jeudi 11 octobre 2012

jacques Sapir rends hommage aux 70 députés qui ont refusé le TSCG


Honneur aux soixante-dix
Jacques Sapir

mercredi 10 octobre 2012, par Comité Valmy

Soixante-dix députés ont osé voter contre le TSCG.
Soixante-dix sur cinq cent soixante-huit votants, c’est peu.
Soixante-dix contre quatre cent soixante-dix-sept qui ont voté pour, c’est peu.
Mais soixante-dix qui, venant de tous les horizons politiques, ont osé se dresser contre les consignes d’état-major, contre l’intense pression médiatique, contre le conformisme, contre les petits calculs politiciens, contre la lâcheté servile, cela, en vérité, fait beaucoup.

Ce Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance, contient trois mensonges pour le prix d’un.


Quelle stabilité, quand on voit dans le rapport récent du FMI, posté sur ce carnet[1], que les mécanismes mis en oeuvre depuis 2010 n’ont fait qu’aggraver la crise ? Quelle stabilité encore quand on voit la dépression que connaissent certains des pays en crise ? Parler de stabilité est ici un mensonge flagrant.


Quelle coordination quand on sait qu’il n’y a de coordination qu’entre des agents libres, sinon c’est à une autorité hiérarchique que l’on a affaire, et qu’il n’y a dans ce traité qu’asservissement à des agences dites indépendantes ? Ce Traité organise en fait le dépérissement de la démocratie en Europe avec la fin de l’autorité suprême des Parlements nationaux en matière budgétaire. Or, il faut s’en souvenir, c’est par le consentement à l’impôt que commence la démocratie.


Quelle gouvernance enfin dans un Traité qui est en fait inapplicable et qui n’a pas d’autres fonctions que d’être violé à peine signé ? Est-ce ainsi que l’on croit créer un « bonne gouvernance » dans les mots dont on se gargarise à Bruxelles et ailleurs ?


On dit aussi, et c’est un argument avancé en sa faveur, que ce Traité institue une solidarité en Europe. Mais quelle solidarité, dans un traité qui condamne l’Europe à l’austérité et à la récession ? C’est la solidarité de la matraque et du bâton, de l’oppression et de la répression, comme l’expérimentent les manifestants qui, d’Athènes à Madrid en passant par Lisbonne, se sont levés contre la misère qui leur est imposée. User alors d’un tel argument revient à déconsidérer pleinement l’idée d’une possible solidarité européenne.


Trouvera-t-on ces mots excessifs ? Que l’on regarde alors le rapport du Fond Monétaire International, le World Economic Outlook d’octobre 2012[2] qui explique bien la marche à la misère entamée au nom d’une austérité qui n’a donc pour but que de sauver un fétiche : l’Euro. Que l’on regarde ce rapport, qui reste prudent dans ses projections, mais qui n’en établit pas moins que la majorité des pays ne pourront respecter les clauses de ce traité qui vient d’être ratifié. Que l’on regarde aussi la note commune à trois instituts (l’INSEE, l’IFO et l’ISTAT) sur la récession dans la zone Euro[3]. Que l’on regarde enfin les rapports de l’UNICEF qui établissent la montée de la dénutrition et du manque de soin chez les enfants grecs[4]. Je pense avoir, par ailleurs, montré dans de nombreux textes et notes, tous les effets pervers de ce traité[5].


De cela, les thuriféraires du TSCG, les sectateurs de l’Euro, n’en ont cure. Même l’appel des économistes hétérodoxes, avec lequel j’avais des désaccords suffisamment importants pour ne pouvoir le signer, a été scandaleusement censuré par Le Monde[6]. Il était dit que pour faire passer cette amère pilule, on ne reculerait devant aucune bassesse, devant aucune ignominie.


