samedi 23 février 2013

Le fils Trierweiler à l' ombre au Canada pour consommation stupéfiante : vos merdias aux ordres




On a beaucoup parlé du poste de TD du fils Sarko (tout d'un coup on dit
qu'il s'en sort bien!), mais du "beau fils" de François Hollande, rien bien sur!
Le fils de la première concubine à l'ombre au Canada !

Silence total de la presse française. L'autocensure fonctionne à merveille.
Il faut donner des gages à Flamby 1er pour récupérer les niches et avantages
fiscaux supprimés par Sarkosy et partiellement rétablis par Juppé, encore un
marié à une journaliste !

Le fils de Valérie Trierweiler arrêté pour usage de drogue !!

Ça commence bien !!!

Heureusement que ce n'était pas le fils de Sarko...
cela aurait fait les gros titres de tous les médias !

Merci aux Québécois article paru dans la presse Québécoise , mais totalement
passé sous silence par tous les médias français sans exception...
on peut dire qu'on est bien informés !


Hé, les médias français, savez vous qu'Internet existe ? Tiens donc
ÉTONNANT , PERSONNE N'EN PARLE ...TOUS LES MÉDIAS SONT MUETS !!!
Exclusif : le fils de Valérie Trierweiler a été arrêté par les forces de
police pour avoir consommé de la drogue sur la voie publique.

Deux poids deux mesures ?
Cette affaire soulève aussi l'ambiguïté des liens entre la gauche française
et la consommation de drogue. c'est à la sortie de son luxueux lycée (Claude
Bernard, l'un des plus réputés de la capitale) du 16e arrondissement de
Paris (François Hollande n'aime pas les riches, mais il se met en couple
avec une sacrée bourgeoise !) que le fils de Valérie Trierweiler, s'est fait
attraper par des policiers, en train de fumer de la drogue.
Quand on voit les déclarations et les propositions irresponsables de la gauche française
quant à la consommation de drogues censées être « douces », on imagine que
le beau papa du jeune homme, François Hollande, aura surement trouvé le
comportement de l'ado cool et branché.

Démagogie à tous les niveaux ? Si Hollande est encore flou sur ce sujet
(comme sur tant d'autres), le progressisme socialiste considère la
dépénalisation des drogues dites douces comme une belle évolution. Les
Vert sen veulent, Mélenchon aussi, le PS cédera. Valérie Trierweiler, une
caricature de grosse bourgeoise post soixante-huitarde qui sacrifie l'éducation
de son enfant à l'ascension de sa carrière ?

Au point de se mettre en couple
avec un présidentiable ?

Du coup, le jeune, paumé, fume des pétards devant
son lycée, comme un appel au secours.

On voit bien que la question des valeurs se pose plus que jamais. Dans leur vie privée comme dans leurs propositions politiques, les socialistes prouvent quotidiennement (DSK) leur nihilisme et leur rejet de toute « valeur », notion fasciste et liberticide.

Interdisez d'interdire, jouissez sans entrave, mais ne vous étonnez pas de
retrouver vos enfants drogués au poste de police.

Au delà de la question des valeurs, c'est surtout celle du traitement
médiatique qui interpelle ici. L'affaire aurait pu causer du tort à
Hollande, aucun journaliste ne l'a même évoquée.

Le fils de Nicolas Sarkozy envoie une tomate sur une policière et l'ensemble
des médias français relayent l'information. Une question sur le sujet est
même posée au président de la République dans l'émission de Michel Denisot,
le Grand Journal.

Le beau fils du candidat socialiste passe des heures au
commissariat pour détention et consommation de drogue devant un
établissement scolaire et rien (même sur le web, personne n'aborde le
sujet). Pas un article, une dépêche ou un minimum d'information ne sort. Des
médias muselés ?

Qu'on ne vienne pas dire que Valérie Trierweiler n'est pas en campagne et
que sa vie ne concerne pas la presse : elle s'est bien rendue aux
funérailles officielles des soldats français assassinés par Mohamed Merah
comme compagne de Hollande.

Elle devrait assumer les responsabilités de son
nouveau statut.
Et les journalistes devraient faire leur travail
consciencieusement et pas en fonction de leur admiration (intérêt ?) pour
François Hollande. Deux poids deux mesures à ce point là, ce n'est pas du
journalisme mais de la propagande !!!

K.R

Le fils de la première concubine de Francois Hollande (Valérie Trierweiler ), à l'ombre au Canada - 2k.com 

