A l' Elysée Cet Été : Le Banquier d'affaires de chez Rothschild Conseiller n°1 de François Hollande En Plein Conflit d'Intérêts

"Macron offre son temps et son hospitalité à un ami, sachant que ses clients privés le rémunèrent en fonction de l’influence qui lui est prêtée. Une confusion des intérêts publics et privés, assurément, qui rappelle les mauvaises habitudes de la maison Sarkozy."


Les lobbies ont table ouverte à l’Elysée



Emmanuel Macron principal collaborateur du président de François Hollande vient directement de la banque Rotschild donc il n'a rien à refuser à son ex et futur employeur comme Pierre Moscovici futur ex-ministre des finances qui méritera bien un poste grassement rémunéré après 2017 pour avoir bien servi les banques lors de la loi de "régulation" bancaire qui a accouché d'une souris pour ne pas leur déplaire.

Ce mardi 30 juillet, Emmanuel Macron déjeunera avec une dizaine de patrons à la table de l’Elysée. Banal, pour le secrétaire général adjoint ? Pas tout à fait, puisqu’il a confié le choix des convives à l’un des lobbyistes les plus féroces de Paris, Matthias Leridon. C’est l’assistante du patron de Tilder qui a adressé aux dirigeants sélectionnés un e-mail ainsi titré: « Invitation déjeuner Elysée avec Emmanuel Macron – mardi 30 juillet 2013 – de la part de Matthias Leridon. »

Chère,
Suite à notre échange téléphonique, je vous confirme que Matthias Leridon (Président de Tilder) et Emmanuel Macron (Secrétaire Général Adjoint de l'Elysée) organisent un déjeuner à l'Elysée le mardi 30 juillet avec une dizaine d' entrepreneurs  (heure exacte à confirmer) auquel ils souhaitent convier xxxx.
Auriez-vous l'amabilité de bien vouloir transmettre l'information à xxxx afin qu'il puisse nous confirmer (ou non) sa disponibilité pour ce déjeuner.
Merci d'avance de votre aide.
Bien à vous.

Comment interpréter cette étonnante invitation conjointe ?

Hypothèse 1 : Le principal collaborateur du président de la République a besoin d’un intermédiaire privé pour consulter les forces vives du pays. Or l’Elysée dément l’existence de tout contrat avec le cabinet de lobbying.

Hypothèse 2 : Macron offre son temps et son hospitalité à un ami, sachant que ses clients privés le rémunèrent en fonction de l’influence qui lui est prêtée. Une confusion des intérêts publics et privés, assurément, qui rappelle les mauvaises habitudes de la maison Sarkozy.




Pour 2017, c'est tout vu : Hollande ne sera pas au deuxième tour... 


Le deuxième tour sera probablement UMP contre FN. Car les millions de cocus d'hier ne se feront pas prendre une deuxième fois. Sachant qu'il n'a été élu en 2012 avec seulement 300 000 voix de différence, on voit mal comment il pourra se faire réélire après un quinquennat (de trahisons) catastrophique. Les électeurs de gauche ne feront pas le déplacement, ou ils voteront FG ou Vert.

Bref, Hollande est archi grillé Il n'y a que les militants du PS pour y croire encore. 
(Les pauvres, ils sont pathétiques.)

Les lobbies ont table ouverte à l’Elysée - Démocratie réelle et maintenant des Indignés de Nîmes

Dette Publique Européenne : Plus personne ne contrôle quoi que ce soit

LE HIT-PARADE DE L'ENDETTEMENT EUROPEEN (ET DES FUTURES FAILLITES) 



Le Blog de Pierre Jovanovic 2008 - 2013 : REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE

La Grèce, l'Italie, le Portugal, l'Irlande, la Belgique, la France, l'Espagne, le Royaume-Uni, Chypre sont en faillite. La dette publique de ces Etats atteint des sommes inimaginables. La dette publique de ces Etats est hors de contrôle. Les soi-disant « plans de sauvetage » de l'Union Européenne, de la BCE et du FMI sont un échec total. En Europe, plus personne ne contrôle quoi que ce soit. La question est donc : "QUAND vont avoir lieu ces défauts de paiement ?"

