samedi 25 août 2012
Dans notre parti politique...
Dans notre parti politique
Dans notre parti politique, nous accomplissons ce que nous promettons.
Seuls les imbéciles peuvent croire que
nous ne lutterons pas contre la corruption.
Parce que, il y a quelque chose de certain pour nous :
L'honnêteté et la transparence sont fondamentales pour atteindre nos idéaux.
Nous démontrons que c'est une grande stupidité de croire que
les mafias continueront à faire partie du gouvernement comme par le passé.
Nous assurons, sans l'ombre d'un doute, que
la justice sociale sera le but principal de notre mandat
Malgré cela, il y a encore des gens stupides qui s'imaginent que
l'on puisse continuer à gouverner avec les ruses de la vieille politique.
Quand nous assumerons le pouvoir, nous ferons tout pour que
soit mis fin aux situations privilégiées et au trafic d'influences
nous ne permettrons d'aucune façon que
nos enfants meurent de faim
nous accomplirons nos desseins même si
les réserves économiques se vident complètement
nous exercerons le pouvoir jusqu'à ce que
vous aurez compris qu'à partir de maintenant
Nous sommes , la « nouvelle politique ».
Et maintenant, lisez le texte en commençant par la dernière ligne et en remontant ligne par ligne jusqu'au début....
http://www.planet.fr/actualites-dans-notre-parti-politique.34103.1653.html
Les athlètes paralympiques qui s'automutilent : une nouvelle forme de dopage
Selon un scientifique qui suit les athlètes des Jeux paralympiques, un tiers des compétiteurs touchés à la colonne vertébrale s'infligent de telles blessures pour améliorer leurs performances, d'après la BBC.
Il faut le dire. C’est un symptôme de la totale dégénérescence de notre civilisation. Une recherche à tout prix d’une notoriété qui sort de l’insignifiance, dans un monde qui n’a plus de sens, ni de valeurs.
Je vois un lien avec le cirque de l’affaire Lance Armstrong dont les médias disent unanimement jusqu’à maintenant qu’elle est réglée alors que rien ne me semble moins sûr. Il n’y a plus de vérité.
Panem et circenses ou nihil novum sub sole…
Panem, c’est ce qui vaut à nos démocraties molles, en réalité devenues des ploutocraties hypocrites de ne connaître aucune révolution, même en Grèce.
Circenses, ou donner un sens fugace, une bouffée d’ego (c.f. « Les jeux de l’esprit » de P. Boulle) à des personnes qui ne sont plus qu’une « variable d’ajustement » dans l’équation de la productivité économique.
La seule issue que j’entrevois pour sortir de ces eaux troubles où la condition humane s’enlise, c’est de la dépasser, aussi pour enfin s’affranchir de la tentation régressive des religions révélées, héritées d’une civilisation pastorale (où l’ensemble de l’humanité ne totalisait guère que 150 millions de personnes, au temps du Christ).
Il revient aux intellectuels maintenant d’explorer ce que pourrait être la condition posthumaine, pour mieux la préparer et la rendre d’autant plus souhaitable.
Une condition posthumaine que l’on peut voir comme un anti Pari de Pascal.
« Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager : votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature a deux choses à fuir : l’erreur et la misère. Votre raison n’est pas plus blessée, en choisissant l’un que l’autre, puisqu’il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu’il est, sans hésiter. »
Maximisiser les ressources de l’existence, étendre la connaissance et repousser toujours plus loin, jusqu’à l’éradiquer finalement, les limites de la mort, voilà un but auquel il faudrait travailler, plutôt qu’aux prochains Jeux Olympiques et leur caricature paralympiques.
Et, oui, les « athlètes » paralympiques sont d’autant plus conviés à travailler à ce but que seul un tel programme permettra de faire régresser jusqu’a totalement les effacer, les pathologies qui les amènent maintenant à rechercher dans ces « jeux » de tristes et malsaines compensations narcissiques à des infirmités qui pourraient ne pas être des fatalités.
Pourquoi l’écologie politique et ses militants ne sont pas pris au sérieux
Tout ce qu’ils proposent est un ensemble d’idées moralisatrices déconnectées des réalités…
Pour info vous pouvez prendre 5bains par jour ou vivre dans une cabane sans eau vous ne changerez rien au problème de l’eau.
Pour 2raisons:
1) L’eau est un problème éminemment local simplement parce qu’elle ne peut se transporter.Certaines régions plutôt sèches connaissent des manques chroniques d’eau. Mais à l’inverse, dans la plupart des régions de la planète l’eau est surabondante et ne risque pas de manquer. C’est le cas en Amérique du Sud mais aussi en Europe, en dehors des régions chaudes bordant la Méditerranée. Dans ces régions (donc chez nous) le risque d’épuiser la réserve hydrique est inexistant. Et toutes les économies que vous pourrez faire ici n’auront aucune incidence sur les régions ayant un déficit en eau
2) Même en négligeant les différences spatiales des besoins en eau, diminuer sa consommation domestique en eau n’aurait pas le moindre impact sur les ressources disponible. Tout simplement parce que la consommation domestique représente moins de 3% de la consommation globale d’eau, alors que l’agriculture compte pour 93% (chiffres FAO).
