mercredi 22 août 2012

Concert à Scandale : Madonna aura du mal à faire pire que Jim Morisson



Le concert des Door's à Miami, plus fort que Dieudonné en Belgique




Doc sur l'incident de miami par lizardgirl

Le 1er mars 1969, Jim arrive avec plus d'une heure de retard au concert prévu à Miami. De plus, le promoteur du concert avait vendu plus de places que la salle ne pouvait en accueillir ce qui allait forcément poser un problème de plus par la suite. Il a raté deux fois son avion : ivre mort, il ne parvient pas à chanter une seule chanson dans son intégralité, s'interrompant sans cesse pour digresser, plaisanter, traiter le public de « bunch of slaves » (« bandes d'esclaves »), de « bunch of idiots » (« bandes d'abrutis »). Il invective la foule : « How long are you gonna let it go on ? Lettin' people push you around ? How long d'ya think it's gonna last ? Maybe you like it, maybe you like being pushed around... Maybe you love it, maybe you love gettin' you face stuck in the shit... » (« Combien de temps allez-vous vous laisser faire ? Vous laissez les gens vous bousculer. Combien de temps cela va-t-il encore durer à votre avis ? Peut-être que vous aimez ça, peut-être que vous aimez qu'on vous bouscule... Peut-être même que vous adorez ça, que vous adorez qu'on vous mette la tête dans la merde... »). Un peu plus tard pendant le concert, Jim simule une fellation à Robbie Krieger, accroché à sa guitare.







Puis intervient l'incident fatal : reprenant un de ses « discours » bien rôdés pour manipuler le public, Morrison annonce : « Nous sommes là pour jouer de la musique, mais ça ne vous suffit pas, pas vrai ? Vous en voulez plus... Vous voulez quelque chose de plus... » Taquinant encore la foule, il finit par annoncer qu'il va se montrer nu. L'a-t-il fait ? La question reste ouverte. Une extrême confusion régnait à ce moment dans la salle de concert, et un doute subsiste quant à la probité des témoins de l'accusation. Morrison lui-même restait dans l'incertitude. Il déclarera plus tard qu'il ne se souvenait plus, qu'il était bien trop ivre pour se souvenir. Son sexe ne fut cependant pas montré au public comme l'a affirmé la centaine de photographes présents.

Les réactions ne se font pas attendre : alors que The Doors profitent de trois jours de repos en Jamaïque, dès le 4 mars, les journaux conservateurs de Miami appellent à une « réaction contre l'obscénité ». Le 5, Jim Morrison est inculpé sous quatre chefs : « comportement indécent », « nudité publique », « outrage aux bonnes mœurs » et « ivresse publique ». Dans la foulée, les concerts à Jacksonville, à Dallas, à Pittsburgh, à Providence, à Philadelphie, à Cincinnati, à Cleveland, à Détroit, sont annulés. Il faut attendre le mois de juin pour que l'agitation se calme un peu, et que Chicago, puis Minneapolis, accueillent The Doors. Dans cette atmosphère tendue, la sortie de The Soft Parade, en juillet, passe presque inaperçue.


Photographie de Jim Morrison prise par la police de Miami le 20 septembre 1970 pour « comportement indécent », « nudité publique », « outrage aux bonnes mœurs » et « ivresse publique ».
Le groupe n'en commence pas moins, courant septembre, à enregistrer un cinquième album. Le 9 novembre, comparaissant devant les juridictions de Floride, lors d'une audience préliminaire, Morrison décide de plaider non coupable. Le procès commencera en août 1970 et se soldera, le mois suivant, par la relaxe pour les chefs de « comportement indécent » et « d'ivresse sur la voie publique », mais assorti d'une condamnation à huit mois de prison et à une amende de cinq cents dollars pour les deux autres chefs d'accusation, dont il est reconnu coupable.