L 'Incroyable cynisme de François Hollande en grèce


En poussant la Grèce à acquérir des frégates françaises pour explorer des gisements d’énergie fossile en mer Égée, François Hollande fait d’une pierre deux coups : il confirme que l’austérité est sélective et torpille un peu plus la crédibilité de son discours sur la transition énergétique
Lors de son voyage en Grèce ce mardi 19 février, les appels de François Hollande à la «solidarité » envers la Grèce et ses critiques de l'austérité n’ont pas fait illusion : le Conseil européen vient d'amputer de 30% les aides structurelles à la Grèce dans le prochain budget européen et la France soutient fermement le mémorandum imposé au peuple grec par la Troïka (BCE, Commission, FMI).
Non, si François Hollande était présent en Grèce, c’était pour faire des affaires. « La Grèce a décidé un programme de privatisation. Les entreprises françaises seront présentes ». 
Car en Grèce tout est à vendre: les services publics et tous les biens communs à disposition - eau, énergie, œuvres culturelles, îles, fonds marins … Mais pendant ce temps le budget militaire continue à enfler avec l’augmentation des contributions à l’OTAN (+ 50% en 2012) et des dépenses courantes (+ 18% en 2012), pour atteindre un record mondial après les USA, 3% du PIB. C’est une des raisons pour lesquelles nous demandons, en Grèce et ailleurs, un audit des dettes.
François Hollande a aussi relancé la vente de deux frégates françaises pour rechercher du pétrole et du gaz dans la mer Égée. Loin des plages françaises pour lesquelles le gouvernement précédent avait dû reculer suite à une forte mobilisation.
Alors que la conférence énergétique et le débat public annoncés s’enfoncent chaque jour un peu plus dans l'insignifiance, cette visite en Grèce confirme le cynisme qui imprègne les orientations du gouvernement français aussi dans ce domaine.
L’austérité pour la Grèce (et la France), l’expérimentation des gaz de schistes pour l'Algérie, le pétrole pour la mer Égée, la sécurisation militaire de l’uranium pour l'Afrique, les ventes d’EPR et d’avions Rafale pour l'Inde : le changement, c’est pour quand ? La grève générale ce mercredi en Grèce, et les mouvements sociaux qui montent en Europe et se retrouveront à Athènes pour un Altersommet les 8 et 9 juin, sauront remettre les pendules à l'heure.
Attac France,

Paris, le 19 février 2013

Un nouveau « Notre-Dame-des-Landes » dans la Nièvre ?


A Sardy-Les-Epiry, des opposants à la construction d’une grande scierie aux portes du Morvan se relaient pour bloquer un projet jugé démesuré, se rêvant en « Notre-Dame-des-Landes » bis, alors que la plupart des élus y voient une aubaine pour l’emploi et l’essor de la filière bois.
pancartes sur le site où doit être implanté le projet Erscia

Un investissement de 148 millions d’euros et 126 emplois directs

Bottes boueuses aux pieds et bonnet sur la tête, ils sont une vingtaine à se réchauffer autour d’un plat de lentilles sur un pré à l’orée du bois du Tronçay.Certains ont passé la nuit sur place, dans une maisonnette en paille construite avec l’aide des agriculteurs du coin. Une autre cabane est en construction à côté des toilettes sèches.  »On se prépare pour une présence au long cours, on surveillera le site jusqu’à l’arrêt du projet », annonce Jérôme Bognard, éleveur d’escargots et vice-président de l’association Adret Morvan.
Le projet, porté par la société Erscia (groupe belge IBV), est un complexe industriel de transformation du bois et de production d’électricité sur 60 hectares autour d’une scierie et d’une centrale à bois: le résineux est scié ou transformé en granulés pour alimenter des centrales à biomasse. L’entreprise prévoit un investissement de 148 millions d’euros et 126 emplois directs.

Scierie zéro déchet ou incinérateur ?

« Au début, on nous parlait d’une scierie zéro déchet. Et on se retrouve face à un incinérateur qui brûlera 20 tonnes à l’heure », avance Jérome Bognard. Et pas seulement du bois brut, mais des « déchets ménagers bois, des bois pollués », assure-t-il. Autour de lui, les militants viennent de la région. Ils étaient une soixantaine, le 4 février, à se ruer vers le bois pour empêcher les premiers abattages en s’aggripant aux arbres. Délogés par les gendarmes, ils se sont repliés vers ce pré, avec l’accord de la propriétaire. Ils parlent désormais de « zone à défendre » (ZAD), pour paraphraser les opposants
au nouvel aéroport nantais, à Notre-Dame-des-Landes.

« On est aussi dans la dénonciation d’un projet démesuré, un gouffre pour les finances publiques », avance Murielle André-Petident, son badge « ZAD du bois du Tronçay » épinglé sur la veste. Jean-François Davaut, conseiller municipal de la commune proche de Cervon, est l’un des rares élus à s’opposer au projet, « parce que ce n’est pas viable économiquement et que les subventions envisagées sont trop élevées ». Il juge aussi qu’Erscia met en péril l’activité des autres professionnels du bois de la région et que les routes sinueuses du Morvan ne supporteront pas le trafic estimé par la société à 167 camions par jour.
Vidéo sur la source : http://bourgogne.france3.fr/2013/02/16/projet-de-scierie-geante-erscia-un-notre-dame-des-landes-dans-la-nievre-201077.html
Reportage de Natacha Musy et Régis Guillon avec :
  • Marc Beuniche, bénévole
  • Jérôme Bognard, vice-président d’Adret Morvan (Association pour le développement dans le respect de l’environnement en territoire Morvan et environs)

