vendredi 31 août 2012

Fabius : en cas d'utilisation d'armes chimiques notre réponse serait alors immédiate et fulgurante



Le ministre des Affaires étrangères, laurent Fabius, a fait savoir que la France n'excluait pas une intervention militaire en Syrie, si le régime de Bachar el-Assad avait recours à des armes « bactériologiques et chimiques ». Laurent Fabius n'a pas dit s'il attendrait un accord de l'ONU, précisant que la réglementation internationale permettait une intervention pour de telles armes.
 
« Notre réponse serait alors immédiate et fulgurante », a déclaré Laurent Fabius vendredi matin sur Europe 1, justifiant que ces armes étaient d'un danger extrême.
A la question de savoir s'il était certain que Damas disposait d'armes chimiques, le chef de la diplomatie a répondu « oui, bien sûr ».

Le prétexte
Le décor est planté depuis peu : les armes chimiques pour une entrée en guerre..... (souvenez-vous de l'épisode des ADM en Irak). 
La Syrie dit qu'elles sont destinées à une éventuelle agression extérieure. 
L'occident dit à la Syrie que si vous franchissez le pas, on entre en guerre.
Or l'Occident veut ,on le sait bien, entrer en guerre - , donc l'OTAN, bien que convaincus dans leur fort intérieur que Bachar n'utilisera jamais ses armes contre sa population.

Ne soyons pas naïfs, ils ont provoqué la guerre en syrie, ils iront jusqu'au bout.
 Les français et leurs frères anglo-saxons sont terriblement "chauds" pour entrer en guerre contre la Syrie, alors qu'ils ont largué des tonnes d'armes et de bombes en Lybie .

http://french.ruvr.ru/2012_08_31/France-Syrie-intervention-militaire/

IRIB-

La vraie crise dans la zone euro: un secret bien gardé par ses dirigeants



Les dirigeants de l'Union européenne (UE) dissimulent la véritable situation financière de la zone euro, car ils ne pourront jamais vous révéler ce qu'ils ont examiné dans les nombreuses réunions prétendument visant à résoudre la crise. 
Tout est si horrible qu'ils  ne peuvent pas vous le dire ! 
«Rappelez-vous que nous produisons beaucoup de réunions mais nous ne pouvons pas informer les gens de ce qui est réellement discuté lors de ces réunions. Il ya une politique de communication qui a pour but de cacher le contenu réel de la situation ", a déclaré sur Russia Today    l'économiste Noval Mikel, citant comme exemple la dernière rencontre entre le Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy, et le président du Conseil européen, Herman van Rompuy, sur les conditions de renflouement des banques espagnoles. 
"Il est clair que toutes les limites ont été dépassées. D'une part, il ya une crise de l'euro, d'autre part il ya une crise des conditions de travail pour des millions de personnes qui ne supportent plus la mise en œuvre de ces politiques d'austérité brutales ", a t-il ajouté.  

Ainsi, les problèmes de la zone euro continuent de s'accumuler. Le Premier ministre italien Mario Monti met en garde, à son tour l'Allemagne sur le danger si la BCE n'intervient pas massivement sur les marchés de la dette souveraine. 
On s'attend à ce que la politique italienne encourage Berlin à adoucir les exigences d'austérité et de stimuler la croissance économique. Cependant, la chancelière allemande Angela Merkel a exprimé à plusieurs reprises son opposition à cet objectif.

http://actualidad.rt.com/economia/view/52527-crisis-zona-euro-secreto-cubierto-velo-misterio

hollande attaqué de toutes part


Hollande: Honni soit qui mal élu !

A-t-on déjà vu depuis le début de la Vème République un président aussi mal barré dans les sondages au bout de 100 jours. Aussi moqué, raillé, vilipendé, caricaturé, conspué, haï, insulté ?; y compris par des journaux de la même tendance politique que lui ? Y compris par les médias tout acquis à sa cause il y a encore à peine deux mois ? Y compris par une partie de ses alliés d'hier ?


Non, je ne le crois pas. J'en suis même sûr.

La question est donc, dès aujourd'hui, de savoir combien de temps, ce candidat par défaut, devenu président honni, pourra tenir le rôle que 51% de cocus ( à peine 38% des gens en âge de voter ) ont bien voulu le voir interpréter.

On ne gagne jamais, à terme, sur des mensonges et une démagogie outrancière.




Audrey Pulvar tire à boulets rouges !


“Mon véritable adversaire (…), il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti. Il ne présentera jamais sa candidature. Il ne sera pas élu. Et pourtant, il gouverne. Mon adversaire, c’est le monde de la finance.”

Ces paroles du candidat socialiste à la présidentielle de 2012 resteront-elles dans l’histoire comme la salve de François Mitterrand contre “l’argent qui corrompt” ? On ose espérer qu’elles seront suivies d’un effet plus positif que celui des “années fric”, des affaires politico-financières à répétition, ou encore de la participation concrète, objective, consentie des socialistes au triomphe des marchés.

Dans son discours du Bourget, François Hollande promettait une loi séparant les activités de dépôt et d’investissement des banques. Beaucoup prennent à ce sujet l’exemple de Barack Obama aux États-Unis. Mais il y a loin de la remise en place du Glass-Steagall Act, instauré en 1933 et abrogé en 1999, à la réalité.

A bas Valls !

Chasser les Roms, rouvrir les charters : cautère sur jambe de bois. On ne résout pas le problème, on le déplace. On soulage, momentanément, des riverains incommodés par le bidonville poussant sous leurs fenêtres, et après ? 
Cher François, on n’a pas voté pour ça. Il est vrai que les promesses n’engagent que ceux qui y croient. A dans quelques semaines pour les images de grues démolissant les baraques des jungles 
du Calaisis? Le changement, 
c’est maintenant qu’ils disaient.