Entre-temps, le cinquième album, Morrison Hotel, paraît en février 1970, avec un groupe au mieux de sa forme. Militant pour les engagements typiques du mouvement hippie (Ship Of Fools traite de la dégradation de l'environnement), l'album renoue musicalement avec une tradition rock plus classique (Roadhouse Blues) traitant des thèmes comme l'amour (You Make Me Real ; Queen Of The Highway ; Blue Sunday ; Indian Summer), sans abandonner des compositions plus élaborées aux paroles portant le lyrisme caractérisitique de Morrison (Waiting For The Sun ; Land Ho!), ainsi que le sentiment de malaise qui dominait Strange Days (Peace Frog ; The Spy). Le disque reçoit des critiques extrêmement élogieuses, lesquelles n'hésitent pas à parler du « retour » de The Doors.
L'automne 1970, gâté par le procès de Jim Morrison, retarde les répétitions pour le sixième album, lesquelles ne commencent qu'en novembre. Le 8 décembre, le jour de son vingt-septième anniversaire, Jim se rend au studio et enregistre une lecture de certains de ses poèmes. Les 11 et 12 décembre, The Doors donnent leurs derniers concerts avec Jim Morrison à Dallas et à la Nouvelle-Orléans.

Les États-Unis menacent la Syrie d’actions contournant l’ONU


Les États-Unis menacent la Syrie d’actions contournant l’ONU. C’est l’éventualité que la porte-parole officielle du Département d’Etat américain Victoria Nuland n’a pas exclue. Lors d’un point de presse elle a laissé entendre que Washington avait l’intention d’en informer le nouveau médiateur de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie Lakhdar Brahimi.

La principale condition posée par Lakhdar Brahimi quand il acceptait le poste de l’envoyé spécial pour la Syrie était un soutien inconditionnel de ses efforts par les grandes puissances. A en juger d’après la déclaration de Mme Nuland, les États-Unis chercheront à persuader le médiateur international de ce que l’ONU avait épuisé ses possibilités pour ce qui concerne de régler la crise en Syrie. En conséquence, un nouveau problème dans les efforts de paix de la communauté internationale devient imminent. Puisque Kofi Annan a été obligé de renoncer à sa mission en reconnaissant n’avoir pas trouvé d’appui unanime de la part des grandes puissances à sa mission de médiation en Syrie.

Tout indique que les États-Unis ont l’intention de porter un nouveau coup à l’autorité de l’ONU en matière de règlement des crises, estime Alexeï Podtserob, expert à l’Institut de l’Orient auprès de l’Académie russe des sciences :

" La déclaration de Mme Nuland ne surprend pas. Les Américains ont recouru maintes fois à la force au mépris des décisions de l’ONU. Il suffit de rappeler leurs interventions militaires au Panama, et à Grenade. Et relativement il y a peu leur agression en Yougoslavie en 1999. Ensuite, il y a eu leur attaque contre l’Irak en 2003. Elle a été faite de même en contournant le CS de l’ONU, sous un faux prétexte de possession par le régime de Saddam Hussein d’armes biologiques et chimiques. A quoi l’agression contre la Syrie conduira-t-elle ? Ce sera, bien entendu, une guerre d’envergure, qui fera couler des rivières de sang. Certes, la Syrie n’est pas en mesure de résister aux Etats-Unis, c’est clair. Mais d’autre part, et je connais bien les Syriens, ils combattront jusqu’au bout. Ce sera donc une nouvelle guerre, très sanglante au Proche-Orient ".

Le président des États-Unis Barack Obama a également mis en garde la Syrie. A un briefing spécial lundi il a déclaré n’avoir pas pour le moment donné ordre au sujet d’une intervention. Mais il a menacé de changer de position en cas, où Damas usera d’armes chimiques ou biologiques.

Les États-Unis soutiennent la rébellion syrienne armée, laquelle, de l’aveu de ses chefs militaires, s’appuie toujours plus sur les combattants du réseau terroriste Al-Qaïda. Les Américains assurent ne pas fournir directement d’aide militaire, mais encouragent par tous les moyens à cela l’Arabie Saoudite et le Qatar. Ainsi que la Turquie et la Libye, du territoire desquels les armes et les renforts sont envoyés à l’opposition syrienne. Voici l’opinion de l’analyste du Centre des études arabes à l’Institut de l’Orient auprès de l’Académie russe des sciences Boris Dolgov :

" En Afghanistan, au Yémen les États-Unis combattent Al-Qaïda, proclamé ennemi numéro un. Et à la fois un tel soutien, en fait, à Al-Qaïda en Syrie. Il en a été de même en Libye ".

