lundi 8 octobre 2012

Au secours ! le gaz de schiste revient



France Nature Environnement

Aujourd’hui, France Nature Environnement apprend la nomination d’une première personnalité au sein de Commission nationale d'orientation, de suivi et d'évaluation des techniques d'exploration et d'exploitation des hydrocarbures liquides et gazeux . Cette nomination, sur le principe, choque FNE. Explications


La fracturation hydraulique est morte…mais pas l’idée d’explorer !

Pour FNE, la nomination d’une première personnalité au sein de cette commission n’est pas un signal très encourageant à quelques semaines du débat national sur l’énergie. Elle risque de conforter les plus sceptiques qui considèrent que les déclarations du président de la République, lors de l’ouverture de la Conférence environnementale, n’ont, en aucune manière, enterré la possibilité d’exploiter les gaz de schistes dans un avenir plus ou moins proche. Rappelons que François Hollande a annoncé le rejet de plusieurs demandes de permis d’exploration qui, prévoyant d’utiliser la fracturation hydraulique, étaient, de toute façon, devenues caduques depuis une loi de juin 2011 interdisant l’utilisation de cette technique...

Paroles, paroles…

Lors d’une récente déclaration dans les médias , la ministre de l’Ecologie avait laissé entendre que cette commission ne serait pas constituée. La nomination du sénateur Michel Teston est donc surprenante, indépendamment de ses compétences en matière de techniques d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures…France Nature Environnement demande au gouvernement la plus grande transparence quant à la composition de cette commission.

Un débat équitable est-il envisageable ?

Dans un récent courrier adressé à la ministre de l’Ecologie, plusieurs associations, dont FNE, ont exprimé leurs inquiétudes quant aux modalités du débat à venir. Les questions en suspens concernent en premier lieu la composition et le rôle du comité d’experts scientifiques qui doit « piloter » le débat. FNE espère que la prochaine rencontre organisée entre les organisations environnementales et le ministère de l’Ecologie sera l’occasion de recevoir des garanties concernant la volonté du gouvernement de conduire une concertation autrement que de façade…

Bruno Genty, président de FNE : « Au moment où démarre la réforme d’un code minier réservant des privilèges exorbitants à l’exploitation des hydrocarbures quels qu’ils soient, l’activation de cette commission fait craindre le pire quant à la possibilité de voir la France se lancer dans l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste contenus dans son sous-sol. Cette nomination ne nous rend pas très optimistes concernant la possibilité de débattre sereinement de l’avenir énergétique de notre pays. Faut-il comprendre que le gouvernement considère, dès aujourd’hui, que les gaz de schiste occuperont une place de choix dans le mix énergétique français de demain ? »

Télécharger ce communiqué en format PDF.

TSCG : le but n'est pas tant de maîtriser la dette que de finir gérés par la Troïka






Une débilité utile !
Les textes ne disent peut-être pas comment parvenir à l’équilibre budgétaire mais ils le considèrent comme une fin en soi : voilà ce qui est critiquable et que contestent aussi bien Mélenchon et ses amis que de nombreux économistes. Le TSCG impose noir sur blanc aux Etats qui y sont soumis un déficit structurel inférieur à 0,5 % du PIB. Ce qui est une ânerie et une négation même de toute politique macro-économique. L’endettement est nécessaire quand il sert l’intérêt général et quand il permet d’investir pour l’avenir. Aujourd’hui, il serait par exemple nécessaire aux Etats de s’endetter pour financer la transition écologique. Si le déficit des Etats apparait particulièrement énorme c’est que, contrairement aux entreprises ou aux ménages, les règles de la comptabilité publique exigent l’inscription au budget de toutes les dépenses de l’Etat dans l’année. Bref, faire de l’équilibre budgétaire une règle gravée dans le marbre est, d’un point de vue strictement économique, une débilité.

