jeudi 2 mai 2013

Les Surnoms De François Hollande


Des surnoms pour le président !
Flamby, Pépère, Fraise des bois, Guimauve le Conquérant, etc.... 



J'en ai découvert que je connaissais pas ...


La grande majorité des surnoms donnés à l’actuel président de la République, dont certains remontent à l’époque où il se trouvait à la tête du Parti socialiste, n’émane nullement de ses adversaires politiques naturels, à droite, mais de ses vieux compagnons qui le côtoient depuis des lustres et qui laissent entendre parfaitement le connaître. Pour être percutant un mot d’esprit s’appuie sur la faiblesse d’un trait de caractère pour toucher, dans une formule condensée qui fait mouche, l’inconscient plus ou moins refoulé d’un auditoire, déjouant ainsi toute forme de censure en provoquant le rire. L’attribution d’un sobriquet utilise des procédés identiques.

Si le bon peuple a su reprendre à son compte d’ingénieuses trouvailles en y ajoutant celles de sa propre création à l’instar de Mimolette et son dérivé le faux mage de Hollande, le grand art appartient en la circonstance aux intimes familiers du président et à ses plus proches collaborateurs. Ces saillies peuvent se classer en différentes catégories qui, selon leurs auteurs et leurs diverses références, visent des publics bien distincts.

Le grand genre, celui de la connotation historique :


Sans être dupes sur leur milieu et sur l’héritage de François Mitterrand qui souhaitait entrer dans la postérité par la grande porte de l’Histoire, certains socialistes comme Guillaume Bachelay, lieutenant de Laurent Fabius, farouchement anti-Hollande devenu par la force des choses un soutien du président, s’amusent d’une aspiration aussi grotesque à laquelle beaucoup de leurs amis politiques succombent même s’ils n’en meurent pas tous. Ce conseiller est l’auteur du savoureux Guimauve le Conquérant qui fait merveilleusement écho au Bertrand Du Déclin forgé dès l’élection, moment historique s’il en est dans les annales de la capitale, de Bertrand Delanoë à la Mairie de Paris et dont l’avènement devait marquer l’aube d’une nouvelle ère. 

Après "Flamby", François Hollande se voit attribuer un nouveau sobriquet : "Hollandouille Ier", qui circule depuis la dernière intervention du président français au JT de France 2.

L’ univers des bisounours :


Pour les plus naïfs qui espèrent toujours, contre vents et marées, en des lendemains qui chantent, Fraise des bois est sans doute le surnom le plus connu, corroyé pour eux par Laurent Fabius en 2003. "A-t-on jamais caché un éléphant derrière une fraise des bois ?" interroge l'ancien plus jeune Premier ministre en visant le patron du PS. Fabius contemple le successeur de Jospin de toute la hauteur de son impérial mépris. Hollande est, depuis la défaite du 21 avril 2002, le « leader » naturel du Parti socialiste. La comparaison avec une replète fraise des bois souligne la petitesse et la timidité de jeune fille du sujet devant la majesté écrasante des éléphants menacés par nul prédateur. Le sobriquet s’est décliné par la suite en autant de gourmandises saturées de colorant propres à assouvir les caprices des enfants des meilleurs quartiers : Fraise Tagada, pour le côté sucré, Fraise flagada, pour son manque supposé de fermeté...

Flamby est une création prêtée à d’Arnaud Montebourg lancée dans les couloirs de l’Assemblée nationale également en 2003. Renversée au fond d’une assiette, cette crème dessert gélatineuse un instant vacille tout en dégoulinant de caramel avant de se stabiliser et reprendre sa couleur naturelle indéfinissable. Les plus gloutons la gobent parfois d’un trait, sans discernement. n’offrant aucune résistance au palais, elle se déglutit selon l’appétit propre à chaque gosier.

