vendredi 11 janvier 2013

Mali : Hollande fait donner la troupe




Cà y est ! Hollande a sa guerre ! 

L’armée française a commencé, hier après-midi, à intervenir au Mali pour aider les troupes maliennes (inexistantes) à arrêter la progression des rebelles islamistes qui contrôlent déjà les deux-tiers du pays et qui s’apprêtaient à lancer leur ultime offensive contre Bamako.
La France est en guerre depuis ce jeudi. Des Français risquent désormais de mourir… pour Tombouctou !
Qu’allons-nous faire dans cette galère ? Sans parler de l’Algérie ou du Vietnam, Hollande ignore-t-il totalement ce qui s’est passé pour la coalition occidentale en Afghanistan, pour les Américains et leurs alliés en Irak et quels ont été les résultats, dramatiques pour tout le monde, de l’intervention française en Libye ? Partout, il a fallu se replier toute honte bue, partout, ce sont les Islamistes qui ont gagné la partie.
Certes, une victoire au Mali des hommes d’Al Qaïda au Maghreb Islamique et de leurs alliés serait (sera ?) une catastrophe car, très vite, la révolution de ces « fous de Dieu » qui veulent abattre l’Occident et imposer la Charia aux populations locales se propagerait (se propagera ?) dans tous les pays voisins, au Niger, au Burkina-Faso, au Tchad, au Sénégal, en Mauritanie et pourrait même renaitre dans le sud algérien. Tout le cœur de l’Afrique deviendrait (deviendra ?) alors une gigantesque base de départ pour le terrorisme islamiste qui pourrait (pourra ?) continuer sa marche en avant… jusque dans nos banlieues les plus reculées.
Mais le président français n’a-t-il pas appris de l’histoire récente qu’aucune armée occidentale n’avait jamais pu remporter la moindre victoire militaire contre des bandes de terroristes animés d’une foi farouche et d’une haine délirante de l’Occident, qui connaissent mieux que nous leur désert et leurs montagnes, qui reçoivent une aide massive en argent et en armes et qui bénéficient, toujours, très rapidement, du soutien de la population qui se mobilise à leurs côtés contre l’envahisseur « infidèle ».
Il serait grand temps, pour les capitales occidentales, de s’apercevoir qu’une 3ème guerre mondiale a commencé le jour où l’ayatollah Khomeiny a pris le pouvoir à Téhéran, en 1979.


La classe dominante...

 n'est ni de droite ni du P.S, elle est au plus près de ses intérêts. Pour le moment, c'est de garder la main sur tous les pouvoirs sans contre pouvoir. 
Quand on voit ce qui se passe... Hollande n' a rien a envier à Sarkozy !

Apprendre à la fin d'un après midi que la France est entrée en guerre au Mali par un Président qui se disait respectueux de la constitution, cela fait vraiment désordre. 
Hollande attaque pour les besoins privés de société françaises au Mali et ensuite il en parlera aux députés. 

Pas de fric pour créer des emplois, faire baisser le chômage, améliorer les services publics mais pour tuer des innocents au Mali Hollande en a trouvé. Les pauvres rapportent du fric aux rentiers mais pas aussi vite qu'une bonne petite guerre


Hollande : «Cette opération durera le temps nécessaire». «Le Mali fait face à une agression d'éléments terroristes venant du nord dont le monte entier sait désormais la brutalité et le fanatisme » a expliqué François Hollande lors d'une allocution depuis l'Elysée, peu après 18 heures, avant de poursuivre : « Il en va donc aujourd'hui de l'existence même de cet Etat ami, de la sécurité de sa population et de celle de nos ressortissants ». « J'ai donc au nom de la répondu à la demande d'aide du président malien, appuyé par les pays africains de l'Ouest. En conséquence, les forces armées françaises ont apporté cet après-midi leur soutien aux unités maliennes pour lutter contre les terroristes » a annoncé le chef de l'Etat, qui a pris cette décision dans la matinée, en accord avec le président malien. «Cette opération durera le temps nécessaire», a précisé le président, précisant que la France intervenait « dans le cadre de la légalité internationale ». Les terroristes « doivent savoir que la France sera toujours là » lorsqu'il s'agit « des droits d'une population qui veut vivre libre et dans la démocratie », a conclu le président Français, qui recevra son homologue malien Dioncounda Traoré mercredi à Paris.


Le Parlement français sera saisi lundi de cette décision, conformément à l'article 35 de la Constitution française.