Moins de recettes = plus de dettes
Recettes et dépenses d’un Etat sont intimement liées. Et ça l’est d’autant plus en période de crise. Ce qui a aggravé la crise dans les années 30 et ce qui a plongé les économies dans une dépression profonde, ce qui aujourd’hui aggrave les déficits de la Grèce, de l’Espagne, du Portugal (et bientôt d’autres pays), ce sont précisément les politiques de rigueur qui prétendent réduire la dette. Justement, elles l’aggravent. Pour une raison simple : la réduction des dépenses publiques d’un Etat déjà asphyxié provoque in fine une baisse drastique de ses recettes (car dépression de l’activité économique, chômage, etc...). Si on rajoute à cela la possibilité qu’on donne aux agents financiers de spéculer sur les dettes des Etats, on aboutit au désastre que l’on est en train de vivre actuellement. Et donc si l’Etat est soumis à cette règle stupide des 0,5 %, il fait comment pour relancer l’activité en période de crise ? Je vous engage à relire Keynes, il donne quand même de nombreuses clefs qui plaident en faveur des déficits publics en période de crise. Et de toute manière, que l’on soit keynésien ou non, une politique économique doit pouvoir être discutée, débattue et il faut qu’un Etat puisse avoir tous les leviers de commande pour agir sur sa politique budgétaire, notamment en période de crise. Avec la règle des 0,5 %, ça devient quasiment impossible.

L'indécence des neo cons
Il est d’ailleurs assez comique de voir tous les néo et socio-libéraux s’insurger contre la dette publique et plaider pour des règles strictes d’équilibre budgétaire, alors que le principal responsable de cette situation est précisément le système économique qu’ils défendent . Pour faire court : ce n’est pas tant la dette publique qui est un problème, ce sont tous les mécanismes qui contribuent à la créer de façon artificielle qui le sont. La dette publique n’est pas un problème quand elle est le fait d’un Etat qui investit raisonnablement pour l’avenir, qui investit dans les infrastructures, dans l’éducation, dans la recherche, dans la santé, dans la transition énergétique, etc...Mais elle devient un problème quand elle explose de façon artificielle. D’où vient l’explosion des dettes publiques européennes ? D’abord d’une politique fiscale laxiste envers les hauts revenus qui ont contracté les recettes des Etats (il est quand même nécessaire de le rappeler). Mais c’est surtout la conséquence directe de la crise de la finance privée de 2007. Or cette crise n’est pas tombée du ciel. Elle fait suite à de nombreux autres crises (crise asiatique, crise de la bulle Internet et j’en passe) et trouve ses origines dans les fondements mêmes du système néo-libéral. Nous sommes actuellement dans une configuration du capitalisme souvent qualifiée de « capitalisme à basse pression salariale ». Les salaires étant tirés à la baisse par les deux  mamelles du capitalisme financiarisé que sont la contrainte libre-échangiste et la contrainte actionnariale, ils ne peuvent plus être le moteur de la demande. 

Endettement privé !
Ce qui devient le moteur de la demande, en économie néo-libérale, c’est l’endettement des ménages. Donc si on veut s’attaquer à la dette, il faut s’attaquer au libre-échange et au capitalisme actionnarial. C’est ainsi qu’il faut comprendre la critique de la gauche radicale et de nombreux économistes à ce TSCG : ils s’attaquent à la maladie (qui est le néo-libéralisme) pas seulement aux symptômes qu’elle crée (la dette). Les néo-socio-libéraux, dans une grande hypocrisie, font exactement le contraire. Ils cachent soigneusement les raisons véritables de l’explosion de la dette qui remettraient en cause toute l’idéologie qu’ils défendent depuis tant d’années et poussent de cris d’orfraie sur les symptômes. Pour une seule raison : la dette est une excuse parfaite pour justifier des réformes qui mettent à bas l’Etat social (destruction des services publics, des acquis sociaux, etc...). Il suffit de voir ce qui se passe en Grèce pour s’en convaincre.

Mais ce TSCG va bien au-delà de l’imposture économique. Il pose également un problème démocratique majeur en validant la surveillance des budgets des Etats par une instance non élue. Ceci est d’ailleurs dans la droite lignée de toutes les attaques à la souveraineté des peuples que les européistes néo-libéraux mènent depuis des années. Rappelons-nous quand même du Traité de Lisbonne qui piétinait magistralement l’avis du peuple français consulté quelques mois plus tôt par réferendum. Ce n’est pas seulement un scandale, c’est de l’aveuglement. Comment peut-on penser un seul instant pouvoir construire une Union Européenne au chausse-pieds en imposant traités et réformes au mépris de l’avis du peuple ? C’est absurde.

