samedi 27 octobre 2012
Marie France Garaud : la France n'est plus indépendante
Bravo à vous Mme Garaud ! Vous êtes une vraie Française qui représentez j'ose le penser et le dire une majorité de Français et Françaises. Votre parlez vrai fait plaisir à entendre alors que tous ces vendu(es) au système ne font que balayer les problèmes sous le tapis en laissant à ces technocrates nons-élues les rênes du pouvoir qui fait que les nations et leurs populations sont asservies à la dictature des Banques et autres Corporations.
Vous le dites bien : il ne reste plus que la révolution !
Répartition de la contamination radioactive de Fukushima dans l'océan Pacifique
Les données de la modélisation de la distribution de la contamination radioactive dans l'océan Pacifique de Fukushima par le GEOMAR |. Helmholtz-Zentrum für Kiel Ozeanforschung jusqu'à 10 ans après un désastrehttp://www.geomar.de/news/article/fukushima- wo-bleibt-das-radioaktive-wasser /
Notre Dame des Landes : Violence policière contre opposition populaire
Le M’PEP condamne la violence policière à l’aéroport Notre Dame des Landes
Images terribles ! Heureusement l'armée répressive de l'état français reste modérée en ce sens qu'elle ne tue pas et s'efforce d'être "politically correct". Malgré cela je ne peux m'empêcher de voir une situation de guerre civile et de guerre psychologique. C'est une honte nationale que de voir des citoyens français de toute évidence relativement cultivés et dotés de conscience politique se faire traiter ainsi par les forces de "l'ordre".
Le MPEP a pris position localement et nationalement pour s’opposer au projet du nouvel aéroport Notre Dame des Landes, et pour dénoncer l’aberration sociale, économique et écologique qu’il représente.
source : [Altermonde-sans-frontières]
Où en sommes-nous à ce jour ?

Projet inutile
La construction de ce nouvel aéroport, baptisé « aéroport du Grand Ouest » (AGO), a rencontré depuis plusieurs années une vive opposition locale au sein du collectif d’associations comme l’ACIPA (Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d’Aéroport de Notre Dame des Landes) et d’un collectif de près de 1 000 élus de Loire-Atlantique. Ce collectif d’élus a trouvé 20 000 euros pour commander une expertise indépendante, confiée au Cabinet néerlandais CE Delft qui a passé au crible l’analyse économique sur laquelle se fonde la Déclaration d’Utilité Publique(DUP). L’étude conclut que le projet NDDL repose sur des bases économiques largement erronées conduisant à un déficit global pour la collectivité estimé à 600 millions d’euros. L’amélioration de l’aéroport actuel de Nantes-Atlantique s’avère la solution la plus intéressante pour la collectivité, mais pas pour le groupe Vinci qui a promis 12 % de rentabilité à ses actionnaires... Si l’aéroport est déficitaire, ce seront les contribuables qui paieront la facture.
Un pouvoir politique révélateur de ses choix et de ses comportements
Les élus PS favorables au futur aéroport, soutenus par l’UMP, ont toujours opposé une fin de non recevoir aux arguments avancés par l’opposition grandissante au projet. Une nouvelle étape est à présent franchie : faire intervenir les forces de l’ordre (gendarmerie, CRS) pour évacuer et commencer à détruire habitations, matériels et organisations de vie. La violence policière est le seul argument à opposer face à une opposition populaire, voilà où en est un gouvernement après seulement 5 mois d’exercice du pouvoir ! Faites le parallèle entre le combat des paysans du Larzac et de son dénouement à l’arrivée de la gauche en 1981, et le déni de démocratie autour du projet de l’aéroport NDDL, et vous avez la triste figure du pouvoir politique actuel à la botte du bétonneur Vinci,
• de François Hollande, qui ne tient pas ses promesses de campagne : les expulsions devaient être suspendues tant que les recours n’étaient pas arrivés à leur terme. Il est vrai que pour un homme politique cynique, il n’y a pas de protection légale pour des ‘squatters’ qui par définition n’existent pas ;
• de Jean-Marc Ayrault, tellement accroché à ce projet que l’on peut se poser des questions sur une telle obstination ;
• de Delphine Batho, dont l’une des premières déclarations comme ministre de l’Écologie a été d’approuver ce projet de bétonnage de 2 000 hectares de terres agricoles ;
• d’Arnaud Montebourg, qui déclarait il y a peu, au moment des primaires socialistes, qu’il fallait remettre tout à plat. À présent il se défausse en disant qu’il n’est pas en charge de ce dossier ;
• de Jacques Auxiette, président socialiste de la Région Pays de la Loire qui ne voit comme seule issue « démocratique » à l’opposition au projet, l’envoi de 500 à 1 000 policiers, gendarmes et CRS sur le site pour que bétonnage se fasse ;
• de Cécile Duflot, qui préfère conserver son poste de ministre du gouvernement actuel plutôt que d’être en cohérence avec ses déclarations et prises de position sur le site de Notre Dame des Landes. Il est vrai que la question de l’aéroport avait été écartée de l’accord de gouvernement PS – EELV (on n’est jamais trop prudent),
• du groupe Vinci, qui invite des agriculteurs à participer à la « ferme pédagogique » qui est envisagée à la sortie de l’aérogare, invitation odieuse de vouloir mettre le monde paysan dans un zoo.