Le TSCG nous a donné l’exemple éclatant du cynisme en politique, quand un candidat à l’élection présidentielle se prononce pour sa réécriture et s’empresse, une fois élu, de le faire voter. Ce n’est pas le codicille sur la croissance, malheureux engagement de 140 milliards d’euros étalé sur trois ans, une aumône, qui peut en changer la nature. Même ses amis politiques le reconnaissent aujourd’hui publiquement. Ce Traité ne fut pas renégocié, et d’ailleurs ce gouvernement n’a jamais cherché à s’en donner les moyens.


C’est ainsi que l’on détruit la démocratie.Le mensonge électoral nourrit la colère et produit le mépris pour une classe politique qui affiche sa solidarité profonde contre le peuple. Bientôt montera le vieux cri de l’anti-parlementarisme : « tous pourris » ! On dira, c’est le populisme qui monte. Et l’on se trompera, car ce sera alors devenu la stricte vérité.


Oui, le fétichisme de l’Euro – car c’est bien de cela qu’il s’agit avec cette transformation dans l’imaginaire d’un instrument en une fin en soi – et la volonté de pouvoir de ses grands prêtres nous condamnent à un appauvrissement généralisé, à une montée du chômage sans limites et, à la fin des fins, comme en Grèce et en Espagne, à la destruction de nos sociétés.


Alors, si dire la vérité vaut que l’on soit taxé d’être excessif, je veux bien être excessif et je l’assume. Car, aujourd’hui, la raison et l’intelligence vomissent les tièdes.


Honneur donc à ces soixante-dix députés !
Ils ont eu le bon réflexe et ils ont raisonné de manière juste, en refusant d’accorder leurs suffrages à ce texte inique. Qu’importe leurs raisons circonstancielles ; qu’importe d’où ils viennent et à quel parti ils appartiennent ! Quand il s’agit de résister, on ne mégote pas sur ses alliés.


Il y a soixante-douze ans de cela, le 10 juillet 1940, quatre-vingts parlementaires, députés et sénateurs (57 députés et 23 sénateurs) refusèrent d’accorder les pleins pouvoirs constituants à Philippe Pétain. Le vote de l’écrasante majorité mit fin à la République, et institua un régime de fait et non de droit. Le vote de ces quatre-vingts minoritaires fut, avec l’appel du 18 juin, le deuxième acte fondateur de la France Libre, préparant la résurrection de la République défunte.


Ce rappel est aujourd’hui nécessaire.
Puissent les soixante-dix députés qui ont refusé de voter être rejoints par autant de sénateurs que possible. Puissent-ils voir leur nombre croître quand ce texte viendra en seconde lecture.

Les canons furent, par le passé, l’ultime raison des rois.
Les traités sont aujourd’hui l’ultime raison des élites oligarchiques.

Qu’ils se rappellent que l’ultime raison des peuples reste le pavé.
9 octobre 2012
RussEurope
Le Carnet de Jacques Sapir sur la Russie et l’Europe

[2] IMF / FMI, « IMF Sees Heightened Risks Sapping Slower Global Recovery », Economic Outlook, 9 octobre 2012, URL :http://www.imf.org/external/pubs/ft/survey/so/2012/res100812a.htm
[3] Association des trois Instituts Économiques Européens, La zone Euro en récession,www.ifo.de ,www.insee.fr , www.istat.it
[5] Voir mon carnet http://russeurope.hypotheses.org/
[6] Jacques Sapir, “Sur le TSCG”, RusseEurope. Le Carnet de Jacques Sapir sur la Russie et l’Europe (Hypotheses.org), 23 septembre 2012. [En ligne]http://russeurope.hypotheses.org/133.

Redressement productif : la police française s'équipe en Ford et Volkswagen


PSA ferme une usine, l’Etat achète des Ford et des VW !

Blog gaulliste libre

La nouvelle est absolument stupéfiante et pourtant, elle est restée confidentielle. C’est une brève d’Auto Plus qui l’a révélé : en 2013, la police française va largement renouveler sa flotte avec des Ford et des Volkswagen, au même moment où PSA annonce la fermeture d’Aulnay !

L’Etat achète à l’étranger !