Sur fond de multiplication des informations concernant un regain d’activité d’Al-Qaïda en Syrie, Moscou a prévenu au sujet de l’inadmissibilité de la contrebande d’armes vers ce pays. Le commentaire du MAE de Russie note en particulier que la Libye, la Turquie et le Liban sont devenus des filières de livraison d’armements à l’opposition syrienne.

Konstantin Garibov 
La Voix de la Russie, 21.08.2012.

Le mail menaçant de Valérie Trierweiler au magazine “ Grazia ” : le retour de la première peste de France ?

Après le tweet, le mail...



Calme, shhhh… ne vous échauffez pas : l’affaire n’est pas aussi grave. Elle n’en reste pas moins un tantinet, comment dire ? Embarrassante ? Disons… troublante, allez. Voici les faits, rapportés dans “ l’édito ” de Christine Régnier, directrice de la rédaction du magazine “ Grazia ”. “ Oh, surprise !, s’exclame la journaliste. Alors que la France s’éveille mollement en ce 8 août cagnardesque, arrive dans la boîte mail de “Grazia” une lettre de la première dame de France. En plein cœur de l’été ? Valérie Trierweiler ? Un fax envoyé par mail ? Bizarre. 
D’autant que le couple présidentiel passe, comme chacun le sait, de très caaaalmes vacances au fort de Brégançon depuis le 2 août. 
Peut-être Valérie Trierweiler trouve-t-elle le temps si long en son château qu’elle a eu envie de nous écrire un petit mot ensoleillé ? 
Je vous l’accorde, c’est un peu gros. Mais qui sait ce que Valérie Trierweiler peut décider de faire, elle, l’archétype de la liberté et de la spontanéité ? ”



L’injonction de Valérie

“ Malheureusement, point de billet doux, répond Christine Régnier, mais une injonction à “ éviter la publication d’articles ou de photographies qui seraient attentatoires à son droit à l’image et à son droit au respect de sa vie privée, ainsi qu’à ceux de ses enfants ”, sous peine de “ devoir recourir aux voies judiciaires pour faire valoir ses droits ” ”. Ah oui, quand même… Dûment reproduite par le journal, la missive est en fait rédigée par “ le conseil ” de Valérie Trierweiler, dont le nom est, comme il se doit, flouté. Il y indique que “ Madame Trierweiler, si elle comprend et accepte, qu’en tant que compagne du Président de la République, elle soit désormais soumise à une plus grande curiosité médiatique, souhaiterait néanmoins protéger une part d’intimité pour elle-même et les siens. (…) Elle regretterait en effet, poursuit-il, de devoir recourir aux voies judiciaires pour faire valoir ses droits si ceux-ci faisaient l’objet de violations malgré la présente. Je suis naturellement à votre disposition, conclue-t-il, pour tout échange utile, y compris le cas échéant avec celui de mes confrères qui défend vos intérêts ”. Ben, ça rigole pas, dis donc ! Ca sentirait même un peu la menace, non ?


“ Grazia ” et “ la première peste de France ”

“ Qu’avons-nous commis qui mérite l’envoi de cette mise en garde estivale ?, se demande Christine Régnier. Serait-ce cet article sur la fameuse affaire du tweet — le seul publié dans “ Grazia ” depuis deux mois sur la première “ girlfriend ” de France ? Admettons que le titre ne lui ait pas fait plaisir (“ La première peste de France ”, remember). Il n’y a pas là matière à fouetter un journaliste de “ Grazia ” en place publique ”. C’est bien vrai, ça, Christine — et cela même si l’article en question, comme nous l’avions alors noté (voir la revue de presse du 16 juin), n’était pas à la hauteur de celui de “ Libération ”, plus malignement intitulé, d'ailleurs, “ La première gaffe de France ”. Pas plus impressionnée que ça, la directrice de la rédaction de “ Grazia ” le promet en tout cas : “ Si matière il y a — tweet again ou autre déclaration — oui, nous serons là. Pas par vacherie. Mais par professionnalisme. Car tel est notre métier : traiter l’info, la décrypter, la commenter, avec humour et (im)pertinence ”. Oui, parce qu’au fond l’idée, c’est quoi ? Qu’on reste là, les doigts sur la couture du pantalon ?



