jeudi 8 août 2013

François Hollande Reconnaît avoir évoqué la demande d'entraide fiscale avec Jérôme Cahuzac !

"Finalement, celui qui nous a remis dans la merde, c'est François !"

Affaire Cahuzac : Comment Une Confidence maladroite de François Hollande a Fait Exploser La Commission d' Enquête...

Une scène racontée par François Hollande lui-même a mis dans l'embarras un ministre en exercice et des parlementaires de la majorité. Au point de faire exploser la commission d'enquête... 


Il faut dire que le seul élément nouveau est venu, ces dernières semaines... du chef de l'Etat lui-même. 
C'est bien françois Hollande qui a raconté avec force détails à la journaliste du Point Charlotte Chaffanjon, pour son livre Jérôme Cahuzac, les yeux dans les yeux (Plon), son échange du 16 janvier avec Jean-Marc Ayrault, Pierre Moscovici et Jérôme Cahuzac en marge du Conseil des ministres. 


Le président de la République a donc rapporté, sans autre forme de précaution, que ce jour-là, il évoque devant ses interlocuteurs la demande d'entraide fiscale. Cahuzac insiste d'ailleurs pour que cette demande coure de 2006 à 2012. 
Ce récit, garanti, donc, par françois Hollande lui même, met dans un grand embarras les trois autres personnalités concernées, notamment Jérôme Cahuzac, contraint d'affirmer qu'il n'a "pas souvenir" de cet échange pour ne pas se rendre coupable de mensonge après avoir affirmé sous serment, le 26 juin, que personne, au sommet de l'Etat, ne l'avait mis au courant de quoi que ce soit. 

"Finalement, celui qui nous a remis dans la merde, c'est François !" ironise un ministre qui connaît bien le président. 


La "Muraille de Chine" érigée autour de Cahuzac après les révélations de Mediapart sur son compte caché n'a pas été respectée, puisque François Hollande lui-même reconnaît avoir évoqué la demande d'entraide fiscale avec Jérôme Cahuzac ! 


Les politiques au pouvoir continuent à mentir délibérément, "les yeux dans les yeux", comme Christianne Taubira épinglée par le Canard Enchainé pour affirmer ne pas avoir lu les 54 rapports du Parquet demandés par son Cabinet, ou aucun ministre ne se souvenant de la réunion du 16 janvier à l'Élysée, ou François Hollande affirmant ne rien savoir avant l'aveu de Cahuzac tout en se démentant lui même dans un livre....



l'article entier : Affaire Cahuzac: la bombe à fragmentation - L'EXPRESS

DSK Au Carton Vu par Les Magistrats : Brutalité Abattage et Proxénétisme

« proxénétisme aggravé en réunion ».


 La brutalité dont Dominique Strauss-Kahn aurait fait preuve avec certaines prostituées écarterait la thèse du  libertinage


Les magistrats analysent le déroulement des soirées, qui ressemblent plus à de la «consommation sexuelle», voire à un «carnage avec un tas de matelas au sol», selon les expressions des jeunes femmes dans leurs dépositions. 
Les magistrats notent qu'il n'était nullement question de libertinage, mais d'“abattage” et de commandes de prestations» comme dans les bordels d’avant-guerre ! 
Les juges évoquent  également la brutalité avec laquelle DSK traitait ces jeunes femmes.
Une conviction renforcée par le déséquilibre - inhabituel dans le milieu libertin - entre le nombre de femmes et d'hommes, certaines soirées en Belgique recevant certes des couples extérieurs, mais plus à titre, selon les juges, d'«alibi» pour satisfaire celui qui est décrit en «roi de la fête».


«Ces éléments cumulés, notent-ils dans leur ordonnance, permettent d'accréditer l'idée que son ignorance n'est qu'un système de défense.»



DSK "organisateur et pivot central" des échanges de SMS avec d'autres mis en examen.

DSK ésouvent à l'origine des demandes de "chair fraiche". Les juges notent dans leur ordonnance de renvoi, «ces soirées ne s'organisaient pas sans lui, et si elles s'organisaient, c'était en fonction de lui, c'est-à-dire tant de sa présence en ville (Paris, Washington…) que de son emploi du temps». 
Bref, il «conservait la main sur la programmation des soirées, lesquelles ne s'organisaient qu'en fonction de ses disponibilités d'agenda».

De plus en louant pour ces soirées, un appartement, il aurait ainsi «accompli un acte matériel de proxénétisme», avancent les magistrats. (selon la loi jurisprudentielle une prostituée qui prête sa camionnette à une collègue peut être condamnée comme proxénète.).
Pourquoi la loi serait-elle plus clémente avec DSK ?


 Les affaires reprennent !


 Le procès devrait voir lieu en 2014, en attendant DSK se refait une santé, déjà conseiller de deux institutions financières russes. Il vient d’être recruté  comme expert par le gouvernement serbe,  pour préparer l’entrée de la Serbie dans l’union européenne.  

Proxénète je ne sais pas, mais mercenaire surement…




DSK : abattage pas libertinage | Champs-Elysées - RTL info Blogs

Carlton : ce que les juges reprochent à DSK