On croit rêver ou plutôt cauchemarder ! Ford vient de remporter un appel d’offre de 1400 véhicules (des Focus et des C-Max) qui vont remplacer les Renault Mégane et Scénic (fabriquées à Douai) pour les véhicules officiels de la police. Volkswagen a également remporté un autre marché, au détriment de Citroën cette fois-ci, puisque les cadres de la police et de la gendarmerie rouleront en Passat, des volumes qui auraient pu être utiles au site de Rennes, menacé.

Ce n’est pas une première puisque Ford avait déjà gagné un gros marché pour la police il y a dix ans, qui avait déjà ému l’opinion publique. Bien sûr, le directeur adjoint des achats de l’UGAP (Union Générale des Achats Publics), la centrale d’achat de l’Etat affirme que la très grande majorité des véhicules achetés par l’Etat viennent de nos constructeurs nationaux. Mais une telle décision fait désordre alors que PSA vient d’annoncer la fermeture de l’usine d’Aulnay.

Pire, alors que le marché automobile va très mal dans toute l’Europe ainsi qu’en France, le gouvernement étudie un projet de supermalus qui pourrait lourdement pénaliser les véhicules produits à Rennes et Douai (usines spécialisées dans les véhicules les plus imposants de nos constructeurs). Bref, on voudrait provoquer la fermeture de deux usines automobiles de plus que l’on ne s’y prendrait pas différemment, par delà les gesticulations d’Arnaud Montebourg.

A quoi sert le gouvernement ?

C’est bien la question que l’on est amené à se poser aujourd’hui. Arnaud Montebourg donne de sa personne mais on se demande bien à quoi il sert. D’ailleurs, il dit être du côté des syndicats, comme s’il en était réduit à n’être qu’un soutien impuissant des salariés sans le moindre moyen. Bref, le gouvernement ne peut pas protéger les usines nationales des importations ou des délocalisations. Il ne peut pas intervenir dans les choix des multinationales, même quand il est actionnaire (rappelons ici que Renault ne produit plus que 23% de ses voitures en France, contre 44% pour PSA).

Et il ne peut pas non plus exiger que les marchés publics soient attribués à des véhicules fabriqués localement. Tout ceci a une raison simple : la soumission à l’ordre néolibéral européen, dogmatique et absurde. Car les Etats-Unis et les pays asiatiques ne se privent pas de protéger leurs marchés publics, qu’ils réservent aux industriels locaux. Je serais également extrêmement surpris si l’Allemagne achetait un véhicule étranger sur ses marchés publics.

Ici, le PS montre qu’il est le parti de l’impuissance face à la mondialisation et la libéralisation. Bien sûr, il ne cesse de promettre qu’il va les maitriser, réorienter le projet européen pour le rendre plus progressiste. Mais cela fait 40 ans que les promesses ne sont pas suivies des faits. Le gouvernement laisse peu ou prou les usines fermer, se contentant de faire réviser les plans sociaux les plus choquants et ne s’assure même pas que nos administrations achètent français.

Il est temps qu’Arnaud Montebourg passe des beaux discours aux actes. Bien sûr, il lui sera difficile de renverser le cours de la mondialisation au sein de cette équipe (en a-t-il seulement vraiment envie ?). Mais il devrait a minima imposer à nos administrations qu’elles achètent français.

Blog gaulliste libre: PSA ferme une usine, l’Etat achète des Ford et des VW !

Mediapart blacklisté par Bercy


Régalez-vous, c'est Médiapart qui offre !

source : A toi l'honneur !

Je ne vous présente pas Mediapart, le journal d'Edwy Plenel, ardent soutien de hollande pendant la campagne présidentielle, contempteur ( c'est un euphémisme ) de Sarkozy, donneur de leçon devant l'éternel, le j'accuse sans preuves formelles des temps modernes, journal boboïde bien à gauche donc...

Laurent Mauduit est l'un des co-fondateurs du bouzin et il n'est pas content. Il a été blacklisté par Moscovici et Cahuzac; à la diète, privé d'interviews et de " off ". C'est fou, non ! Et le pire, c'est qu'on ne comprend pas vraiment pourquoi. Peu importe. Voilà cependant, et exceptionnellement en accès libre, ce que dit Mauduit de la façon avec laquelle Bercy et nos ministrions traitent la presse... de gauche !

