mardi 5 février 2013

Mali : Les soldats français s'interposent entre deux armées africaines "prètes à en découdre"

Guerre au Mali : Premières tensions sur le terrain entre l'armée malienne et les soldats africains


Alors que le Mouvement National de Libération de l'Azawad (Mnla) annoncent l'arrestation à la frontière algérienne de Mohamed Moussa Ag Mouhamed, considéré comme le numéro trois d'Ansar Dine et que le président du Niger Mahamadou Issoufou, qui considère les jihadistes non comme des musulmans, mais des trafiquants, annonçait que le MNLA n’était pas représentatif du peuple touareg et que ce dernier, selon lui, une des causes de la crise au nord du Mali, devrait être désarmé, KOACI.COM apprend que des tensions sur le terrain entre l'armée malienne et les contingents africains seraient survenues depuis près d'une semaine.

En effet à en croire nos témoignages concordants recueillis, un incident survenu à Sévaré entre militaires maliens et apparemment burkinabés, ce week end aurait révélée un climat explosif entre les hommes en armes locaux et les nouvellement arrivés de pays voisins dans le cadre de la Misma, plan issu d'une résolution de l'Onu.

Une bagarre générale voire plus aurait été évitée de peu avec l'intervention de soldats français venus pour calmer les militaires, apparemment échaudés pour une simple affaire qui trouverait son origine sur des suspicions de délations auprès des militaires français et de journalistes occidentaux présents sur place.

Ce lundi matin, Bamako tente de tout faire pour ne pas ébruiter cette affaire et ce "climat" d'armées qui se regarderaient en chien de faïence sur le terrain d'un pays qui aura recouvré son intégrité territoriale lorsque les soldats de l'opération Serval auront terminé le nettoyage de la région montagneuse de Kidal à l’extrême nord du Mali, lancé depuis plus de cinq jours.

Notons aussi que l'annonce de l'arrestation par le Mnla est diversement apprécié au niveau de Bamako qui considère majoritairement ces touaregs comme de simple résidus d'Ansar Dine et du Mujao, mués en Mnla ou Mia pour sauver leur peaux et tromper la France.

Rappelons que le pays de François Hollande recherche actuellement activement l'islamiste Mokhtar Ben Mokhtar et ses sept otages qu'elle pense, au même titre que le président du Niger, toujours retenus au nord du Mali


IB

Guerre au Mali : Premières tensions sur le terrain entre l'armée malienn

Hollande finira comme Jospin car il n'est pas socialiste



François Hollande sera le dernier président "socialiste"

Il est une contradiction fondamentale de notre époque – largement envisagée par Marcel Gauchet - dont il est complexe de se départir lorsque l'on veut penser l'évolution des sociétés européennes et donc française.
La voici : certes, nous constatons au quotidien, autour de nous, dans la rue, dans la presse, dans nos foyers, que les libertés fondamentales consubstantielles à ce que l'on nomme Démocratie  sont largement garanties et permettent au plus grand nombred'accéder à l'école, à la sécurité, à la possibilité de travailler et de s'associer, d'avoir accès à la Justice, à la Santé et à des conditions de vie assez dignes...
Et pourtant... cette évidence est contredite par l'organisation des structures socio-économiques et supranationales dont les méfaits idéologiques n'agissent qu'à moyen terme et dont on peut observer qu'ils sont  sans conséquences décisives apparentes sur le quotidien des citoyens, alors même qu'ils hypothèquent à moyen terme toute perspective de changement.





D'où ce cruel paradoxe : bien qu'il soit abusif de déclarer que la démocratien'existe plus aujourd'hui, on observe dans une indifférence absolue, naïve ou encore complice, que l'emprise des citoyens sur leur quotidien autant que la réelle capacité d'action de leurs représentants politiques, noyés qu'ils sont dans une monde trop ouvert, n'existent plus.
La ratification du Traité européen et du nouveau pacte de stabilité par François Hollande l'illustre encore une fois. Elle n'a posé aucun problème, ni au Journal le Monde, ni au Conseil Constitutionnel. Concrètement, rien n'a changé. La pays reste le même. Et notre drame, c'est bien que rien n'ait changé, alors même que la souveraineté nationale ( seule garante de la protection sociale et du contrôle des élites par le Peuple ) s'est éteinte.
La droite libérale, on la comprend partiellement, n'a rien à perdre directement à la ratification du Pacte : elle veut la réduction des déficits, l'alignement sur la politique allemande, la réduction de la protection sociale... bref, appliquer la politique de Bruxelles, et tant pis s'il faut une fédération pour cela. Symboliquement, il n'y a pourtant aucun doute quant à l'issue du processus : le mépris des identités démocratiques nationales est voué à l'échec, ce qu'a bien compris Nicolas Dupont Aignan.

