mardi 13 novembre 2012

Vincent Peillon exhibe son Assistante de Prévention et de Sécurité pendant que des "élèves" exhibent leurs opinels


Enième rapport sur les violences à l'école qui donne la piste à suivre.
 Il va falloir que le monde de l'éducation ouvre les yeux et écrive la vérité...(toute la vérité); comme ce groupe de jeunes à quelques mètres de la table ronde de Vincent Peillon qui insultent son assistante de prévention et de sécurité (parce qu'elle est une femme) tout en exhibant un opinel ...

Capture audio sur RTL soir Peillon LEP Amiens ridiculisé par des voyous


Décidemment Vincent Peillon a quelques problèmes avec ses "apparitions" médiatiques



La différence entre Obama et Hollande ? : "Obama baise vraiment sa femme !" (oh la la !!!)

Vincent Peillon : "lequel ? celui en off ou celui qui joue un rôle devant les caméras TV ?"

Ou comment flinguer l' exécutif en temps réel !





Priorité

"La priorité absolue sera donnée aux victimes, élèves ou adultes". 

Pas d'accord : pour enrayer la violence, les mesures doivent être prises à l'encontre des agresseurs... Pas des victimes ! 
il faut soigner le mal à la racine, non ?


Enseignante en collège, en histoire-geo-ec je peux vous assurer d'une morosité complète des enseignants en salle des profs...De nouveaux programmes irréalisables, nouvelles méthodes incompréhensibles, nouvelles épreuves au brevet qui à mon avis annoncent l'hécatombe, une épreuve d'oral en histoire des arts ultra complexe pour les élèves qui doit s'intégrer dans une programmation lourde...un cahier de texte numérique qui bug tous les jours mais qui est obligatoire, un B2I a valider, des conseils socléens qui durent des soirées, des élèves qui passent selon des compétences qui ne parviennent meme pas à valider...une mutation du métier qui ne nous convient plus, nous ne sommes pas des machines administratives...et le pire s'est que même à gauche on ne nous consulte pas. Devant cette situation d'urgence je ne comprends pas pourquoi les enseignants ne réagissent pas . Où sont nos syndicats?


Assez de mots creux. Il faut tout reprendre à zéro
La meilleure façon de s'y prendre pour tenter de régler la question de la violences à l'école (et hors de l’école (les violents étant forcément les mêmes) serait que M. Peillon au lieu de se gargariser de mots creux et de vieilles recettes inefficaces, arrive avant tout, à convaincre son illustre collègue Mme Taubira, qu’il ne suffit pas de nier la violence en considérant que celle-ci est nécessairement liée à la pauvreté et au chômage. Nous n’étions pas bien riches, loin de là, mais nos parents nous ont inculqué des principes simples, clairs et ils surveillaient quotidiennement leurs enfants. Il est vrai qu’à l’époque, l’Education était l’affaire des parents et l’Instruction, était celle de l’état. On ne mélangeait pas tout. Le fait d’avoir confié, j’en suis convaincu, l’Education aux fonctionnaires a déresponsabilisé bon nombre de parents, qui ne se sont plus occupés de leur progéniture. Un véritable sabordage. 

Quelques dizaines d’années plus tard, on constate l’effarant résultat : des professeurs chahutés, invectivés, qui ne sont plus des Maîtres mais souvent des presque-copains (Mai 68 est passé par là !), des élèves convaincus que le respect de l’autre n’a aucun sens, des parents qui giflent des enseignants, des coups de couteaux, le racket, des insultes qui pleuvent, bref notre Education nationale part à vau l’eau. On n’y acquière plus le savoir minimal, on fait en sorte que sa marche le moins mal possible. Comment faire autrement dans un tel contexte. Quant aux résultats ils sont loin, même très loin des niveaux obtenus par « l’Instruction publique ». Et dans le classement européen, la France dans ce domaine comme dans d’autres, perd progressivement son rang.




Berlin met la pression sur la France

Merkel ne veut plus de l' Euro et Hollande ne jure que par Bruxelles



Et si l' Allemagne cherchait à destabiliser la France en designant notre pays aux speculateurs ? 
Quel autre but à l'Allemagne de faire courir le bruit que la France et la Grece c'est la même chose ?

