lundi 29 octobre 2012

Manif anti Roms dans le Nord : un maire manque de se faire lyncher


Hellemmes : dérapage lors de la manifestation... par nordeclair


Entre 150 et 200 personnes ont défilé ce matin dans les rues d'Hellemmes contre lle projet d'installation de cinq familles Roms dans la commune. D'ailleurs le maire Frédéric Marchand a été pris à parti. 
Les manifestants s'étaient réunis devant un parc de la rue Corneille où la commune devrait installer un village d'insertion comme ailleurs dans la métropole. Ils ont ensuite pris la direction de la mairie en scandant des slogans hostiles à la population Roms. Mais en arrivant devant l'hôtel de ville, un dispositif policier leur barrait l'entrée. 

Le groupe a donc fait demi-tour pour tenter de trouver le maire dont il réclamme la démission. Ils l'ont finalement trouvé dans une salle communale un peu plus loin. Le dialogue a été vif, Frédéric Marchand a été bousculé. Le ton est monté. Il y a eu certains crachats dans la foule et même quelques coups de pieds. 

Face à cette impasse, le maire a voulu partir mais les manifestants lui ont barré la route. Il a fallu user des coudes. Tout en l'insultants, des membres du cortège ont même tenté de poursuivre le maire lorsqu'il s'est échappé par une porte. 

La troupe a ensuite quitté la salle communale. Un peu plus tard, Frédéric Marchand a confié devant la presse qu'il avait eu peur, mais déterminé plus que jamais à poursuivre son projet.

Les Israëliens veulent ils officialiser l' Apartheid ?


Israël vire à (l’extrême) droite

Israël vire à (l’extrême) droite
C’est le sondage qui choque l’État hébreu. Une grande partie de la population juive d’Israël serait favorable à l’instauration de discriminations envers ses concitoyens arabes. Voici l’étonnante conclusion d’une étude publiée par le quotidien israélien Haaretz. Commandé par le Fonds Yisraela Goldblum, une organisation de gauche chargée de collecter des dons en faveur de projets égalitaires israélo-palestiniens, le sondage, effectué par le très sérieux institut israélien Dialog, est la conclusion de 503 interviews menées le 16 septembre dernier, veille de la fête juive de Rosh Hashanah (nouvel an). Et ses résultats sont pour le moins étonnants : la moitié des Israéliens épousent des thèses ultra-nationalistes.

Ainsi, 59 % des sondés préféreraient que les Juifs soient privilégiés par rapport aux Arabes dans l’accession à des postes ministériels. Ils sont 42 % à ne pas vouloir qu’un Arabe habite leur immeuble, et toujours 42 % à ne pas souhaiter que leurs enfants se trouvent dans les mêmes classes que de jeunes Arabes. Avec 1,5 million de personnes, les Arabes israéliens - musulmans ou chrétiens - forment 20 % de la population israélienne. Descendants des Palestiniens qui sont restés dans les frontières d’Israël après la guerre de 1948, ils ont obtenu la nationalité israélienne. Il ne faut pas les confondre avec les 300 000 Palestiniens de Jérusalem-Est, qui disposent d’une carte de résident après l’annexion de leur territoire par Israël à l’issue de la guerre de six jours, en 1967.

Si en Israël, les différentes communautés n’habitent pas les mêmes quartiers, les Arabes israéliens possèdent strictement les mêmes droits que leurs concitoyens juifs, sauf pour le droit au retour. Ainsi, le regroupement familial ou la naturalisation du conjoint sont tout simplement exclus. "S’il existe une égalité formelle devant la loi, il demeure cependant de réelles inégalités sociologiques", souligne au Point.fr Denis Charbit, professeur en sciences politiques à l’université ouverte d’Israël. Ainsi, seuls 11 % des Arabes israéliens accèdent aux bancs de l’université. Seuls 10 % d’entre eux finissent chefs d’entreprise. Des inégalités que l’on retrouve même au niveau de l’espérance de vie : 74 ans côté arabe, contre 77 ans pour les Juifs.

