Depuis la chute de Jospin (le dernier socialiste honnête et intelligent) il ne restait plus dans la maison que des sectaires (Aubry) une folle et une anguille déguisée en apparatchik.
Les médias (merci Libé, Marianne et le Nouvel Obs ) ont cassé du Sarkozy à longueur de journées (sans compter la presse audio-visuelle publique) et on a réussi à faire croire aux français que la crise n'existait pas, que les malheurs de notre pays, que la fin de l'Etat providence, que la crise financière, la violence dans les quartiers, la chute de l'école... tout venait du méchant Sarkozy. Une fois parti la France n'aurait plus de problèmes, il suffirait alors de faire payer les riches et tout rentrerait dans l'ordre.
Que neni, nous sommes à la veille de la chute de la maison France, Sarkozy n'aurait pas tout changé mais tenter de remettre en cause notre société de castes (et les privilégiés ne sont pas toujours ceux que l'on croit) alors que notre nouveau président et son passe muraille de premier sinistre précipite les choses par son incompétence incommensurable.
Ségolène (qui avait d'autres problèmes) l'avait bien dit, en 30 ans ce type n'a jamais rien fait.
Bref, si nous toucherons bientôt le fond on espère pouvoir remonter ensuite quand cette malheureuse expérience socialiste sera terminée.
François Hollande, déjà impopulaire !
Il faut surtout que FH arrête de faire des petites blagues en toute occasion. Cela produit un effet désastreux (peut être inconscient) dans l'opinion. Cette impopularité naissante, et qui va s'aggraver, est bien le signe que nous sommes en France, vieux pays monarchique, et pas dans les pays nordiques dans lesquels les dirigeants se déplacent en vélo.
François Miquet-Marty pointe une autre faiblesse, «Il n’y pas de véritable interlocuteur pour l’opinion, souligne-t-il. Dès lors que François Hollande, de façon compréhensible et légitime, décide de ne pas s’impliquer sur tous les sujets, à la différence de Nicolas Sarkozy, on voit parfois Arnaud Montebourg, parfois Najat Vallaud-Belkacem, parfois Manuel Valls et parfois Jean-Marc Ayrault. Au final, cela donne un sentiment de flou qui tranche avec le quinquennat précédent»"
c'est une excuse plus que oiseuse , on voit clairement qu'il n'y a pas de pilote dans l'avion .
Hollande peut sans problème déléguer on entendrait alors que la voix du maitre ; pas cette cacophonie discordante ou chacun avance ses pions !
Le "bordel du passé " du PS
Un manque de vision, on ne sait pas où on va, et en plus un retour en arrière
- la reconquête industrielle, on a l'impression qu'on apporte des sacs de sable sur une digue qui s'effondre
- vision de l'Europe planche de salut pour tous les pays européens devant les défis démographiques et les nouvelles puissances montantes et le défi de l'intolérance islamique
- une lutte acharnée contre les gaspillages et la corruption, renforcement de l’éthique et réduire le train de vie de l'Etat.
- vision sociétale. Où se situer entre une société individualiste, égoïste et marchande et une société qui offre une solidarité de base contre des devoirs clairs et contraignants
Et enfin, ce que fait Valls avec les Rom ressemble à du Sarkozy. Une grande offensive européenne devrait avoir lieu pour résoudre dans la dignité ce problème.
J'avoue que je suis déçu et surtout inquiet, car ce qui n'est pas fait en début de quinquenat est difficile à faire par la suite.
Inquiet aussi car je trouve cette majorité fragile et j'ai peur qu'on vive au niveau étatique le "bordel passé " du PS.
Voilà bien ce que je ressents depuis quelques semaines et que beaucoup d'amis, pourtant de gauche, ressentent aussi.



Chaque jour, un nouveau massacre est signalé en Syrie. Hier, c'était Daraya. Abattage par les troupes syriennes, selon les opposants à Bachar al-Assad. L'abattage par Bachar "terroristes" les opposants, l'armée syrienne a dit, la production de la femme d'un soldat qui selon eux, avait été abattu et laissé pour mort dans un cimetière Daraya.