Un référé devant le tribunal administratif de Dijon mardi 26 février

Cinq arrêtés préfectoraux autour du projet sont déjà contestés sur le fondtandis que, à la demande d’une quarantaine de riverains, un référé-suspension sera étudié le 26 février par le tribunal administratif de Dijon. En face, la grande majorité des élus de la Nièvre sont favorables à Erscia, comme l’a recensé cette semaine le Journal du centre. Quelques uns, dont le député PS Christian Paul, se sont fendus d’un communiqué  »parce que la Nièvre ne peut-être le seul département en France qui refuserait l’installation de projets industriels, à l’heure où des milliers d’emplois disparaissent ».
Le directeur général d’Erscia s’emploie de son côté à rassurer : les bois brûlés par la centrale « seront des bois en fin de vie non dangereux », la société puisera peu dans la ressource en résineux du Morvan et se fournira principalement en Auvergne. Les professionnels s’accordent à dire que la filière a de la place pour se développer en France.
« Nous avons la plus grosse quantité de bois dans nos forêts de tous les 27 pays de l’Union européenne. Ce bois est largement sous-exploité depuis des décennies et ce malgré une augmentation très importante de la consommation mondiale de bois », souligne Eric Toppan, forestier et secrétaire général du club d’investisseurs Forinvest. Seul « 60% de ce qui pousse chaque année est prélevé dans les forêts », ajoute-t-il.


Source : http://bourgogne.france3.fr/2013/02/16/projet-de-scierie-geante-erscia-un-notre-dame-des-landes-dans-la-nievre-201077.html

Projet de scierie géante Erscia : un « Notre-Dame-des-Landes  dans la Nièvre ?

L' Ère des Etats Putains


GAETAN PELLETIER
Syndrome : Ensemble de réactions qui présentent une réponse non spécifique de l’organisme à une agression.

L’information en rognures
Je suis comme vous, je lis quelques journaux, je regarde les informations à la télévision, bref, j’essaie de savoir. Mais au fond, je ne sais rien… Car tout ce qui est « officiel » est enfermé dans le petit cadre du pays. Les infos nationales ne touchent pas – ou si peu – à l’histoire, et flirtent avec le contexte mondial d’après les informations issues du crachat des langues vipères qui disent des Goebbeleries en les enfilant comme un tricote un manteau de menteries.
Qu’est-ce qui ne va pas?
Les analystes utilisent un matériau fripé et rogné par la propagande. De la dentelle…
Du froufrou issu d’une manière dépassé de décomposer les situations des pays. Or, depuis une vingtaine d’années, les pays sont soumis à des complexités mondialistes qui faussent ou rendent stériles toutes ces parlotes qui nous font tourner en rond.
Oui, certains y accrochent. Certains y baignent.
On y travaille comme dans une huitre, mais la réalité est un océan…
De là, l’ignorance brouillasse ou crasse de la masse qui avalent leurs craquelins de savoir de ce dogme moisissure depuis longtemps dépassé.

Le bordel angélique
Si vous lavez 3000 fois un T-shirt jaune, le javellisant, il finira par devenir blanc. Comme la robe de la Vierge Marie. Le système est si pur qu’il ne faut pas recourir à la « désobéissance civile ». Les lois sont « propres ». Elles sont là pour la défense et la protection du citoyen. L’État de chaque pays est devenu un avatar qui camoufle l’identité de la surcharge néolibérale.
En fait, l’État de chaque pays est une putain au service de qui veut violer la Terre et ses citoyens.
C’est le résultat de 20 ans de mondialisation, cette recette présentée comme le plat permettant de vendre et d’échanger en « toute liberté », pour le « bien » de chaque pays.
Je te vends mon sirop d’érable.
Tu me vends ton vin.
Tu me vends ton Ginseng.
Je te vends ma recette dans l’art d’acheter tout ce qui se vend.
Les prédateurs se roulent dans le levain de l’orgueil et achètent toutes les farines du monde. Et toutes les terres qui peuvent en faire pousser.
Accaparement des terres.
Ce présentoir nous a menés à l’esclavage.

Le procédé
L’État-putain vous présente son lupanar comme un paradis. Il couve ses naïfs comme des œufs. Puis, devant les « demi-récalcitrants », il manigance des peurs. La terreur rose. Celle qui fait croire qu’elle existe, mais que l’État de par son pouvoir peut l’éradiquer par la force même des citoyens-participants. Aux États-Unis, on nomme cela « patriotisme ».
La création de « l’ennemi » est une vieille formule qui fonctionne depuis des siècles. Nous voilà donc sous le règne de la terreur. La peur de tout perdre. Même notre liberté.
L’esclave a peur de perdre son bateau sur lequel il vit en ramant, forcené, mais au moins il flotte.
C’est ce que nous sommes : des flottants.
En sueurs. Enfilant des pilules qui font office de gilet de flottaison :  la surmédication alimentée par les laboratoires qui nous font avaler des matelas en gélules.
On se comprend…
Les pays « développés » sont les champions du gavage. La pilule fait pousser des ailes aux dindes que nous sommes. Et les compagnies fourrent leurs avoirs dans les banques pour les distribuer aux investisseurs.
C’est pas beau?
Monnaie de maison close