1- Médaille d'or: Grèce. Dette publique de 305,291 milliards d'euros, soit 160,5 % du PIB

2- Médaille d'argent : Italie. Dette publique de 2034,763 milliards d'euros, soit 130,3 % du PIB

3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 208,284 milliards d'euros, soit 127,2 % du PIB

4- Irlande : dette publique de 204,054 milliards d'euros, soit 125,1 % du PIB

5- Belgique : dette publique de 394,220 milliards d'euros, soit 104,5 % du PIB

6- France : dette publique de 1870,294 milliards d'euros, soit 91,9 % du PIB

7- Espagne : dette publique de 922,828 milliards d'euros, soit 88,2 % du PIB

8- Royaume-Uni : dette publique de 1385,701 milliards de livres sterling, soit 88,2 % du PIB

9- Chypre : dette publique de 15,342 milliards d'euros, soit 86,9 % du PIB

La Revue de Presse radio sur 95,2 Mhz direct un mercredi sur deux 14h. 

Le Plan de Guerre Nucléaire Totale du Pentagone Contre la Chine


« Qui a autorisé les préparatifs de guerre contre la Chine »: Deux fausses démocraties qui menacent le monde



Amitai Etzioni a soulevé une question importante : « Qui a autorisé les préparatifs de guerre contre la Chine » ( Who Authorized Preparations for War with China ? The Yale Journal of International Affairs, june 12, 2013.) Etzioni dit que le plan de guerre n’est pas le genre de plan pour le « cas où » qui pourrait être à portée de main en cas d’événement improbable. Etzioni signale également que le plan de guerre du Pentagone n’a pas été ordonné, et n’a pas été revu par les autorités civiles US. Nous sommes confrontés à une armée US « néoconisée » et hors de contrôle mettant en danger les américains et le reste du monde.
Etzioni a raison quand il dit que cette décision prise par une armée néoconisée est capitale. La Chine est évidemment consciente que Washington se prépare à la guerre contre elle. Si le Journal Yale le sait, la Chine le sait aussi. Si le gouvernement chinois est réaliste, il est conscient que Washington envisage une attaque nucléaire préventive contre la Chine. Aucun autre type de guerre n’a de sens du point de vue de Washington. La « superpuissance » n’a jamais été en mesure d’occuper Bagdad, et après 11 ans de guerre a été vaincue en Afghanistan par quelques milliers de talibans légèrement armés. Ce serait la fin pour Washington s’il entrait dans une guerre conventionnelle contre la Chine.
Quand la Chine était un primitif pays du tiers-monde, elle a combattu l’armée américaine et l’a acculée dans une impasse en Corée. Aujourd’hui, la Chine a la deuxième plus grande économie du monde et est rapidement en train de dépasser l’économie US en faillite détruite par la délocalisation des emplois, la fraude des bankster et la trahison des grosses firmes et du Congrès.
Le plan de guerre du Pentagone pour la Chine est appelée « AirSea Battle ». Le plan se décrit lui-même comme « forces inter opérationnelles aériennes et navales qui peuvent exécuter en réseau et de manière intégrée des attaques en profondeur pour perturber, détruire et défaire les capacités de la stratégie d’interdiction d’accès de zone de l’ennemi. »
Oui, ça veut dire quoi ? Cela signifie des milliards de dollars de plus de profits pour le complexe militaro-sécuritaire tandis que les 99 pour cent sont écrasés et dominés. Il est également clair que ce jargon absurde ne peut vaincre une armée chinoise. Mais ce genre de rodomontades peut conduire à la guerre, et si les abrutis de Washington obtiennent leur guerre, le seul moyen que Washington a de la gagner est d’utiliser les armes nucléaires. Les radiations, bien sûr, tueront aussi les usaméricains.
La guerre nucléaire est dans l’agenda de Washington. La montée des néocons nazis a rejeté les accords de désarmement nucléaire que Reagan et Gorbatchev avaient faits. L’extraordinaire livre particulièrement véridique sorti en 2012, « The Untold History of the United States », par Oliver Stone et Peter Kuznick, décrit la rupture post-Reagan avec l’arrivée de la notion de l’attaque nucléaire préventive en tant que première option de Washington.
Pendant la guerre froide les armes nucléaires avaient un but défensif. Le but était d’empêcher une guerre nucléaire par les Etats-Unis et l’URSS chacun ayant le pouvoir de rétorsion suffisant pour assurer la « destruction mutuelle certaine ». MAD, comme on l’appelait, signifiait que les armes nucléaires n’avaient aucun avantage offensif de part et d’autre.