Depuis Mars dernier, sous l’effet d’une révélation offerte par le canard enchaîné à ses lecteurs, on sait que les proches de l’actuel locataire de l’Elysée le désignent sous le respectueux vocable de Pépère qui rappelle celui d’Edredon dont il avait été qualifié lorsqu’il présidait aux destinées de la rue de Solférino. Tout ceci sonne impeccablement : au pays des Calinours, on s’aime avec effusion en se pourléchant les babines au rappel de si suaves douceurs !

Aux côtés du renard, de la grenouille ou du crapaud,  la présence d’un pingouin sur le chemin de l’école suivi par Calinours ne saurait faire mauvaise figure ! Si Carla réfute à qui veut l’entendre l’allusion à François Hollande dans une chanson de son dernier album, les clins d’œil restent nombreux dans le cours des paroles : "Les bras ballants, le pingouin, les bras ballants mais l'oeil hautain" (on songe à la photo officielle du président de la République), et plus loin : "Si un jour tu recroises mon chemin, je t'apprendrai, le pingouin, je t'apprendrai à faire le baisemain" (on se souvient du manque de courtoisie de François Hollande à l’égard de Carla Bruni-Sarkozy lors de la passation des pouvoirs à l'Élysée).

Les évocations régaliennes :


Mais arrivent d’autres circonlocutions plus magistrales encore puisqu’elles visent l’aptitude de celui qui s’apprête à détenir entre ses mains les rênes de l’Etat ! La « gentillesse » de Jean-Luc Mélenchon qualifiant, dans « une saison de tempête », le candidat socialiste de capitaine de pédalo présente une  incontestable valeur symbolique à laquelle Claude Allègre ajoute sa petite formule : « ce n’est pas un pilote de grand vent » ! Mais voilà, alors que tous ces beaux accords étaient retombés, Flanby avec « sa boîte à outils » se présente le 11 avril dernier à la France entière comme Monsieur Bricolage : il en dégaine un tournevis-contrat de génération, une clé-BPI ou encore un marteau-contrat d'avenir. Nicolas Baverez, dans son analyse du Point, en kiosque le 11 avril 2013, perfectionne encore ce surnom et voit dans le président "le petit bricoleur du marché de Tulle". 

 Quels trésors d’ingéniosité et d’humour déploieront à l’avenir les amis socialistes du président ? Pas question de réprimandes de la part de Monsieur petites blagues, comme l’appelle aussi Laurent Fabius, à l’encontre des auteurs de ces si brillantes saillies : on est entre camarades, quoi ! … sous l’autorité du chef de l’Etat ? Pas entre nous, voyons !

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Gueant Englué : A Qui le Tour ?


A droite comme à gauche, la pourriture gagne


La double vie de Claude Guéant...


Claude Guéant marchand d'art ? Vendeur de tableaux ? On connaissait jusque là sa brillante carrière politique, ses fonctions de directeur de cabinet, de ministre des Finances, et de ministre de l'intérieur dans le gouvernement de N. Sarkozy mais on ignorait qu'il était aussi amateur d'art...


Des juges s’interrogent, selon Le Canard enchaîné, sur le versement de plus de 500.000 euros depuis l’étranger sur un compte de Claude Guéant, qui proviendraient de la vente de deux tableaux d'un peintre hollandais.


L’hebdomadaire satirique révèle que les enquêteurs avaient découvert ces versements d’argent à la faveur d’une perquisition en février dans le cadre de l’enquête, alors conduite par le parquet de Paris, sur les accusations de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy.


Claude Guéant a expliqué avoir cédé « un bien » acquis il y a « une vingtaine d’années », à "un avocat étranger", sans certificat d'exportation... deux oeuvres du peintre hollandais Andries van Eertvelt du XVIIème siècle dont les toiles côtent autour de 40 000 euros (cherchez l'erreur). Il affirme pouvoir apporter la preuve de ces transactions : « Au moment des perquisitions j’ai dit, je l’ai fait inscrire au procès verbal, que j’avais les justificatifs. »


Un demi million d'euros ! Coquette somme qui surgit là dans les comptes de Claude Guéant ... A-t-elle été déclarée au fisc ?


