dimanche 29 septembre 2013

Silvio Berlusconi : Après Lui, le Déluge bancaire?

Berlusconi rit sous cape (photo G20 Cannes 2011)



Berlusconi le bouc émissaire


Voir aujourd'hui les Européens et les politiques italiens se plaindre que Berlusconi plombe le gouvernement est cocasse : n'étaient-ce pas eux qui l'avaient littéralement éjecté de son siège, sans élection aucune, alors que lui avait y été démocratiquement élu ? 

Ils sont les maîtres des combinazioni anti-démocratiques, mais s'insurgent quand on en use avec eux comme ils en usent avec tous. Triste spectacle. Les casseroles de Berlusconi, ses saillies, ses moeurs ne plaident pas en sa faveur, certes. Mais c'est aux Italiens qu'il revient d'en décider, pas à des banquiers centraux, des commissaires européens ni à des apparatchiks de salon.


Nouveau psychodrame


- À droite : un cavaliere en bout de course disposant toutefois d'un pouvoir de nuisance certain. 

- À gauche : un parti style PS français, quelque peu autoritaire et disposant d'autant d'imagination pour régler les problèmes à savoir augmenter les impôts. 

- Pour finir une alliance improbable entre les deux courants, forcés et contraints de s'entendre sous la pression d'un troisième larron sorte de copié collé de Notre défunt Coluche de 1981. 

D'où un psychodrame à peu près permanent qui ne surprendra pas le citoyen français rodé à ce genre de règlement de comptes depuis maintenant seize mois. 

La farce pourrait toutefois être durable et l'on assistera alors au retour des spécialistes en politique italienne, puis européenne, enfin en questions monétaires sur les plateaux. 

Nous n'en sommes pas là et souhaitons de ne pas y être. Nous pourrions apprécier alors ce que vaut vraiment notre capitaine de pédalo dans une vraie tempête.


Le FMI menace : les banque italiennes pourraient faire faillite (si vous votez mal!)



Le FMI, qui se mèle donc de tout,  a mis en garde vendredi l'Italie contre les tensions au sein de sa majorité gouvernementale.


 "...la récession de presque deux ans et des conditions de crédit plus difficiles ont fait payer aux banques "un lourd tribut...

Les crédits douteux ont triplé depuis 2007 dans le portefeuilles des banques...la rentabilité basse et la qualité fragile des avoirs représentent les principaux points faibles du système bancaire...

...En cas de choc macro-économique important, les faibles profits des banques ne suffiraient pas à absorber l'impact".


La chute des politiciens et des banques?


Aux États-Unis ou en Italie, deux crises politiques explosent simultanément, révélant qu'un nouvel  échelon dans la gravité de «la  crise » est désormais atteint.

Les dirigeants politiques poursuivent leur course dans le vide, suspendus au sort de Silvio Berlusconi. Troisième puissance économique de la zone euro, l’Italie ne peut et ne veut pas être rangée parmi les pays périphériques abandonnés à leur triste sort. 

Mais que dire aux Italiens dont les grandes entreprises sont vendues au rabais, leurs PME mendient le crédit et leurs banques et compagnies d’assurance regorgent de titres de la dette publique qui se dévalorise quand son taux augmente? 

Les banques de la zone euro, au premier chef les françaises qui en étaient gorgées, se sont délestées de ces titres qui leur brûlaient les doigts, anticipant un dérapage et des pertes, faisant de l’Italie l’exemple à venir, mais qui se rapproche considérablement, d’une implosion, cette explosion vers l’intérieur. La BCE, qui a accepté en garantie les mêmes titres enregistrera les pertes qu’elle a jusqu’à maintenant su éviter avec les titres de la dette grecque. 

Si l’Italie devait à son tour tomber dans le trou, c’est toute l’Europe qui menacerait d’y tomber.

Valérie Trierweiler Se Carla Brunise En Dior Et Chanel

Elle a fait un régime et s'habille mieux, tout le contraire de François Hollande qui engraisse à vue d'oeil

Carla 1 Valérie 0


Oui, mea culpa, cet article est navrant ! Du sous-Gala assurément ! Quand on sort, nourri de réflexions argumentées et d’idées nouvelles à propos de l'ultra médiocrité de cette majorite "bouglionesque", quelle déception, deux billets de blogs plus loin, que de tomber sur de telles sous-considérations !

Je sais bien, mais comprenez cher lecteurs qu'on a tous le droit de s’amuser, et de rire un peu. Et tant qu’à faire, le rire facile, ça coûte moins cher, on le sait bien. Oui, la "valoche" Trierweiler a décidé de suivre les conseils de la botoxé Carla Bruni. 
La pigiste de Paris Match qui se voulait la réincarnation d'E. Roosevelt a du cesser de mépriser la France au risque de ne plus pouvoir sortir sans provoquer des esclandres et autres émeutes.