“ On tourne en rond à Brégançon ? ”

“ L’injonction ” de Valérie Trierweiler à “ Grazia ” est d’autant plus troublante qu’elle est paradoxale. La première dame, il ne faudrait pas l’oublier en effet…, est et demeure journaliste. Le fait n’a pas échappé à Christine Régnier. “ Je me remets au feuilletage du “ Paris-Match ” de la semaine dernière, écrit-elle. Vous savez, celui sur les vacances paparazzées du couple présidentiel où l’on voit François H. en maillot bleu et Valérie T. (la première dame) en deux-pièces noir. Celui aussi qui accueille une interview d’Amélie Nothomb signée par… Valérie T. (la journaliste, cette fois). Amusante ou schizophrène situation, on ne sait plus. Il est dit dans l’article (celui consacré au couple présidentiel) qu’on tourne en rond à Brégançon. Ceci explique peut-être cela… ”

Valérie Trierweiler : le mail 

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La mafia est devenue la banque numéro un en Italie


Cette idée pourrait en faire rire plus d'un, pas l'ONG "SOS Impresa"http://www.sosimpresa.it/ (SOS Entreprise) qui affirme que la mafia a déjà déployé ses tentacules sur le système bancaire et qu'elle est d'ores et déjà la première banque d'Italie. "Avec 65 milliards d'euros en liquidités, la mafia est la première banque d'Italie", explique dans un rapport l'association "SOS Impresa".



D'après l'ONG, le crime organisé génère un chiffre d'affaires de 140 milliards d'euros par an, et ses profits dépassent les 100 milliards d'euros. Avec de tels chiffres, l'ONG avance même que les mafias italienne de Sicile de Calabre ou de Naples réalisent des profits correspondant à 7 % du Produit Intérieur Brut (PIB) de l'Italie.



Ce sont les activités d'usures (l'intérêt d'un prêt au taux abusif) qui rapporteraient une grande part de ces profits. Selon les estimations de l'ONG, l'usure a provoqué la fermeture d'environ 1 800 entreprises et la disparition de milliers d'emplois. 200 000 commerçants seraient sous l'emprise des usuriers. Et plusieurs dizaines de mauvais payeurs ont appris ce qu'il en coûtait de devoir de l'argent à la mafia, parfois au prix de leur vie, parfois en disparaissant...



Le problème dans tout ça, c'est qu'en période de crise, ceux qui veulent ouvrir un commerce sont souvent freinés par les banques qui leur refusent des prêts. Le risque, c'est que ces petits entrepreneurs se tournent vers la mafia pour obtenir la somme qui leur permettra d'ouvrir un commerce pour lequel ils se feront alors racketter par... la mafia. Tout benef en somme pour Don Corleone.

Jean Luc Mélenchon comparé à Sarkozy : Entre le PS et le Front de Gauche ça sent le Sapin


Sapin : "les emplois d'avenir, une priorité" par Europe1fr






Le vrai visage de Michel Sapin

Valérie de Senneville, journaliste aux «Echos» et femme du ministre du Travail, Michel Sapin

Le ministre du Travail estime qu'il faut être au Smic pour avoir le droit de critiquer son misérable coup de pouce qui, à ses yeux, est un cadeau royal fait aux salariés.

Parmi les protestations qui ont fusé à l'encontre de la ridicule revalorisation du Smic décidée par ce gouvernement soi-disant «de gauche», Michel Sapin a retenu celle de Jean-Luc Mélenchon qui, indigné, a déclaré que 2%, «c'est un Carambar par jour. Vous pouvez même pas vous payer une baguette de pain». Ce qui est vrai, puisque cette hausse correspond à 22 € nets par mois pour un temps plein — soit 70 centimes par jour —, sachant que seuls 45% des Smicards sont dans ce cas toute l'année.

Voici ce que Michel Sapin a rétorqué : «Je ne suis pas sûr que Mélenchon mange beaucoup de Carambar. Je ne suis pas sûr non plus qu’il soit payé au Smic.» Une réponse aussi faible que de mauvaise foi.

Certes, Mélenchon gagne 7.000 €/mois et il en donne la moitié à son parti.
Mais, selon les dires de Sapin, faudrait-il être au Smic pour avoir le droit de protester ?
Le ministre Sapin, lui, gagne le double de Mélenchon. Ce qui équivaut à 10 Smic brut par mois. A ce tarif, il ne mange pas de Carambars mais des Ferrero Rochers pour ces soirées de l'ambassadeur...

Ce n'est pas fini. Et Michel Sapin de plaider : «Pour un couple de Smicards, 260 € en plus par an, ce n’est pas du Carambar» (mais c'est presque aussi beau que du Christine Lagarde). En effet, le 26 juin, il avait défendu une hausse «raisonnable» mais «substantielle».
On peut disserter sur le «raisonnable» de la chose... Mais sur le «substantiel» ? Dans le dictionnaire, «substantiel» signifie «nourrissant», «non négligeable», «important» voire «considérable».

22 € de plus par mois, voilà qui est nourrissant, non négligeable, important voire considérable. (Il y a de quoi s'inquiéter pour la suite.)
260 € de plus par an, quelle orgie !!! Et quel mépris.
Le «socialiste» Michel Sapin a tombé le masque.

SH

Le vrai visage de Michel Sapin | Social, économie et politique

Zone Euro : la crise financière se transforme en crise économique


Angela n'y croit plus
En Europe, la crise financière européenne se transforme en crise économique.Le plan A ne fonctionne à l’évidence pas, dans la mesure où la situation de l’Espagne pollue celle de l’Italie. Il faut donc réfléchir à un plan B organisant la sortie des états qui ne peuvent se plier à la nécessaire discipline de la monnaie commune. C’est semble t il un sujet sur lequel a beaucoup réfléchi Angela Merkel pendant l’été. D’ailleurs, l’idée selon laquelle la solution de la crise actuelle se trouverait dans une Europe Fédérale commence à être remise en question.

L’Allemagne est clairement entrée en récession. La conjoncture allemande donne les premiers signes de fatigue. Angela Merkel est en position délicate. A un an des élections générales, la Chancelière est débordée par ses alliés eurosceptiques et ses adversaires qui la poussent à faire plus pour l’Euro.

En France, le doute s’installe
La production industrielle a stagné en juin et la croissance a été nulle au T2. La France a évité de justesse de glisser dans la récession. Le gouvernement donne l’impression de naviguer à vue. C’est ce qui  se dégage des principales mesures prises par François Hollande pendant les cent premiers jours de son quinquennat. Le meilleur exemple est probablement la nouvelle taxe sur les transactions financières  qui frappe les achats de valeurs françaises effectuées à Paris par des investisseurs à long terme,  mais pas les « day trader » ! Tout cela va se traduire par une diminution de l’activité de la place de Paris et encourager encore plus les opérations spéculatives des Hedge Funds et les  délocalisations, soit le résultat inverse à celui qui est annoncé ! 
Si le gouvernement veut ramener le déficit à 3% du PIB en 2013, le gouvernement devra donc  augmenter la CSG de 3 à 5 points. Cela n’épargnera bien évidemment pas les classes moyennes.

Matières premières 
Le pétrole est au plus haut depuis 3 mois. Les prix record vont peser sur la croissance. Le blocage des prix à la pompe constitue un véritable casse tête pour le gouvernement. L’or pourrait monter à 1900$  d’ici la fin de l’année expliquent les analystes de HSBC. Le maïs a progressé de 21% depuis le plus bas du mois de juin.

Banques
 les banques américaines se préparent à un retrait de l’Europe car elles craignent de subir des pertes en cas de sortie d’un pays de l’Euro. On assiste clairement à une offensive des banques américaines sur leurs homologues européennes.

Les "Gamelins" de l'économie
L’euro est mortel. L’Euro a été aussi efficace que la ligne Maginot qui avait été soutenue comme l’Euro aujourd’hui par les élites françaises de l’époque….

 FiNANCE « Institut des Libertés

Les 50 banques les plus sûres du monde : pas rassurant pour la France

Les banques Allemandes sont les plus sûres du monde alors que les Américaines et Françaises font pâle figure.





6eme : Caisse des dépots et consignation
36eme : La Banque Fédérative du Crédit Mutuel est la société holding du groupe Crédit mutuel-CIC
43eme : La Banque Postale
47 eme : BNP Paribas
Actu Forex : Classement des 50 banques les plus sûres du monde