D’après le sondage, un tiers des Juifs israéliens souhaiteraient retirer le droit de vote aux Arabes israéliens. Ils sont même 47 % à vouloir qu’une partie de la population arabe d’Israël soit gérée par l’Autorité palestinienne.

Le sondage ne se cantonne pas aux Arabes d’Israël. Il s’intéresse également à la Cisjordanie, territoire palestinien occupé militairement par Israël en 1967, que ce dernier colonise depuis graduellement, en dépit du droit international. Et les résultats sont encore plus édifiants. En cas d’annexion du territoire, une majorité de Juifs israéliens seraient favorables à l’établissement d’un régime d’apartheid en Cisjordanie. Ils sont ainsi 74 % à se positionner en faveur de routes séparées entre Israéliens et Palestiniens en Cisjordanie. 69 % à refuser d’accorder aux 2,5 Mmillions de Palestiniens de Cisjordanie le droit de vote, conséquence inévitable d’une annexion. Plus étonnant, une majorité (58 %) de Juifs israéliens est déjà convaincue qu’Israël pratique une politique discriminatoire à l’encontre des populations arabes.

Sans surprise, ce sont les ultra-orthodoxes qui tiennent les positions les plus extrêmes. 95 % d’entre eux sont par exemple favorables aux discriminations à l’embauche. 82 % aimeraient que les Juifs bénéficient d’un traitement préférentiel, et 70 % s’opposent au vote des Arabes israéliens.

Le constat est le même sur la question des Palestiniens de Cisjordanie. D’après le sondage, 83 % des "haredim" sont favorables à une ségrégation dans les routes de Cisjordanie. La communauté ultra-orthodoxe - qui vote ultra-nationaliste - étant la plus dynamique du pays démographiquement, la tendance ne devrait pas s’inverser dans les années à venir. Viennent ensuite dans le sondage les religieux "traditionnels", les nouveaux immigrants venus de l’ex-URSS et les laïques de gauche. Ces derniers paraissent comme étant les plus tolérants.


Madonna se fait huer à la Nouvelle-Orléans après avoir appelé à voter Obama

Obama va gagner, c'est le meilleur vous disent les journalistes français...pas si sur !

Parti national Socialiste : Le lapsus d'une militante socialiste au congrès de Toulouse




Le Parti national-socialiste des travailleurs allemands Image illustrative de l'article Parti national-socialiste des travailleurs allemands(Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei, désigné sous l'acronyme NSDAP)1, souvent dénommé simplement Parti nazi, était un parti politique allemandcommunément classé à l'extrême droite et rattaché à la famille politique du fascisme2. Son nom est également traduit par Parti national-socialiste ouvrier allemand3, Parti national-socialiste allemand des travailleurs4ou Parti ouvrier allemand national-socialiste5. Fondé en 1920, il est arrivé au pouvoir le 30 janvier 1933avec la nomination de son leader, Adolf Hitler, au poste de chancelier du Reich par le maréchal von Hindenburg, président du Reich. Le terme « nazi » (abréviation de l'allemand nationalsozialistisch, soit national-socialiste) est utilisé en référence aux membres de ce parti ou aux adhérents de l'idéologie politique du national-socialisme, couramment désignée par l'abréviation nazisme.
Apparu au début de la République de Weimar, le NSDAP fut la seule force politique autorisée dans le Reich entre juillet 1933 et la fin de la Seconde Guerre mondiale en mai 1945. Le parti fut alors déclaré illégal et ses représentants arrêtés et jugés au procès de Nuremberg. Le NSDAP y fut condamné en tant que personne morale et reconnu comme organisation criminelle. Les vainqueurs procédèrent ensuite à une dénazification de la société allemande.

100 ans d'erreurs de la gauche française. Va-t-elle recommencer ?


Moins de 3 mois après son élection, la cote de confiance de François Hollande est en berne dans les sondages.

Sans concessions, avec une plume acérée et polémiste, Bruno de la Palme a traqué les erreurs historiques, les incohérences économiques et l'aveuglement de la gauche de 1912 à aujourd'hui. Rencontre avec l'auteur.