Revenons à nos agneaux…»
Je vais tenter de résumer tout cela.
A)    Nous sommes menés par des putains
B)    Les informations de la presse officielle est une série d’événements sans liens historiques ou par des sources falsifiées ou trompeuses. C’est le but…
C)    Nous vivons dans un lupanar électronique, puisque nos plaisirs ne sont plus liés à la simplicité mais à la complexité créée de toute pièce pour nous menotter. Soit de l’ignorance, soit de la peur, soit des deux.
D)    Notre « bonheur » est passé par l’argent, puisqu’il faut, pour un plaisir « naturel » de vivre, passer maintenant par le lupanar…
E)     Nous vivons dans une information captive des analystes des pays alors qu’en réalité nous vivons dans un monde mondialisé. Alors, obligatoirement, nous ne recevons que des fragments.
De là vient le bordel dans lequel nous vivons. Nous devons SUR-payer pour un produit qui devrait être à la portée de tous : travailler pour se nourrir, se loger, sans y laisser sa peau.

Comment en sortir? Freud et les porcs-épics en hiver
Délaisser toute information en provenance de la dentelle de putain qui nous mène.
Et trouver une solution qui cessera d’être cette lutte stérile.
La froideur des sociétés est née des créateurs d’aiguilles qui nous recouvrent la peau.

« Un jour d’hiver glacial, les porcs-épics d’un troupeau se serrèrent les uns contre les autres afin de se protéger contre le froid par la chaleur réciproque. Mais, douloureusement gênés par les piquants, ils ne tardèrent pas à s’écarter de nouveau les uns des autres. Obligés de se rapprocher de nouveau en raison du froid persistant, ils éprouvèrent une fois de plus l’action désagréable des piquants, et ces alternatives de rapprochement et d’éloignement durèrent jusqu’à ce qu’ils aient trouvé une distance convenable où ils se sentirent à l’abri des maux. »[1]
[1] Freud, Essais de psychanalyse, éd. Payot, p.112
Ils cherchaient une « distance convenable » pour se mettre à l’abri  du froid en persistant à se piquer ? Pour Freud, la conclusion est typiquement pessimiste : il ne peut y avoir de bonne présence, les gens comme nous continueront à se piquer. En conséquence, il n’a pas voulu imaginer que chacun puisse peut replier ses piquants de défensivité Au  point d’avoir vraiment bien chaud et d’être proche des autres sans se piquer.
Cette parabole désenchantée sur les relations « énergétiques » ne vaut pas que pour les porcs-épics ; elle concernerait aussi ce genre particulier de « porc » même « épique » que peut être tout être humain au travers de ses expériences et surtout dans la mise en œuvre de l’énergie motrice qui lui est donnée et qu’il a besoin de développer, de dépenser, de « brancher », autant que possible, sans en perdre le contrôle ! Porcs-épics  
Eh! Oui! Nous sommes cultivés pour devenir UN. Par l’engrais des putains des États. Aplanissement. Mais, de source, nous sommes des entités d’amour.
On nous sépare par la haine et la culture de l’individualisme qui est tout à fait contraire à la Vie.
On veut aplanir la différence de nos cultures, celle qui fait la beauté de ce monde.
S’il n’y avait que des corbeaux, où se trouveraient toute la grandeur et la féérie de notre monde?
La Terre est en train de devenir un lupanar.
Pour embrasser un arbre, bientôt, par une loi quelconque, il faudra payer…
On a élu le terrorisme…
C’est pas beau?
C’est le grand tour de magie : le chapeau sort du lapin.
Gaëtan Pelletier
11 juin 2012

PSA : 6 eme semaine de grève sur fond d'incompétence totale du Gouvernement Ayrault

Pétition : Non aux poursuites contre les salariés en lutte !

Contre le licenciement et les poursuites judiciaires à l’encontre des salariés en lutte à PSA Aulnay-sous-Bois | CGT PSA Aulnay

5 semaines de grève…
                    et nous ne sommes pas fatigués ! 
La grève, commencée le 16 janvier, est donc entrée dans sa 6e semaine. La solidarité financière continue à grossir notre caisse de grève. Grâce à elle nous pouvons tenir. Jeudi 21 février, elle se montait à 210 000 € collectés et 40 000 € de promesses. La collecte se poursuit, auprès des mairies, des péages, comme à Senlis lundi 18 février, ou auprès des travailleurs d’autres entreprises. Partout, les réactions que nous avons montrent que, les patrons et les médias ont beau nous traiter de « voyous », notre lutte est largement soutenue car elle est juste ! 
Pendant ce temps, la direction perd de plus en plus de voitures à Aulnay. Et en plus, la grève des salariés de Lear, le fournisseur de sièges, paralyse la production de l'usine de Poissy (208, C3 et DS3). 


Rencontres avec le faux-médiateur et la direction
Trois rencontres ont eu lieu avec le faux-médiateur et la direction de PSA, en la personne de Philippe Dorge. En substance, M. Dorge a demandé aux grévistes de laisser redémarrer la production… sans rien céder sur nos revendications. La direction refuse toujours de négocier sérieusement.
En l’état : pour ceux qui décideraient de quitter PSA, aucune garantie d’obtenir un CDI, une prime de licenciement s’élevant seulement à 9 mois de salaires. Et pour ceux qui choisissent la mutation à Poissy ou un autre site : ni garantie de logement, ni de garder son poste, et une prime de transfert de seulement 5000 euros ! 
Alors si PSA veut que la production redémarre, c’est très simple : qu’ils accèdent à nos revendications ! En effet, quand ils essayent de redémarrer la production à Aulnay, ils n’y arrivent pas car ce sont les non grévistes qui les envoient promener. 
PSA n’en a pas fini avec les travailleurs d’Aulnay… et d’ailleurs !