“Carla Bruni m’a donné de précieux conseils. Tout ce qu’elle m’avait dit à ce moment-là s’est révélé vrai.” Des conseils qu’on peut résumer ainsi : “Pas de marinières idiotes et autres mièvreries. L’épouse du président français doit être la première ambassadrice de la mode et de la haute couture française.” (VT)

Mais son concubain de Président n'a t il pas décidé en moins d'un an de ré-ulitiser tous les artifices de communication de son prédécesseur (Président de tout et responsable de rien)? 
Rien d'etonnant à ce que Valérie Trierweiler en fasse autant!


Dior Et Chanel Au Secours De La Gauche


Le ridicule ne tue décidément pas. Valérie Trierweiler, la compagne du président François Hollande, a remisé au placard son style bobo pour la haute couture française avec brushing impeccable, un style immortalisé par la haute bourgeoisie de la côte Est dans les feuilletons hollywoodiens (voir liens vers sources en bas de page). Le style bobo – terme qui signifie bourgeois-bohème –, autrement dit décontracté, casual, était celui de cette journaliste divorcée et mère de trois garçons lors de son arrivée à l'Elysée, le 6 mai 2012, au moment de l'élection de son partenaire de cœur.

Un an et demi plus tard, Valérie Trierweiler confessait : « Carla Bruni m'a donné de précieux conseils. Tout ce qu'elle m'avait dit à ce moment-là s'est révélé vrai » (on croit rêver...). Des conseils qu'on peut résumer ainsi : pas de marinières idiotes et autres mièvreries. L'épouse du président français doit être la première ambassadrice de la mode et de la haute couture française. La première dame a mis près d'un an à assimiler la leçon. Et c'est seulement au printemps dernier qu'elle a fait sa première apparition à un défilé de haute couture (Chanel/Karl Lagerfeld), dans une tenue à la hauteur des circonstances : escarpins Dior et tailleur en soie Chanel.


Fini la maîtresse de maison de la bourgeoisie!

Trop vulgaire!

Il faut dire que, lors des premiers voyages officiels du couple Hollande-Trierweiler, elle avait autant d'allure qu'une maîtresse de maison de la bourgeoisie. Et s'est d'ailleurs habillée comme une riche provinciale qu'elle a fait son entrée à la Maison-Blanche pour rencontrer les Obama. Une image bien terne à côté des photos éblouissantes de Carla Bruni en visite officielle à Londres, où elle avait affiché la beauté insolente d'une femme à l'allure exceptionnelle (faudrait pas exagérer...). 


La première dame a pris acte de ces erreurs monumentales dues au manque d'expérience et essaie de les corriger. Elle a commencé par faire un régime, puis, en bonne patriote, a eu recours à l'arme stratégique de la haute couture française. La nouvelle Valérie Trierweiler a récemment porté ses nouvelles armes à Tokyo, lors d'une réception donnée par l'empereur Akihito et sa femme, l'impératrice Michiko.

Face à la rigueur de l'étiquette impériale japonaise, la compagne du chef de l'Etat n'était pas vraiment à l'aise, mais au moins était-elle en Chanel. Herr Lagerfeld a beau vendre des fanfreluches, il sait également faire preuve d'une rigueur toute prussienne. A Paris, de retour à l'Elysée pour recevoir le président allemand Joachim Gauck et sa compagne Daniela Schadt, Valérie Trierweiler a définitivement imposé son nouveau look et dit adieu aux erreurs du passé grâce à un ensemble en soie noire de chez Dior (la soie ne fait pas la moniale...). 
Un changement qui n'a pas échappé à Laurent Cotta, chargé de la création contemporaine au musée Galliera : « Il était temps ! », commente-t-il avec une pointe d'ironie.

source : Théâtre – De Trierweiler Bohême à Trie - François Hollande - Tous les débats du moment - Forums actualites

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La Vélo Magique De Valérie Trierweiler Grace Aux Illusionnistes De Paris Match

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Un Pro Palestine Accuse! Monsieur Le Président Hollande Vous Êtes un Lâche Un Rampant et un Couard!

source : bab

« Monsieur mon Président vous êtes un lâche. » par Serge Grossvak

Aujourd'hui j'ai appris un fait, et tout aussitôt j'ai lu la réaction indignée d'un homme qui en a savouré toute l'horreur. J'ai pensé que mon devoir était de répandre un peu plus loin cette indignation, que je fais mienne tout en n'étant pas, comme lui, descendant de personnes qui ont fait honneur à la France en souhaitant s'y intégrer, venant d'ailleurs.