L’effondrement de l’URSS et le fait que la Chine se concentrait sur son économie plutôt que sur son armée ont abouti à donner l’avantage à Washington en matière d’armement nucléaire qui, selon Keir Lieber et Daryl Press, deux personnages us de Dr Folamour, donne la capacité de première frappe à Washington. Lieber et la presse écrivent que le « déclin précipité de l’arsenal de la Russie, et la lenteur de la modernisation des forces nucléaires de la Chine », ont créé une situation dans laquelle ni la Russie ni la Chine ne pourraient riposter à la première frappe de Washington.
Le « AirSea Battle » du Pentagone, Lieber et l’article de presse du Foreign Affairs ont informé la Chine et la Russie que Washington envisage une attaque nucléaire préventive sur les deux pays. Pour s’assurer que la Russie ne puisse pas riposter, Washington place des missiles anti-balistiques sur les frontières de la Russie, en violation de l’accord USA-URSS.
Parce que la presse US est un ministère de la propagande d’un gouvernement corrompu, le peuple US est dans l’ignorance totale du fait que les néocons de Washington envisagent une guerre nucléaire. Les Usaméricains ne sont pas plus au courant de ça qu’ils ne le sont de la récente déclaration de l’ancien président Jimmy Carter, rapportée seulement en Allemagne, selon laquelle les Etats-Unis d’Amérique ne sont plus une démocratie qui fonctionne.
Le déclenchement d’une guerre nucléaire par les États-Unis d’Amérique a été rendu possible il y a onze ans, lorsque le président George W. Bush, à la demande de Dick Cheney et des néocons qui dominaient son régime, a signé le Nuclear Posture Review 2002.
Ce document néocon, signé par le président le plus débile que les Etats-Unis d’Amérique aient jamais eu, a entraîné la consternation et la condamnation du reste du monde et a lancé une nouvelle course aux armements. Le président russe Vladimir Poutine a immédiatement annoncé que la Russie allait dépenser toutes les sommes nécessaires pour maintenir la capacité nucléaire de riposte de la Russie. Les Chinois ont montré leurs performances en frappant un satellite dans l’espace avec un missile. Le maire de Hiroshima, ville victime d’un énorme crime de guerre US, a déclaré : « Le Traité de non-prolifération nucléaire, axe central de l’accord international visant à l’élimination des armes nucléaires, est sur le point de s’effondrer. La principale cause est la politique nucléaire des Etats-Unis qui, en déclarant ouvertement la possibilité d’une première frappe nucléaire préventive et en appelant à la reprise des recherches en mini-nucléaires et d’autres soi-disant ’armes nucléaires utilisables’, semblent vénérer les armes nucléaires comme ils vénèrent Dieu. »
Des sondages de partout dans le monde montrent de façon constante que Israël et les Etats-Unis sont considérés comme les deux plus grandes menaces pour la paix et la vie sur terre. Pourtant, ces deux gouvernements criminels se pavanent en prétendant être les « plus grandes démocraties du monde. » Ni l’un ni l’autre de ces deux gouvernements n’accepte d’endosser de responsabilités, quelles qu’elles soient, sur le droit international, les droits de l’homme, les Conventions de Genève, ou ses propres lois statutaires. Les États-Unis et Israël sont des gouvernements voyous, en régression à l’époque de Hitler et de Staline.
Les guerres post seconde guerre mondiale proviennent toutes de Washington et Israël. Aucun autre pays n’a des ambitions expansionnistes impériales. Le gouvernement chinois n’a pas saisi Taiwan, ce que la Chine pourrait faire si elle le voulait. Le gouvernement russe n’a pas saisi les anciennes parties constituantes de la Russie, comme la Géorgie, qui, poussée par Washington pour lancer une attaque, a été immédiatement submergée par l’armée russe. Poutine aurait pu pendre la marionnette géorgienne de Washington et réintégrer la Géorgie dans la Russie, dont elle faisait partie depuis plusieurs siècles et à laquelle beaucoup de géorgiens pensent appartenir.
Au cours des 68 dernières années, la plupart des agressions militaires peuvent trouver comme sources les États-Unis d’Amérique et Israël. Pourtant, ces deux fauteurs de guerres prétendent être victimes d’agressions. C’est Israël qui possède un arsenal nucléaire qui est illégal, non reconnu, et non comptabilisé. C’est Washington qui a élaboré un plan de guerre basé sur la première frappe nucléaire. Le reste du monde a raison de voir ces deux gouvernements voyous irresponsables comme des menaces directes pour la vie sur terre.
Paul Craig Roberts

