mercredi 10 juillet 2013

Comment Bruxelles Nous ramene au XIXe siècle



La BCE évite la débâcle par une politique monétaire accommodante, mais maintient le pistolet sur la tempe des gouvernements dont elle peut à tout moment suspendre le rachat des dettes. Elle laisse exploser le chômage, manifestement dans l'objectif d'accélérer la réalisation de l'agenda néolibéral : baisse des salaires, destruction des retraites par répartition, précarisation générale de l'emploi, démantèlement des services publics et approfondissement du libre-échange. 


Ni la France ni l' Italie ne seront "sauvées"

Cette fragilité structurelle de la zone euro risque aussi d’être mise en lumière en Italie qui vient dêtre à nouveau dégradée et dans une moindre mesure en France qui suit le même chemin à quelques années de distance. Or nous n’avons pas les moyens de sauver l’Italie et encore moins de sauver la France. On évoque souvent comme bouclier les opérations OMT annoncées par la Banque centrale européenne en septembre 2012. Ces opérations consistent pour l’institution monétaire à racheter massivement des titres de dette sur le marché des Etats membres en difficulté en vue d’éviter un renchérissement excessif de leur cout de refinancement. 

Le déclenchement de ces OMT est soumis à des conditions. Il suppose notamment de la part de l’Etat membre la demande d’une aide au Mécanisme européen de stabilité, l’élaboration d’une feuille de route des réformes budgétaires, fiscales et structurelles requises pour assainir les finances publiques et en sous jacent un certain transfert de souveraineté. Il n’est pas certain que le gouvernement italien instable actuel consente à demander cette aide, et trouve un accord sur cette l’édiction de cette feuille de route. Quand bien même les OMT sont déclenchées, il restera à déterminer l’ampleur de l’intervention de la BCE pour un pays aussi important que l’Italie. 

C’est au tour du Portugal…


La méthode Coué a ses limites : répéter à l’envi que la Zone euro est tirée d’affaire et qu’elle est à l’abri des turpitudes obligataires grâce au verbe magique de Mario Draghi ne suffit pas !


Les difficultés économiques et budgétaires ne disparaissent pas par enchantement simplement parce que les marchés traversent une zone d’accalmie de quelques mois.

La récession risque de se prolonger en 2014 ; le taux de chômage des jeunes restera durablement le pire de l’après-Deuxième guerre mondiale.

Nous assistons à l’éclatement d’un nouvel épisode de la crise politique qui couvait au Portugal depuis le début de l’année. Il prend rapidement une dimension beaucoup plus préoccupante pour les marchés avec la perspective d’un éclatement quasi-inéluctable de la coalition gouvernementale de M. Coelho. On constate également une incertitude majeure concernant la poursuite de la rigueur voulue par Berlin et Bruxelles.

Les taux longs portugais se sont envolés de 150 points de base hier matin, franchissant le cap des 8%.

La bourse de Lisbonne a plongé de 5,3% dans le sillage des banques… ce qui plombait l’ensemble du secteur financier du nord au sud de l’Europe.


La BCE réactionnaire

L’idée que l’Europe ne contribue pas au bien être des peuples est en train de largement se répandre. La fragilité du gouvernements de coalition portugais a été éprouvée par la politique d’austérité conduite. 

C'est une politique très exactement réactionnaire, puisqu'elle prétend nous ramener au XIXe siècle, en effaçant Keynes, la Résistance et l'Etat-providence. Mais elle s'appuie sur un agencement institutionnel performant, contenu dans les traités européens, pour interdire tout changement politique autre que cosmétique. 

En Humiliant Evo Morales François Hollande s' est Faché avec "l' Arabie Saoudite Du Lithium"


La grande faute de François Hollande


La France en refusant le survol de son territoire à l'avion présidentiel de Bolivie avec son président Evo Morales à bord vient de se tirer une belle balle dans le pied.
 Ceux qui a provoqué la colère de plusieurs pays sud américains de la communauté andine, Pérou, Equateur, Vénézuéla, Brésil, Chilie, dont le principal la Bolivie. 

Ce soir, le président du Pérou convoque une assemblée spéciale l' UNASUR, afin d'avoir des explications sur cet incident diplomatique. Les conséquences futur auront de grandes répercussions dans le monde latino, et aussi traité avec peu d'égard un président d'un pays qui a 70 % des réserves mondiales du minérale le lithium et suicidaire en ces temps incertains de ressources d'énergie. 

Sans lithium, il ne serait pas possible d'explorer la planète Mars via des Rovers comme Curiosity. Impossible les propulsion de moteurs et les stabilisateurs des fusées. Exit également les batteries des satellites etc.... Les voitures du futur vont fonctionner  dans un futur proche, avec une source d'énergie 100 % lithium. Aujourd'hui la Bolivie est certe un pays dont le poids économique est faible, mais demain, ce sera un pays indispensable, dont seuls à ce jour les chinois perçoivent les enjeux ! 
Alors cher François Hollande si demain il y a moins de pétrole, d'une manière ou d'une autre, vous regarderez d'un oeil triste les avions Boliviens passé loin dans le ciel. Un peu comme le "petit Prince"...