A Gauche, le désastre est complet. Son fondement, l'Egalité, se trouve attaquée de tous les bords, par l'abandon des outils économiques monétaire, législatif, commercial et dorénavant budgétaire, seuls capables de garantir la redistribution et d'envisager le progrès social en garantissant un rapport de force équitable entre les citoyens et les puissances de l'argent. Le silence est total, au nom de la préservation de l'idéal européen, de l'intégration, de l'amitié entre les Peuples....blabla ; plus à gauche également, la timidité de Jean-Luc Mélenchon sur la question est regrettable ; certes le leader du Front de Gauche a dénoncé le Traité, mais sans vraiment avouer devoir se construire face aux institutions en place qui n'accepteront jamais (dans leur majorité) ni protectionnisme, ni plus d'égalité.

Après 3 mois de pouvoir, le Parti Socialiste a déjà baissé les bras : François Hollande, en bon libéral, n'a eu d'autre choix que de continuer la politique européenne de Nicolas Sarkozy, de pressurer la Grèce et l'Espagne, au mépris de leurs souverainetés, et de celle de son propre Peuple. Au bout du chemin, choisir l'Europe, c'est avaliser la réduction de la qualité de vie en France, au nom de la compétitivité des entreprises.
Car, enfin ! Il faut choisir : la protection sociale a un coût, la réduction du temps de travail, la sécurité également, protections qui entrent forcément en contradiction à terme avec la baisse exigée des impôts et des charges sociales.

Et l'horloge tourne : l'Euro fort, l'absence de tarifs douaniers, la concurrence illimitée entre toutes les Nations d'Europe, entre elles et avec le reste du monde détruit nos modes de vie, nos emplois et des savoirs faire qui une fois disparus mettrons des années à redevenir soutenables si toutefois on se décide à les protéger...

L'idée d'égalité ne mourra jamais, et si le Parti Socialiste en a abandonné la défense de fait, ses partisans, théoriciens ou modestes gens se reporteront naturellement sur le Front de Gauche ou le Front National, qui d'une façon radicalement opposée affichent au cœur de leur programme la défense des plus modestes et des apeurés du déclassement dont le nombre est amené à croître dans les prochains mois et prochaines années.
Que restera-t-il une fois le mariage homosexuel autorisé (question qui dépasse largement le clivage gauche/droite), et la prostitution abolie ? questions entendons-nous, qu'il faut traiter... Et bien, des pauvres, il restera des pauvres.

François Hollande n'avait déjà plus grand pouvoir que celui de faire de la représentation au Conseil Européen ou lors de voyages d'affaire ; il a décidé, dès son arrivée de réduire encore un peu plus ses marges de manœuvre en confiant la surveillance du budget français à des technocrates néolibéraux. Il reste peu de temps : si la crise touche notre pays rapidement, les français observeront qu'on les a engagé dans le silence le plus absolu sur une voie sans retour possible, de l'austérité (réelle cette fois) et de l'appauvrissement à long terme, sous couvert de solidarité entre états et de légitimité démocratique des urnes (chères à Jean-Michel Apathie).

Que la Grèce sorte de l'Euro et entraine avec elle d'autres pays, François Hollande sera discrédité, et le Parti Socialiste avec, le poussant à se recomposer entre fédéralistes et souverainistes autour d'un Jean-Luc Mélenchon, ayant définitivement rompu avec son illusion des prolétariats unis en Europe.
L'abandon de toute critique sérieuse de la société depuis Mitterrand semble avoir atteint un tel degré de compromission, dans la résignation et libéralisation que les conséquences en seront spectaculaires.
Le PS tel que nous le connaissons ne survivra pas à la fin de ce quinquennat ; et Hollande sera le dernier président d'un parti sans projet ni armes autres que son implantation conservatrice et clientéliste.


