lundi 20 mai 2013

Valérie Trierweiler Se Fait Exploser Sa Com : Yes She Cannes !

Humanitaire !


Ça y est Valoche est de retour, elle va laver les pieds des Lépreux au Mali (Nord Mali ou mormalie on ne sait plus vraiment).
Invitée par Mintou Traoré, épouse du président de transition Dioncounda Traoré, elle jure yeux dans les caméras : "elle accepte désormais d'être première dame, elle fera ce qu'on lui dira de faire où on lui dira de le faire...c'est assez clair comme ça?".

Puis vînt le couplet moi présidente, bla bla bla :

« il n’y a point de Maliens du Sud, ni de Maliens du Nord, mais juste des Maliens unis à jamais. Nous n’avons donc pas d’autres issues que de nous entendre, nous écouter, nous aimer et nous pardonner » .


Lanzmann vaut bien une peste

coucou valou !

Quand on revient de l'un des pays les plus pauvres du monde que l' armée de son concubain de compagnon vient d'envahir, ça ferait très mauvais genre d'aller "boboïser" sur la croisette. Alors, pas de journalistes !
Pas question de se faire immortaliser montant les marches dans une robe de grand couturier. Valérie Trierweiler est donc descendue à Cannes incognito pour assister à la projection du film-documentaire de Claude Lanzmann, Le dernier des injustes. 
Sauf que la presse ne devait pas en faire l'étalage, au risque de faire passer son escapade au Mali pour de l' enfumage de bourgeoise en mal de popularité.

Raté ! Un journaliste l'a mise en boite, elle a bien tenté de rebrousser chemin, mais c'était trop tard. Tous les journalistes ne parlèrent plus que de ça.(ha ha ha).

Gilles Jacob, le président du Festival,  a aussitôt tenté le déminage et tweeté : « Valérie Trierweiler a accepté mon invitation d'assister à la projection du "dernier des injustes", en hommage à Claude Lanzmann. @valtrier ».

Que retiendra le bon peuple de France : Première dame au Mali ou Concubine Royale chez l' hyperclasse cannoise ?

Multiplication Des Astéroïdes : À Quand Notre Fin ?


L'asteroide géocroiseur « 1998 QE2 » frôlera la terre le 31 mai


si 1998 QE2 percutait la terre, il détruirait l'humanité dans sa globalité


le-veilleur.com

C'est un astéroïde de 2,73 kilomètres (environs neuf fois la longueur du navire Queen Elizabeth 2) qui frôlera la terre le 31 mai, un « caillou » recouvert d'une matière noire collante comparable au « fond d'un barbecue » comme l'expliquent les articles publiés aux USA. Si l'origine de cet astéroïde reste inconnue pour l'instant, les scientifiques pensent qu'elle a déjà fait un passage près du soleil, ce qui expliquerait sa surface. 

Bien sur, même si les articles se montrent rassurants puisque 1998 QE2 ne passera qu'à 5,8 millions de kilomètres de notre jolie planète (environ 15 fois la distance entre la terre et la lune), ils signalent toutefois que si celui-ci percutait la terre, il détruirait l'humanité dans sa globalité, un détail ô combien indispensable qu'ils apprécient nous livrer à première vue...

Les scientifiques ont tout préparé pour étudier au mieux l'astéroïde durant sa visite afin d'en apprendre la maximum dont orbite ou composition, signalant au passage que sa prochaine visite devrait avoir lieue en 2019. Préparons-nous pour admirer cet astéroïde si celui-ci se veut visible à l'oeil nu, cela sera le 31 mai, jour de la sainte Perrine (prénom dérivé du latin Petrus-Pierre).

La question qu'il est peut-être légitime de se poser, ce visiteur de l'espace vient-il seul ou accompagné ? Car depuis quelques temps, les observations de météorites dans le ciel se multiplient, quel que soit l'endroit. 


Signalons notamment :


 • Le 27 avril à Mexico
 • Le 08 mai dans le Wyoming
 • Le 09 mai au Japon
 • Le 21 avril au dessus de l'Argentine
 • Le 16 avril au dessus de la Pologne
 • Le 15 avril 2013 au dessus des Pays-Bas
 • Le 29 mars 2013 au Canada
 • Le 22 mars 2013 au dessus de la côte est-des Etats-Unis
 • Le 21 mars 2013 au dessus de la Belgique
 • Le 19 mars 2013 au dessus de Brigetown en Australie
 • Le 17 mars 2013 en Floride
 • Le 08 mars 2013 dans le Midwest américain
 • Le 06 mars 2013 au dessus de la Pologne

De plus, un nouvel impact a eut lieu sur la lune. Il est donc possiblement inutile de s'inquiéter pour quoi que ce soit, relevons juste le fait que si 1998 QE2 se rapproche, l'actualité nous montre qu'il ne vient peut-être pas seul.

