Tensions avec Matthieu Pigasse
Après avoir viré tous ceux qui travaillaient aux Inrocks lors de son bref passage, il ne restait plus personne à sortir, alors elle a décidé de partir. Cela prouve que cette personne ne s'entend avec personne et que personne ne devrait plus compter sur elle pour quoique ce soit.
Les relations entre Audrey Pulvar et le propriétaire de l'hebdomadaire Matthieu Pigasse seraient devenues extrêmement tendues.
Ils ne communiquent plus que par mail et leur entrevue d'hier a été annulée. Les deux parties doivent se retrouver la semaine prochaine dans un conseil d'administration qui s'annonce houleux. Contactée par puremedias.com, Audrey Pulvar n'a pas souhaité commenter ces informations, indiquant seulement se préparer à passer «quelques journées mouvementées». Malgré une nouvelle formule «newsmagazine» initiée en septembre 2010, la situation économique des Inrockuptibles reste problématique, avec une baisse de 7% de sa diffusion payée sur l'année 2012.
Voilà le revers de la médaille d'une embauche par "piston".
Quand la relation n'existe plus, le travail suit.
Qu'est-ce qui dérange chez Pulvar : elle n'est pas sympathique, par le mépris qu'elle témoigne à ses invités du moins ceux qui ne sont pas de son bord, sa façon de leur couper la parole, son regard froid et arrogant, sa suffisance.
Elle est imbue d'elle-même, caractéristique qu'elle partage avec un certain nombre de présenteurs du genre bobos comme Ruquier et Ardisson.
Davantage, même, car contrairement à ces derniers, elle n'a aucun humour.
A la cour...
C'est épouvantable.
Il ne se passe plus une journée sans qu'il ne soit fait étalage publiquement des turpitudes des unes et des autres, toutes compagnes, ex-compagnes, maîtresses d'hommes politiques aux affaires.
Sous la Cour des Rois, les "cocottes" de l'époque étaient davantage brillantes !
Le lecteur d'aujourd'hui en est réduit à compter les points du palmarès de la vulgarité de ces courtisanes new look.
Quelle pitié !
Washington découvre des terroristes en Syrie
source :
Signes des Temps
A New York, lors d'une rencontre du groupe des Amis de la Syrie en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton a annoncé une nouvelle aide humanitaire de 30 millions de dollars et un nouveau soutien à l'opposition civile syrienne d'un montant de 15 millions de dollars.
Mardi dernier, le département d'Etat américain a officiellement qualifié d'« organisation terroriste étrangère » l'une des principales milices luttant pour le renversement du régime syrien de Bachar al-Assad.
Le groupe connu sous le nom de Jabhat al-Nosra, ou le front al-Nosra, est considéré par beaucoup comme étant la force de combat la plus efficace dans la lutte sanglante en Syrie. Il a dernièrement envahi au moins trois bases militaires syriennes et pris le contrôle du territoire situé dans la partie orientale du pays.
Lors d'une conférence téléphonique mardi avec des membres choisis des médias, un haut responsable anonyme du Département d'Etat a justifié cette qualification en accusant al-Nosra de « centaines d'attaques, près de six-cents, dans les principaux centre-villes de par la Syrie, au cours desquelles d'innombrables Syriens innocents ont été blessés et tués. »
Plus tôt, la porte-parole du Département d'Etat américain, Victoria Nuland, avait dit dans un communiqué : « Al-Nosra a cherché à se présenter comme l'opposition légitime syrienne alors qu'il s'agit en fait d'une tentative d'AQI (Al-Qaïda en Irak) de détourner les luttes de la population syrienne pour ses propres desseins nuisibles. »
Lorsqu'il s'agit de détournement, Washington est passé maître en la matière. Depuis le déclenchement des protestations en Syrie il y a deux ans, il a travaillé pour détourner le mécontentement populaire et attiser une guerre civile sectaire pour essayer de provoquer un changement de régime et mettre en place un gouvernement fantoche. Ceci fait partie d'une stratégie plus générale d'imposer l'hégémonie américaine sur des régions géo-stratégiquement vitales et riches en pétrole dans le Golfe persique et l'Asie centrale. La Syrie est un élément central dans cette campagne impérialiste, en grande partie en raison de ses liens étroits avec l'Iran que Washington a identifié comme étant le principal obstacle à la mise en place de son contrôle néocolonial.