Autre problème : Claude Guéant aurait aussi acquitté de nombreuses factures en liquide, en fait des "primes de cabinet dont il avait bénéficié au ministère de l'Intérieur quand il y officiait". 


Interrogé à ce sujet Claude Guéant reconnaît que ces primes n'ont pas été déclarées et rajoute quand on lui pose la question : "on peut dire que ce n'est pas normal, en effet " !


Décidément, on constate encore qu'un homme politique flirte avec l'illégalité et le monde de l'argent.


Bien sûr, Claude Guéant a le droit de vendre deux tableaux qui lui appartiennent mais il est pour le moins curieux que ces sommes aient été cachées et ne soient révélées qu'à l'occasion d'une perquisition et d'une enquête.


Il est aussi tout à fait anormal que Claude Guéant n'ait pas déclaré des primes conséquentes qui lui ont été versées : alors que tous les français sont mis à contribution en période de crise, on constate encore que des hommes politiques fortunés peuvent, eux, échapper à l'impôt.


La double vie de Claude Guéant peut-elle encore nous surprendre dans un monde où les affaires se multiplient, où les hommes politiques sont compromis dans des évasions fiscales, des détournements d'argent ?


Où sont les certificats d'exportation ?


Cependant, comme le souligne avec justesse la Tribune de l'Art dans un article daté de ce mercredi, Claude Guéant ayant déclaré avoir « vendu ces tableaux à un avocat étranger », une question légale doit être soulevée : les démarches administratives liées à l'export de ces tableaux ont-elles été correctement remplies ? En effet, l'export d'un tableau de plus de 150.000€ de valeur en dehors du territoire français suppose l'obtention d'un certificat d'exportation de la part du Ministère de la Culture.



L'affaire prend alors un tour fort simple : ou bien Claude Guéant a bien vendu ses deux tableaux, et dans ce cas, la production des deux certificats devrait établir sa bonne foi. Ou bien il ne peut présenter ces deux certificats et dans ce cas, il est soit coupable d'avoir menti, l'explication fournie n'étant pas correcte, soit d'avoir omis les démarches pour l'obtention de ces certificats ce qui le rendrait coupable d’exportation illégale de trésors nationaux. 

Cette dernière infraction pourrait lui coûter deux années d'emprisonnement et une amende de 450.000€ (selon l'article L114-1 du code du patrimoine).

Hollande : Sa Seule Expérience Est d' Avoir Manipulé la Presse Sous Mitterrand


Hollande ou la stratégie divulguée

Hollande ou la manipulation permanente En 1982, Mitterrand, à la dérive dans l’opinion et auprès des socialistes eux-mêmes, cherchait une parade médiatique. Il confia alors au jeune Hollande la tâche de manipuler la presse – à la fois contre la droite et la gauche non soumise – afin de remonter dans les sondages. Cela a commencé avec l’Opération Caton. Hollande et son acolyte André Bercoff ont écrit un livre sous le nom d’emprunt de Caton. Ce Caton se faisait passer pour un déçu de la droite et déballait des secrets assassins sur Chirac, puisés chez ses amis magistrats de gauche. L’affaire a fait long feu puisque Chirac a été élu royalement à la Mairie de Paris. 

La petite cellule de désinformation de Hollande s’est étoffée avec l’arrivée de Jacques Pilhan, qui a introduit les méthodes de manipulation de l’opinion avec notamment les fuites organisées par des magistrats. Avec Jean-Marc Salmon, Hollande a ouvert rue de Varenne, un « salon » de la manipulation où il recevait le tout-Paris de la gauche médiatique : journalistes, reporters, directeurs de publication, intermédiaires divers, présentateurs télé,… Il avait table ouverte pour tous ces faiseurs d’opinion de gauche et utilisait bruits de couloir et fuites contrôlées pour attaquer ses cibles : Chirac, Balladur, Jospin et surtout Rocard que Mitterrand exécrait. Cette cellule est restée active à travers les années et est intervenue dans tous les coups tordus les plus récents contre Sarkozy, Woerth, ou consorts. 