Après deux jours et deux nuits de lutte, il reste des dizaines de personnes qui résistent face à un déploiement insensé des forces de l’ordre. Le M’PEP s’est associé à l’appel pour dénoncer ce projet inutile d’aéroport Notre Dame des Landes. Il est aujourd’hui solidaire de toutes les résistances locales qui sont emblématiques face à une dérive grave de la démocratie locale.
Le site de l’ACIPA : acipa.fr
Le djihad de l’OTAN contre la Syrie
source : Solidarité & Progrès
« Le parti a pour objet de combattre, en France et dans le monde, pour la paix par le développement économique et l'égalité des chances et contre l'usure financière et les idéologies du sol, du sang et de la race. Il défend pour chacun et entre les peuples le progrès matériel, intellectuel et moral. A cet effet, il participe à la vie politique de notre pays, notamment lors des échéances électorales. Il peut apporter son soutien politique et financier à des partis et associations dont l'objet concorde avec celui-ci. »
Qui est Lakhdar Brahimi, le rôle de la Turquie dans le déploiement des djihadistes contre la Syrie pour le compte de l’OTAN, pourquoi les Etats-Unis promeuvent le néfaste Fethullah Gülen, l’objectif de l’attentat qui a tué Wissam al-Hassan au Liban, ainsi qu’une petite évolution pour le mieux dans le dossier syrien en France, voilà les thèmes abordés par cette table ronde organisée par la Radio iranienne en langue française le 20 octobre dernier, avec comme invités Bassam Tahhan, porte-parole du Collectif pour la Syrie, Pierre Dortiguier et Christian Bonaud.
Ségolène Royal : "passons au rève français"
Il ne faut jamais enterrer Ségolène Royal !
Le blog de jaccuse56.over-blog.com (Ce blog est un blog politique qui a pour objet de soutenir l'action de Ségolène ROYAL)
Quels que soient les coups qu'elle prend, les humiliations qu'on lui fait subir, elle renaît toujours de ses cendres. Femme forte, Femme Debout animée par la passion de la politique, dotée d'un instinct à toute épreuve elle est une personnalité d'une qualité exceptionnelle qui compte sur la scène politique française et étrangère.
On l'adore ou on la hait. Mais son absence étonne et son talent, ses idées nous manquent. S'en priver, dans une période de crise extrêmement difficile à résoudre serait une grave erreur que, soyons en certains François Hollande ne commettra pas.
Donc Ségolène Royal a un avenir et personne ne pourra s'en plaindre. Une entrée au gouvernement semble improbable sauf à prendre le risque d'une guerre de tranchée avec la vipère de l'Elysée qui ferme actuellement sa gueule mais n'en continue pas moins à exercer des pressions sur les membres du gouvernement et du parti socialiste dixit Le Point.Pas sûr d'ailleurs qu'elle le souhaite.
Ségolène Royal semble actuellement se concentrer sur sa région et la politique étrangère, mettant en avant sa fonction de Vice Présidente de l'Internationale Socialiste et son carnet d'adresses à l'étranger.C'est d'ailleurs à ce titre qu'elle a accepté d'intervenir au congrès du parti socialiste, refusant de rentrer dans le jeu des magouilles politiciennes qui se traduit par des bagarres éléphantesques pour avoir le plus de postes possibles, des bagarres de courants qui nuisent considérablement à ce parti d'élus ambitieux et plus attirés par leur intérêt individuel que par l'intérêt général...Des gens qui oublient comme le dit si bien Ségolène Royal que la politique c'est servir et non pas se servir.
Et c'est sur l'Europe, qu'elle centre son discours à Toulouse.
Revenue sur le devant de la scène cette grande dame de la politique, après avoir accordé une interview au journal Le Monde a eu un entretien informel avec les journalistes de l'hebdomadaire " Le Point.
Elle opère un retour en douceur sur la scène politique, après sa convalescence estivale.