 
Nos actions
 
 
Déclarations
 

Le début de la fin : Il n’y a aucun moyen de soutenir un boom économique résultant de l’expansion à crédit


 Forum Monétaire de Genève pour la paix et le développement

« . L’alternative est ou bien d’aboutir à une crise plus tôt par arrêt volontaire de la création monétaire, ou bien à une crise plus tard avec l’effondrement du système monétaire qui est en cause… Le résultat de l’expansion du crédit est un appauvrissement général…Les crises économiques sont provoquées par les politiques monétaires expansionnistes des banques centrales » (Ludwig von Mises).

La Federal Reserve et les autres banques centrales occidentales voulant contrôler les prix de tous les actifs, comme elles contrôlent déjà l’émission monétaire et les taux d’intérêt à court terme, pour faire monter ceux qu’elles entendent favoriser (obligations et actions) et baisser ceux qu’elles entendent dévaloriser (métaux précieux), n’y parviendront sans doute pas tant les prix de ces actifs sont éloignés de leur valeur réelle (obligations et actions sur-évaluées et métaux précieux sous-évalués) et tant les moyens effectifs en actifs réels desdites banques sont insuffisants (puisque leurs stocks d’or de toutes façons très faibles sont très inférieurs à ceux qu’elles annoncent détenir). La preuve : la Fed vient de demander à la Bundesbank un délai de sept ans pour lui restituer l’or allemand qu’elle est supposée détenir en dépôt et que la banque centrale allemande veut récupérer ! De telle sorte que, au mois de janvier 2013, à nouveau, la Federal Reserve US, via la Banque des Règlements Internationaux, dont les opérations sont de plus en plus obscures, et les bullion banks (qu’elle finance à taux zéro et auxquelles elle prête de l’or qui est ensuite vendu sur les marchés) ont tenté de casser à la baisse les prix de l’or et de l’argent-métal en supprimant leur libre marché au moyen de toutes sortes de manipulations qui n’ont pas réussi. Étant donné que l’or et l’argent-métal sont finalement remontés à des niveaux proches de leurs clôtures de fin décembre 2012, en liaison avec la chute du Dollar US Index et l’annonce d’une croissance économique négative aux USA au dernier trimestre 2012 accompagnée de l’effondrement de l’indicateur de confiance des consommateurs US et d’un taux de chômage en augmentation, ce qui signifie qu’IL N’Y A PAS DE REPRISE ÉCONOMIQUE SUI GENERIS AUX USA et que la hausse de la bourse des actions US n’est qu’une bulle sans fondement.

La réalité, c’est que la supposée relance de l’économie US par le laxisme monétaire et budgétaire keynésien n’a évidemment pas fonctionné (pas plus qu’elle n’avait fonctionné jadis au Japon, récemment en Grande-Bretagne ou ailleurs). Et que les USA ont perdu tout contrôle de leurs déficits et endettements abyssaux comme de leur création de fausse monnaie à l’infini qui s’emballent, les Républicains par lâcheté politique ayant même renoncé à contraindre l’administration démocrate Obama et la Federal Reserve de revenir à un peu de discipline dans ces domaines. Tout l’Occident, dont les dettes continuent de s’accroitre (sauf en Allemagne et en Europe du nord), est en stagnation économique et en hyper-endettement, sans autres solutions pour s’en sortir et repartir de l’avant sur des bases assainies que de pratiquer une pénible mais indispensable austérité budgétaire et la liquidation de tous les mécanismes et institutions (les banques zombies « too big to fail » par exemple) en faillite virtuelle ou réelle comme de cesser toute forme de Quantitative Easing ou de LTRO, constitutifs du prochain krach boursier des actifs de papier maintenus artificiellement hors de l’eau depuis trop longtemps.

Mais comme l’on ne s’y résout pas et que la  planification monétaire centrale dirigiste persiste, aux USA en particulier, on peut s’attendre dans les premiers mois de 2013 à une double chute du dollar US (surtout contre l’euro) et des actions US (mais aussi européennes suite à la hausse de l’euro contre toutes les monnaies), ce qui devrait rendre aux métaux précieux (exprimés en dollars US surtout) le lustre qu’ils ont perdu en 2011-2012. D’autant que la « guerre des monnaies », réactivée par le Japon qui veut relancer l’inflation en détruisant le yen comme si cela pouvait ranimer son économie déjà la plus endettée au monde, permet de penser que l’ensemble du Système monétaire international, devenu non réformable sauf à revenir à l’étalon-or ou au bimétallisme permettant ainsi de mettre un terme aux politiques discrétionnaires et de manipulation des banques centrales, sera de plus en plus instable jusqu’à son éclatement partiel ou total. NOUS N’AVONS JAMAIS ÉTÉ DEPUIS PRES DE DIX ANS AUSSI PRES DU GOUFFRE, EN PARTICULIER DE L’EFFONDREMENT DU DOLLAR US ET DE TOUS LES INSTRUMENTS DE PAPIER (ACTIONS OU OBLIGATIONS) CÔTES DANS CETTE MONNAIE.

