement que le Premier ministre Jean-Marc Ayrault assure la cohésion du gouvernement en évitant tout nouveau "couac" et enjoigne le Parti socialiste de faire bloc pour défendre le gouvernement. C'est, selon un interlocuteur de François Hollande, la revendication des élus qui bataillent pour être réélus en mars.

Hollande proche de son cauchemar, la "coagulation", Actualités

Syndicats et Grand Patrônnat Unis Contre Le Tiers-Etat Moderne (le petit con-tribuable)

Vrai Lutte ou Pièce de Théatre?

"On est dans un pays où on achète la paix sociale depuis très longtemps ; ça a été théorisé au sommet de l’Etat. Depuis les années 50 j’estime qu’on a divisé à peu près par 4 le nombre de salariés qui sont syndiqués et qu’on a multiplié par 20 les moyens qu’on donne aux organisations syndicales et patronales… ça coûte moins cher que de faire du progrès social…" 

Et c’est payé par vos impôts.

Le rapport n'est pas d'une lecture facile. Il ressort tout de même que :

- Les syndicats patronaux, en dépit de leur opulence, "tapent" dans les fonds des organismes paritaires (Sécurité sociale, Unedic, formation...).

- Les syndicats ouvriers vivent aux crochets de l'État et des organismes paritaires.

Cliquez ici pour consulter la version intégrale du rapport Perruchot 

 

l'Hypercrise d'Une Bulle à l' Autre Selon Olivier Delamarche


Nous sommes dans de très mauvaises bulles qui, plus est, se télescopent toutes les unes les autres. Les surcapacités de production se télescopent avec la déflation qui, elle-même, va précipiter les entreprises dans des spirales de dégraissage avant de télescoper le marché actions… 

Les bulles se tiennent donc les unes les autres "par la barbichette" – la première éclatant "baffant" toutes les autres. La déflation est toujours, in fine, une plaie car elle finit par exploser toutes les bulles et alors, sans parler des conséquences économiques et sociales et des conflits entre nations, brutalement c’est l’hyperinflation sur les décombres de ce qu’il reste d’activité qui vient péter au visage de la société. 

 Le plus grave, c’est que le quidam, sans connaissance économique, n’y comprend rien et qu’il n’a que son désespoir et sa colère à exprimer ce qui n’est pas vraiment une bonne chose. 

 Nous étions morts financièrement et économiquement avant même que les déficits n’atteignent les trilliards alors que, dit-on, nous serions en route sur le quadrilliard pour les produits dérivés, soit des millions de dettes potentielles non épongeables par tête de pipe.