En effet, la NASA a enregistré le 17 mai la plus forte explosion de météorite sur la lune depuis le début des observations en 2005. Les spécialistes de la NASA qui observent depuis 2005 les chutes de météorites sur la Lune, ont fixé la plus puissante explosion depuis le début des observations.

L'explosion qui s'est produite suite à la chute d'un météorite sur la superficie de la Lune a été 10 fois plus éclatante que toutes les explosions précédentes. Les spécialistes observent toutes les explosions produites sur la superficie lunaire afin d'évaluer le niveau de danger pour les futures expéditions sur la Lune.

Selon les mesures de la NASA, la météorite mesurait environs 40 centimètres pour un poids d'environs 40 kg, et a impacté la lune à une vitesse avoisinant les 90.000 km/h, générant un cratère d'une vingtaine de mètres !

La puissance de l'explosion a été équivalente à 5 tonnes de TNT. Vous pouvez voir la vidéo ci-dessous.


Source originale de l'article : http://www.le-veilleur.com/articles.php?idcat=1&idrub=21&id=1264

Liens à propos de l'impact lunaire

Barack Obama Et Son Watergate Venu De Benghazi


“Watergatiser” Scandalgate grâce à Benghazi ?


Dedefensa.org : Accueil

Si l’on étudie l’aspect extérieur, strictement tactique, de l’affaire du Watergate, on en vient vite à la conclusion que le système de la communication dans son sens le plus large joua un rôle fondamental et décisif pour conduire son affaire au terme dramatique qu’on connaît. Plus spécifiquement, il s’agit de l’établissement d’une commission d’enquête spéciale du Congrès sur cette affaire qui, pendant des mois et des mois, fit défiler les témoins et “institutionnalisa” l’affaire Watergate comme une partie structurelle de l’information courante pendant ce laps de temps, cela d’autant plus que les auditions étaient télévisées. Ainsi la tension de la communication, avec ses effets sur les psychologies, fut-elle constamment maintenue. Aujourd’hui se pose une question du même ordre pour les “scandales” qui secouent l’administration Obama et donnent un sujet de conversation épique et spéculatif à l’establishment washingtonien. Si une décision était prise dans ce sens (établissement d'une commission d'enquête), alors on se trouverait dans une situation nouvelle, menaçant directement la présidence Obama.

Trois “scandales” forment le Scandalgate, du nom donné à la situation washingtonienne actuelle : les suites de l’affaire de Benghazi du 11 septembre 2012, le scandale de l’IRS et des contrôles d’impôts politiquement orientés, le scandale de la saisie des communications téléphoniques de plusieurs dizaines de journalistes d’AP par le FBI. Il semble évident que c’est le premier d’entre eux qui s’impose comme favori. Un spécialiste du genre, Bob Woodward, qui fit équipe avec Carl Bernstein pour le Washington Post, pour révéler les données fondamentales du cambriolage de l’immeuble du Watergate par les “plombiers” de la Maison-Blanche, s’est montré catégorique lors d’une émission de MSNBC (voir le 17 mai 2013 sur Infowars.com) : l’affaire de Benghazi doit être poursuivie par tous les moyens, comme le fut l’affaire du Wartergate...

• Le fait est qu’un mouvement sérieux s’est amorcé, dans le sens effectivement de l’établissement de ce redoutable instrument qu’est une commission d’enquête du Congrès. C’est la Chambre des Représentants, contrôlée par les républicains, qui s’est naturellement avancée dans cette direction, avec un mouvement déjà structuré, des soutiens de parlementaires constitués, un député républicain se chargeant de rédiger la loi qu’il proposerait à la Chambre pour voter l’établissement de cette commission. Le 16 mai 2013, le site FreeBeacon.com, de tendance néo-conservatrice et très proche du Washington Times, signalait effectivement l’ampleur prise par le mouvement au sein de la Chambre.