Article original :
Traduction : Avic pour le Réseau International

Coup d'État Militaire Imminent En Tunisie ?

L’armée tunisienne a posé des barbelés autour de la place centrale de la capitale et l’a proclamée "zone militaire fermée" afin d’éviter les affrontements entre les manifestants pro et anti-gouvernement, annoncent lundi les médias locaux.

Chaque jour la Tunisie s'enfonce un peu plus. Les libertés individuelles sont bafouées et la misère est en forte progression. Certains reprochaient à la France d'être restée silencieuse lors du Printemps Tunisien (sic)... Comme prévu ce pays tranquille et pacifiste est devenu un bastion de l'islam radical qui n'hésite pas à éliminer physiquement les géneurs. Les Tunisiens auront ou pas le courage de refaire une autre révolution? 

C'est eux seuls qui peuvent gérer leur avenir. L'Occident ne doit intervenir en aucune façon. 


L’armée prête à intervenir en Tunisie : la chute du pouvoir islamiste est une question de temps



L'armée a posé des barbelés autour de la place centrale de la capitale. D. R.

Le scénario égyptien destiné à écarter les islamistes du pouvoir en Tunisie, auquel appelait le député d'opposition Mohamed Brahmi, se met en place. Son objectif : engager le pays dans une transition dirigée par un gouvernement de salut national chargé de préparer des élections honnêtes et transparentes et d'engager des réformes pour améliorer la situation économique et politique dans le pays. Visiblement, l'armée tunisienne est prête à intervenir. Elle a posé des barbelés autour de la place centrale de la capitale et l'a proclamée «zone militaire fermée». 

Dans ce contexte, un fait d’une extrême gravité s’est produit : neuf militaires tunisiens ont été tués, dont trois auraient été égorgés, dans une embuscade tendue par des terroristes d’Al-Qaïda à une unité d'élite de l’armée à Talla (Jebel Chaambi), gouvernorat de Kasserine, près de la frontière algérienne, où se trouve un groupe composé de plusieurs dizaines d'hommes dont certains étaient au nord du Mali, selon les indications officielles. Les députés qui ont démissionné de l’Assemblée constituante et qui ont organisé le «sit-in du Départ», ont annoncé leur soutien à l’armée et à «ses soldats qui risquent leur vie tous les jours pour garantir la sécurité du pays». Samedi, rappelons-le, un véhicule de la gendarmerie a été visé par l'explosion d'un engin piégé à La Goulette, près de Tunis, sans faire de victimes. On sait que des milliers d’islamistes tunisiens ont été embrigadés par Al-Qaïda dans une opération financée par le Qatar pour être envoyés en Syrie combattre dans les rangs des groupes de mercenaires terroristes. 