Des frappes aériennes ont déjà eu lieu. «Il y a d'ores et déjà eu des frappes aériennes» a précisé en soirée le ministre des Affaires Etrangères Laurent Fabius, soucieux d'empêcher la progression vers le sud des islamistes, qui, a-t-il rappelé, voulaient «installer au Mali un Etat terroriste». «Au moment où nous vous parlons, des troupes venues du Nigeria, du Sénégal et de la France sont en appui à Sévaré (centre) à l'armée malienne. Ces troupes sont arrivées avec le matériel nécessaire pour faire face à la situation», avait déclaré dans l'après-midi le chef des opérations militaires à l'état-major des armées, le colonel Oumar Dao, avant que l'information ne soit officialisée par François Hollande. L'armée malienne a par ailleurs déclenché vendredi matin une offensive contre les islamistes pour reprendre la localité de Konna, dans le centre, conquise la veille par les jihadistes, a indiqué un officier de l'armée malienne, selon lequel des appareils militaires de «pays amis» sont utilisés pour tirer sur les islamistes. 


Pourquoi cette brusque accélération ?
«Il y a une nouvelle donne, c'est Konna», a confié vendredi le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, à plusieurs journalistes. Plus question désormais de se donner le temps de former l'armée malienne, puis de soutenir ensuite une force africaine loin d'être sur pied, comme c'était initialement prévu. Le ministre a avancé plusieurs raisons à cette brutale accélération des choses :

- L'armée malienne en déroute : S'ils affirment ne pas avoir été surpris par cette offensive, la rapidité avec laquelle les islamistes ont bousculé l'armée malienne a étonné les responsables français de la défense. «Ce qui frappe le plus, c'est que Ag Ghaly (le chef du groupe Ansar Dine) ait réussi à rassembler des groupes jusqu'ici éclatés et qu'ils aient une vraie organisation de la bataille mise en oeuvre sous l'autorité d'un chef», a souligné Jean-Yves Le Drian devant des journalistes.

- Le pays à deux doigts de l'anarchie : « Une fois Konna franchi, la route est ouverte » vers le sud et la ville de Mopti (plus de 100 000 habitants), à la limite entre le nord et le sud du pays, prévient le ministre de la Défense: « Vu la situation politique à Bamako, il suffit de pas grand chose pour que le pays tombe dans l'anarchie la plus totale ».

- Le statut particulier des militaires maliens de Konna. Les unités maliennes défaites à Konna étant justement celles dont la mission européenne devait assurer la formation, la France et ses alliés occidentaux sont contraints d'envisager d'urgence un autre scénario.


La communauté internationale appelée à l'aide. 
Londres a immédiatement apporté son soutien à l'engagement des troupes françaises. François Hollande  avait indiqué vendredi à la mi-journée que la France répondrait «strictement dans le cadre de l'ONU» à la demande d'aide de Bamako. Dans une déclaration adoptée jeudi soir par ses 15 pays membres, le Conseil de sécurité de l'ONU a d'ailleurs demandé un «déploiement rapide» de la force internationale au Mali devant la «grave détérioration de la situation» sur le terrain. L'Union européenne a également appelé vendredi à l'accélération de l'engagement international pour restaurer l'intégrité territorial de ce pays. Le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle a toutefois appelé à «intensifier les efforts politiques» pour résoudre la crise. «Il n'y aura pas de solution uniquement militaire du problème du Mali», a-t-il mis en garde.

Les ressortissants français priés de quitter le pays. Les choses se sont accélérées ces derniers jours du côté du Quai d'Orsay. La «capacité de surveillance de la zone» par les services de renseignement français a été renforcée depuis plusieurs jours, a expliqué le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, qui a interrompu un déjeuner avec des journalistes ce vendredi pour s'entretenir au téléphone de la crise malienne avec le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta. Le ministre a précisé qu'il devait s'entretenir en fin de journée avec ses homologues Philip Hammond (Grande-Bretagne) et Thomas de Maizière (Allemagne). Paris a également appelé vendredi les français dont la présence n'est pas indispensable à quitter provisoirement le Mali compte tenu de la dégradation de la situation sécuritaire. «En raison de la forte dégradation de la situation sécuritaire au Mali, il est formellement déconseillé de s'y rendre, y compris à Bamako, jusqu'à nouvel ordre», écrit le ministère des Affaires étrangères sur son site internet. 

Melenchon se démarque

L’intérêt d’une intervention militaire extérieure pour régler le problème posé au nord du Mali est discutable.
En décider alors que les intérêts fondamentaux de la France ne sont pas en cause, selon le chef de l’Etat lui-même, et alors que les troupes africaines sont engagées, est discutable.
En décider seul, sans en saisir préalablement ni le gouvernement, ni le Parlement, est condamnable.

Les familles des otages français divisées 


Les familles des huit otages français détenus par des groupes islamiques au Sahel ont exprimé leur inquiétude après l’annonce vendredi de l’engagement de forces françaises aux côtés de l’armée malienne et se divisent sur l’attitude à adopter.