Le même site détaillait, le 17 mai 2013, le soutien accordé par la plus grande association (équivalente à un syndicat sans l’aspect strictement revendicatif) des officiers fédéraux, ou fonctionnaires de la hiérarchie bureaucratique du gouvernement, la FLEOA (la Federal Law Enforcement Officers Association). (La FLEOA représente les hauts fonctionnaires de la hiérarchie dont faisaient partie les victimes de l’attaque de Benghazi.) Le président de cette association a envoyé une lettre de soutien au député Frank Wolf, pour l’encourager dans son effort de constitution d’une commission d’enquête.

Dans la presse, c’est surtout le Washington Times (voir le 16 mai 2013 un article rapportant en détails le déroulement de l’affaire, et une section entière dévolue aux articles sur Benghazi), qui exerce une pression pour une action anti-Obama dans ce cadre. Le 17 mai 2013, Wesley Pruden publait un éditorial pour le journal, où il résumait le fondement de l’attaque du Washington Times et de la droite radicale avec lui, en appelant aux mannes du glorieux général Patton. Il s’agit effectivement d’une bataille au sein de la famille interventionniste, entre interventionnistes-neocons et pseudo-conservateurs d’une part, et “libéraux-interventionnistes” (libertal hawks) d’autre part. La famille se déchire à belles dents, et les républicains de cette tendance belliciste trouvent là une belle occasion d'exprimer à la fois leur agressivité haineuse et leur frustration de tant d’entreprises militaristes confrontées à des impasses depuis 9/11. BHO, pourtant lui-même notablement interventionniste, fait bien l’affaire comme bouc-émissaire.

• Du côté des défenseurs d’Obama règne une certaine confusion. Leur argument constant jusqu’alors était que rien de sérieux n’apparaissait dans les accusations forcenées des républicains, sinon l’état forcené de la psychologie de ces républicains. Pour eux, l’opposition anti-Obama était marquée par une telle passion qu’elle se discréditait d'elle-même. Il y avait d’ailleurs de la passion dans cet argument, les partisans d’Obama n’étant pas moins dépourvus que leurs adversaires de cette psychologie forcenée qu’ils leur reprochent. Désormais, nombre d’entre eux reconnaissent que le cas est sérieux, avec ces trois scandales en cours qui ont chacun leur fondement. On peut lire l’argument de Gary Younge, du Guardian, ce 20 mai 2013, selon lequel effectivement l’administration Obama est, avec Scandalgate, dans un mauvais cas. Défenseur acharné d’Obama jusqu’ici, Younge semble n’avoir effectivement d’espoir sérieux que dans l’excès de ses adversaires ; pour l’argument, c’est peut-être fondé (et encore), pour la vérité et la culpabilité éventuelle de l’administration d’Obama, cela laisse à penser.


Effectivement, comme le reconnaît Younge, le cas est sérieux. Les “scandales” ne sont pas que des lubies d’opposants enfiévrés et, dans la “technique” même de l’exploitation du scandale, Benghazi semble le mieux structuré pour établir les bases d’une action à longue durée. Si elle semble constante dès qu’il y a un scandale à Washington (d’où l’emploi permanent de ce “gate” accolé au nom de chaque “scandale“ pour le surnommer), et par conséquent un peu discréditée, l’analogie avec le Watergate garde une signification lorsqu’elle acquiert un fondement. Il semble que nous en soyons fort proche... Si c’est le cas, si l’“encommisionnement” de Benghazi à l’image de l’établissement de la commission d’enquête sur le Watergate a effectivement lieu, alors tout devient possible et la référence à Watergate ne sera plus un discrédit par usure pour ceux qui l’emploieront, mais un accélérateur irrésistible du cas. Le terme “encommisionnement” acquiert ici une signification exactement inverse à celui qu’on entend d’habitude, qui est celui d’embourbement d’une question pressante et donc annihilation de la substance activiste de cette question jusqu’à l’extinction de la pression qu’elle exsudait. Ici, c’est le contraire : l’“encommisionnement” garantit au contraire la pression autour de la question choisie, par son institutionnalisation en tant que telle, par conséquent son accès prioritaire aux moyens de le la communication. La pression exsudée par le scandale devient une sorte de “fait objectif”, protégé de l’usure extrême et très rapide d’un système de la communication qui abandonne aussi vite qu’il l’a activée sa technique de publicité sensationnaliste pour un cas donné, au contraire suscitant pour ce cas donné une relance permanente de cette publicité sensationnaliste.