" Black listé ! Le terme n’est pas trop fort puisque de l’aveu même de la chargée de communication de Jérôme Cahuzac, elle a organisé quelques rencontres individuelles et des déjeuners de « clubs de journalistes » avec le ministre : « quatre en tout en cinq mois ». Et Mediapart n’a jamais été associé au moindre rendez-vous.

Au-delà de mon cas personnel, ces pratiques sont donc préoccupantes, car elles suggèrent que Pierre Moscovici et Jérôme Cahuzac sont assez peu sensibles à l’aspiration démocratique à la transparence et poussent Bercy dans ses tendances spontanées : être une forteresse opaque et inaccessible, plutôt qu’une maison de verre, accessible aux citoyens comme aux journalistes. Au-delà de ma petite personne, c’est le message subliminal qui transparaît de ces pratiques : journalistes, vous n’êtes pas les bienvenus à Bercy !

En résumé, Mediapart ne demande encore une fois aucun traitement de faveur. Voulant faire un journal libre, honnête [ on s'marre, ndlr ] et indépendant, nous revendiquons juste un accès identique et transparent pour toute la presse aux sources d’information. Et donc y compris pour Mediapart, quand bien même certaines de nos enquêtes pourraient froisser quelques susceptibilités ou irriter quelques pouvoirs.

Mais c’est la règle d’une démocratie exigeante : pour que les citoyens soient éclairés, il faut une presse qui puisse faire correctement son travail. Si Pierre Moscovici et Jérôme Cahuzac ne le comprenaient pas et si la situation présente perdurait, ce serait préoccupant. L’indice, en quelque sorte, d’une culture démocratique de très basse intensité. "

Savoureux, non ?

On passera sur les qualités formidables dont s'affuble l'auteur et donc son journal.

Je n'ai pas souvenir que, dans le passé, Merdapart  ait eu à se fendre d'une si belle plainte vis à vis du pouvoir en place... 

Après Jean Quatremer de Libération qui se plaignait il y a peu des difficultés de la presse pour discuter le bout de gras avec le nouveau pouvoir, Laurent Mauduit aujourd'hui.

Le changement, c'est maintenant !

A toi l'honneur !: Régalez-vous, c'est Médiapart qui offre !

TSCG adopté par le PS : Cette trahison qui ne passe pas


Pétain de Hollande !

Ariane WALTER (Le Grand Soir - journal militant d'information alternative)


Il l’a fait.

Offrir la France à la finance criminelle, proposer un traité sans en changer une ligne, poursuivre l’œuvre de Sarkozy pendant que Valls poursuit celle de Guéant. Quel changement !

« En adoptant le traité budgétaire européen (TSCG), l’Assemblée nationale vient de commettre un crime contre le peuple et la démocratie » a déclaré jean-Luc Mélenchon. On ne pourra pas lui reprocher d’avoir ménagé la chèvre et le chou.

Ils l’ont fait. Voici la liste des votants. Souvenons-nous de leurs noms.

477 députés ont voté « oui ». Des « socialistes », main dans la main avec la droite. 
Ah ! Ils ont dû fêter ça sous les lambris ! Champagne ! Se retrouvant ce soir-là dans de bons restos, les yeux brillants, mission accomplie, tout le monde berné, avec tant de pognon à se faire, tant de pognon à offrir, tant de récompenses à ramasser !

Certes, on pouvait s’y attendre.

Il allait être voté ce TSCG.

Certes il y a un moulon de moutons français qui croient que les socialistes sont à gauche, que les OGM sont les nouveaux Beatles et que Fukushima est une station balnéaire. Quand ils entendent « MES », ils pensent que c’est dimanche. Ils s’instruisent en suivant les flèches d’Ikéa.

Mais il y a quand même ceux qui savent que Hollande est l’envoyé spécial de Goldman Sachs. Des députés qui ont voté sans même lire ce fameux traité. Payés pour dire Amen à Satan. Chèrement payés ! Par nous !