L' Euro sème la violence
Le résultat politique est d’ailleurs consternant. L’objectif premier de la construction européenne était d’assurer la paix entre les peuples sur le continent. 25 ans de néo-libéralisme auront eu raison de ce voeu pieux. En ne cessant d’accentuer la concurrence des économies européennes au mépris de toute solidarité, en accentuant traité après traité la déréglementation des marchés, la dépendance aux marchés de capitaux, on aboutit au tableau effrayant d’aujourd’hui : des économies plongés dans la crise, des peuples qui se remettent à se détester, des néo-fascismes qui progressent partout. Bref, un échec total.

Alors voilà,  faudrait-il continuer à avancer dans la mauvaise direction sous prétexte qu’on avance dans la mauvaise direction depuis des années ? 
Parce que l’unique argument des pro-européens (qui soit dit en passant ne sont pas « plus » européens que ceux qui votent contre les traités néo-libéraux) est toujours celui des « petits pas » : en clair, il faut voter pour le traité car il faut approfondir « l’Europe » petit à petit. Sinon « ce sera pire ». Mais si on fait le bilan des 25 dernières années, ce ne sont pas de petits pas qui ont été réalisés, ce sont de gigantesques pas en arrière. 

Régression et répression
L’histoire de l’Union Européenne est d’abord celle d’une immense régression : une régression démocratique, une régression politique, une régression économique, une régression sociale et une régression humaine. Cet argument, une nouvelle fois utilisé à propos de ce traité par la droite et la « gauche de droite », est par conséquent aujourd’hui purement et simplement indéfendable. Ce que l’économiste Frédéric Lordon résumait non sans un certain humour dans son dernier papier :

« Il faut engranger tous les progrès même quand ils sont modérés pour construire les conditions des grandes avancées de demain » serinent aussi bien le PS que Cohn-Bendit qui, lorsqu’il est question d’Europe, feront toujours passer pour des progrès les pires régressions, comme celui du TSCG – on se demande jusqu’où, sous couleur « d’avancée », il faudrait que l’Union européenne aille dans l’ignoble pour que "Dany le rouge" finisse par dire « ah non là tout de même, stop ». 
A l’Europe de la Sécu privatisée et du travail des enfants, tu t’arrêtes Dany, ou on continue ? »

La chute du Crédit Immobilier de France discutée au Senat : une affaire d'état !

"Accession à la propriété pour les bas revenus" : c'est des subprimes idiot !

La chute du Crédit immobilier de France était l'objet d'une table ­ronde organisée par la commission des
finances du Sénat. Si des mésententes subsistent quant à la gestion en extinction du groupe, le sort funeste du CIF semble ne plus faire de doute.


« Une affaire d'Etat. » 
C'est en ces termes que le sénateur socialiste de Côte ­d'Or François Rebsamen a présenté la chute du Crédit immobilier de France (CIF) lors de la table ­ronde organisée sur le sujet par la commission des finances du Sénat.
Placé au centre du panel face au président de la commission Philippe Marini (Oise, UMP),
Bernard Sevez, l'actuel président du CIF qui a pris la suite de Claude Sadoun lorsque l'Etat a apporté sa garantie à
l'établissement, commence par rappeler la rentabilité constante connue par le CIF depuis la constitution du réseau
bancaire et ses 2,4 milliards de fonds propres. « Le CIF est comme une bonne voiture qui n'a plus d'essence » (sic!) ,

Manifestation du Crédit Immobilier de France -... par dm_5054ac41cd473
Très vite, les représentants du Trésor et de l'Autorité de contrôle prudentiel (ACP) proposent une autre vision.
Ramon Fernandez, directeur général du Trésor, explique ainsi que la Banque postale, un temps favorite pour
permettre l'adossement du CIF à son activité afin de garantie sa pérennité, « a souligné la rentabilité faible du CIF
» ainsi que les risques de dégradation de sa propre solvabilité si elle devait récupérer le portefeuille d'emprunteurs
du spécialiste de l'accession sociale à la propriété. « Les résultats passés ne laissent pas présager des résultats
futurs », poursuit Cyril Roux, premier secrétaire général adjoint de l'ACP, suscitant de vives réactions parmi les
sénateurs présents. 
« Pourquoi si c'était si rentable, personne n'en a voulu ? », demandera un peu plus tard
Ramon Fernandez.

2 milliards d'euros de la Banque de France (pour les dirigeants ?)

