mardi 14 août 2012

Les anti sarkozistes primaires changent de cible

C'est assez drôle de voir chaque jour, les effets délétères sur opinion de ce que l'on nomme désormais l'UMPS.
Dernier exemple en date le blog anti sarkozy : .toutsaufsarkozy.com ("ils"avaient fait le même coup à Ségo l'haine).

On lèche on lâche on lynche...

Avec Hollande, du côté de chez Lucifer...
inv

L’exploit paraissait à tous impossible et pourtant, avec effroi, nous le voyons se dessiner à grands traits sous nos yeux : la présidence Hollande sera pire que celle de Sarkozy.

Réquisitoire implacable : 

François Hollande : "un larbin soumis"
Sur le plan intérieur, François Hollande, à l’instar de son prédécesseur, est un larbin de l’oligarchie financière. Son soutien indéfectible à l’Union européenne le prouve et son silence sur le Pacte budgétaire européen, qui sera traduira en mot d’ordre de ratification, le confirme. Sur le plan extérieur, François Hollande, toujours à l’instar de son prédécesseur, est tout aussi servile : son faux retrait des forces françaises d’Afghanistan (l’armée française partira avec les américains, pas avant), ses prises de position sur la Syrie et son adhésion au bouclier anti-missile ne laissent place à aucune ambiguité. On trouve donc chez Flamby les fondamentaux de la félonie contemporaine : soumission à l’UE et soumission à l’OTAN.

On s'en fout des pédés on veut des sous !
Qu’un individu ne soit pas discriminé ou persécuté en raison de sa sexualité, voilà qui est la moindre des exigences de tout état de droit pour ne pas dire de toute civilisation. Toute haine gratuite est à balayer.A cet égard, il est à noter que l’homophobie n’a jamais été très virulente en France, la vie de cour d’Henri III, la carrière de l’archichancelier Cambacérès ou celle du ministre de l’Education de Vichy, Abel Bonnard, surnommé « Gestapette » par les résistants, sont là pour en attester. Mais si l’homophobie est à bannir, il en va de même de sa petite sœur, née de la haine de soi occidentale : l’homophilie.

La gay pride : "une vision de l'enfer"
Aussi, comme chaque année, s’est avec dépit que votre serviteur a été soumis par des journalistes imbéciles à une vision de l’enfer, soient les images de la gay pride2012, que l’on doit désormais appelerMarche des fiertés. Et c’est avec une irritation mal contenue qu’il entendit la stupide déclaration du premier ministre Ayrault, recordman mondial de l’absence de charisme, juste devant son supérieur hiérarchique et les huitres de Bretagne, sur « le droit au mariage pour tous ».


Cette déclaration laisse sous-entendre quelque chose de juridiquement faux : les homosexuels n’auraient pas le droit de se marier. Faux ! Archi-faux ! Les homosexuels ont parfaitement le droit de se marier ! Mais pas entre eux, soit dans le seul et unique cadre de la famille, c’est-à-dire avec un partenaire du sexe opposé et hors de toute situation incestueuse. La loi interdit simplement de se marier dans un cadre qui serait différent de celui de la famille, tel le mariage entre deux personnes de même sexe ou le mariage incestueux.

lire la suite...

Révolte ou révolution localisée en Espagne : des bazzooka artisanaux contre la police !



Le ton s’est nettement durcit dans le conflit des mineurs dans le nord du pays.

De violents affrontements ont opposé les deux parties tout près de la mine de Pozo Soton près d’Oviedo dans les Asturies.

Les mineurs espagnols sont en grève pour dénoncer une réduction des aides publiques par le gouvernement Rajoy qui cherche à faire des économies pour diminuer la dette publique.
Plusieurs d’entre eux sont enfermés depuis 23 jours en signe de protestation dans une autre mine de la région.

Une quarantaine de mines de charbon sont encore en activité en Espagne, la plupart sont situées dans le nord du pays.