Elle se permet tout de même de féliciter le président pour la première phase du quinquennat, qualifiée d'"opération réussie". Elle se permet surtout dans Le Monde de lui réclamer de "passer à une nouvelle phase" : "celle des réformes de structure promises dans le programme présidentiel : réforme du système financier, réforme fiscale, révolution écologique, avenir de la jeunesse". "En un mot, après l'opération-vérité, passons au rêve français !"
Au Congrès de Toulouse Ségolène ROYAL prononce un grand discours et reprend les grandes idées qu'elles avait pour la première fois esquissées lors du meeting de REZE. Elle trace le chemin difficile que les socialistes doivent parcourir notamment pour faire avancer l'Europe, vers l'objectif qu'elle définit: "Les Etats Unis d'Europe."
"Lorsqu'elle achève son discours, elle répond aux journalistes au pied de la scène,écrit Le Point. Et c'est là qu'elle se libère, car elle a une idée bien arrêtée sur la manière dont le gouvernement peut se sortir de cette mauvaise passe. "Il faut de la méthode, estime-t-elle. Il faut avancer pas à pas, sans ralentir le rythme." Elle se veut confiante - "On sort d'une période de rodage pour entrer dans un rythme de croisière" -, mais réclame de la pédagogie. "Les Français doivent comprendre le sens des efforts qui leur sont demandés, en expliquant les raisons des sacrifices", juge Royal, qui estime qu'il faut donner matière à "envisager la sortie du tunnel". Car, interrogée sur la mauvaise cote de popularité du couple exécutif, elle consent : "Il faut la redresser, cette cote !"
ET POUR REDRESSER CETTE COTE LA FRANCE A BESOIN DE SA GRANDE VOIX QUI PORTE.

Ségolène Royal, donc, qui n'est pas "sortie de la politique", confie dans l'hebdomadaire Le Point paru jeudi avoir un "constat tacite" avec François Hollande pour qu'elle rentre "à un moment" dans le "dispositif". (c) Afp
"Je ne suis pas sortie de la politique. Il faut trouver quelque chose qui me convienne à moi et qui lui convienne à lui. On va voir comment cela se dénoue", explique la présidente PS de la région Poitou-Charentes.
Si une entrée au gouvernement paraît peu probable -"François ne va pas remanier maintenant"- , une "mission" à l'étranger est envisageable. "Il faut trouver la bonne solution sans précipitation. Il y a un constat tacite entre François et moi: à un moment, il faudra que je rentre dans le dispositif", indique-t-elle.
"Le fait que, malgré mon poids politique, je ne sois pas dans le dispositif intrigue les gens. Pour le dispositif global, ce serait bien que j'y sois", insiste l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007.
Concernant ses relations avec M. Hollande et sa compagne, Valérie Trierweiler, Mme Royal estime qu'"on ne sait pas quels seront les effets de cette affaire sur les Français". "A un moment, ils peuvent en avoir marre de nous trois, et donc de moi aussi", ajoute Mme Royal, inquiète de "perdre son patrimoine politique". "Pendant qu'on parle de ça, on ne parle pas de mes idées politiques", déplore-t-elle.
Elle revient aussi sur le pataquès créé par sa rencontre impromptue avec M. Hollande en septembre en marge du sommet de l'ONU à New York, quand le chef de l'Etat avait tourné les talons pour ne pas la croiser devant des journalistes.
"Ce n'est pas François qui a pris l'initiative de tourner les talons, ce sont ses conseillers qui lui ont dit de faire demi-tour. Ils sont à cran. Ils sont sous pression. Il y a des pressions d'elle (Mme Trierweiler, ndlr) sur l'entourage", fustige Mme Royal.
L'ex-candidate à l'Elysée dit aussi "refuser le tourbillon de la politique politicienne". "Le congrès (du PS à Toulouse), je m'en fiche. C'est une compétition de muscles. L'objectif pour chaque dirigeant est de placer les siens", décrit Mme Royal, qui avait tenté de prendre le contrôle du parti en 2008.
"Je ne mettrai pas le doigt dans l'engrenage d'une nouvelle bataille de courants", prévient Mme Royal. "Je surveille, je garde un oeil, mais je ne veux plus faire cela."
Ségolène Royal revient sur la scène politique avec prudence mais détermination...loin des magouilles politicienne avec la ferme intention de diffuser ses idées et de refuser la peopeolisation où la presse essaie de la cantonner.
Après Toulouse,elle sera à Rome Dimanche et Lundi où elle est invitée au colloque « Femme, Economie, Pouvoir » organisé par la Fondation Marisa Bellisario.
Vice Présidente de l'internationale socialiste, Présidente de l'association mondiale des régions francophones, son aura n'a pas faibli à l'international où elle est respectée et dispose d'une influence non négligeable.