Frederichlist



Oh Land oh désespoir : Ils s'accrochent à leur Euro de rentiers et sacrifient la jeunesse


Les financiers US veulent la peau de l’Europe

Un excellent signe de la déconfiture américaine ? Les ordres intimés jusqu’à MARIO DRAGHI (il serait intéressant de se pencher sur les relations entre certains proches de Mme Merkel et Goldman Sachs) pour faire flamber l’euro et laminer l’économie européenne qui peine énormément sur les marchés à l’export avec l’Asie ou dans les pays où nous sommes en concurrence avec le dollar.
Chacun sait que les Allemands n’ont pas trop de problème avec un euro fort : ce sont les Etats du sud de la zone euro qui souffrent… ainsi que la France. Par contre, Berlin va tempêter contre ce fichu Premier ministre japonais qui commence à en faire beaucoup trop. La ‘pression’ monte du côté du patronat allemand…
Pour information et à titre d’exemple : « une hausse de dix centimes d’euro, c’est un milliard de chiffre d’affaires en moins pour EADS », le géant européen de l’aéronautique.




Et que dire de l’Afrique où grâce à la politique étrangère menée par les Sarkozystes Fabiusards, nous torpillons nos marchés… Quel salarié français pourrait être désormais assez stupide pour s’engager en Afrique et devenir un OTAGE de choix pour les réseaux djihadites que le gouvernement soutient financièrement et moralement en Syrie ? Car la France ne parviendra jamais à résoudre le problème du terrorisme et du djihad sur ce continent. Cela fait des années (secret de polichinelle) que les mondialistes œuvrent à la destruction de notre armée nationale, incapable aujourd’hui de faire face à une pandémie mortelle qui va se répandre ailleurs. Aujourd’hui, les politiques ont même peur d’une réaction des militaires qui savent ce qui nous attend (voir le numéro de mi-février de LIESI) et ne sont pas acquis à la thèse marxiste du mondialisme.

Nous sommes dans un monde de fous ! Ils veulent le mariage pour tous, ils veulent user de leur pouvoir pour susciter une révolution contre les commandements de Dieu : ils auront le chômage pour tous. N’est-ce pas un comble d’avoir des idéologues au pouvoir ignorant le principe du retour de flamme dans le processus révolutionnaire ? Comment un Robespierre a-t-il fini ?

Ce que les gens veulent, c’est du travail. Dans les mois qui viennent, le chômage va grimper et le peuple réclamera du pain à F. Hollande. Il ne leur servira peut-être plus le mariage pour tous, mais le droit de vote aux étrangers, ou encore autre(s) chose(s). Quel aveuglement…

La hausse des taux sera l’un des premiers signes. Nous l’avons déjà dit il y a quelques temps… Aujourd’hui, l’Espagne et l’Italie nous donneraient-ils le LA ?

Nous nous rapprochons manifestement de plus en plus de ce qu’annonçait ce super initié qu’était RAKOVSKI DANS SON INTERROGATOIRE mené par les agents de Staline.

http://liesidotorg.wordpress.com/2013/02/04/leconomie-us-prend-leau-et-leurope-est-dans-le-viseur-de-wall-street/

Petroplus sacrifié : L' Embargo vers l' Iran c'est réservé aux européens (dociles) !


Petroplus: le gouvernement écarterait les offres de repreneur

de Le Canard Acharné 
Petroplus
L’intersyndicale de Petroplus a vivement critiqué le gouvernement. Il lui reproche en effet d’avoir dissuadé une société iranienne de déposer une offre de reprise de la raffinerie en difficulté, alors que les propositions solides semblaient rares.
Le porte-parole de l’intersyndicale, Yvon Scornet, disait ne plus être en mesure de dire combien il espérait d’offres. « Cela bouge tout le temps », a-t-il expliqué. Les entreprises candidates ont jusqu’à aujourd’hui 17H00 pour déposer leurs offres auprès de l’administrateur qui les transmettra vraisemblablement mercredi matin, s’il y a lieu, au tribunal de commerce de Rouen. Une date d’audience pourra alors être fixée le cas échéant pour leur examen d’ici deux à trois semaines, a ajouté Yvon Scornet. La société iranienne Tadbir Energy Development Group « s’est retirée » car « le gouvernement a tout fait pour écarter cette offre », a déploré Yvon Scornet.
Plusieurs sources avaient indiqué vendredi que la piste iranienne était compliquée en raison des sanctions pétrolières en vigueur contre le régime islamique. « Il faudra qu’on nous explique pourquoi des sociétés américaines trouvent le moyen de contourner l’embargo, que des pays comme la Corée du Sud ont une dérogation, ce qui permet à la filiale de Total d’acheter du pétrole iranien. Et nous, nous devrions accepter de fermer nos usines pour faire plaisir aux Américains », dénonce l’intersyndicale dans son communiqué.