jeudi 10 octobre 2013

Salir la droite, faire la com FN : un grand classique au PS



« C'est dingue ! Même dans certains quartiers, où vit une écrasante majorité de personnes issues de l’immigration, Marine Le Pen a beaucoup progressé"





Comment le PS fait monter le FN


Si nos chers "élus" veulent que le FN fasse moins d'émule, il faudrait peut être arrêter de l'encenser et de faire sa pub. 

Pas un jour ne passe, sans qu'on entende que le FN est devenu "le premier parti de France". 
Je ne savais pas que 34% d'électeurs avec 66% d'abstention faisait d'un parti, le premier parti de France! 

Seul les électeurs FN ou presque se sont déplacé dimanche dernier, donc ce résultat n'est pas une surprise et est même d'une logique crasse, pourtant transformé par les me(r)dias en :

 ' Le FN fait l'unanimité, le FN premier parti de france, le FN va gagner aux européennes.

Que les Frankenstein de la rue de Solferino cessent donc de faire son jeu et sa pub...

Mais non, au lieu de dire la vérité, on fait des papiers qu'on enrobe de mensonges pour rendre le FN digne d'une république.

Le jeu actuel des médias et des politiques face au FN est écoeurant.

Si François Hollande veut jeter les braises de la guerre civile sur la France, le brasier le consumera le premier, lui et son parti de has-been.


La montée du Front national, une opération de communication politique


Le contre-feu, une autre opération de communication politique menée par le PS : LE FRONT NATIONAL EST UN PARTI D'EXTREME DROITE.

Premier petit soldat à s'avancer sur la ligne de feu, Malek Boutih sur France 2. 
Des mânes de Primo Lévi, à la démocratie en danger, en passant par les années 30, tous les élements de langage ont été restitués. 

Avec en prime un numéro d'anthologie. Malek Boutih, fier, le regard grave, semblable aux soldats de Valmy prêts à arrêter l'avance de l'armée prussienne ou au premier résitant de la première heure, annoncant que si d'aventure le Front national prenait le pouvoir en France, il ne se laisserait pas faire et s'y opposerait. 
Beau comme du Verlaine mais peu efficace.

La montée du Front National due à une bonne agence de communication. Diable, que le PS les débauche ces brillants communicants et tout sera joué. 
Malheureusement, je crains que cela ne suffise pas. Par contre, lutter contre la précarité, le chômage, le mal-vivre.....


Le Front Républicain Idiot Utile Du FN


- Avoir une position commune vis à vis du FN ne fait que conforter le discours du même FN sur l'UMPS

- Ca fait 30/40 ans qu'on alterne entre ces deux partis et que, au final, le sentiment des Français est que leur situation se dégrade et que les pourris sont des deux côtés

- Le FN remporte des voix en plaçant des jeunes sortis d'écoles (et pas forcément l'ENA en plus) qui n'ont pas eu de responsabilités politiques et que, par conséquent, ces mêmes jeunes incarnent un certain changement

- 70 % des Français n'ont pas confiance dans les politiques 


François Mitterrand avait fait entrer le FN dans la sphère médiatique pour diviser la droite. 
Dans son fort intérieur, François Hollande ne serait peut-être pas déçu par une telle configuration politique. 

Même si François Hollande admire beaucoup François Mitterrand pour son machiavélisme, en 2013 ce genre de démarche pourrait s'avérer politiquement désastreuse comme l'ont montré les dernier scrutins partiels ou le PS a toujours été éliminé.

Israël Attend La Guerre : Les paysages paisibles du Golan pourraient d’un seul coup se transformer en un champ de bataille sanglant

Benny Gantz observe le plateau du Golan le 29 sept 2012

Le chef d’état-major de l’armée israélienne Benny Gantz a évoqué lors d’une conférence plusieurs scénarios d’un conflit armé possible, avec des attaques diverses et simultanées contre l’État hébreu.

« La guerre pourrait commencer avec une frappe chirurgicale au cœur du Kiriya (le complexe qui abrite le QG du ministère de la Défense) à Tel-Aviv », a averti le général Gantz dans des propos tenus lors d’une conférence et diffusés par la radio publique hier. 

« Il est possible qu’il y ait une cyberattaque sur un site assurant les besoins quotidiens des citoyens israéliens, que les feux de circulation ne fonctionnent plus ou que les banques soient paralysées », a-t-il prévenu.


Le Hezbollah, ennemi numéro 1


Selon le patron de l’armée, le Hezbollah continue de présenter une menace majeure. « La précision de leurs missiles va augmenter spectaculairement, et si le Hezbollah décide de frapper une cible donnée presque n’importe où en Israël, il peut le faire », selon le site Internet de l’armée citant le général. 

De son côté, le Hezbollah répète qu’Israël a peur de la résistance. « Le principal obstacle qui se dresse sur la voie d’Israël et de l’Amérique dans la région réside dans la stratégie de la résistance », avait de fait déclaré début septembre le vice-président du conseil exécutif du Hezbollah, cheikh Nabil Kaouk. 

En juillet 2006, une guerre avait opposé l’armée israélienne au Hezbollah pendant 33 jours, donnant lieu au tir de milliers de missiles depuis le Liban vers l’État hébreu. 
Ce conflit avait fait 1 200 morts – principalement des civils – au Liban et détruit des régions entières, tandis que 160 Israéliens – 117 soldats et 43 civils – avaient été tués. 

Benny Gantz redoute, outre une frappe de missiles sur le QG de la Défense et de l’armée à Tel-Aviv, une attaque de groupes islamistes contre des patrouilles israéliennes sur le plateau du Golan occupé par Israël. Il a évoqué l’hypothèse de l’enlèvement de soldats sur les hauteurs du Golan.

« L’attaque sera alors vraisemblablement revendiquée par une organisation terroriste, soit par la mouvance jihadiste mondiale, soit par un autre groupe sans affiliation spécifique », a-t-il poursuivi. « Les paysages paisibles du Golan pourraient d’un seul coup se transformer en un champ de bataille sanglant », craint-il. Israël occupe depuis 1967 quelque 1 200 km2 du plateau du Golan qu’il a annexés, une décision que n’a jamais reconnue la communauté internationale, environ 510 km2 restant sous contrôle syrien.

Selon le site de l’armée, M. Gantz a précisé que si les différents scénarios évoqués étaient hypothétiques, ils étaient du domaine du possible. « Ça a l’air imaginaire ? a-t-il lancé à son auditoire. Je ne crois pas. »

http://missilethreat.com/israel-army-chief-says-war-possible-on-many-fronts/