Donc en gros vous pourriez arrêter de vous laver, voire vous déconnecter du réseau d’eau publique, vous économiseriez moins d’eau que si vous décidiez d’avoir un repas végétarien sur la semaine.
L’écologie politique se contente de proposer des idées toutes faites qui collent à l’esprit du militant (« pas de douches, ampoules économiques » « manger bio » « pas de nuclaire » « pas d’OGM »), qui font très vert ou développement durable mais qui n’apportent rien dans les faits (voire ont l’effet inverse). Du coup on évite de proposer des solutions réelles mais moins populaires. La consommation de viande est un exemple; faire baisser la consommation de viande aurait pour effet non seulement d’économiser l’eau mais de réduire la déforestation ainsi que les émissions de CO2. Mais ce genre d’idées, bien qu’efficaces ne seront jamais proposées parce qu’impopulaires (en Europe on aime la viande, et on se ramasserait les syndicats d’agriculteurs avec des idées pareilles). Et en écologie comme ailleurs le but est de caresser la base électorale dans le sens du poil, donc lui proposer les idées qu’il veut entendre à défaut de celles efficaces.
Ah et le protocole de Kyoto est les initiatives du genre sont un leurre, les pays qui polluent trop se contentent d’acheter aux pays qui ne remplissent pas leur quota CO2 leur « droit de polluer » excédentaire.
Et c’est pas en combattant le nucléaire que les émissions de CO2 risquent de chuter.
Bref ça continue dans les « ya qu’à », pour bien éviter de traiter les vrais problèmes. A quand une écologie pragmatique et scientifique…
Après les traders les journalistes remplacés par des robots
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Reposez vous, je gère tout |
Des ordinateurs à la place des journalistes. L’idée se concrétise aux États-Unis où des algorithmes sont capables de transformer des données chiffrées brutes en brèves. Véritable progrès pour certains permettant de décharger le journaliste d’une tâche simple et répétitive, il représente un menace pour l’information pour d’autres. Retour sur ce phénomène en devenir.
Les articles du futur seront-ils écrits par des ordinateurs? Aux États-Unis, la pratique est déjà en marche. Le principe est simple : des algorithmes transforment des données brutes et chiffrées en articles. Pas de place pour la subtilité ou l’analyse, mais ce système peut s’avérer utile pour des brèves dans l’actualité sportive – pour les résultats par exemple- ou dans le domaine des affaires – pour les résultats comptables.
Mieux, pour être plus proche de la réalité l’ordinateur est capable d’adapter son ton et de changer d’angle en fonction de son lectorat et de son lieu d’habitation.
Chez Narrative Science, une société basée à Chicago qui travaille sur ce type d’ordinateurs depuis plus de dix ans, des articles concernant 370.000 matchs de base-ball de ligues mineures ont déjà été transmis l’année dernière. Parmi ses 40 clients, l’entreprise compte même Forbes, publication économique de référence. Le magazine fait appel aux automates pour rendre plus accessibles des données brutes et autres tableaux.
Un gain de temps et d’argent?
Menace dangereuse pour certains, les “ordinateurs-journalistes” représentent un progrès majeur pour d’autres. Se chargeant de tout ce qui simple et répétitif, les algorithmes “permettent au reporter qui les aurait écrits d’utiliser son temps pour faire des choses plus intéressantes”, observe auprès de l’AFP Ken Doctor, analyste spécialisé dans le monde des médias.
Un argument qui ne tient pas aux yeux de Dominique Wolton
“L’argument du gain de temps est idiot. Que va faire le journaliste, des enquêtes? des reportages? Il n’y a pas d’argent”, explique le directeur de l’Institut des sciences de la communication au CNRS contacté par le JDD.fr.”Plus on va faire des tâches automatiques moins il y aura d’argent pour les enquêtes d’ailleurs”, répond-t-il à ceux qui voit dans “l’ordinateur-journaliste” une solution à la précarité économique de nombreuses entreprises de presse.
“L’information n’est pas universelle et rationnelle“
“Une brève n’est pas qu’un simple résultat quantitatif”, poursuit-il. En outre, l’ordinateur est capable pour l’heure de s’occuper des données statistiques ou chiffrées. Mais, si un match est interrompu par la météo ou compte un blessé, il ne le mentionnera pas ne sachant pas le prendre en compte. “Ces pratiques renforcent l’idée que l’information est objective, universelle et rationnelle. Or, ce n’est pas vrai!, estime Dominique Wolton.
De même, tous les articles ne sont pas relus par des journalistes, certains sont transmis directement sans aucune intervention humaine. Une relecture demanderait trop de temps et irait donc à l’encontre du but recherché. Conscient de toutes ces lacunes qui peuvent s’avérer dangereuses pour l’information, Kristian Hammond, directeur technologique de Narrative Science, se base sur les “excellents retours” qu’il a eus. Et d’assurer : “Jusqu’à présent nous n’avons pas fait d’erreurs”. Le débat est lancé.
Les journalistes remplacés par des ordinateurs? - leJDD.fr