samedi 16 février 2013

Cinq personnes ont voulu s'immoler par le feu en France en deux jours

Pour le clown qui nous sert de Président il s'agit d'un "acte personnel" sur fond de "travail exemplaire des services de l' emploi"...bla bla bla.


Immolation: Hollande exprime "une émotion toute... par afp

Que se passe-t-il en France ? Ce vendredi, au moins trois personnes, dont un gosse de 16 ans, ont tenté de s’immoler par le feu. Parmi eux, un collégien de 16 ans. L’exemple du fait divers tragique de Nantes de mercredi

Rappel des faits de ce vendredi.
1. Homme de 49 ans (chômeur en fin de droits ?) à Saint-Ouen
Un homme de 49 ans se présentant comme un chômeur en fin de droits a été hospitalisé vendredi après avoir tenté de s’immoler par le feu en pleine rue à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Victime de brûlures aux premier et deuxième degrés au niveau des mains, du visage et du torse, il a été transporté à l’hôpital Saint-Louis à Paris, mais ses jours ne sont pas en danger.
La victime «s’est aspergée de liquide inflammable vendredi vers 10H30, à son domicile, avant de mettre le feu à ses vêtements au pied de son immeuble», situé à proximité d’une école primaire, a raconté la préfecture.
Des passants ont appelé les secours, qui sont rapidement intervenus pour éteindre le feu et le prendre en charge, a-t-on précisé. «Il a expliqué son geste par sa situation» de chômeur en fin de droits, «mais cela doit être précisé», a indiqué la préfecture, qui fait également état de «problèmes de nature privée et familiaux».
2. Un adolescent de 16 ans dans un collège de La Rochelle
Un adolescent de 16 ans, qui a tenté de s’immoler par le feu vendredi dans un collège de La Rochelle, en a été empêché par d’autres élèves et pris en charge médicalement, bien que ne souffrant pas de brûlures. Selon les premiers éléments de l’enquête, le jeune homme, élève en classe de 3ème au collège Albert Camus, se serait aspergé à hauteur de la poitrine d’un liquide inflammable dans un recoin de la cour de récréation, et aurait allumé un briquet.
Ses vêtements ont pris feu au niveau du thorax, mais d’autres élèves sont alors rapidement intervenus, l’un d’entre eux en particulier le poussant vers les toilettes et l’aspergeant d’eau, pour empêcher que le feu ne se propage. Seul son blouson a été partiellement brûlé.
Les raisons du geste du collégien n’étaient pas immédiatement connues, même s’il a apparemment dit aux secours «avoir été influencé par des événements des derniers jours mettant en scène des adolescents», en référence à des immolations et des suicides, a-t-on précisé de source de proche de l’enquête.
3. Un homme d’une trentaine d’années s’asperge avec 5 litres d’essence à Beaune
Un homme d’une trentaine d’années a menacé de s’immoler par le feu devant un supermarché à Beaune avant d’être maîtrisé par les secours. «Il s’était versé un bidon de 5 litres d’essence sur lui et menaçait d’allumer un briquet. Il a été maîtrisé par la police et les pompiers», a-t-on appris de même source, confirmant une information du Bien public.
L’alerte avait été donnée par des témoins sur place.
L’homme a été transporté vers le centre hospitalier de Beaune. Les motivations de son geste n’étaient pas connues dans l’immédiat.


Benoit XVI était sous le coup d'un mandat d' arrêt européen


Le pape Benoît a démissionné pour éviter son arrestation et la saisie des richesses de l’église


Une note diplomatique a été envoyé au Vatican juste avant la démission
Le nouveau pape et le clergé catholique font face à une accusation et à une arrestation par la poursuite du plan de la  »Réclamation de Pâques »

La démission historiquement sans précédent cette semaine du pape Joseph Ratzinger a été imposée par l’action imminente d’un gouvernement européen qui demande pour Pâques un mandat d’arrêt contre Ratzinger et un nantissement public contre les propriétés et actifs du Vatican.

Le Bureau Central de l’ITCCS de Bruxelles est contraint par la soudaine abdication du pape Benoît à révéler les détails suivants :

1. Le 1er février 2013, sur la base de preuves fournies par notre Cour affiliée de Justice de droit commun (itccs.org), notre Bureau a conclu un accord avec les représentants d’une nation européenne et ses tribunaux à garantir un mandat d’arrêt contre Joseph Ratzinger, alias le pape Benoît, pour crimes contre l’humanité et pour avoir ordonné une conspiration criminelle.
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2. Ce mandat d’arrêt devait être délivré au bureau du  »Saint-Siège » à Rome, le vendredi 15 février 2013. Il permettait à la nation en question de consigner Ratzinger en tant que suspect criminel s’il pénétrait son territoire souverain.

3. Une note diplomatique a été émise par le gouvernement de la dite nation au secrétaire de l’état du Vatican, le cardinal Tarcision Bertone, le lundi 4 février 2013, informant Bertone du prochain mandat d’arrêt et invitant son bureau à s’y soumettre. Aucune réponse à cette note n’a été renvoyée par le cardinal Bertone ou son bureau ; mais 6 jours plus tard, le pape Benoît démissionnait.

4. L’accord entre notre Tribunal et la dite nation comportait une deuxième disposition, l’émission d’un nantissement commercial par l’intermédiaire des tribunaux de cette nation contre les propriétés et richesses de l’église catholique romaine à compter du dimanche de Pâques, le 31 mars 2013. ce nantissement devait s’accompagner de la  »Campagne de Réclamation de Pâques », par laquelle les biens de l’église catholique devaient être saisis et revendiqués par des citoyens en tant qu’actifs confisqués en vertu d’une loi internationale et la loi romaine du tribunal criminel international.

5. C’est en décision de notre Tribunal et de celle du gouvernement de la dite nation de procéder à l’arrestation de Joseph Ratzinger afin qu’il quitte le poste de pontife romain sous l’inculpation de crimes contre l’humanité et de conspiration criminelle.

6. C’est de plus notre décision d’inculper et d’arrêter pour les mêmes charges le pape qui succédera à Joseph Ratzinger ; et d’appliquer le nantissement commercial et la  »Campagne de la Réclamation de Pâques » contre l’église catholique romaine, comme prévu.

Pour terminer, notre Tribunal reconnaît que la complicité du pape Benoît dans les activités criminelles de la Banque du Vatican (IOR) l’a forcé à sa démission finale par des officiels très haut placés du Vatican.
Mais selon nos sources, le secrétaire d’état Tarcisio Bertone a intimé immédiatement à Joseph Ratzinger de démissionner et cela en réponse directe à la note diplomatique concernant le mandat d’arrêt émis contre lui le 4 février 2013 par le gouvernement de la dite nation.
Nous en appelons à tous les citoyens et gouvernements à assister nos efforts pour dissoudre directement le Vatican and Co, et arrêter ses officiers en chef et le clergé complices de crimes contre l’humanité et de la conspiration criminelle en cours, pour apporter aide et protection contre la torture et le trafic d’enfants.
D’autres bulletins concernant la Campagne de Réclamation de Pâques seront publiés par notre Bureau cette semaine.

Traduit par Hélios pour le BBB.