Le président du comité de soutien à deux des otages, Pascal Lupart, a réclamé sur BFM-TV une intervention des forces spéciales dans les camps où se trouvent les Français, estimant que dans le cas contraire, leur vie serait menacée.

« Les forces spéciales, aujourd’hui, il faut qu’elles interviennent », a-t-il dit.

Mais la fille de l’un des deux otages, Diane Lazarevic, s’est opposée sur la même chaîne à cette demande. « Je ne veux pas qu’il y ait une intervention des forces spéciales », a-t-elle dit.

« Je ne vois pas comment la France va attaquer les islamiques, ça me paraît invraisemblable », a-t-elle ajouté, rappelant l’échec d’une opération de ce type il y a quelques années.

« Je constate que nous sommes dans une position où nous subissons les choses. Il y a une série de choses qui s’enchaînent qui nous tombent dessus », a dit pour sa part Jean-Pierre Verdon, père de Philippe Verdon, sur RTL.

« Nous sommes en situation de subir. Notre inquiétude va croissant, c’est une angoisse qui prend un corps de plus en plus consistant », a-t-il ajouté.



source :

Une nette majorité de Français (62%) regrette le franc


LE SONDAGE SUR LE FRANC QUE CACHENT LES ADORATEURS DE L’EURO



du 8 janvier 2013.
Jacques Nikonoff est porte-parole du M’PEP et ancien membre du collège exécutif du PCF, ex-président d’Attac. Derniers ouvrages publiés :
  • « Sortons de l’euro ! Restituer au peuple la souveraineté monétaire » (Mille et une nuits, 2011).
–« La confrontation. Argumentaire anti-FN » (Le Temps des Cerises, 2012).
Fin décembre 2012 l’Institut français d’opinion publique (Ifop) a publié un sondage intitulé « Le regret du franc » qui est une véritable bombe. Une seule question a été posée : « Onze ans après la mise en place de l’euro, regrettez-vous le franc ? ».
Aucune radio, aucun journal télévisé, aucun quotidien national, du Figaro à L’Humanité en passant par Le Monde et Libération, n’a rendu cette information publique. L’omerta a joué à fond, le tabou de l’euro devait rester debout…
Bien entendu, il ne s’agira pas ici de faire des extrapolations et d’interpréter abusivement les résultats de ce sondage comme une volonté de revenir au franc. Mais il n’y a qu’un pas à franchir, pour ceux qui regrettent le franc, pour souhaiter revenir à notre monnaie nationale… C’est une nouvelle preuve que l’euro est un greffon en cours de rejet.
Quels sont les principaux enseignements de ce sondage ?
Une nette majorité de Français (62%) regrette le franc
Ils étaient 39% en 2002, témoignant ainsi de la détestation croissante de cette monnaie dont les citoyens mesurent aujourd’hui les nombreux aspects néfastes. Certes, on observe un petit recul sur 2010 (69%), mais à cette époque la crise de l’euro était à son apogée. Les décisions de la Banque centrale européenne (BCE), de septembre 2012, d’acheter « sans limite », sur le marché secondaire obligataire, les titres des États de la zone euro a calmé provisoirement la crise. Mais aucun problème de fond n’est réglé, les divergences économiques et sociales entre pays vont s’approfondir et relancer, tôt ou tard, la crise de l’euro. Et probablement lui donner son caractère terminal.
Ceux qui regrettent le plus le franc sont, dans l’ordre, les électeurs du FN, les électeurs de gauche et les électeurs de droite
Les dirigeants du Front national, qui prétendent avec beaucoup d’ambiguïtés et d’inefficacité vouloir sortir de l’euro, sont en phase totale avec leur électorat : 95% regrettent le franc.
Les dirigeants de la gauche (on peut certainement mettre le Parti socialiste et le Front de gauche dans cette catégorie), ont du souci à se faire car ils sont en profond décalage avec leur électorat. Étant favorables à l’euro, leurs électeurs regrettent pourtant le franc à 58%.
Quant aux dirigeants de droite, ils sont eux aussi en décalage avec leur électorat, mais moins que la gauche. Ce sont en effet 51% des électeurs de droite qui regrettent le franc.
Ceux qui regrettent le plus le franc sont les femmes, les moins de 35 ans, les ouvriers et employés, ceux qui gagnent moins de 1 499 euros par mois, ceux qui ont voté Le Pen et Mélenchon à la présidentielle
À 70% contre 54% pour les hommes, les femmes déclarent regretter le franc.
Concernant l’âge :
• Les 18 à 24 ans répondent oui (regretter) à 60%.
• Les 25 à 34 ans répondent oui à 69%.
• Les 35 à 49 ans répondent oui à 71%.
• Les 50 à 64 ans répondent oui à 68%.
• Les 65 ans et plus répondent oui à 37%.
Concernant les professions :
• Les ouvriers répondent oui (regretter) à 80%.
• Les employés répondent oui à 75%.
• Les artisans et les commerçants répondent oui à 72%.
• Les professions libérales et les cadres supérieurs répondent oui à 41%.
Concernant les revenus :
• Les Français qui gagnent moins de 1 499 euros par mois répondent oui (regretter) à 74%.
• Les Français qui gagnent de 1 500 à 2 299 euros par mois répondent oui à 70%.
• Les Français qui gagnent de 2 300 à 2 999 euros par mois répondent oui à 61%.
• Les Français qui gagnent de 3 000 à 4 500 euros par mois répondent oui à 54%.
• Les Français qui gagnent plus de 4 500 euros par mois répondent oui à seulement 35%.
Concernant la proximité politique :
• Front national (regret à) 95%.
• Front de gauche 75%.
• Europe-Écologie-Les-Verts 56%.
• Parti socialiste 52%.
• UMP 51%.
• UDI 32%.
En conclusion, plusieurs partis sont en décalage plus ou moins prononcé avec leur électorat. Le cas le plus flagrant est celui du Front de gauche dont les dirigeants clament dans les médias « l’euro est à nous  », alors que 75% de leurs électeurs regrettent le franc. À un moment ou à un autre cet équilibre va se rompre soit par l’adoption, par le Front de gauche, de positions plus critiques vis-à-vis de l’Union européenne et de l’euro, soit par le départ de ses électeurs.
Le Parti socialiste et Europe-Écologie-Les-Verts sont dans une situation assez semblable, mais moins prononcée que celle du Front de gauche.
Même chose pour l’UMP où on peut constater qu’il demeure des traces de l’hostilité du gaullisme à la construction européenne.

