mardi 8 octobre 2013

Simulation Des Affrontements d'Une Possible 3eme Guerre Mondiale

Voilà donc le triste état dans lequel se trouve le monde d'aujourd'hui


Beaucoup de citoyens, prisonniers de la société de consommation infantilisante ne voient pas comment la situation géopolitique actuelle pourrait dégénérer en troisième guerre mondiale ...

Peut être est-ce trop dur à assumer et à envisager ou refusons-nous tout simplement de nous y intéresser ? Les signes annonciateurs sont devenus banals à cause du bourrage de crâne politico-mé(r)diatique.

Quoi qu'il en soit, voici un essai de ce qui pourrait arriver dans un futur plus ou moins proche.
Serez-vous préparés à ce genre de situation ?


L'Armèe Française Au Bord De La Rébellion Publie Un Manifeste :



Un possible coup d'Etat sous-entendu dans la conclusion du général Thomann


"Il est grand temps de rénover et de renouveler le contrat de confiance de la République avec ses soldats. S’il n’est pas trop tard, il devient urgent de lui redonner la vigueur indispensable sans qu’il soit besoin de recourir à des formes de représentation qui, bien qu’étrangères à notre culture militaire, pourraient s’avérer, un jour peut-être proche, le seul moyen pour nos soldats de se faire entendre." (général Thomann )

Pour faire des économies et satisfaire aux injonctions de Bruxelles, l'état doit réduire ses effectifs.Il se trouve que les armées sont la seule partie de la fonction publique sans représentation syndicale, et donc la seule pour laquelle les politiques osent réduire les effectifs sans crainte de grèves, manifestations, et blocage total du pays...sauf qu'ils versent leur sang et ne comprennent pas pourquoi ils sont devenus les variables d'ajustement de la politique budgétaire française.

Un mécontentement exprimé dans un «Manifeste pour la sauvegarde de nos armées» diffusé par un cercle de réflexion baptisé «les sentinelles», regroupant des officiers et d'anciens officiers, qui dénoncent anonymement une «entreprise de démolition des armées.»


MANIFESTE POUR LA SAUVEGARDE DE NOS ARMEES


Le démantèlement de l’institution militaire arrive à son terme. Infiniment plus que l’actuelle disette budgétaire, la fin de la guerre froide, les impératifs de l’Etat-providence et la volonté des « post modernes » d’en finir avec le « fracas des armes » ont été les abrasifs les plus puissants pour réduire, en moins d’un demi-siècle, l’armée française à l’état d’échantillon. La force militaire est passée, dans le silence et la dénégation, du statut d’institution régalienne majeure à celui d’une société de services que l’on rétribue à la tâche.

Le couronnement de cette efficace entreprise de démolition a été de placer la haute hiérarchie aux ordres d’une administration civile de défense qui prospère sans frein, au prétexte de recentrer les militaires sur leur cœur de métier. Le soldat, « ravalé à la fonction d’homme de peine de la République », est prié de verser son sang dans le silence et l’indifférence en se soumettant aux règles strictes d’un devoir d’Etat pourtant largement déserté par ceux censés le faire mettre en œuvre et le faire respecter.

Ce désastre consommé ne peut plus être confiné sous l’éteignoir d’un « devoir de réserve de la grande muette », caution hypocrite et confortable à la disposition de tous les habiles pour esquiver dans le confort de la chose publique leurs responsabilités envers la Nation.


Des fautes multiples :


C’est en effet une grande faute que de sacrifier le bras armé de la France au gré des idéologies de rencontre et de quelques embarras financiers.

C’est une faute en regard du monde tel qu’il s’organise et dont chacun sait qu’il réservera de fâcheuses surprises. L'absence actuelle de menace militaire majeure n’est qu’un simple moment de l’Histoire. Son calme apparent ne doit pas masquer les reconfigurations géopolitiques qui marginaliseront, pire élimineront sans pitié les nations au moral défaillant.