Une grève de mineurs espagnols se poursuit avec barrages routiers et les affrontements avec la police à l'intérieur d'une mine dans la région nord des Asturies, le vendredi. 
Pendant plusieurs jours, les blocages et des affrontements ont été la règle, tandis que la Garde civile déployés pour contenir d'exploitation . 
les travailleurs confrontés à la police avec des roquettes artisanales sur la mine de Soton Eh bien, je vous livre dans le Oviedo proche. Les combats ont duré plusieurs heures jusqu'à ce que les mineurs se retira dans les montagnes et les forêts pour se loger. 
Les mineurs protestent plus de deux semaines et aucune solution en vue à partir de ces routes bloquées jeudi et deux chemins de fer dans les Asturies. 
De plus, grève illimitée a été radicalisé ces derniers jours avec des barricades, des pierres et des feux d'artifice contre des membres de la police nationale. 


KRACH : la série sur les coulisses de la finance : cocktail d’excès de négligence et de criminalité


KRACH, les dessous de la crise économique mondiale

krack euro wall street rusty james news

Réalisation : Terence McKenna, Michelle Gagnon
Production : Radio-Canada
 La série nous transporte dans les coulisses de la finance mondiale, où un redoutable mélange d’excès, de négligence et de criminalité a infecté le système financier et a semé les germes de la catastrophe à venir.
 KRACH, les dessous de la crise économique mondiale trace un portrait approfondi de la première véritable crise économique à l’échelle mondiale. On nous amène dans les coulisses des plus hautes sphères du pouvoir politique et de la finance où le degré de tension et de trahison est à son comble, alors que le monde s’approche dangereusement d’une autre Grande Dépression.
 La série raconte aussi l’histoire de victimes. En Californie, des propriétaires désespérés perdent leur maison; en Ontario, des travailleurs de l’industrie automobile perdent tout espoir, et en France, des ouvriers en colère choquent le monde en séquestrant leurs patrons. Des trillions de dollars ont été dépensés pour sauver le système financier et relancer l'économie. Mais la reprise reste fragile. Plusieurs craignent une récession à double creux.

L’ambassadeur américain à Tel-Aviv ferait fuiter les plans de guerre américains contre l'Iran



Tout d’abord, il convient de rappeler et de garder à l’esprit que nous ne sommes plus qu’à trois mois de l’élection présidentielle américaine, qui opposera le président sortant Barack H. Obama au candidat Mitt W. Romney. L’élection est prévue pour le mardi 6 novembre 2012. Le rituel sacré de l’AIPAC et de la drague à l’électorat juif américain accomplis par les deux prétendants, c’est à celui qui criera le plus fort que le programme nucléaire iranien représente une menace existentielle pour l’État hébreu qui a le plus de chance de glaner le plus de voix sionistes.
En comparaison avec tout ce qui a été publié depuis 2005, l’on pourrait estimer que ces derniers jours ont connu leur quota respectif d’articles à propos de la crise iranienne et ses menaces de frappes préventives contre non pas l’Iran et le peuple iranien, mais les « les installations nucléaires et les objectifs militaires qui les protègent », comme nous l’avions vu le 7 août 2012 avec le développement de Dedefensa :
« Cet état d’esprit qui consiste à faire la guerre “en Iran” sans vraiment considérer l’Iran lui-même, et sans même considérer que cela concerne l’Iran, n’a jamais vraiment cessé. On le retrouve aujourd’hui, comme nous le signalions le 12 juillet 2012, puis d’une façon plus générale le 13 juillet 2012 : :
« …Cela rejoint en un sens, nous voulons dire dans le sens de la tournure de l’esprit, tourné et retourné jusqu’à ressembler à une tournure qui serait un pentagone à trois côtés, aux remarques que nous retranscrivions le 12 juillet 2012, concernant la très prochaine probable-certaine attaque-par-surprise de l’Iran, dont on nous avertirait à l’avance et qui n’est d’ailleurs pas une attaque de l’Iran, il faut d’ores et déjà le savoir, mais une attaque de quelque chose de la sorte d’une “préoccupation globale” qui, par définition, puisque c’est “global”, n’est pas du domaine de la souveraineté de l’Iran :
» “Nous donnerions à l’Iran l’avertissement que nous allons endommager et détruire probablement ses installations nucléaires. Ce n’est pas un acte de guerre contre l’Iran, le peuple iranien ou l’Islam. Il s’agit d’uneattaque préemptive uniquement contre les installations nucléaires et les objectifs militaires qui les protègent. Nous allons prendre des mesures extraordinaires pour se protéger contre les dommages collatéraux.” » »

Fuites involontaires ou volontaires ?