Techniquement, il est probable que les prix les plus bas de l’année 2013 ont été atteints sur l’or et l’argent-métal en janvier 2013 (vers 1.625 et 29 dollars US l’once respectivement) et qu’ils devraient progressivement remonter vers leurs plus hauts de 2011. A noter que les cours des actions des sociétés minières (qu’il ne faut surtout pas acheter) s’effondrant par suite de la diminution drastique de leur rentabilité, comme de la chute de leur production (en Afrique du Sud et ailleurs), on devrait constater en 2013 une fuite des investisseurs de ces « actifs papiers » vers les métaux eux-mêmes (or, argent-métal, mais aussi platine et palladium dont l’offre diminue) qui sont les seuls « actifs réels » quelle que soit la forme de les acheter (physique, à terme, options, ETF, etc.).


France : Combien de temps avant que Le corps social en déliquescence ne s’écoule sur les pavés ?


Ca va mal en France… Le corps social est en déliquescence, combien de temps encore avant qu’il ne s’écoule sur les pavés ?
Pour le moment les apparences continuent de tromper, d’aveugler les regards complaisants. Alors qu’il suffit pourtant de sonder, d’écouter les murmures de désespoir, de sentir l’air saupoudré d’un souffre caoutchouteux émanant de barricades éparses d’ouvriers excédés. Oui, les inquiétudes et les colères s’additionnent dangereusement, et il est certain qu’elles ne se satisferont plus dorénavant de vagues indignations.


Car en effet, le printemps des marionnettes gesticulant sur les pelouses me semble révolu. Même si quelques espoirs crédules transpirent encore de nos électeurs asservis, il est clair que la plupart des attentes inhérentes à toute transition présidentielle et législative sont désormais avilis. Il aura quand même fallu que le peuple de France s’embourbe une fois de plus dans de mielleuses promesses, pour enfin apercevoir l’aube d’une désillusion salvatrice. Maintenant que « le changement » est au pouvoir, qui peut encore feindre de ne pas voir…que nos politiciens successivement élus sont en tout point corrompus ?

Les ouvriers de chez ArcelorMittal, eux, en tout cas ont compris que Hollande, à l’instar de Sarkozy, s’était bien foutu de leur gueule, quand perché sur la camionette de l’intersyndicale il déclarait : « Je viens devant vous prendre des engagements (…) Je ne veux pas me retrouver  dans la situation d’être élu un jour sur une promesse et ensuite de ne pas revenir parce qu’elle n’aurait pas été tenue »… La teneur de sa promesse ? L’une de celle qu’aucun de nos politiciens libéraux européistes n’est en mesure de tenir tant leur pouvoir sur les grands patrons de l’industrie est inexistant ! Car contraindre un industriel à préserver la totalité de ses forces vives de production, ou à examiner sérieusement les propositions de reprise quand il se désengage d’un site rentable, reviendrait à imposer une politique nationale pour le moins raisonnable, à la manière d’un Chavez, ou même d’un Poutine… Mais à l’évidence, ce genre de volontarisme politique est en somme tout à fait impensable pour nos oligarques socialistes, et tout bonnement interdit par un traité de Lisbonne, pour qui, seuls les droits des capitaux priment !

Ainsi, pour palier à sa traîtrise absolue et tenter de camoufler son impuissance instituée, notre gouvernement tente de distraire l’opinion par l’intermédiaire de ses ministres amuseurs de galerie.

Montebourg, le rocambolesque 

En juillet dernier, le chevaleresque ambassadeur du redressement productif exhibait son lyrisme à la face de la famille Peugeot, en leur sommant de revoir à la baisse le plan de quelques 8 000 licenciements. Mais manque de pot pour le grand Arnaud, PSA n’eut que faire de ses frasques, et ajouta même par la suite 1 500 têtes au panier des décapités !

Chez Renault non plus, on ne craint rien du verbe de nos socialos… Un pacte de « compétitivité » est à deux doigts d’être signé par des syndicats négociant le gel des salaires ; l’allongement du temps de travail ; le non remplacement des effectifs… Sous peine de quoi ? Carlos Ghosn délocalisera sa production à l’Est sans la moindre hésitation !

Est-ce le prix à payer pour éviter la sortie de route ? Les employés de chez Goodyears peuvent témoigner que non. Il y a déjà quelques années, ils concédaient le même type d’ajustements structurels pour sauver leurs emplois. Vous connaissez la suite, elle se joue actuellement entre Montebourg et l’éventuel repreneur Titan, qui vilipende outrageusement les restes du modèle social français…

Hé oui, ça va mal en France ! Après la Grèce, l’Espagne, le Portugal et l’Italie, nous sommes sommés d’accélérer la mise au pas de notre économie selon les standards de la mondialisation. Les ordonnances de ces grandes entreprises ne sont d’ailleurs que la partie visible de la précarisation des travailleurs… ou devrai-je dire : de la flexibilité nécessaire au retour de la croissance économique !