C’est une faute vis-à-vis de la sécurité des Français de faire ainsi disparaître un pilier majeur de la capacité de résilience du pays face à une éventuelle situation de chaos, dont nul ne peut préjuger le lieu, l’heure et la nature. Pour y faire face, seule une force armée peut et doit offrir les moyens suffisants, servis par des hommes et des femmes structurés par les valeurs puissantes du devoir et de l’obligation morale.

C’est une faute d’éliminer l’une des institutions « fabriques de liens » dont la France a un urgent besoin face à l’action déterminée de forces centrifuges, dont elle est coutumière, et mises généralement au service d’intérêts particuliers et communautaristes.

Il est donc plus que temps de rétablir la puissance et l’efficacité d’une institution d’Etat « pour le dedans comme pour le dehors » et de permettre à la France de se remettre à penser en termes de risques et de puissance stratégique. Elle en a les moyens. Elle doit le faire sans l’attendre d’une Europe, puissance inexistante, ou d’une soumission transatlantique délétère voire de plus en plus illusoire.


Que rétablir et comment ?


Les voies et moyens pour rétablir une institution, désormais comateuse, sont nombreux et divers. Ils n’attendent qu’une impulsion réparatrice, après des décennies de mesures irresponsables. Ils ne pourront, cependant, faire l’économie d’un certain nombre de dispositions, dont l’abandon ou le travestissement ne sont plus acceptables.

D’abord, un budget décent qui permette à nos soldats de disposer de l’entraînement et des équipements nécessaires, et au politique de s’engager sans le soutien déterminant des Etats-Unis, tout en évitant le stupide tout ou rien nucléaire.

Ensuite, des hommes et des femmes en nombre suffisant. Rien d’efficace et de durable ne peut se faire sans des effectifs capables de marquer dans la durée, sur et hors du territoire national, la volonté et la détermination de la Nation.

Avec, bien entendu, une organisation des forces parfaitement univoque, tout en faisant la répartition qui convient entre des professionnels en nombre suffisant et les citoyens en armes qui doivent impérativement revenir au centre de notre dispositif sécuritaire et identitaire.

Enfin, une répartition équilibrée, entre l’exécutif et le Parlement, des responsabilités qu’autorise la Constitution, laissant au militaire le devoir d’exercer librement son conseil, tout en administrant et mettant en œuvre les forces autrement que par le canal malsain d’une administration de défense d’autant plus intrusive qu’elle se sait irresponsable.

Autant de mesures indispensables qui seront déclinées, point par point, dans des documents à venir et dont les signataires du présent document demanderont, avec détermination et constance, la réalisation pour le bien public.

Il est grand temps de rénover et de renouveler le contrat de confiance de la République avec ses soldats. S’il n’est pas trop tard, il devient urgent de lui redonner la vigueur indispensable sans qu’il soit besoin de recourir à des formes de représentation qui, bien qu’étrangères à notre culture militaire, pourraient s’avérer, un jour peut-être proche, le seul moyen pour nos soldats de se faire entendre.

Le 30 septembre 2013 Les sentinelles de l’agora

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/10/02/sentinelles-10357.html


Mali : Les forces de Serval au Sahel pour encore très longtemps


Au Mali, où Paris maintient près de 3 000 hommes, les soldats français continuent de ratisser l’immensité désertique, à la recherche de petits groupes et de caches d’armes. 

Et des otages français. «Régulièrement, grâce à nos renseignements, nous découvrons des abris souterrains, parfois en béton, comportant des munitions, des vivres, de l’eau et de l’essence, confie une source bien informée. Ces caches insoupçonnables à l’œil nu sont parfois situées au milieu de nulle part.» 

La traque ne fait donc que commencer. «Les terroristes se sont adaptés, explique un haut responsable à Paris. Ils évitent de se déplacer en convoi pour ne pas attirer l’attention, cachent systématiquement leurs pick-up sous les arbres et ne communiquent que par des messagers.» Selon cette même source, les jihadistes poussent la prudence jusqu’à cuisiner uniquement de jour pour ne pas attirer les regards en faisant du feu la nuit.