Les cercles gouvernementaux allemands s'autorisent désormais une propagande ordo-libérale d'une absurdité qui dépasse l'entendement, car non seulement si la France obéissait à ces injonctions, ce qu'elle a malheureusement commencé à faire, l'économie européenne s'effondrerait et notamment les exportations allemandes, mais en plus cette dépression approfondirait la dette et donc fragiliserait une nouvelle fois l'euro. Ces péroraisons sont donc stupides mais la responsabilité en revient aussi à la faiblesse des gouvernements français depuis au moins deux décennies qu'ils renient ce qui fait la force du modèle français depuis l'après-guerre, privant l'Allemagne d'un contrepoids suffisant pour ne pas partir dans une spirale toxique qui menace la construction européenne.

Certes il y a des économies à faire dans le budget français, mais il faut dire lesquelles: les niches fiscales des journalistes, les aides à la presse papier propriété des financiers, le millefeuille territorial français et administratif européen, etc...

Bartolone pas crédible
Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale, sur Europe
  : Angela Merkel "ferait bien de s'inquiéter pour la situation de l'Allemagne, car l'Allemagne a certes 150 milliards d'excédents, mais à force d'avoir une politique de rigueur qui peut ruiner ses clients, elle risque de connaître elle aussi des difficultés, preuve supplémentaire que l'Europe, ça ne peut pas être que la rigueur."

Bartolone vit dans le superbe Hôtel de Lassay à 2 pas de l'Assemblée nationale. Un vestige de l'Ancien régime. Les ministres paradent dans des hôtels particuliers du Siècle des lumières. C'était il y a plus de 200 ans. Ils ne se savent pas encore que nous sommes au XXIème Siècle. Ne manquent plus que les chaises à porteur dans la cour de ces vastes demeures. 

Angela à la baguette
Ces petites confidences "amicales" à quelques jours d'une visite officielle du premier ministre sont bien évidemment orchestrées. Elles ne manqueront pas d'être relayées par la Commission et/ou le Conseil. L'objectif est à mon avis assez simple : 

1) déconsidérer économiquement la France comme leader politique alternatif de l'Europe, à la tête d'une coalition regroupant les pays du "Sud", ou simplement comme force de proposition; 

2) attiser l'ancienne rivalité entre "soeurs latines" sur le mode du "j'ai plus dérégulé et taillé dans les dépenses que toi"; 

3)campagne électorale oblige, attaquer indirectement le SPD, qui s'était fait fort de son alliance avec le PS au moment où Merkozy trouvaient bon de faire campagne ensemble. 

Merkel se croit vraiment tout permis. Ayrault devrait hausser les épaules et renvoyer l'Allemagne à ses propres problèmes, que Merkel ne s'est jamais donnée la peine d'aborder (puisqu'en 7 ans elle n'a strictement rien fait): salaires trop bas, consommation atone, système éducatif défaillant, système d'allocations familiales et d'accueil en crèche d'un autre âge...
Les euro bonds entreront dans l'histoire comme l'artésienne la plus fumeuse jamais imaginée en échange de laquelle toute l'Europe sera allée se prosterner à Berlin.

Melenchon pret au "boche bashing"
"Quand on combine une grande crise du capitalisme et l'arrogance d'un gouvernement allemand, ça finit mal". La chancelière Angela Merkel "ferait bien d'y réfléchir".

L' UPR réclame la destitution de François Hollande

Le Président de la République n’est plus vraiment irresponsable lorsqu’il s’avère qu’en exercice il a commis des actes susceptibles d’êtres instruits par la Cour Pénale Internationale.

Il n’est plus vraiment irresponsable, non plus, lorsqu’il y a « manquement aux devoirs de la fonction manifestement incompatible avec l’excercice des fonctions de Président ».

Le rapport AVRIL nous précise que le mécanisme de la destitution est conçu comme «une soupape de sûreté qui dans des cas exceptionnels et graves préserve la continuité de l’Etat en mettant fin, par des mécanismes présentant toutes les garanties, à une situation devenue intenable ».


Reste à savoir si la honte ressentie par la majorité des Français lors des interventions du Chef de l’Etat dans sa plus haute fonction, celle de représenter la Nation et le peuple Français à l’étranger est un manquement à ses devoirs « manifestement » incompatible avec l’exercice de son mandat ? Ou encore l’incompétence manifeste en matière économique est-elle constitutive d’un manquement ?


Il ressort des débats parlementaires, notamment la prestation de Monsieur françois PATRIAT, auteur de la loi organique au Sénat, que la notion d’atteinte à la dignité de la fonction soit le leitmotiv de la rédaction de l’article 68.

Destitution de François Hollande, mode d’emploi — Union Républicaine