Car en effet, il y a tous ceux que l’on ne voit pas, en tout cas pas dans les médias : nos petits producteurs : laitiers, porchers, volaillers, agriculteurs et j’en passe ! qui travaillent à perte, au prix d’une vie sacrifiée par le stress, l’isolement, et une surcharge de travail telle que tous les jours au moins l’un d’entre eux baisse les bras et se libèrent en se suicidant !…

Nos travailleurs de la terre ne font définitivement pas le poids face aux exigences des marchés seuls maîtres des prix d’achat. On sait d’ailleurs que les CarrefourLeclerc et autres Intermarché tirent un maximum de profit de leur puissance hégémonique, en contribuant à éradiquer la diversité des petits commerces de proximité.

Qui a dit : l’Europe c’est la paix ?

9 millions de nos concitoyens vivent sous le seuil de pauvreté. Le marché du travail est complètement saturé. Les immigrés affluent de l’Est, du Sud, croyant trouver ici l’issue à leur misère…s’entassant sur nos trottoirs en espérant qu’au bout du froid un visa leur sera octroyé. Ainsi, la guerre pour travailler est totalement déclaré, tels des esclaves suppliant leur maître, le sésame s’ouvrira à qui coûtera le moins cher !… À la manière de nos voisins allemands, qui ne bénéficient d’aucun salaire minimum, dont 3 millions travaillent pour moins de 5 euros de l’heure, dont un emploi sur trois n’est ni à plein temps ni à durée indéterminée, et où un sur dix est un « mini job » rémunéré à moins de 400 euros par mois…

Soyez donc certain qu’en ces eaux troubles nous naviguons, tant le modèle économique allemand est vanté par nos oligarques de tout bord. Car pendant que l’ex-indépendantiste guyanaise Taubira transfiguraitl’égalité social en égalité des moeurs, dans les coulisses du pouvoir le MEDEF et les syndicats négociaient un accord de « sécurisation de l’emploi » : le futur plan de compétitivité / flexibilité du marché du travail, que notre cher Hollande nous vendra sous couvert de lutte contre le chômage et de retour de la croissance.

Ainsi, dans les années à venir on peut s’attendre à voir flamber les immolations un peu partout en France. À moins que nous sonnions le glas de ces politiques traîtres à la nation, en prenant le pavé tous ensemble, pour exiger de redéfinir par nous même le cadre de l’intérêt général. Sinon notre sort est scellé, nous suivrons bon gré mal gré celui de nos amis grecs, portugais, espagnols, et j’en passe…

La DCRI met les mouvements écologistes sous surveillance


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« Les mouvements de défense de l’environnement, qui peuvent être amenés à conduire des ’actions fortes’ sur les thèmes du nucléaire ou du gaz de schiste, doivent également ’faire l’objet d’une veille permanente’ »
Comme le gouvernement de droite dure au Canada, celui des « socialistes » considère les écologistes comme une menace à l’ordre public
lefigaro.fr (presse collabo)- 15 février 2013

Les services de renseignement de la police ont reçu récemment comme instruction de suivre « au plus près » les entreprises en difficulté afin d’anticiper une éventuelle « radicalisation » de mouvements sociaux, selon une note de service.
« Dans un contexte économique dégradé qui touche l’ensemble des territoires, il est important de suivre au plus près la situation des entreprises et filières fragilisées, ou susceptibles de le devenir », explique cette note du directeur central de la sécurité publique (DCSP), qui fixe les objectifs prioritaires de la sous-direction d’information générale (SDIG, ex-RG).
Ce document, daté du 30 janvier et transmis aux différents directeurs départementaux de la sécurité publique (DDSP), souligne la nécessité« d’anticiper » les mobilisations, ainsi que « les risques d’incidents » ou d’éventuelles « menaces sur l’outil de production en cas de radicalisation d’un conflit ». Depuis plusieurs mois, le contexte social s’est détérioré en France, avec plusieurs annonces de suppressions de postes dans différents secteurs (PSA, Renault, Petroplus…).
Les services de renseignement, selon des sources policières, craignent une « radicalisation » de salariés de ces entreprises en difficulté, qui pourrait notamment apparaître lors d’une manifestation le 12 février à Paris.
Des réunions ont eu lieu à cet égard, notamment à la préfecture de police de Paris (PP), et ce mouvement, « s’il est confirmé », est « suivi de très près », selon les sources. La note « insiste » notamment sur la« nécessité de préserver et renforcer au besoin le potentiel d’analyse et de couverture des territoires dans ce domaine ».
Concernant les quartiers sensibles, la note précise que le travail de veille doit être « prioritairement » orienté vers les zones de sécurité prioritaires (ZSP) lancées par le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Les fonctionnaires de la SDIG sont également invités, avec leurs homologues du renseignement intérieur, à détecter des « groupes ou individus à risque » qui graviteraient dans les milieux islamiques en France.
Parmi les groupes ou milieux à suivre « avec constance », la note évoque« les sectes apocalyptiques, les groupes survivalistes, tout comme les nouvelles thérapies ». Les mouvements de défense de l’environnement, qui peuvent être amenés à conduire des « actions fortes » sur les thèmes du nucléaire ou du gaz de schiste, doivent également « faire l’objet d’une veille permanente », explique cette note.