Mariage pour tous : Et si c'était une question de fiscalité ?


source : 24heuresactu - Le site qui vous parle d'actu autrement

Alors qu’il a basé une partie de sa campagne et de son programme politique sur la « justice fiscale« , alors qu’il tue peu à peu la compétitivité des entreprises françaises au nom de cette même « justice fiscale », François Hollande a décidé d’octroyer, comme cadeau de Noël, des déductions d’impôts aux homosexuels.
Le mariage donne des avantages fiscaux à un homme et une femme afin d’inciter ces derniers à faire des enfants qui pourront ensuite servir le pays (en payant les retraites des plus vieux, par exemple). La loi prévoit même une obligation de faire chambre commune de temps en temps. Comme toute les mesures fiscales, il s’agit donc d’avantages donnés afin d’inciter les gens à adopter un comportement (heureusement, on ne peut pas encore forcer les gens à faire des enfants, ni faire des lois qui différencieraient les personnes malades, dans le cas des couples stériles).
L’état paye donc, via des avantages fiscaux, un homme et une femme pour qu’ils vivent ensemble dans l’espoir qu’un enfant naîtra de cette union. Et les statistiques montrent que les gens font plus d’enfants quand ce genre de mesures sont en place. Voilà tout simplement ce qu’est le mariage : une mesure d’allégement fiscal censée inciter les gens à se reproduire et un cadre juridique permettant le meilleur accueil de l’enfant, rien de plus. Le mariage civil n’a jamais eu (et fort heureusement) le moindre rapport avec l’amour.
Voilà pourquoi il ne peut pas s’appliquer aux couples homosexuels qui sont, par essence dans l’impossibilité de se reproduire. De la même manière, une personne valide n’aura pas le droit de disposer d’une place handicapée au nom de l’égalité. Ça serait absurde puisque le principe même des places handicapées et de s’adapter à la situation particulière de ces gens.
Le mariage pour tous consiste donc, finalement, au mieux en un cadeau fiscal accordé par Hollande aux homosexuels en remerciement de services rendus, au pire en une niche fiscale de l’amour, ce qui est plus inquiétant. En quoi l’état devrait-ils récompenser financièrement l’amour ? Quand l’état interfère dans la vie privée des gens et s’occupe de son bonheur, cela s’appelle du totalitarisme. Pas étonnant que les principaux régimes totalitaires de l’Histoire avaient quelque-part inscrit le mot « socialisme » dans leurs statuts…
Dans ce contexte, il existe deux perdants : les couples mariés dont les avantages particuliers sont détruits dans la mesure où ils sont ouverts à tous et les personnes célibataires qui deviennent les dindons de la farce, les seuls à payer plein pot. Pourquoi François Hollande n’établirait-il pas alors directement une taxe sur le célibat ? L’état veut que vous soyez amoureux, en couple et heureux. Si vous ne remplissez pas les critères du bonheur, vous êtes taxés.
Au nom de quoi l’état distribuerait de l’argent aux homosexuels qui veulent se marier ? Cela est complétement absurde et va à l’encontre des positions socialistes sur la justice sociale via la fiscalité ? D’autant plus que la grande majorité des homos qui se sont pacsés font partie des catégories socioprofessionnelles les plus élevées… Autrement dit, après l’exonération d’impôts sur les œuvres d’art, Hollande et Ayrault font un nouveau cadeau fiscal à leur cour de bourgeois parisiens. Elle est pas belle notre gôche morale caviar ?
Encore une mesure absurde et démagogique qui va coûter des millions d’euros à l’état !