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« Monsieur mon Président vous êtes un lâche. »

vendredi 27 septembre 2013, par Serge Grossvak

Monsieur mon Président, j’éprouve un profond regret d’avoir à vous le dire. Regret pour mon pays, regret pour l’espoir de paix. Vous vous conduisez comme un lâche, rien d’autre, lorsque bafoué vous demeurez sans un mot.

Celle qui représente notre pays par notre ambassade est arrachée d’un véhicule, jetée à terre, mise en joue. Et vous ne prononcez mot. Vous ne prononcez mot parce que cela se passe en Palestine sous occupation Israélienne. Monsieur mon Président, si notre ambassadrice était là, dans ce véhicule de secours, c’est que des demeures avaient été dévastée, qu’une population millénaire était chassée de ses terres.

Cela en infraction au droit international sur un territoire occupé.


Monsieur mon Président, vous qui vous montrez si sourcilleux de la justice et des droits de l’homme dans vos mots, pourquoi, là, en avez-vous manqué ? Pourquoi là, demeurez-vous coi, alors qu’un véhicule transportant des tentes, des vivres est intercepté en infraction du Droit ? Pourquoi, alors que de multiples ambassades européennes avaient dépêché leurs diplomates pour apporter leur protection abandonnez-vous ces représentants européens qui ont fait leur devoir avec dignité ? Pourquoi, monsieur le Président ? Pourquoi, alors que des humanitaires sont saisis par la soldatesque, jetés à terre, immobilisés, maltraités, pourquoi ne dites vous rien ?

Ah, il parait que vous êtes gêné, que vous allez vous excuser, que vous allez déplacer-sanctionner cette ambassadrice. Ah oui, tout de même, cette ambassadrice quinquagénaire après avoir été extirpé du véhicule, jetée à terre aurait osé filer une beigne à un solide soldat casqué. Au moins est-ce ce qu’affirme avec indignation ce pays qui ne respecte pas la loi internationale. Vous allez vous excuser. Vous allez baisser la tête. Monsieur, vous êtes un Président rampant.

Vous avez pris vos fonctions il y a peu, avec l’aide de mon modeste vote pour nous débarrasser de l’autre, votre prédécesseur. Il y a peu mais c’est déjà la seconde fois que vous vous comportez comme un couard sur le sujet. Dimanche 2 juin, devant le « Congrès des Communautés juives » et l’Ambassadeur d’Israel, vous aviez fait le tour du monde des remontrances et pas un mot, pas un seul mot concernant la situation infligée au peuple palestinien par l’unique gouvernement représenté dans l’assistance. Pas un mot, pas un petit mot. Rien, vous ne saviez plus rien de ce drame. Rien, vous ne saviez plus rien du nécessaire engagement de notre pays pour donner une chance à la paix par le respect des frontières de 67. Rien, vous ne dites jamais rien sur ce sujet parce qu’il y faut du courage et que vous n’en avez point.

La France, cette France que vous êtes censé incarner monsieur le Président, mes grand parents ont fait le choix d’y immigrer. Cette France d’espoir qui affichait fièrement au côté du mot « Liberté » les mots « Egalité », « Fraternité » leur avait donné envie d’être français, de résister lorsqu’elle était occupée, de défendre ses idéaux lorsqu’ils étaient négligés. Cette France dont ils m’ont transmis l’attachement. Cette terre fut d’émancipation pour des juifs échappant au lourd poids des Shtetls, à la menace quotidienne du pogrom. Et bien ce n’est pas seulement l’effort de paix que votre silence trahit, mais aussi cette identité nouvelle que la Révolution avait apporté à la France et qui avait attiré mes grands parents. Votre silence piétine tout cela, avec les mots « Egalité » et « Fraternité ».

Monsieur le Président, vous soumettez la France à l’en faire mépriser par un gouvernement d’extrême droite. Vous qui êtes de « gôche », vous devriez savoir qu’une extrême droite juive est aussi ignoble et soudard que toutes les extrêmes droites. Par cet oubli et ce lâche silence, dans quelle indignité vous jetez notre pays, dans quel renoncement à la paix vous consentez à être complice!

Monsieur, je suis triste pour mon pays, je suis triste pour les misères ainsi encouragées contre le peuple palestinien.

Serge Grossvak

« Monsieur mon Président vous êtes un lâche. » - Assawra
bab: « Monsieur mon Président vous êtes un lâche. » par Serge Grossvak
juif autrement Yid

27 septembre 2013