Le Crédit immobilier de France (CIF) a reçu des liquidités d'urgence de la Banque de France avant que l'Etat français ne décide en septembre de sauver la banque spécialisée dans le financement de l'immobilier, ont indiqué à Reuters des sources bancaires. 
Le gouvernement français a décidé début septembre d'apporter sa garantie au CIF confronté à de graves difficultés de financement après l'abaissement de sa note de crédit par l'agence Moody's.

Le montant exact «n'est pas clair» !

«Quand le CIF a commencé à avoir des problèmes en début d'année, il a été contraint d'utiliser le système de la banque centrale», a explique une des sources bancaires proches du dossier. «Le montant exact des liquidités apportées n'est pas clair mais il s'agit de plus de deux milliards d'euros», a ajouté cette source.




Lire la suite :
Consensus sur la mort du modèle financier...
La chute du Crédit immobilier de France discutée au Sénat



Deuxième defaut de la Grèce : Français préparez vous à payer !



Une sixième année de récession en 2013

Athènes connaîtra une sixième année de récession en 2013
© AFP

Le ministre grec des Finances prévoit d'importantes coupes budgétaires pour 2013 afin d'éviter au pays un défaut de paiement et la sortie de la zone euro. Les Grecs devraient subir une sixième année consécutive de récession.

 
La Grèce devrait connaître une sixième année de récession en 2013, selon les premières fuites de l'avant-projet de budget déposé lundi au parlement, alors que le gouvernement reprenait ses discussions sur le calendrier des coupes budgétaires exigées par les créanciers du pays.


Grèce – « Il faut songer à une restructuration de la dette » – un responsable du FMI.

Les pays européens devraient réfléchir à une restructuration de la dette de la Grèce s’il s’avère que le pays n’est pas en mesure de se remettre sur les rails, estime un responsable du Fonds monétaire international cité lundi dans un journal néerlandais.

« Une contribution de la part des Etats sera alors certainement un sujet de discussion », dit Menno Snel au quotidien Het Financieele Dagblad.

Ses déclarations illustrent les divergences entre les membres de la troïka – FMI, Banque centrale européenne et Commission européenne – sur la manière de résoudre la crise de la dette.

Des responsables européens ont dit à la fin septembre à Reuters que le FMI voulait que les Etats passent une décote sur la dette grecque qu’ils détiennent, une perspective rejetée par les pays de l’UE tant elle leur paraît politiquement périlleuse.

L’Europe préfère donner plus de temps à Athènes en matière de respect des objectifs budgétaires.

Un responsable grec a déclaré samedi que deux semaines de discussions seraient encore probablement nécessaires pour parvenir à un accord entre la Grèce et la troïka sur de nouvelles mesures d’austérité.


Encore ?

Encore un défaut de paiement de la Grèce ?

Mais cette fois-ci, ce sont les Etats de la zone euro qui vont encaisser des milliards d’euros de pertes.

Contribuables européens, préparez-vous à payer.

Contribuables européens, préparez-vous à payer pour le deuxième défaut de paiement de la Grèce.

7000 policiers POUR LA PROTECTION d' Angela Merkel en visite à Athènes !






7.000 policiers vont transformer en véritable forteresse, la capitale de la Grèce. 
Toute la police de l'Attique sera à l'affût. 
Les groupes de sécurité et  DELTA et DIAS  patrouilleront constammentà travers Athènes, pour effectuer des arrestations préventives.
Des mesures draconiennes sont prévues à l'aéroport "Eleftherios Venizelos" et dans l'hôtel où sera logé Angela Merkel. 
Mesures strictes également à l'ambassade d'Allemagne et devant d'autres bâtiments qui abritent les entreprises allemandes.
La circulation sera interrompue sur les routes et les rues perpendiculaires au trajet qu'empruntera le cortège diplomatique. Il sera quasiment impossible d'approcher le moindre point géographique où  Angela Merkel est attendu.
Γερμανική πειθαρχία ενόψει της άφιξης Μέρκελ στην Αθήνα
Où la sorcière sauvage donnera t elle son coup de balai ? nul ne le sait encore. . . 
Ce qui est incroyablement indécent, c'est que hiver 2012-2013 sera encore pire que sous l'occupation nazie.
και η γρια μάγισσα θα βάλει την σκούπα της εκεί που ξέρει και στα τσακίδια. . . αυτό που με εξόργησαι αφάνταστα είναι οταν άκουσα αυτόν τον μοιρολάτρη τον αυτιά να λέει αυτός ο χειμώνας θα είναι χειρότερος ακόμα και απο την κατοχή. . να είναι για εσένα αυτιά ο χειρότερος και για κανέναν άλλο. . . και πάρτε το κοντάρι της σκούπας με την μάγισσα,βοήθεια σας,και οσο πιο μακριά γίνεται. . . σε πλανήτη που δεν έχουν ανακαλύψει ακόμα. . .