Qui se soucie des recommandations de François Hollande ?


Bling-bling: Moscovici, Fabius et Filippetti transgressent les consignes de l'Elysée

Les consignes du gouvernement sont faites pour être brûlées

Quid des consignes de François Hollande avant les vacances de Noël ?

source : PaSiDupes


La presse, dont le JDD, avait respecté
la consigne de taire
l'apparition publique du couple
à Rennes en décembre 2012
Le chef de l'État avait demandé aux membres du gouvernement de séjourner àmoins de deux heures de Paris. Un moyen de ne pas voir se reproduire les critiques formulées cet été contre le gouvernement, que les Français, dans cette période de crise, auraient préféré voir au travail plutôt qu'en vacances.

Mais les ministres n'ont rien à faire des recommandations de François Hollande à son gouvernement à l'occasion du dernier conseil des ministres de l’année 2012. Et encore moins de ce que pensent les Français.


La "gauche molle" avait lancé une campagne d'intox


"Pas de vacances de Noël pour le gouvernement, titra le JDD.fr bien informé.
Hormis un passage dans la famille de Valérie Trierweiler à Angers pour Noël, François Hollande était officiellement restéà Paris pour les fêtes de fin d'année et pour continuer à travailler quotidiennement, selon son entourage, comme ses ministres...
"Il pense que la mauvaise passe a commencé parce qu’il est parti en août", confiait un ministre au JDD. Cette fois, il a même demandé à ses ministres de rester actifs. "Il a été traumatisé par cet été et nous a dit de nous montrer pendant les fêtes, de faire des choses", racontait un autre.

Le JDD était entré dans le jeu du pouvoir et écrivait : "Ses ministres, eux, ont déjà appliqué la consigne élyséenne : le ministre délégué aux Anciens combattants Kader Arif a passé le réveillon de Noël auprès de soldats français au Liban. Sa collègue déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, s'est rendue à un Noël Solidaire de la Croix Rouge au Grand Rex à Paris. Marisol Touraine (Santé) a, elle, passé la soirée du 24 décembre au banquet des Petits Frères des Pauvres dans le 10e arrondissement de Paris. Marie-Arlette Carlotti (Lutte contre l'exclusion) avait pour sa part débuté sa soirée au Samu de l'hôpital de la Timone à Marseille, avant de se rendre dans une unité d'hébergement d'urgence de la cité phocéenne.

Entre Noël et le Nouvel an, plusieurs membres du gouvernement ont prévu de rester dans la capitale, à l'instar du ministre de l'Intérieur. Manuel Valls se rendra régulièrement Place Beauvau "pour étudier certains dossiers, travailler le fond", assure son entourage. Le favori des enquêtes d'opinion fera aussi "un peu de terrain", dont "une sortie" le soir de la Saint-Sylvestre. Même chose pour les ministres de l'Education, Vincent Peillon et de l'Economie, Pierre Moscovici."

Moscovici passait les fêtes au Maroc en pensant fort aux chômeurs

Duflot ne peut réquisitionner sous la houlette de DAL et Jeudi noir:
les locaux sont occupés par des ...dignitaires socialistes français
émigrés au Maroc

Paris Match rapporte que le ministre de l'Economie a emmené sa fille   son épouse au ...Sofitel de Marrakech, un ancien palais mauresque et que les tourtereaux sont allés roucouler chez Mustapha Blaoui, unantiquaire de la médinachez qui la jet-set se fournit en artisanat bling-bling et aussi chez Atika, lechausseur chic spécialistes des mocassins cousus-main.


Laurent Fabius a pris "quelques jours de repos" à ...Zanzibar 

Laurent Fabius est le deuxième ministre découvert cette semaine à plusieurs dizaines de milliers de kilomètres de la capitale pendant les vacances de Noël, dans l'Océan Indien, et ce alors même que des consignes avaient été énoncées par François Hollande à ses ministres – voir le résumé des épisodes ici.

Selon les informations d'Europe 1, Laurent Fabius a passé "quelques jours" au large de la capitale de la Tanzanie, Dar-es-Salaam, dans l'archipel de Zanzibar, à l'occasion des fêtes de fin d'année.



La conseillère du ministre des Affaires étrangères chargée de sa communication confirme à la radio, ce jeudi 10 janvier : "Laurent Fabius a passé quelques jours de repos à Zanzibar."
Et précise : " Je pense qu'il a informé le président de la République de cette destination.

Contacté sur ce point, l'Elysée n'était pas en mesure de confirmer ou d'informer cet échange entre François Hollande et son ministre des Affaires étrangères, jeudi 10 janvier.

Le cabinet de Laurent Fabius insiste, lui, sur le champ d'action du ministre des Affaires étrangères, qui est, par définition, l'étranger. "Laurent Fabius passe quatre jours par semaine à l'étranger, il est plus qu'habitué au travail à distance", explique son entourage... S'il était allé au Mali, au Niger ou au Nigéria, il aurait pourtant pu joindre l'utile à l'agréable...

Conflit d'intérêts ?Le 24 octobre dernier, Laurent Fabius organisait à Paris ses vacances de Noël avec Bernard Kamillius Membe, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République Unie de ... Tanzanie. Aller imaginer que le ministre et sa famille étaient accueillis par des proches du pouvoir serait pure malveillance...L'archipel de Zanzibar est formé de trois îles principales, Unguja, Pemba et... Mafia, nous n'inventons rien !

Filippetti confirme avoir passé les fêtes à l'île Maurice

Confirmant l’autorisation délivrée à la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, de passer une semaine de vacances à l’Île Maurice, l’Elysée avait par ailleurs bien indiqué au Lab, mercredi 9 janvier que celle-ci était "exceptionnelle" : François Hollande a autorisé Aurélie Filippetti à partir si loin à titre exceptionnel, pour des raisons privées.

La ministre de la Culture n'est pas, dans son ministère, dans un rythme d'urgence quotidienne, à l'inverse du ministre de l'Intérieur, par exemple. 


Le bobard de la presse: l'Elysée aurait autorisé la ministre de la Culture à partir, "à titre exceptionnel", alors que ses collègues du gouvernement avaient la consigne de ne pas s'éloigner de leur poste ministériel.

Pourquoi le compagnon de Filippetti
est-il flouté ?
La liaison serait-elle adultérine ?
Bobard de la ministre: ce voyage m'a été offert par mon compagnon. Dès que j'ai connu la teneur de ce cadeau (ce que l'Elysée appelle des "raisons privées"), j'en ai averti le président de la République, qui m'a autorisée à partir." C'est ainsi que la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, s'est défendue sur le site du Lab d'Europe 1 mercredi 9 janvier, après la publication de photos par "Voici" la montrant en vacances loin de Paris au mépris des consignes générales du Chef de l'Etat à son gouvernement de rester près des bureaux parisiens. Interrogée par le site, la ministre raconte qu'elle était en "contact permanent avec son cabinet" lors de son voyage, et que la "continuité était assurée".



Filippetti "retrousse les manches"
à l'Ile Maurice
(photo Voici)
L'Elysée est entré dans le jeu de la collaboratrice et assure avoir laissé partir Aurélie Filippetti "à titre exceptionnel, pour des raisons privées. La ministre de la Culture n'est pas, dans son ministère, dans un rythme d'urgence quotidienne, à l'inverse du ministre de l'Intérieur, par exemple". Où du ministre de l'Economie ?

La ministre avoue toutefois qu'elle n'en a pas tenu informé son cabinet,expliquant ainsi pourquoi ce dernier n'a pas été en mesure d'expliquer à la presse l'origine des photos...

Autre "cachotterie", selon Le Télégramme
Ce que la ministre socialiste se garde bien de préciser en revanche, c'est que son compagnon serait un certain Frédéric Marie Joseph Bruno deLaparre de Saint Sernin et que ce généreux donateur est un cousin germain de ...Dominique de Villepin et ex-militant de au Groupe Action Jeunesse (GAJ). Côté "mariage pour tous" mais pas pour eux, ce compagnon est marié et père de cinq enfants.

Cécile Duflot aux Maldives malgré la pollution en CO2 avait trouvé l'excuse du compagnon attentionné que Filippetti reprend à son compte: que d'imagination, mesdames...
Lien PaSiDupes : Bling-bling Verts: Duflot, par avion aux Maldives pour … protéger la planète ?


Une rumeur sur l’utilisation d’un avion officiel de la République

Quelques jours après Noël, à l’occasion d’un article consacré au démontage d’ Matignon avait, de son côté, assuré au Lab, que"seuls deux ministres [avaient] obtenu une dérogation de l’Elysée pour passer les fêtes de fin d'année loin de la métropole",citant les ministres "Victorin Lurelet George Pau-Langevin […] dans les îles avec leurs familles".
Christiane Taubira  est-elle au nombre des exceptions et s'est-elle  rendue en Guyane avec l'onction présidentielle ? 


Toute la séquence de la communication du "capitaine de pédalo" prend l’eau
Construite sur la démonstration d'un gouvernement pleinement en action au moment des fêtes de fin d'année, elle est contredite par l’annonce de vacances lointaines de la part de poids lourds du gouvernement Ayrault.