Source : Le Figaro.fr (presse collabo)

Le nouveau slogan de Valls et du PS :

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Et ce qu’on lui répond :





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La Réunion entre en révolte contre le Gouvernement Ayrault



Lutte sociale à la Réunion: la France en pleine crise.


de 

A ce jour, rares ont été les interventions médiatiques sur ce sujet, or un département français vit un conflit social de la plus haute intensité: la Réunion connait depuis le début du mois de février une vague d’affrontements entre jeunes et forces policières. 



La situation économique de l’île n’échappe pas à celle du reste du pays: elle s’est dégradée avec la crise et l’accès à l’emploi est de plus en plus difficile pour les jeunes diplômés ou non. Le taux de chômage s’élève à 30% et passe à 60% pour les jeunes. Ces derniers ont donc choisi de manifester leur mécontentement dans plusieurs villes du département, mais  à chaque fois, la seule réponse de ce gouvernement inique est d’envoyer des bandes de CRS anti-émeutes. Autant dire qu’avec une telle méthode de médiation, le conflit a toutes les chances de perdurer.
La Réunion connait donc une nouvelle vague de protestation somme toute légitime après celles contre la vie chère de l’an dernier. 

C’est surtout une réponse appropriée aux actes du gouvernement Ayrault pour qui ce territoire, comme tout le reste, ne mérite ni attention particulière, ni mesure choc pour lutter contre l’appauvrissement et le chômage.

Les emplois d’avenir et autres contrats aidés mis en place par le gouvernement sont d’un ridicule face à une situation de plus en plus crisogène et il est temps, en effet, de passer à la révolte.
Nous vous tiendrons informé de la situation à la Réunion, en espérant que ce conflit, appelé parfois « guérilla » par les médias mainstream, devienne l’épicentre d’une révolte française et européenne face aux abjections de la classe dirigeante.

AR
Actualutte | Lutte sociale à la Réunion: la France en pleine crise.

9 mois après son élection François Hollande accouche d'un état plus clientéliste que jamais


La Socialie dans toute sa splendeur ( petit bilan d'étape ...)


de 


Petit bilan d'étape... sur les renoncements, couacs, reniements, incohérences et autres cafouillages... en Socialie.

Hier, dans Politiquement Show, Jérôme Jaffré disait à propos de la gauche française qu'elle était en état de sidération et de désagrégation. Comment pourrait-il en être autrement:

- Clientélisme:  Suppression du jour de carence pour les fonctionnaires,

- Des " hypothèses de croissance réalistes " sans cesse revues à la baisse et au final un 0% et 3,6% de déficit,

- Emplois à domicile ? Fin du forfait et doublement des charges sociales pour le particulier- employeur,

Nominations des amis, des copains, d'une " ex " à des postes prestigieux ou d'influence: Une république exemplaire ?

Rompre avec " le tout carcéral ", la garde des Sceaux propose l'instauration de peines de probations, la fin des sanctions automatiques et des peines plancher, la suppression de la rétention de sûreté et la systématisation des libérations conditionnelles,

- Une réforme bancaire a minima: " Son seul adversaire "  en rigole encore,

- Rythmes scolaires, personne n'en veut, sauf son promoteur, Vincent Peillon,

- Re-fiscalisation des heures supplémentaires entraînant une perte de pouvoir d'achat pour des millions de Français,

- 33 milliards de hausse d'impôts,

-  Entre 1 000 et 1 500 chômeurs de plus chaque jour,

- Un pacte de compétitivité dont on ne parle plus, un pacte de croissance disparu, un traité européen validé dans sa totalité,

- Plus de 100 heures d'un faux débat à l'Assemblée Nationale alors que le pays s’enfonce chaque jour un peu plus dans la récession,

Cafouillage sur la PMA et circulaire Taubira demandant la régularisation des enfants nés dans l'illégalité par GPA,

- 600 000 personnes dans la rue le 13 janvier: une manifestation tout juste " consistante ",

- Liberté de conscience pour les maires, un jour; liberté de conscience, jamais, le lendemain,

- Des lobbies qui font la loi et imposent leur volonté au chef de l'Etat, 

- Un ministre des Anciens Combattants, Kader Arif, qui annonce à tort la libération des otages en plein hémicycle,

- " En aucun cas, la France n'interviendra au Mali " qu'il disait,

- Budget européen: Confondre " bon compromis " avec " camouflet ",

- A propos du renoncement de Benoit XVI, " La France n'a pas de candidat à proposer ",

- Le nouveau leadership européen : Merkel-Cameron,

- Imposition à 75%, la proposition qui fit " gagner " hollande, dit-on, une nouvelle Arlésienne qui, à défaut  d'être instaurée, aura eu le mérite de faire fuir les investisseurs et favoriser l'exil fiscal...

Stop ou Encore ?

 
D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr