samedi 19 janvier 2013
Crise économique et sociale mondiale: L’Espagne remet l’autogestion au goût du jour dans la grande tradition libertaire espagnole…
Avec la situation de crise financière et économique, l’Etat espagnol a commencé à réduire très sérieusement sa voilure. Ainsi la fermeture d’entreprises et les licenciements se sont succédé –et continue à se succéder- laissant une traînée de chômeurs. Dans la fièvre de protestations et de résistance, la transformation sociale (avec l’autogestion comme élément central) s’exprime avec force dans l’horizon en Espagne.
Il y a à peine cinq ou six ans, parler d’entreprises récupérées ou de coopérativisme en Espagne aurait été manier des concepts non seulement marginaux sinon profondément éloignés des intérêts et expériences de la grande majorité de la population. Dans le cadre de la société de la bulle financière, la consommation débridée et la « fête » de la jeunesse, personne n’envisageait -ou seulement des groupes réduits ou très localisés géographiquement- la nécessité de travailler par soi-même dans une perspective horizontale ou éloignée du modèle capitaliste. Marinaleda ou Mondragón étaient des expériences autogestionnaires de dimension globale, mais ce qui est sûr, c’est que l’immense majorité de la population hispanique restait profondément éloignée des valeurs qui les sous-tendaient.
Cependant, il n’en fut pas toujours ainsi. Sans devoir remonter aussi loin que les collectivisations, qui surgirent au cours de la guerre civile de 1936-39 (qui couvraient une grande partie de l’industrie, des services et l’agriculture de la zone républicaine), dans le scenario de la Transition espagnole du franquisme à la démocratie, dans les années 70, l’expérience de récupération d’entreprises par ses travailleurs à joué un rôle marquant. C’était des temps de crise, de fractures et de grands mouvements populaires. C’est au cours de cette période qu’émergèrent des expériences comme celle de Númax, une usine de matériel électrodomestique autogérée par les ouvriers en réponse à la tentative de fermeture illégale de la part des patrons, dont l’expérience est restée incarnée dans deux films documentaires Joaquím Jordá : Númax vit et 20 ans ce n’est pas rien. Certaines des expériences de ces années ont survécu malgré tout jusqu’à aujourd’hui, comme l’entreprise barcelonaise Mol Mactric, capable de réaliser aujourd’hui les châssis d’une ligne du Metro de Barcelone, le train et des centaines de machines industrielles pour des entreprises comme General Motors ; ou l’imprimerie Gramagraf, occupée il y a 25 ans, et qui aujourd’hui appartient au groupe éditorial coopératif Cultura 03. Mais la transition s’est achevée. Et, elle a produit un grand fiasco.
Les principes essentiels du régime franquiste ont été maintenus dans ce qui a consisté en une simple réforme politique qui a intégré le pays dans le cadre de l’Union européenne et de l’OTAN, et qui si elle a concédé certaines libertés publiques, n’a pas remis en cause les mécanismes essentiels de répartition du pouvoir économique et social. Les grands mouvements populaires ont périclité et le « désenchantement » et le cynisme se sont substitués à l’expérimentation et à la lutte. Les propositions autogestionnaires n’ont pourtant jamais disparu mais elles ont été reléguées dans un espace purement marginal. Et, il en fut ainsi pendant que la société de la bulle financière et sa consommation débridée et irresponsable est restée de vigueur. Comment ? Fondée sur le crédit et la surexploitation du travail des immigrés et des jeunes, grâce à la précarisation des conditions de travail et la conformité d’une législation relative au statut d’étranger, l’activité dissimulée et sans droits s’est (de fait) développée.
A l’arrivée de la crise financière et économique actuelle, les structures se modifiaient et tout évoluait : l’explosion du taux de chômage atteignant des niveaux extrêmes jamais vus précédemment dans la société espagnole et la dégradation rapide du tissu productif et entrepreneurial -à l’éclatement de la bulle immobilière- ont généré une situation radicalement nouvelle qui a impliquée le début de grandes transformations économiques mais également socioculturelles. Le chômage et une nouvelle pauvreté contraignaient de larges couches de la population vers l’économie dissimulée et l’encaissement des maigres subsides d’un Etat de Bien-être, qui n’est jamais parvenu à se développer en Espagne à un niveau équivalent à celui des pays centraux de l’Europe. Les extrêmes (plus précisément, extrémistes) ajustements, mis en œuvre par les pouvoirs publics face au déclenchement de la crise de la dette externe générée par la socialisation des dettes privées des entités financières, ont provoqué l’effet qu’il fallait attendre : l’Etat espagnol est devenu un gigantesque champ de ruines économiques où les fermetures d’entreprises se sont succédé et où de larges secteurs de la population ont commencé à être exclus de l’activité productive. C’est dans ce contexte que les succès du 15 mai de 2011 ont éclaté et que le « Mouvement des Indignés » a fait irruption avec force et que les premières tentatives massives de résistance se sont exprimées face au processus de décomposition sociale imposé par les dynamiques néolibérales de l’UE et les gouvernements espagnols.
Dès lors, l’architecture politique de la société est redevenue un élément débattu et discuté publiquement. La politique a récupéré une certaine centralité dans les conversations quotidiennes et dans l’esprit d’une majorité de la population. Parler maintenant de mobilisations, de résistance ou de transformation sociale (avec l’autogestion comme élément central) est redevenue possible. Déjà, dans les mois précédents, en plein déploiement de la crise, les germes et les semences de cette nouvelle situation s’étaient développés. Et, le recours à la récupération d’entreprises par leurs travailleurs était redevenu crédible. En ce sens, au tout début de la crise, près de 40 entreprises avaient été récupérées par les travailleurs et remises en fonctionnement sous statut coopératif, comme l’affirme la Confédération de Coopératives de Travail Associé (COCETA). Parmi celles-ci, nous pouvons relater des expériences comme celle de l’entreprise de robotisation Zero-Pro de Porriño (Pontevedra – NdT : Galice) ou celle de meubles d’agencement de cuisine Cuin Factory en Vilanova i la Geltrú (Barcelone), dans laquelle l’ancien chef a participé activement à la transformation en coopérative et, où tous les travailleurs se sont attribué un salaire égalitaire de 900 euros.
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NASA et ESA présentent en détail leur collaboration pour le vaisseau spatial Orion
Lors d’une conférence de presse au Centre spatial Johnson de la NASA le 16 janvier, les responsables des programmes de vols habités de la NASA et de l’ESA ont annoncé la mise en œuvre d’un accord de coopération visant à construire la prochaine génération de véhicules spatiaux habités.
Les ministres européens avaient voté pour une telle entente lors de la Réunion du Conseil de l’Agence spatiale européenne (ESA) au niveau ministériel, en novembre dernier à Naples. L’entente prévoyait que l’Europe fournirait une contribution en nature à l’exploitation de la Station spatiale internationale (ISS) pour la période 2017-2020, sous la forme d’une participation au développement des propulseurs du nouveau véhicule de transport d’équipage polyvalent Orion de la NASA (MPCV).
Depuis lors, des équipes techniques de la NASA et de l’ESA se sont réunies avec les industriels du secteur de l’aérospatial pour fixer les détails du projet.
Orion est composé d’un module d’habitation et d’un module de service. Le dernier, qui sera construit par les Européens, contiendra les unités de propulsion et d’alimentation électrique, la thermo-régulation ainsi que l’eau et l’oxygène nécessaires à la mission. Ce module sera largué juste avant l’entrée de la capsule habitée dans l’atmosphère terrestre.
L’ESA s’appuiera sur les compétences techniques et industrielles acquises lors du développement et de la fabrication de l’ATV, un véhicule de réapprovisionnement européen entièrement automatisé qui a été utilisé à trois reprises pour approvisionner la Station spatiale internationale (ISS). [1] (Voir l’animation-vidéo ci-dessous.)
Les 150 millions d’euros consacrés à cette tâche seront pris sur la contribution que l’ESA a accepté de faire, selon l’accord de novembre dernier, pour utiliser les équipements de la NASA à bord de l’ISS.
Après un premier vol d’essai de la capsule prévu pour 2014, qui utilisera un système de propulsion transitoire fourni par Lockheed Martin, une première mission à part entière mais non habitée sera envoyée pour éventuellement faire le tour de la Lune en 2017, et Orion sera pour l’occasion équipé de l’unité de service/propulsion construite par les Européens.
Une deuxième mission, habitée par quatre astronautes, suivra en 2021. L’Europe se verra ainsi, pour la première fois, en mesure d’envoyer des hommes dans l’espace en comptant, du moins en partie, sur ses propres moyens.
http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/article/nasa-et-esa-presentent-en-detail-leur
Une victoire patronale totale, une trahison historique des syndicats
La pensée unique consiste à rendre naturelle une évidence, au point que, comme Monsieur Jourdain, on fasse de la prose sans le savoir. C’est tout l’art d’une propagande protéiforme, mais univoque : une seule voix se propage (d’où la propagande), comme un bruit de fond, une musique lancinante qui imprègne les cervelles sans qu’on y prenne garde, et d’autant plus persuasive qu’elle s’écoule par mille bouches, celles des responsables politiques, des journalistes, des « experts », du MEDEF, en somme, des autorités. Il n’en faut pas davantage pour qu’une doxa, une opinion d’ensemble s’impose, marginalisant toute contestation authentique, considérée comme farfelue ou dangereuse.
L’une de ces vérités patentes, outre le métissage de la société, l’abolition des frontières ou l’égalitarisme pour tous, consiste à présenter la loi des marchés et l’adaptation de la société, notamment du code du travail, comme des nécessités contraignantes, dont l’on ne peut s’abstraire. Hors de là, point de salut. C’est en quelque sorte notre destin.
Le fait vaut le droit. « C’est comme cela » équivaut à une loi. Il est vrai que le libéralisme s’est toujours voulu naturel, la main du marché étant l’analogie d’un mécanisme universel dont la dynamique aboutirait à un équilibre, un peu comme dans une jungle.
Tout ce qui gêne le mouvement vers le progrès, la liberté de traiter, de produire et de manœuvrer, doit un jour disparaître. La Commission de Bruxelles ne cesse de donner le la de cette symphonie mondialiste, en écho aux organisations qui régissent l’ordre économique international, et surtout en réponse aux marchés financiers dont les oracles sont les agences de notation.
Il est donc entendu qu’un salarié doit se laisser licencier avec bienveillance, presque avec des remerciements, que la population doit, avec la même gratitude, se voir déposséder de ses droits sociaux, de ses protections, parce que les charges qui en sont la source, les dispositifs législatifs, qui les pérennisent, constituent une gêne pour nos champions de l’industrie, du commerce, et surtout des affaires. Un kit lexical est à la disposition de tous les agents d’endoctrinement, qui usent volontiers, pour enfumer, comme des charlatans de foire, de termes comme « moderniser », « bouger », « archaïsme », « rigidité », « adapter », « flexibilité » etc. Tout responsable qui adopte ce jargon doit être considéré, par les classes populaires, comme leur pire ennemi.
Comme nous ne sommes plus dans un système politique autoritaire et répressif, toute la maestria de la gauche et de la droite consiste à faire passer la pilule en douceur. L’arnaque, en ce qui concerne les négociations sociales qui se sont achevées le vendredi 11 janvier, a consisté, de la part de certains syndicats, du patronat et du gouvernement, à présenter leur conclusion comme un accord « gagnant-gagnant". En réalité, il s’agit d’une régression sociale, sans doute la pire depuis 1945, car les décisions qui ont été prises démantèlent les principes affirmés par le Conseil National de la Résistance.
La tromperie vise à faire croire que la « sécurisation » regarde autant les employeurs que les employés. En réalité, ce qui est présenté comme avancée (extension des complémentaires santé, « portabilité » des droits en cas de changement d'entreprise, amélioration de la formation et de l'information des salariés sur la stratégie de l'entreprise, droits des chômeurs renforcés, taxation des emplois précaires …), pour autant qu’il en résulte des changements substantiels dans le sort des salariés ou des chômeurs, ne suffit pas à masquer l’essentiel, à savoir que, désormais, les patrons ont le droit de licencier à volonté. Mieux, ou pire : il n’existera plus de CDI. Le CDD deviendra la norme dans le secteur privé, et dans celui du public soumis aux règles contractuelles. Ce dont rêvait Sarkozy vient de se réaliser sous un gouvernement « socialiste ».
Une victoire patronale totale, une trahison historique des syndicats
Critique des médias : les chiens de garde
Critique des médias avec Gilles Balbastre (les nouveaux chiens de garde):
Critique des médias avec Gilles Balbastre co-réalisateur du documentaire les nouveaux chiens de garde. Si les médias trompent, manipulent, endorment, ce n'est pas pour la beauté du geste, mais bien pour servir les intérêts du capital et des capitalistes. A l'époque de l'ORTF, l'Etat était aux manettes, aujourd'hui ce sont de grands groupes du CAC 40 qui commandent. Et pour les servir, rien de tel que des journalistes dociles et bien gavés. Ces mêmes journalistes qui nous assurent à longueur de journée, à la TV, à la radio et dans les journaux qu'il faut se serrer la ceinture... source: sonsenluttes.net canalsud: www.canalsud.net | Views: 58 0 ratings | |
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La fin du monde a failli survenir en 1908 : Un coup de tesla ?
Ce n’est pas la première fois que l’humanité se prépare pour le jugement dernier. Dans les années 1960, la crise des Caraïbes aurait pu aboutir à une guerre nucléaire entre l’URSS et les Etats-Unis. Mais peu nombreux sont ceux qui savent que la fin du monde a failli arriver 60 ans avant la création de la première bombe atomique.
Le 30 juin 1908 au matin, un objet en feu a traversé le ciel de Sibérie centrale avant de s’écraser dans la région de la rivière Podkamennaïa Toungouska. Certains témoins décrivaient cet objet comme une boule de feu, d’autres - comme un objet sphérique ou cylindrique de couleur rouge, jaune ou blanche. Des phénomènes étranges ont précédé cette explosion. Quelques jours avant le 30 juin, des lueurs intenses sont apparues dans le ciel entre l’Atlantique et la Sibérie et les nuages sont devenus rougeoyants. Les témoins qui se trouvaient à 200-300 km de l’épicentre de l'explosion ont noté le silence absolu qui l’a suivie. Le ciel s’est soudainement obscurci dans la matinée, et tous les objets, y compris les feuilles et l'herbe ont revêtu une couleur jaunâtre, devenue ensuite orangée et rougeâtre avec des nuances bordeaux. Vers le milieu de la journée, tout était noir, et on pouvait observer comme un mur de couleur argentée dans le ciel.
Une tempête magnétique a commencé après l’explosion. Elle a duré 5 heures. Selon certaines estimations, la puissance de cette explosion a atteint 40-50 mégatonnes – l’équivalent de 2000 bombes atomiques du type de celle qui a été larguée sur Hiroshima. Les chercheurs ont alors supposé qu’une météorite serait tombée dans la forêt, mais personne n’a effectué de recherches pour élucider la cause de cette explosion. Les autorités ont conclu que l’explosion d’un vaisseau spatial extraterrestre serait à l’origine de ce phénomène.
Certains spécialistes soupçonnent l’inventeur américain d’origine serbe Nikola Tesla d’être à l’auteur de cette explosion. Ce brillant ingénieur-électricien est arrivé aux États-Unis venant d'Europe, où des hommes d'affaires malins avaient amassé une fortune grâce à son talent en lui versant une rémunération ridicule. Thomas Alva Edison a alors invité Tesla aux Etats-Unis. Il a travaillé avec lui pendant un an, s’occupant de l'amélioration des moteurs électriques de l’Américain. Mais l’inventeur a rapidement démissionné, n’ayant pas reçu la récompense qu’Edison lui avait promise.
En 1899 Nikola Tesla a créé à Colorado Springs un laboratoire d’étude des phénomènes orageux. Il y a fabriqué un système qui lui permettait de générer des ondes électromagnétiques. Ces ondes quittaient l'émetteur pour se rencontrer à des points diamétralement opposés du globe, au niveau des îles Amsterdam et Saint-Paul dans l'océan Indien. En 1902, l’inventeur a ordonné de construire la tour de Wardenclyffe sur l’île de Long Island à New York. Il s’agissait d’une tour en bois de 47 mètres de haut avec un hémisphère de cuivre au sommet. Grâce à cette installation, Tesla voulait générer et transmettre l’énergie sur de grandes distances. Au début, son projet a connu quelques difficultés. En 1903, l'industriel Morgan qui finançait les travaux de Tesla , a annulé le contrat conclu avec ce dernier, ce qui a forcé l’inventeur à arrêter les expériences en 1905. Mais il n’a jamais perdu l’espoir de pouvoir les mener jusqu’au bout. Tesla a écrit à toutes les instances pour demander une aide financière, en essayant de prouver qu’il est capable de créer une arme très puissante et que ses systèmes énergétiques sans fil sont capables de transformer n’importe quelle zone de la Terre en endroit invivable pour l’homme. Tesla ajoutait également qu'il était prêt à éclairer la route de l’expédition vers le pôle Nord lancée par Robert Peary en 1908.
Le rôle de Tesla dans l’histoire de la science est resté flou. On ignore s’il était le méchant inventeur des armes de destruction massive ou le sauveur de l'humanité.
Entre 1927 et 1939, l’expédition du géologue Leonid Koulik a travaillé dans la zone de Toungouska. Koulik n’a trouvé aucune trace de cratère dans la zone où la météorite aurait touché le sol. Cependant, son expédition a découvert des arbres intacts, mais sans branches, dans la zone de l’explosion. Plusieurs faits semblent prouver que l’explosion se serait produite dans l'air. Les chasseurs des tribus Evenks, qui vivent dans la région, parlaient d’une « eau qui brûle le visage » et de roches incandescentes. Les chercheurs ont également trouvé un grand nombre de petites billes d’un millimètre de diamètre et composées d’une matière frittée. Ces billes ressemblent à celles qui ont été découvertes dans la zone où ont explosé les bombes atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki.
Dans les années 1960, les spécialistes ont déjà émis l’hypothèse selon laquelle une explosion nucléaire aurait pu avoir lieu dans le ciel de la Sibérie en 1908. Aujourd’hui, deux versions sont privilégiées.
Selon la première, Tesla, qui n’était pas animé d’intentions malveillantes, voulait démontrer la force destructrice de son invention, tout en provoquant un minimum de dégâts. Il a choisi à cette fin le désert arctique comme cible, mais s’est légèrement trompé dans ses calculs.
Selon l’autre version, le 30 juin 1908 un astéroïde géant est tombé sur la Terre. L’astéroïde aurait pu produire un effet semblable à celui qui a entraîné l’extinction des dinosaures sur Terre, mais cette fois ce sont les hommes qui auraient disparu. Nikola Tesla a utilisé son installation pour sauver l'humanité en faisant exploser un objet dans l’air à l’aide des faisceaux d'énergie générés depuis sa tour de Wardenclyffe. Rien ne confirme ces deux versions. Et l’énigme de l’explosion qui s'est produite dans ciel de la Toungouska en 1908 n’est toujours pas élucidée.
http://french.ruvr.ru/2012_12_20/La-fin-du-monde-aurait-pu-avoir-lieu-en-1908/