Dans son édition du 25 décembre, Le Parisien expliquait : "La semaine dernière, le président a fait passer le message à sa manière : « Il nous a dit que chaque jour de l’année devait être un jour utile », souffle un ministre.
Tout le monde a compris : pas question de prendre le large à plus de deux heures de Paris en avion. 
Il faudra se montrer présent, à l’inverse d’août dernier où, à peine nommés, beaucoup s’étaient égaillés quinze jours dans la nature alors que la crise empirait."

Endettement : Michel Rocard dénonce la loi de 1973


Dernière Citation – Michel Rocard dévoile les raisons profondes de l’endettement ; les médias alignés ne relèvent pas.

source : Tout sur le Nouvel Ordre Mondial 911NWO.INFO - Il n'y a pas de Chemin vers la Vérité, la Vérité est le Chemin

En zone France, la date symbolique des lois bancaires Giscard Rotschild de 1973 est cruciale et incontournable pour qui veut comprendre l’endettement exponentiel qui s’est produit depuis.
Dans les médias alignés et les cercles aux ordres, le simple fait d’évoquer cette loi fait de vous un nazi antisémite et paranoïaque, comme à chaque fois que l’on touche aux points essentiels du Système (attention quand même, il existe par ailleurs de vraies personnes paranoïaques et de vrais anti-sémites, mais évidemment aucun lien entre la lutte contre le NWO et ces notions qui n’ont pour but que de salir les opposants au Système) !
Il est donc intéressant d’écouter Michel Rocard, un ancien Premier Ministre, ancien Ministre des finances, ancien responsable de « centre-gôche » rappeler lui-même que cette date est fondamentale dans l’endettement de la zone France, et par ricochet dans la mise en place des mécanismes d’asservissement aux puissances pro-NWO :
Cliquer ici pour voir la vidéo.

Vidéo du 22 Décembre 2012 : Michel Rocard reprend à son compte les théories prétendument « conspirationnistes et anti-sémites« , voire selon les mêmes genres de relais pro-NWO « issues de l’ »ultra-gauche rouge-brune » (sic), sur la loi bancaire Giscard Rotschild de 1973 – Médiapolis (Europe 1) par Youtube
Dans cette vidéo, Michel Rocard (qui est tout sauf un inculte boutonneux et gauchiste ne connaissant rien à l’économie, n’en déplaise aux journaleux qui souvent n’ont aucune culture dans le domaine de la macro-économie et des finances publiques, ou alors tellement orientées et faibles qu’ils ne comprennent pas grand chose aux enjeux économiques du NWO), dans cette vidéo donc Miche Rocard déclare reprend à son compte les arguments du clan anti-NWO (les conspirationnistes) en déclarant :
 » Si nous en étions restés au système précédant, qui permettait, répétons-le, à la Banque de France de prêter à l’État à taux zéro, notre dette serait de 16 ou 17 % du PIB, soit bénigne… En 1974, on a eu une loi stupéfiante, qui s’appelle la loi bancaire, qui a interdit à l’Etat de se financer sans intérêts auprès de la Banque de France, et qui a obligé notre état [...] à aller se financer sur la marché privé ! A 4 ou 5% ! Et du coup maintenant notre dette publique est à 90 ou 91 % du Produit National Brut, c’est un peu effrayant … [] Qu’est-ce que c’est que ce jeu imbécile ? « 
En d’autres termes, si en ce moment même Depardieu veut quitter la France, si les impôts et taxes explosent et que les villes et les états sont ruinés, et si les élites du Nouvel Ordre Mondial parviennent aujourd’hui à imposer leur Diktat à des peuples entiers, c’est bien évidemment à cause de cette loi « stupéfiante« , de l’avis même d’un très haut responsable politique de la zone France.
Il faut aussi savoir et comprendre que ce mécanisme de loi bancaire a été institué en Zone France mais aussi dans l’ensemble des économies infiltrées par les idéologies et les forces pro-NWO !!!
Evidemment, aucun journaliste ni grand méfia aligné n’a relayé cette déclaration explosive, comme toujours lorsque l’on traite des points cruciaux du NWO qui sont systématiquement censurés par la presse autorisée.

Tout sur le Nouvel Ordre Mondial 911NWO.INFO - Dernière Citation – Michel Rocard dévoile les raisons profondes de l’endettement ; les médias alignés ne relèvent pas.

2013 : L'année du Chaos ?


2013 dans le monde : un chaos en préparation ?

source : Billets d'humeur d'un Triboulet contemporain

Bonjour à tous !