6 heures chrono

Selon la police, le dispositif pour l'accueil de la chancellière sera identique à celui déployé en 1999 à l'occasion d'une visite du président américain de l'époque, Bill Clinton, dans un contexte de poussée d'anti-américanisme dans l'opinion, après des bombardements de l'Otan en Serbie. Voici  le déroulé de la visite d'Angela Merkel:

Avant son arrivée, pour une visite d'environ six heures dans l'après-midi, le quartier autour de la place centrale Syntagma sera bouclé à la circulation, des barrières en interdiront l'accès aux piétons et un hélicoptère survolera le centre ville.
Des patrouilles policières sillonneront le centre-ville, tandis que l'aéroport d'Athènes, l'ambassade allemande et les sociétés allemandes seront placées sous haute surveillance.
La police portuaire mobilisera également quelque 300 personnes pour assurer la sécurité du front de mer d'Athènes.
C'est dans ce contexte ultra-sécuritaire qu'Angela Merkel va tenter de transmettre un message de solidarité au peuple grec et au dirigeant conservateur du gouvernement de coalition, Antonis Samaras, qu'elle doit rencontrer en début d'après-midi.

Non Cumul des mandats : cause toujours François !


Vive la parité !
"L’une des mesures symboliques les plus fortes voulues par le nouveau président de la République recueille l’approbation massive des Français. Selon l’enquête réalisée par l’Ifop pour Acteurs publics, les décisions promises par le Président François Hollande sur le cumul des mandats sont plébiscitées, toutes catégories et toutes tendances politiques confondues. Plus de 9 personnes interrogées sur 10 (92 %) approuvent l’engagement pris par le chef de l’État d’interdire à un député ou à un sénateur de cumuler ses fonctions avec un mandat exécutif local (maire, président de conseil régional, de conseil général, de communauté de communes, de communauté urbaine, etc).

L’Ifop a posé la même question à un échantillon de cadres de la fonction publique issu du panel de l’Observatoire des politiques publiques mis en place par Acteurs publics et les résultats sont quasiment identiques. L’approbation est massive (91 %) avec un niveau de “tout à fait favorable” de 68 % pour les hauts fonctionnaires et de 69 % pour l’ensemble des Français. Si, chez les sympathisants PS, le taux d’approbation est de 99 %, il atteint 84 % chez les sympathisants UMP, un taux très important concernant une mesure proposée par le Président Hollande. 


Une interview édifiante d'un hyper cumulard ou comment on peut cumuler 7 casquettes !! Oui 7 casquettes et ce en toute légalité  

Non cumul light ?
François Hollande a promis de mettre fin au cumul des mandats. La mission n'est probablement pas impossible mais en tous cas difficile, face à la fronde de parlementaires. 

Avatar de Sophie Dessus

Députée PS 


Sophie Dessus, député PS de Corrèze, a été citée parmi les défenseurs du cumul. Celle qui est aussi maire d'Uzerche, commune de 3.200 habitants, tient à mettre les points sur les i.

Haha !
Pas de cumul, ok...
Mais pas maintenant...
Plus tard...Après "nous"...
Pourquoi faire aujourd'hui ce qu'on peut remettre à demain ?


Comment peut on etre à la fois maire , vice présidente du conseil général , présidente d'intercommunalité et député ?? On occupe un mandat par jour ? C'est injouable et c'est immoral 
Cumuler 4 Mandats c'est inacceptable et le fait que la loi rende possible ce genre de situation l'est tout autant.

Cause toujours martine ! 

