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| mourir pour "ça"? |
Petit clash "gay friendly" d'Obama made in NOM
On assiste à une vraie tragi-comédie:
«Écoutez, je ne parle pas seulement à propos de Snowden et de la Syrie".
"Qu’en est-il des Pussy Riot ? Quels sont vos lois anti-homosexuels ? Des comportements d’âne, mon ami. "
"Si vous pensez que je suis le seul qui pense de cette façon, vous plaisantez".
«Demandez à Angela Merkel. Demandez à David Cameron. Demandez au gars turc. Chacun d’entre eux pense que tu es un connard ". (BO)
La riposte de Vladimir Poutine
Pussy Riot ? Ces folles à lier ? Snowden, cet héros ? Obama est vraiment devenu fou. Pourquoi n’évoque-t-il pas la peine de mort ou Guantanamo ?
l'homoséxualité prétexte de bellicisme ou la gauche immonde
Le "deux poids, deux mesures", est évident: on réclame le boycott des JO de Sotchi, mais personne ne songe à obtenir celui Coupe du monde de 2022 au Qatar, où les relations homosexuelles sont interdites par la loi. C’est qu’on ne touche pas au Qatar, qui prouve qu’on peut être le grand ami de l’Europe sans être celui des libertés, ou encore à l’Arabie saoudite, où l’homosexualité est également proscrite. Des alliés de longue date, devant lesquels la France a coutume de dérouler le tapis rouge.
Mais au fond, cherche-t-on réellement à défendre les droits des gays? Si tel était le cas, ne lancerions nous pas en priorité des campagnes visant à raisonner le Qatar ou le Soudan, plutôt que contre la Russie? N’oublions pas que Moscou compte des bars "gays" qui ont pignon sur rue, et que des personnalités célèbres du monde de la culture et de la télévision sont homosexuelles, ce qui est de notoriété publique sans pour autant qu’elles en fassent étalage.
Pourquoi le boycott est-il ouvertement suggéré pour Sotchi, mais pas pour Doha?
Les références douteuses à l’Allemagne hitlérienne, aux JO de 1936, et les tentatives d’isolement de Moscou autour du thème des gays (comparés en filigrane aux juifs) s’inscrivent dans une guerre larvée qui oppose d’une part l’Occident, c’est-à-dire les Etats-Unis et l’Europe qui parachèvent leur intégration morale, et la Russie, qui poursuit un virage conservateur mal perçu à l’ouest. La Russie est présentée comme la nouvelle "bête immonde".
http://allainjules.com/2013/09/07/parti-pris-syrie-barack-obama-perd-son-sang-froid-et-traite-vladimir-poutine-dane-et-de-connard/
http://impressionsrusses.wordpress.com/2013/08/14/propagande-gay-entre-hysterie-mediatique-et-offensive-geopolitique/
Hollande Risible à l' Intérieur Dangereux à l' Extérieur
De l'inquiétude à la peur
Avec les mesurettes contradictoires et incohérentes mises en place depuis son arrivée au pouvoir, François Hollande avait déjà du mal face aux Français convaincus de son incompétence. Sa parole politique ponctuée d'une volonté de s'entourer d'un chahut permanent dans lequel il joue le rôle de celui qui arbitre, la fameuse synthèse molle tant décriée à Solférino, a fait long feu.
Pour des décisions stratégiques très importantes, il n'y a plus personne et ce n'est certainement pas son ministre des affaire étrangères, convaincu qu'il serait bien meilleur Président que lui, qui va apporter la solution pour le sortir de cette situation.
68% des Français et certainement de ses sympathisants ont compris qu'il n'est pas à sa place et encore moins à la hauteur.
Après avoir généré des inquiétudes il génère de la peur !
François Hollande vient de perdre sa crédibilité dans le dîner de Néos cons
Il me semble entendu qu'on ne peut pas s'exonérer du droit international au prétexte des meilleures intentions morales. S'il fallait faire la guerre à tous les dictateurs, le monde serait à feu et à sang.
Hélas, François Hollande a joué une bien mauvaise partie de poker.
Hollande a-t-il estimé qu'il n'y avait rien à discuter avec Vladimir Poutine ou a-t-il rêvé prendre la tête d'une coalition de va-t-en guerre sans en mesurer les conséquences désastreuses pour notre diplomatie ainsi que pour nos soldats engagés au Liban en zone Hezbollah ?
En dédaignant les sondages et en se fichant éperdument du sort des otages français, François Hollande vient de perdre sur deux fronts: celui de sa crédibilité et celui de sa représentativité présidentielle.
La fronde anti guerre en Syrie dépasse largement les rangs de l' opposition (lien : Syrie : la faute de François Hollande, Edwy Plenel, Mediapart, 4/9/2013).
C'est donc l'électorat de gauche qui lâche le Président a présent. Inutile de faire ou de lire les sondages pour s' en rendre compte, Il suffit d' aller consulter les forums des journaux de gauche. Les anciens partisans de François Hollande et les anti-sarkosistes convaincu en deviennent muets devant tant de bêtises accumulées depuis 16 mois.
Les Français ne lui demandaient pas d'engager ou non sa (relative) popularité sur un dossier difficile, mais de construire AVEC INTELLIGENCE une approche diplomatique.
Qu'a-t-il fait depuis un an ?
Un G20 pour rien
Les derniers développements du dossiers syrien ont bouleversé tout les plans pré-établis. Après le refus des Britanniques de participer à une opération «punitive» du régime d'El-Assad, après la décision de Barack Obama de consulter son Congrès avant toute décision, la France se retrouve seule en première ligne.
Et François Hollande est apparu isolé au coté des États-Unis, comme l'a montré le déroulement du sommet du G20 à Saint-Pétersbourg. Même en Europe, ce qui constitue un revers pour le chef de l’Etat français.
Son entourage a fait savoir que les cinq dirigeants européens présents à Saint-Pétersbourg avaient discuté ensemble (avant la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne, ce soir et demain en Lituanie) mais la discussion a été brève.
De source française, elle se serait déroulée... dans le bus qui les conduisait au dîner !
De l'avis même des médias américains c'est une victoire de Poutine et un fiasco pour Obama, alors imaginez pour François Hollande!