Dans ces conditions, malgré le déploiement de moyens de surveillance sophistiqués (notamment des drones, basés à Niamey), il est difficile de neutraliser un tel adversaire, capable de se fondre dans le désert. «Ces groupes s’appuient sur une partie de la population, certains de leurs membres ont pris des épouses dans des clans locaux et ils ont de l’argent. Il est très délicat de mener des opérations coup de poing dans des campements au beau milieu de femmes et d’enfants», ajoute une source militaire.


Autre option possible : couper les lignes de ravitaillement pour tenter d’asphyxier les jihadistes. Ce qui demande notamment le soutien actif de l’Algérie, la grande puissance de la région. «Même en supposant que la volonté de nous aider soit là, à Alger, il est impossible de contrôler une frontière aussi vaste», commente une source sécuritaire à Paris. Les forces de Serval sont donc probablement dans le Sahel pour très longtemps.


« Il n’y aura pas de fin »


Il n’y aura pas de fin. Il y a quelques jours, une partie d’Ansar ad-Dine a fait sécession. Ils ont créé le Mouvement islamique de l’Azawad. Ils ont demandé aux Français de négocier, parce qu’ils ont peur de la Communauté internationale : ils sont conscients qu’ils sont trop faibles pour faire face. 

Les Français ont repris Gao : l’armée française a laissé la population lyncher des Touaregs. 

Le peuple touareg est un peuple particulier, dont la vie ne ressemble à celle d’aucun autre peuple. Il a choisi de vivre dans le désert, dans les grands espaces, pour être libres. Ils ont renoncé à tout pour être libres.

 Voyez ce qui se passe aujourd’hui : les Touaregs qui fuient les bombardements français, ils ne se réfugient pas au sud du pays, non ! Ils vont dans des camps de réfugiés au Burkina Faso, au Niger, en Mauritanie…

Mais laissera-t-on ces gens revenir au Mali ? Et l’armée malienne suit la conquête française et nettoie les villes… Les Touaregs ont peur et s’en vont. C’est comme ça que la France veut régler la question des populations touareg ? On est à la limite de l’épuration ethnique! 



Fukushima : Une Histoire d'Eau Et De Poisson (dans votre assiette)

Source : Simon du fleuve



Depuis 2013, Tepco au bord de la rupture, multiplie les communiqués alarmistes concernant les fuites d'eau hautement radiocative dans la centrale de Fukushima Daiichi. 

Le confinement des réacteurs et de plusieurs réservoirs est en mode passoire. Des centaines de tonnes d'eau contaminée s'échappent chaque jour. Si le problème n'est pas réglé, la zone menace de se transformer en marécage radiocatif permanent. Y passer ne serait-ce qu'une heure sera synonyme de décès assuré. 
Bienvenue dans le cauchemar écolos des années 70! (prédit par une BD visionnaire "Simon du Fleuve").




Le poisson que vous mangez tous les jours est contaminé!
Fukushima eu le temps de contaminer la chaine alimentaire depuis 2 ans (JP Petit ex chercheur au CNRS)



Le Monde Selon Les Banques : La Crise L’inflation Monétaire Puis la Guerre



Depuis 1971

Si la crise financière et économique, qui dure en occident depuis septembre 2008 est si brutale, c'est que sa cause principale est la répudiation unilatérale par les USA en août 1971  de la convertibilité du dollar US en or.

 Cet accord majeur, au sortir de la très sanglante deuxième guerre mondiale, instituée par les accords de Bretton-Woods de 1944 avait vocation a créér un monde ou les banksters ne pourraient plus déclencher "la grande boucherie planétaire" pour éponger leur dettes.

Depuis la fin des “Trente Glorieuses” (1944-1974), les pouvoirs publics (Etats et banques centrales) aux USA et en Europe s’obstinent à refuser toute réforme du Système monétaire et bancaire international dans le sens du rétablissement de l’étalon-or.

Leurs recours permanents à l’inflation monétaire et à la guerre, n'a d'autre but que de gagner du temps afin de sauver le non-Système, augmentant ainsi le risque d’effondrement systémique global.