Au reste, il y a des situations objectives, hors de l’excès hypomaniaque de la psychologie des républicains dans leurs attaques contre Obama. L’un des arguments de cette objectivité, c’est simplement l’annulation des effets trompeurs de cet excès hypomaniaques par un excès de même tonneau, dans l’autre sens, des partisans d’Obama, dont la ferveur idolâtre est un point extraordinaire dont Younge ne se soucie guère. Ces deux excès s’équivalant après tout, et s’annulant au bout du compte, il reste ce que Young constate, à savoir que ces “scandales” ont leur propre valeur qui les transcende en leur donnant une essence spécifique («First, each scandal, in its own way, has meaning beyond itself...»). Il reste également que, lorsque Younge finit par accepter l’analogie avec Nixon («...while comparisons to Nixon are wide of the mark, things are beginning to look wearily familiar»), il se montre extrêmement partisan (un, peu de ferveur idolâtre) car c’est désormais un truisme que d’observer qu’Obama est d’ores et déjà largement tributaire d’une opinion générale selon laquelle il dépasse, tout aussi largement, son prédécesseur Nixon en matière de tromperies et de coups fourrés. Comme l’observe Young à propos des rumeurs non fondées et que nous traduirions à notre manière (il n’existe pas de pression psychologique intrinsèque et sérieuse si le cas est infondé), la même chose à l’inverse existe pour les cas fondés (il existe une “pression psychologique intrinsèque et sérieuse” si le cas est fondé).

... Puisque tout le monde, désormais, semble reconnaître que les cas de Scandalgate sont fondés, et que l’évolution, dans tous les cas concernant Benghazi, commence à approcher le stage d’une structuration institutionnalisée, il faut se préparer à la possible ouverture d’une nouvelle époque dans le gouvernement d’Obama. Quelles que soient les spécificités des deux situations, pour les différencier, une chose est assurée. Une situation prenant le chemin d’un Watergate-II pour Scandalegate nous assurerait d’une paralysie supplémentaire du pouvoir washingtonien, une sorte de “paralysie de la paralysie” déjà en place. La paralysie, qui était jusqu’alors un état de staticité mis en évidence par contraste par les agitations impuissantes, deviendrait en soi un cas d’activisme forcenée. Nous nous trouverions devant un cas d’accélération sans précédent d’une dynamique de déstructuration-dissolution, voire d’entropisation du pouvoir washingtonien, avec les conséquences instantanées sur la situation générale, et donc l’accélération des situations crisiques extérieures, le renforcement de ce que nous nommons l’infrastructure crisique. La situation, avant même une issue quelconque, y compris la plus dramatique (procédure de destitution), serait une accélération entropique considérable de la crise du pouvoir washingtonien, cette fois avec des conséquences externes dramatiques et immédiates... La situation actuelle est telle qu’on se trouve très proche du point où une “distraction extérieure” (faire passer au second plan un scandale intérieur par une action/crise extérieure) est devenue impossible. (D’ailleurs, une des leçons du Watergate et de son “encommisionnement” est bien que cet “encommisionnement” interdit pratiquement des interférences décisives des crises extérieures, tant la puissance de ce processus est grande dans un système washingtonien hyper-institutionnalisé. La guerre d’octobre 1973, l’alerte nucléaire du 25 octobre 1973 et la crise pétrolière qui commença aussitôt après n’interrompirent en rien la marche du Watergate et de sa commission spéciale d’enquête.) Tout ce qui existe en fait de possibilités de “distraction extérieure” est déjà au stade crisique actif, et au stade de l’embourbement crisique où le pouvoir washingtonien est d’ores et déjà paralysé. Une crise supplémentaire de type-Watergate à Washington n'aurait pour effets que d'aggraver encore cette situation extérieure par le comportement erratique et forcené des centres de pouvoir washingtonien.

Les composants nécessaires à l'installation d'une crise institutionnelle fondamentale et officialisée à Washington sont donc présents. Reste à voir si la mayonnaise prendra. Si c'est le cas, nous entrerons dans une phase nouvelle supplémentaire de la crise d'effondrement du Système.


Mis en ligne (defensa.org) le 20 mai 2013 à 06H23


François Hollande le Fédéralo Traitre

La haute Trahison c'est maintenant
La boite à outils révolutionnaire !

 

Hollande fait partie de ceux qui se sont rangés « au service du nouvel ordre mondial » dont parlait Sarkozy à longueur de discours.