Cette dégradation de la situation sécuritaire est liée au laxisme voire à la complicité des islamistes d’Ennahda dont le pouvoir est contesté par des manifestations réclamant la chute du gouvernement et la dissolution de l’Assemblée constituante, qui se multiplient à Tunis et un peu partout dans le pays. La montée de ces manifestations anti-islamistes a conduit à la fragilisation du parti d’Ennahda mais son Premier ministre Ali Larayedh a rejeté cette revendication en promettant des élections le 17 décembre prochain. Les manifestants qui brandissent des drapeaux de la Tunisie continuent d’exiger le départ du régime islamiste. Un Front de salut national, créé vendredi par une vingtaine de partis politiques et d'organisations au lendemain de l'assassinat de Mohamed Brahmi, a appelé les Tunisiens à se joindre à un sit-in permanent devant la Constituante. Le scénario du changement à l’égyptienne semble bien parti.

Kamel Moulfi L’armée prête à intervenir en Tunisie : la chute du pouvoir islamiste est une question de temps | Algérie Patriotique

Affaire Tapie : Claude Bartolone a toujours intrigué dans les coulisses en faveur de l’arbitrage

L'amitié de Jean-Louis Borloo et de Claude Bartolone 


Bernard Tapie ne se souvient donc de rien. 
...
Mais les dernières surprises de cette audition sont ailleurs : elles ont trait à l’irruption dans l’histoire de deux proches amis de Bernard Tapie, en la personne de Jean-Louis Borloo, le président de l’UDI, et de Claude Bartolone, l’actuel président (PS) de l’Assemblée nationale. Décrivant aux policiers ses relations avec Stéphane Richard, Bernard Tapie raconte en effet aux policiers que la deuxième fois qu’il l’a rencontré, cela a été « dans le cadre de l'anniversaire de Monsieur Bartolone ; c'était lors des dernières primaires socialistes ». Lequel Claude Bartolone, selon nos informations, a toujours intrigué dans les coulisses du pouvoir en faveur de l’arbitrage, notamment du temps où Laurent Fabius était ministre des finances, et a fait encore ces derniers mois pression sur l’Élysée pour que son ami Bernard Tapie puisse faire l’acquisition des journaux régionaux du Sud-Est de la France. 



Pressé de questions par les policiers, Bernard Tapie a accepté de se montrer un peu plus prolixe en racontant les contacts qu’il a eus avec Jean-Louis Borloo, quand celui-ci fut nommé ministre des finances pendant quelques mois, tout au début du quinquennat de Nicolas Sarkozy – lequel Jean-Louis Borloo avait été son avocat tout au long des années 1980 : « Dans les tout premiers jours de son ministère, M. Borloo m'avait invité à un petit déjeuner rue de Lille. Il est arrivé comme souvent en retard, Monsieur Richard me voyant seul dans l'entrée est venu me faire la conversation en attendant l'arrivée de M. Borloo. À l'arrivée de M. Borloo, M. Richard est resté quelques minutes avec nous puis nous a laissés seuls. J'ai alors pris comme prévu un petit-déjeuner avec Monsieur Borloo. Nous sommes alors restés que tous les deux. » Et c’est ainsi que, dès les premiers jours de la présidence Sarkozy, l’idée de l’arbitrage a commencé à cheminer. 

Cela, Bernard Tapie le nie farouchement. Tout comme Jean-Louis Borloo. Mais les magistrats instructeurs ont si bien travaillé, et la Brigade financière avec eux, que les filets de la justice se resserrent de plus en plus autour de la « bande organisée »...

Ce que Tapie a dit pendant sa garde à vue - gaullisme.fr