La signification officielle de la qualification d'al-Nosra comme une organisation terroriste est que tout citoyen américain lui fournissant de l'aide serait passible de poursuites criminelles. Il est très improbable que des inculpations soient toutefois jamais prononcées car les seuls Américains impliqués dans de telles activités sont les agents secrets de l'Agence centrale du Renseignement (CIA).
Selon de nombreux rapports parus dans les médias américains et européens, al-Nosra et les milices djihadistes sunnites identiques sont les groupes les mieux armés et les mieux équipés pour défier le régime syrien. Tandis que l'armement et l'approvisionnement viendraient en grande partie du Qatar et d'Arabie saoudite, les plus proches alliés de Washington dans la région, la CIA a mis en place au début de l'année en Turquie un centre de commandement et de contrôle dans le but de coordonner la répartition de ces armes et de ce matériel aux « rebelles » syriens.
Après la guerre menée l'année dernière par les Etats-Unis et l'OTAN pour le renversement du régime de Mouammar Kadhafi, d'autres armes et des combattants étrangers ont afflué dans le pays en provenance de la Libye. Comme en Syrie, l'essentiel des combats y a été effectué par des éléments djihadistes qui étaient issus du Groupe islamique combattant en Libye lié à al-Qaïda.
Comme on le sait, grâce à une brouille manifeste entre des responsables américains et une section de ces combattants islamistes en Libye, et qui a coûté la vie à l'ambassadeur américain et à trois autres, la CIA avait établi un quartier général secret non négligeable dans la ville portuaire de Benghazi à l'Est du pays. Il ne fait pas de doute qu'une fonction clé de cet avant-poste était de coordonner le flot d'armes et de combattants vers la Syrie.
Les Etats-Unis ont été directement impliqués dans le soutien et l'armement d'éléments d'al-Qaïda alors même qu'ils rejetaient comme étant une « diversion » les accusations du gouvernement syrien affirmant faire l'objet d'attaques par le groupe terroriste international. La qualification par le Département d'Etat revient à être une auto accusation accablante. Washington, selon son propre aveu, est une fois de plus démasqué comme étant le plus important commanditaire d'Etat du terrorisme.
En quoi cette qualification cynique sert-elle les intérêts américains ? Le moment choisi est de la plus haute importance. Le rôle joué par al-Nosra en Syrie a été durant des mois largement couvert par les médias et, selon des sources gouvernementales, la secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, et ses assistants avaient décidé de cette qualification il y a un mois.
L'annonce, cependant, a eu lieu un jour à peine avant la convocation à Marrakech, au Maroc, de la conférence des « Amis de la Syrie ». La France, la Turquie et les monarchies du Golfe ont déjà reconnu la Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution comme le « seul représentant légitime » du peuple syrien et le président Obama lors d'un entretien télévisé mardi a dit que les Etats-Unis feraient de même. L'on s'attend à ce que Washington fasse une annonce officielle lors de la rencontre à Marrakech, au Maroc.
Rien n'indique cependant que la coalition soit effectivement cela. Elle a été raccommodée tant bien que mal le mois dernier dans un hôtel de luxe à Doha sous la direction du Département d'Etat américain et de l'ambassadeur de Washington en Syrie, Robert Ford. Son chef, Ahmed Moaz al-Khatib, a été promu par Washington et les médias occidentaux comme étant la réincarnation de Gandhi, et décrit comme un « modéré » et un « unificateur. »
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