Quelques heures après l'attaque féroce contre Damas par l'Armée syrienne libre a commencé le mois dernier, le nouveau ministre syrien de l'information, Omran Zouhbi, allumé journalistes dans la capitale. "Que faites-vous ici à Damas?" rugit-il. "Vous devriez être avec nos soldats!" Et dans la journée, des images fatigués d'un ton pincé sourire président Bachar al-Assad et des photos de troupes syriennes heureux embrassant les enfants ont été remplacés par des matières premières - extraits des nouvelles de lutte contre les commandos leur chemin à travers la rue de Bagdad sous le feu des rebelles adversaires de la - et réel régime, crasseux face, allant du coin de la rue, le tir de la couverture des murs et des terrasses. «Nous avons nettoyé ici," un officier fatigué, mais très en colère dit. "Alors maintenant, nous allons chercher le reste de ces salauds." Jamais auparavant - pas même dans la guerre de 1973, lorsque l'armée syrienne ont pris d'assaut la crête de l'Observatoire sur les hauteurs du Golan - si le public syrien vu quelque chose d'aussi réel que cela sur leur écran de télévision.
Toute la nuit et toute la journée, les canons de Kassioun ont tiré. Au Dayara et Kfar Souseh et Qadam et Nahr Aisha, la preuve que les ennemis de Bachar al-Assad ont réintégré la banlieue de Damas, après récupération par le gouvernement de la capitale le mois dernier.
A Alep, les riches sont déjà partis, les classes moyennes rester à la maison et les pauvres souffrent. Vous avez seulement marcher dans le parc à côté de vieux français Saadalah al-Jabri place pour y répondre, trois familles de 19 âmes, les femmes en noir et brûlé par le soleil, les enfants à la peau foncée, les mères-frère et ses neveux couché sur épuisés tapis minces posé sur l'herbe desséchée. Il est 37C. Ils se trouvent à l'ombre d'un arbre décharné, leur couverture n'est que depuis qu'ils sont venus ici il ya un mois à partir de la banlieue de la ville de Haderiyah.
Une armée victorieuse? Il y avait des douilles partout dans les ruelles de pierres anciennes, fenêtres, criblé de balles et de trous sur le côté de la mosquée Sharaf, où un homme armé a tiré depuis le minaret. Un tireur d'élite toujours tiré à seulement 150 mètres de là - tout ce qui restait de plus d'une centaine de rebelles qui avaient presque, mais pas tout à fait, la citadelle entourée de 4000 ans d'Alep.
Vous savez que c'est tout à fait vrai quand le chauffeur de taxi éteint l'autoroute en direction d'Alep. En face se trouve un mile de la route déserte, disparaissant dans la brume de chaleur sur son chemin vers l'une des plus anciennes villes du monde.
Mortiers s'est écrasé dans les rues de la classe moyenne autour de nous et un char T-72 cuit dans le feu sous un viaduc routier, mais Bachar al-Assad commandant en chef opérationnel à Alep - un 53-year-old Major-général à 33 ans les blessures par balle et deux militaires de batailles du mois dernier à Damas - affirme qu'il peut "nettoyer" toute la province d'Alep de «terroristes» dans les 20 jours. Maintenant que c'est tout à fait une fanfaronnade, en particulier dans le Saif el-Dowla banlieue de la ville, où des tirs de snipers cassé dans les rues feuillues. Pour la bataille d'Alep est loin d'être terminée.
Le commandant de l'ONU à Damas offre un adieu triste à sa mission hier, peu convaincante affirmant que l'ONU ne voulait pas abandonner la Syrie, mais en fait transformer le pays en une zone de libre-le-feu du moment, ses derniers 100 soldats commencent leur retraite demain. Chaque fois que l'ONU retire son personnel du Moyen-Orient, une catastrophe suit toujours dans son sillage - le départ des inspecteurs en désarmement de l'ONU en Iraq en 2003 annonçait l'invasion anglo-américaine - et, en privé, les craintes de l'ONU la voie est désormais ouverte pour l'Occident et les Arabes du Golfe de verser des armes lourdes en Syrie pour aider la rébellion contre le régime Assad.