Aussi tous les commentateurs qui s’étonnent de l’absence de volonté et de dynamique nationale de la présidence Hollande écoutent ce que disent les politiciens et changent enfin leur paradigme obsolète : Il n’y a pas de politique nationale dynamique parce que le but est de permettre l’émergence d’une politique fédérale forte. Et pour la faire accepter au peuple il faut que l’Europe fédérale paraisse être la solution pour nous sortir de l’ornière dans laquelle la trahison des intérêts nationaux nous laisse nous enfoncer.

C’est d’ailleurs ce leitmotiv défaitiste que notre président nous ressasse sans vergogne : La France ne peut rien, la solution c’est de capituler notre souveraineté à l’Europe.

Mais pouvait-on s’attendre à mieux de la part d’un président qui, sur sa photo officielle pose devant le drapeau hollandais ?


La fin des illusions


L'illusion ne tiens plus et les opinions ne soutiennent plus leurs élites.

Hollandréou, déjà au plus bas, est autant grillé que Sarkozy.

Le système représentatif des partis ne sert plus qu'à etouffer la contestation.

Si un gouvernement européen fédéral ne prend pas vite le relais, l'UMP et le PS devront bientôt -comme c'est le cas en Grèce- monter une coalition pour garder le pouvoir et continuer à nous imposer les "memorendums" de Bruxelles.

La Grèce vit au rythme des grèves générales et des émeutes.

Mais si on peut protéger le parlement grec avec la milice privée Brack Water il n'en va pas de même avec la population française.

Attendons nous donc à une accélération de la mise en place d'un état fédéral policier, inquisiteur et autoritaire.

Il est déjà en route avec son immonde Gauleiter, François Hollande le vichyssois du XXI eme siècle.



ANI : Comment voulez-vous que la droite s’y oppose puisque c’est exactement ce qu’elle souhaitait

Moscovici et les 37 voleurs


Le vote à l’assemblée le 9 avril sur la loi de sécurisation de l’emploi (remember l’inversion sémantique orwellienne dans 1984, « la liberté, c’est l’esclavage ! ») héritière de l’ANI (accord national interprofessionnel), fruit des accords entre des syndicats à peine majoritaires et le Medef. Là, pour le coup, il s’agit d’un vrai changement de civilisation ! Et par pour quelques dizaines de milliers de couples gays mais pour des millions de salariés.

Quand on regarde le contenu de la loi ANI, on est étonné qu’elle ait été proposée en l’état par un parti qui se dit socialiste : plans sociaux plus faciles, accords de maintien dans l’emploi à condition d’accepter modulations de salaire ou de temps de travail en fonction des carnets de commandes, mobilité interne obligatoire sous peine de licenciement, temps partiel encore plus flexible, difficultés accrues dans le recours aux prudhommes, pouvoirs réduits du comité d’entreprise. 


Sérieusement, comment voulez-vous que la droite s’oppose à cela puisque c’est exactement ce qu’elle souhaitait, et même un peu plus. L’analyse du scrutin parlementaire est édifiante. Elle illustre mieux que n’importe quelle image à quel point l’affrontement médiatique est surjoué et à quel point ce qui en termine tranquillement avec les acquis du CNR se passe avec une discrétion de violette. Que constate-t-on, à regarder cette analyse ? C’est l’abstention qui est majoritaire, notamment grâce à l’UMP, à quelques exceptions près et à l’UDI, qui nous rappelle l’actualité du proverbe « Qui ne dit mot consent. » On pourrait d’ailleurs faire remarquer la même chose à propos de l’abstention d’EELV qui ne veut pas passer pour trop libérale mais tient à ses strapontins gouvernementaux.

Votent contre seulement des socialistes de gauche (on est obligés de préciser, désormais) qui mêlent leur voix à celles du groupe FDG. Autrement dit, pendant que la droite et la gauche font semblant d’exister dans la rue, le parlement devient la chambre d’enregistrement des décisions prises par un grand parti unique. Bref, cette inquiétante conception, qui avait dominé durant plus de deux cents ans, selon laquelle une société pouvait être critiquable et transformable, réformée ou révolutionnée, n’est plus aujourd’hui qu’un spectacle télévisuel. Et vous pouvez zapper, c’est pareil sur toutes les chaînes.

http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/les-politiques-se-foutent-de-notre-136040

Conférence de presse de Pèpère 1er : Un peu libéral un peu socialiste toujours très flou

L'ancien conseiller de Chirac analyse la conférence de presse de François Hollande alias "Pèpère 1er". Où le président a habilement noyé le poisson des retraites...

Probst: «Hollande a quelque chose d'un chansonnier»



Probst, conférence de presse de François Hollande par bakchichinfo