Toulouse sous le choc

Depuis le détournement de l’avion présidentiel bolivien, les groupes Bolloré et EADS ont dépêché des émissaires à La Paz pour tenter d’évaluer et si possible de limiter les dégâts. La Bolivie, outre ses réserves en gaz, dispose d'une richesse appelée à susciter d'immenses convoitises: le lithium. Ce métal mou et très léger permet de transporter d’énormes quantités d'énergie. Il est utilisé dans les batteries de téléphones portables et sera indispensable pour le développement de voitures électriques afin d'en augmenter l'autonomie. La demande de lithium pourrait croître de façon exponentielle.
Au mois de mars dernier, Evo Morales a effectué une « visite de travail » en France. A Toulouse, il a négocié l’achat de plusieurs Airbus et hélicoptères. On comprend la stupeur des dirigeants de EADS. Evo Morales a terminé son séjour dans le bureau de François Hollande à l’Elysée. Des projets concernant le métro et la géothermie ont été évoqués. On comprend aussi l’abattement des chargés de monter ces projets.


"Pétain-like"

Les espèces de "hollandais fantômes" qui sont au pouvoir et qu'on appelle les dirigeants de la France, eux-mêmes dirigés par Bruxelles qui elle même est guidée par Washington, sont en train de se mettre à dos les trois quarts de la Planète Libre.

Fricoter sans conditions avec les USA, c'est un peu comme si quelqu'un fréquentait un individu qui met des raclées aux gens dans la rue à titre préventif, irait dans les magasins se servir sans payer tout en tabassant le commerçant, vidangerait sa voiture dans la nature, imprimerait sa fausse monnaie...tout en invoquant Dieu à chaque phrase, et qui serait d'une paranoïa maladive par dessus le marché, se demandant pourquoi les autres lui en veulent autant...Bref, l'idiot du village plein d'agressivité ayant des copains encore plus stupides, béats d'admiration.

Cela ne viendrait pas à l'idée de grand monde de fréquenter ce genre de loubard...eh bien, c'est ce que nous faisons pourtant en servant de larbins aux USA.


François Hollande A T Il Fait Financer Sa Campagne Par Les Iles Caïmans ?

François Hollande et ses nombreux amis dont il ne connaît rien

Quand Gérard Depardieu quitte la France plus pour échapper à des controles fiscaux punitifs qu'à un impôt confiscatoire qu'il a dailleurs toujours payé par le passé, c'est "minable". 

Quand M. Augier investit sa fortune (immense, obtenu grâce à l'entremise de ses contacts politiques), c'est de l'ordre du "rayonnement de la France à l' étranger".

François Hollande est un bel hypocrite. Il se permet de donner des leçons de morale a Cahuzac  et on apprend que son trésorier a investi dans des paradis fiscaux. C'est juste hallucinant et inadmissible. Vous aussi M. François Hollande, vous avez commis une impardonnable faute morale. Pour cette raison, vous devez partir, comme M. Cahuzac. Il ne peut pas y avoir 2 poids et 2 mesures.


Hollande, Augier, Iles Caïman et comptes de campagne…


par Hubert Dechanoz


La Commission des comptes de campagne savait-elle pour la validation des comptes que AUGIER, trésorier de HOLLANDE, « fricottait » dans les Caïmans ?

La validation des comptes de campagne de HOLLANDE a été faite à l’appui de questionnaires retournés par HOLLANDE et AUGIER ainsi qu’un certain nombre de pièces jointes au compte. 

Alors la question est :


Est-ce que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques connaissait en 2012 la situation de Jean-Jacques AUGIER, président de l’association de financement électorale de la campagne de HOLLANDE dont nous venons d’apprendre, il y a quelques semaines que ce dernier avait ses tickets d’entrée aux Iles Caïmans ?

Par conséquent :

La Commission des comptes de campagne ne devrait-elle pas être saisie au vue de cette nouvelle information concernant AUGIER ?

L’UMP l’a-t-elle saisie ?

L’UMP ou la commission des comptes ont-t-elles saisi la justice en vue de l’ouverture d’une information judiciaire ?avant

Enfin, Gérard DALLONGEVILLE répète sur toutes les ondes depuis quelques semaines que le compte de CAHUZAC devait servir ou a probablement servi à financer des campagnes présidentielles.

La commission nationale des comptes de campagne a-t-elle cherché à en savoir plus à ce sujet ? 

Le point n°12 de la décision de validation des comptes de campagne de HOLLANDE précise que les dépenses de ce dernier, réalisées lors de la primaire ont bien été intégrées au compte de campagne de HOLLANDE mais la tactique sournoise des socialistes a consisté à réaliser une campagne présidentielle fractionnée en 6 comptes, relatifs aux 6 comptes des 6 candidats à la primaire du PS.



Cette stratégie a donc permis de ne déclarer insidieusement que les dépenses de François HOLLANDE mais pas des dépenses totales que la primaire du PS aura généré.

La commission des comptes de campagne n’aurait-elle pas du prendre en compte la totalité des dépenses relatives à la primaire du PS si l’on en juge une propagande multiplié par 6 ?


Hollande, Augier, Iles Caïman et comptes de campagne… — Union Républicaine