Martine Aubry ne verra pas sa dernière volonté de première secrétaire respectée.
Fin août à La Rochelle, elle avait exigé que les parlementaires cumulant avec un mandat exécutif local abandonnent l'un de leurs deux mandats d'ici à fin septembre.
François Rebsamen avait relancé la fronde contre le calendrier Aubry dès fin août. 
Harlem Désir, a eu beau souhaiter hier que le PS garde « un temps d'avance sur le sujet », il a surtout « refusé que le combat sur le non-cumul devienne un combat contre les élus et qu'il soit un sujet de division ». 
Plus de date butoir ni de sanction donc : « Ce n'est pas une question de semaines, c'est une question de résultat », confie-t-il.

« Pour quelle raison, il faudrait maintenant tout d'un coup démissionner de ses fonctions ? », a souligné le président du Sénat, Jean-Pierre Bel.

« On est dans le masochisme », s'insurge le député-maire de Caen, Philippe Duron : « On a lancé le bâton très loin et maintenant on court derrière pour le rattraper. »


Alain Vidalies, ministre des Relations avec le Parlement. Là aussi, la proposition est contestée. 

« C'est démagogique », assène le vice-président du groupe de l'Assemblée, Philippe Martin.

Dominique Baert : « Le non-cumul des mandats est une connerie ! La seule chose qui compte, c'est d'être utile à la population »

Le cumul des mandats: une honte pour la démocraie en France. Comment est- ce possible? nous battons tous les records en Europe, et même part rapport aux Etats Unis.Comment expliquer cela? 


"C'est comme demander à un alcoolique d’arrêter de boire"

"Evidemment, le sujet est difficile, c'est un peu comme demander à un alcoolique d’arrêter de boire", disait le député parisien Christophe Caresche en octobre 2010. Il ne croyait pas si bien dire.
On l'aurait parié ! Abandonner une partie des privilèges et des retombées financières de ceux-ci n'est certainement pas du goût de tout le monde. 








Islamisme contre crise économique : Sarkozy est toujours là

La sécurité comme dérivatif de l’impuissance économique



Les hommes ont changé, la stratégie reste. Vielle comme le monde quand il s'agit de détourner l'attention de l'essentiel pour la focaliser sur un sujet annexe mais épidermique : la sécurité. La première des insécurités pourtant est économique. "Etre gouverné par l'argent organisé est aussi dangereux que par le crime organisé" disait Roosevelt. Mais de ce côté-là, on ne voit rien venir.


France: Manuel Valls évoque des centaines d'islamistes armés


La France compte plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d'islamistes radicaux capables de passer à l'action comme le groupe démantelé samedi, a déclaré lundi le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.


M. Valls a salué le "travail tout à fait exceptionnel" de la police sur "un groupe, une cellule, un réseau dangereux qu'il fallait neutraliser". Ce groupe "est passé à l'acte" le 19 septembre lors de l'attentat contre un commerce cacher de Sarcelles, près de Paris, a-t-il ajouté.

Comme Mohamed Merah !

"Menace très sérieuse"

"Nous devons considérer cette menace comme très sérieuse et il faut s'y attaquer"

"Il faut pousser les investigations, en savoir plus, connaître le rôle de chacun. Il y aura sans doute, peut-être, d'autres arrestations", a-t-il poursuivi.

"Nous savons qu'il y a plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines, d'individus qui sont capables de s'organiser comme le groupe qui vient d'être démantelé".

Le retour des nazislamistes !

Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls renforcera «ces prochains jours, ces prochaines heures, les protections» des lieux de culte juifs, a annoncé l’Elysée, répondant à une demande de la communauté juive. Sur le perron à la sortie de la réunion avec le chef de l’Etat, le président du Conseil représentatif des Institutions juives de France (Crif), Richard Prasquier a dénoncé l'«idéologie monstrueuse» d’un islam radical qu’il a comparé au nazisme.


Pendant ce temps là, le Crédit Immobilier de France et Groupama viennent de tomber au champ d'honneur de la guerre économique et de la bulle immobilière.
Mais chut ! faut pas provoquer la panique.

Ah si les menaces d'attentats pouvaient dissiduer tout ses manifestants de decendre dans la rue 

Sur Zebuzzeo on vous annonce un scoop : Vous manisfesterez très "énergiquement" contre la baisse de votre niveau de vie.
Vos cortèges seront attaqués par des groupes de délinquants et une menace d'attentat suicide refroidira les manifestants de revenir le lendemain.
Rien n'a changé au pays de l'Euro...


La sécurité comme dérivatif de l'impuissance économique - AgoraVox le média citoyen

L'Elysée veut rassurer la communauté juive - Libération