De Gaulle et Emingway avaient raison: l'or c'est la liberté


“La première panacée pour une nation mal dirigée est l’inflation monétaire, la seconde est la guerre. Les deux apportent une prospérité temporaire, les deux conduisent à la ruine permanente. Mais toutes les deux sont le refuge des opportunistes économiques et politiques“. 
Ernest Hemingway (Septembre 1932)

«Il n’y a pas actuellement, pour l’Occident, de tâche plus urgente que de reconnaître le danger qui menace et, en y parant, de rétablir dans le monde libre un Système monétaire générateur d’équilibre et de durée.»
Jacques Rueff

«Nous tenons pour nécessaire que les échanges internationaux s’établissent, comme c’était le cas avant les grands malheurs du monde, sur une base monétaire indiscutable et qui ne porte la marque d’aucun pays en particulier. Quelle base ? En vérité, on ne voit pas qu’à cet égard il puisse y avoir d’autre critère qu’un étalon autre que l’or. "
Charles de Gaulle

«Rien ne peut arriver dans la sphère des biens marchands sans concerner la sphère de la monnaie, et tout ce qui arrive dans la sphère de la monnaie affecte la sphère des biens.»
Ludwig von Mises


“too big to fail” 


Au fur et à mesure que le totalitarisme et la répression financière des pouvoirs publics (Etats et banques centrales) s’étendent, les marchés financiers deviennent des STRUCTURES CRIMINELLES abandonnées aux très grandes banques privées “too big to fail” qui se comportent comme des mafias parce que leur collusion avec lesdits pouvoirs publics leur permet par la manipulation impunie desdits “marchés” de se positionner au-dessus des lois en rackettant la grande masse des épargnants, pour le seul profit de leurs plus hauts dirigeants dont les rémunérations sont devenues indécentes et de leurs complices à savoir quelques oligarques multimilliardaires . 

Ces crimes ne sont plus châtiés que de façon sporadique par des amendes ridicules au regard des montants qui sont sciemment volés comme dans les cas des manipulations des subprimes, du LIBOR, des marchés d’actions, des métaux précieux. etc, etc, etc, qui se produisent au vu et au su de tout le monde.


“too big to jail”


Tant que les hauts dirigeants coupables resteront “too big to jail”, c’est-à-dire ne seront pas condamnés à des peines de prison ferme et ne seront pas empêchés à vie de continuer leurs professions de banquiers, tout cela ira crescendo. Surtout si les épargnants continuent de ne pas boycotter les banksters en acceptant d’en rester les victimes consentantes au lieu de solder en masse leurs comptes dans les très grandes banques précitées pour aller en ouvrir de nouveaux auprès d’établissements plus modestes, plus sains et donc bien plus solides. Étant donné que les pouvoirs publics laissent faire, il est vital que le public réagisse. D’autant que lesdits pouvoirs publics ne feront rien pour mettre un terme au mécanisme des réserves fractionnaires ni pour casser les très grandes banques en de multiples entités, deux mesures indispensables pour assainir le Système. Sans oublier que les banques centrales ne peuvent réussir leurs manipulations que si elles trompent en permanence les investisseurs (exemple: Bernanke avec son QE qu’un jour il parle de réduire et le lendemain de l’augmenter…) pour les placer dans des situations de confusion et donc qu’ils s’abandonnent au courant dominant.


Ceci n'est pas libéral


Contrairement à ce que croient les opinions publiques manipulées, ces pratiques n’ont rien à voir avec le libéralisme ni avec le “libre marché” mais constituent l’illustration de l’hypertrophie hautement malsaine des pouvoirs publics omnipotents (Big Brother) et de leurs alliés banksters qui décident de tout, en particulier du prix des actifs financiers dont il est devenu presque impossible pour les non-initiés de prévoir les évolutions de court terme, et dont les moyens d’espionnage étatiques sont mis au service de certains intérêts privés (le complexe militaro-industriel ou militaro-financier) qu’il s’agit de privilégier par rapport à d’autres. Nonobstant les désastres humains de la mondialisation bâclée.

Arlette Rakowski Vera pour zebuzzeo