Le bon côté de Hollande, c’est qu’il n’est pas sectaire. Ses propres alliés ne sont pas épargnés. Comme le disait un de ses (ex-) amis : « Hollande est drôlement foutu. Pendant que d’un côté il vous sourit, de l’autre il vous encule (Oh !) ». Hollande a été mêlé à toutes les magouilles de l’ère Mitterrand, mais évidemment maintenant il n’est au courant de rien : l’affaire Elf, les turpitudes de « papa m’a dit », les manipulations contre Jean Edern Hallier, tout cela il ne connaît pas ! 

Hollande a cependant commis une erreur : il a cru que Ségolène pouvait le servir. Elle était mignonne, BCBG, sans ambition. Mais à son contact, elle est devenue plus ambitieuse et plus déterminée que lui. Elle a été envoyée par Mitterrand comme une torpille qui a explosé à la figure de Hollande en 2007. Aujourd’hui Hollande le Vierge, le Passe-Muraille, le Normal, se présente comme un jeune puceau aux mains totalement blanches ...
L' Affaire Cahuzac et Augier a commencé à fissurer ce mensonge éhonté.

Rachat Dailymotion : Fleur Pellerin En Guerre Contre Montebourg



Voilà un nouveau dossier qui laisse deviner l'ambiance plus que tendue qui règne actuellement au sein du gouvernement.

Colère au ministère délégué à l'Économie numérique

Voilà qui agace le patron de France Telecom Stéphane Richard qui depuis six mois travaillait sur ce dossier. Il explique qu'il était sur le point de parvenir à un arrangement équilibré, sous-entendu : en gardant les centres de décisions dans l'hexagone. Selon lui : "Dailymotion est une filiale d'Orange, et non de l'État. C'est le groupe et son conseil d'administration qui gèrent ce dossier."

Même colère, semble-t-il, du côté du ministère délégué à l'Économie numérique de Fleur Pellerin. D'après une source proche, la ministre aurait trouvé "hallucinante" l'attitude de l'ingérable Arnaud Montebourg. Un ministre capable de faire "capoter" un partenariat d'une telle importance. 


Elle roule pour orange ! (Conflit d'intérêts)

Ministre déléguée aux PME et à l’Économie numérique, Fleur Pellerin a gagné un surnom dans le monde des télécoms : "Fleur d’oranger" en raison de ses fortes accointances avec Orange. Selon ses détracteurs, son plan numérique favoriserait trop l’opérateur dirigé par Stéphane Richard.

Après l'annonce par Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, de l'échec du rachat de Dailymotion par Yahoo!, Stéphane Richard, le patron d'Orange, à qui appartient le site de partage de vidéos, et de Fleur Pellerin, ministre de l'Économie numérique, ont exprimé leur mécontentement quant à cette atttitude.



Montebourg dit "niet"

Mercredi, Arnaud Montebourg annonçait, plutôt fièrement, avoir fait échouer le rachat à 75% du site de partage de vidéos Dailymotion, cette "pépite française", par le géant américain Yahoo!. Aujourd'hui, les critiques se multiplient à l'égard du ministre du Redressement productif qui aurait outrepassé ses compétences en imposant au groupe américain un rachat à 50%, maximum.

Concurrencer Youtube

Dailymotion aurait besoin de 50 millions d'euros sur quatre ans pour accélérer son développement à l'international et concurrencer son principal rival, Youtube. Au-delà de l'argent, c'est "un allié qui assure le développement de Dailymotion hors d’Europe" qu'il faudrait au groupe français.

Pour pallier à cette situation, l'Etat pourrait finalement investir dans Dailymotion, via le Fonds pour la société numérique PME (FSN PME).


http://www.metrofrance.com/info/rachat-de-dailymotion-arnaud-montebourg-critique-pour-son-attitude-face-a-yahoo/mmeb!8m3d8fmjin1ZA/