Ils ont divisé la France en deux : celle qui bée et celle qui sait.

Mais aussi celle qui sait et en pleure et celle qui sait et se met à genoux pour sucer Goldfinger.

70 ont dit Non. Connaissons leurs noms et remercions-les. Parmi eux des gens de droite qui ne sont pas des fous lobotomisés. Des socialistes qu’Ayrault, pourtant, appelait nuit et jour pour leur dire : « Déshonore-toi ! » Et qui ne l’ont pas fait. Tous les députés FDG. Certains font la fine bouche parce que dans la liste de ceux qui ont dit « non » il y a Marion Maréchal le Pen et Collard. Je les embrasse, moi, Le Pen et Collard. Je les préfère à ces socialistes qui nous ont vendus en disant que demain serait le pactole !

C’est une faute immense. Ineffaçable. Impardonnable.

C’est de la haute-trahison. Donner les clefs d’une ville. Révéler les secrets d’une défense. Pactiser avec l’ennemi en le sachant impitoyable. On en a fusillé pour moins que ça.

Ils l’ont eu leur nuit du 4 août à l’envers !

Pour savoir qui nous gouverne et avec qui, il suffit de voir la tête de ces poufs, riant bras dessus, bras dessous : Bachelot, Ferrari et Pulvar ! La voilà la droite et la fausse gauche, cul et chemise, sur tous les murs de nos villes, ravie de son coup d’éclat ! Une nouvelle chaîne nous dit-on ! On l’a aux pieds, on la connaît ! Et l’autre qui nous a ruinés avec ses vaccins et qui touche 20 000 euros par mois pour faire du people ! Ah ! Les journalistes et les politiques ! Pas plus journalistes que politiques d’ailleurs. Serviles, c’est tout !

Oui, le piège est bien monté. 
On est faits comme des rats.
Mais nous ne sommes pas des rats.

Hollande a choisi la collaboration ; il nous a laissé la résistance.

Et il va falloir violemment résister car je vous en prédis de belles.

Je suis en particulier très sensible au problème des RFID. Ces puces qu’ils veulent nous mettre sous la peau pour mieux nous filer. Pour tout nous ôter. Après notre Patrie, notre liberté.

Vous allez dire, ce n’est pas d’actualité. Si.

Aux Etats-Unis, au Texas, patrie de Bush, le « tracking » des 4000 étudiants devait être effectif à partir du 27 août dernier. Des élèves et parents se sont alors insurgés contre le plan du district de San Antonio de munir les étudiants d’une carte à puce RFID pour surveiller leur emplacement exact en tout temps.

Mais ceux qui refusent le disent. Ils ont à subir les vexations incessantes de l’ administration.

A Barcelone, dans des boîtes de nuit, on met des puces RFID sous la peau à des clubbers qui veulent payer sans sortir leur carte de crédit. Ils sont identifiés et leur compte est débité directement. C’est si fun !

Une campagne de publicité aux Etats-Unis conseille aux personnes âgées de se faire implanter ces RFID qui leur permettraient d’avoir sur elles, en cas de problème, leur dossier médical.

On appelle ça des chips. Attention à ne pas se faire chiper !

Voilà donc le nouveau monde vers lequel nous poussent Hollande et tous les sbires du libéralisme. Hollande le patron du bateau négrier qui nous promet un avenir de chômeur, d’esclave ou de kapo.

Et si on s’agite trop, un paquet de chips, barreaux de nos cages invisibles !
Le TSCG n’est que le premier wagon d’un train dans lequel il vaut mieux éviter de monter.

Debout ! Renseignez-vous ! Contactez-vous ! Unissez-vous ! Oubliez vos différences ! Agissez en réseaux ! Refusez d’abandonner votre pays à une lente dégradation ! Dites autour de vous ce que vous savez ! D’autres pays ont échappé à ces malfrats ! 
Résistance !
Pétain de Hollande ! par Ariane WALTER