Pour conclure cette chronique en plusieurs volets sur le bilan de l'année passée et les prospectives sur l'année qui débute, voici donc mon opinion sur ce qui risque de se passer dans le monde en 2013.
Les sources d'inquiétude sont nombreuses. Tout d'abord la Chine, dont la croissance ralentit imperceptiblement, et dont les aspirations démocratiques de son peuple sont toujours plus nombreuses, semble déterminée à rassembler tout son petit monde derrière le drapeau avec un ennemi tout désigné : le Japon. Une façon assez symbolique de vouloir obtenir la passation du témoin après que l'archipel dominât économiquement l'Asie pendant des décennies. Le problème c'est que les Chinois ne connaissent pas trop la manière douce, ce dont les Tibétains peuvent attester. Ils ne plaisantent pas avec l'impérialisme et ont donc décidé de faire leurs les îles Senkaku, obscurs petits territoires perdus en Mer de Chine et que le traité de San Francisco (en 1951) a laissés face à l'abandon du vide juridique. Si le dragon chinois s'éveille, cela risque de faire du bruit.
Autre signe inquiétant, bien sûr, c'est la situation tendue en Europe où les plans d'austérité qui se succèdent au mépris des peuples risquent de finir par causer des révoltes. Les Italiens, les Grecs, les Espagnols et les Portugais grondent tant et plus. Certains, comme Alain Minc, préfèrent nous persuader que ces réformes seront adoptées et acceptées par les habitants. Mais rien n'est moins sûr. L'Europe peut-elle voler en éclats pour enfin se rebâtir sur des fondations plus saines, c'est-à-dire sur une Europe des Nations ? Le chemin pour y parvenir semble douloureux mais les signaux pour une désagrégation de l'Union se multiplient : la Grande-Bretagne n'a jamais été aussi près de sortir, la Grèce ne pourra pas rester exsangue éternellement (et le retour à la Drachme semble être son unique échappatoire) tandis qu'aujourd'hui c'est Chypre qui menace de faire faux bond tant l'île est ravagée par la crise économique et politique, puisque la question de sa dépendance envers Athènes ou Ankara n'a jamais été véritablement tranchée !
Enfin la question du Moyen-Orient reste trouble. Leurrés par les promesses de démocraties et les belles paroles de quelques idiots utiles tels BHL, nos dirigeants ont laissé faire en Tunisie, en Egypte, en Libye avant de procéder certainement de la même façon en Syrie. Et pourtant, les trois premiers  pays nommés sont en train de sombrer dans un chaos islamiste sans fin. Cela dit, la situation en Libye est légèrement différente puisque l'on est en train de s'apercevoir que ce pays construit de toutes pièces ne pourra certainement pas survivre à la poigne de fer de Kadhafi. Et je ne parle même pas de la menace nucléaire représentée par l'Iran qui pourrait finir par faire sortir Israël de ses gonds, ce qui ne serait profitable à personne : ni aux populations du Moyen-Orient, qui n'arrivent pas à sortir de décennies guerrières, ni aux Israéliens dont la cote de popularité côtoie les bas-fonds atteints par le couple infernal Hollande-Ayrault.
C'est dans ce genre de situation chaotique que le monde a besoin d'un leader. Car l'Humanité est ainsi faite que dans les moments difficiles, elle s'en remet toujours, au moins provisoirement, à un chef charismatique capable de transcender les difficultés pour les résoudre manu militari. Ce fut César dans la Rome antique, ou bien ce fut le Général de Gaulle, à Londres, en 1940, mais l'un comme l'autre avaient la sagesse et la capacité à trancher dans le vif. Oh, bien sûr, les grincheux objecteront qu'il s'agissait là d'un déni de démocratie. Moi je préfère y voir un acte de courage de la part de personnes qui avaient la hauteur de vue nécessaire pour prendre les décisions qui s'imposaient et que nul ne voulait prendre de peur de se salir les mains.
Ce rôle, les Américains l'assumaient parfaitement jusqu'en 2000. Et puis il y eut le tournant qui transforma profondément le pays, au point qu'il ne s'en remît jamais complètement. Nous non plus d'ailleurs. Le 11 Septembre. 2 avions dans des tours et le monde occidental perd la boule, à commencer par l'homme le plus puissant du monde qui se révèle être aussi incompétent que dangereux. Son successeur, plein de bonne volonté, ne peut masquer ni ses lacunes, ni la volonté toujours plus farouche de la volonté d'états chaque jour plus nombreux à vouloir s'émanciper de l'ombre encombrante de l'Oncle Sam. 
Chacun veut être libre, chacun veut son indépendance. Mais pendant ce temps-là le monde court la menace du chaos. Un bateau sans personne à son gouvernail finit toujours par sombrer. Alors, allons-nous nous entêter ou nous montrer pragmatique. Telle est la question...

Billets d'humeur d'un Triboulet contemporain: 2013 dans le monde : un chaos en préparation ?