S’il fallait mettre un début à ce regain d’avertissements, ce serait probablement le dimanche 5 août avec la fuite dans la presse des plans de guerre américains. La source de la fuite serait, selon certaines rumeurs, Dan Shapiro, l’ambassadeur américain à Tel-Aviv. Des plans de guerre que nous allons développer en détail un peu plus bas.
Au lendemain de cette fuite, d’autres informations ont fuité comme le rapporte Barak Ravid, un proche du ministre à la Défense israélien Ehud Barak, du quotidien Haaretz sur son compte Twitter, « Information exclusive, un nouveau rapport des Renseignements révèle que le programme nucléaire militaire iranien avance plus vite qu’on le pensait auparavant. » Dans un second tweet, il déclarait que « Des diplomates occidentaux et des officiels israéliens disent que les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, et Israël partagent une nouvelle information et sont d’accord quant à son interprétation. » Haaretz allait plus en profondeur avec cet article du mardi 7 août de Barak Ravid, auteur des tweets.
Mercredi 8 août, Barak Ravid déclarait, toujours sur son compte Twitter, « Exclusif : Obama reçoit le nouveau NIE, l’Iran fait des progrès surprenants vers une capacité nucléaire militaire. » Un second billet de l’auteur était publié le lendemain sur Haaretz.
Plus tard dans cette journée du 9 août, Barak Ravid rapportait à nouveau sur Twitter, « Le ministre de la Défense israélien Ehud Barak confirme mon article à propos d’un nouveau rapport des renseignements sur l’Iran, soumis au président Obama. » Un troisième article de Barak Ravid suivait sur Haaretz.
Ce nouveau rapport des renseignements américains est le NIE (National Intelligence Estimates) dont le précédent, datant de 2007, avait fait coulé beaucoup d’encre avait coulé, en concluant que l’Iran avait renoncé à construire une bombe en 2003 mais continuait à faire des recherches et que l’Iran ne serait probablement pas en mesure de construire une arme avant 2015.
Ouvrons une petite parenthèse avec cet article intitulé « Est-ce que le Mémo de Downing Street se reproduira pour l’Iran ? », publié le 26 juillet. Le 4 juillet de l’année 2012, préciser ici l’année étant important, l’actuel directeur du MI-6, Sir John Sawers, « informa un cercle restreint de hauts fonctionnaires britanniques que l’Iran n’est « plus qu’à deux années » de devenir une « puissance nucléaire ». [...] Depuis fin 2007, les 16 agences de renseignement américaines responsables d’évaluer l’état d’avancement du programme nucléaire iranien ont conclu à l’unanimité que l’Iran avait arrêté un possible programme d’armement nucléaire dès l’automne 2003 et que ce programme n’avait pas été réactivé à la mi-2007 (NIE de novembre 2007). Ces jugements ont été revalidés chaque année depuis, et en dépit des fortes pressions graduellement croissantes de la part d’Israël – pour qui la seule conclusion possible serait la confirmation de la menace iranienne – et de ses partisans néoconservateurs. » Si l’Iran n’est « plus qu’à deux années » de devenir une « puissance nucléaire », cela nous amène donc à 2014, en avance sur les probabilités du NIE de 2007.
Selon un article du 10 août de Dedefensa rapportant l’analyse de John Glaser sur Antiwar.com, le nouveau rapport NIE, c’est-à-dire de 2012, indiquerait donc « comme résultat que les Iraniens n’ont pas progressé dans la production effective de système nucléaires militaires, au contraire de ce qu’affirme la paire Netanyahou-Barak, en complet et habituel déni des informations disponibles à cet égard. Finalement, il apparaît possible que le nouveau NIE devrait être rendu public assez rapidement, par défaut dirait-on, pour couper court à ces polémiques avec utilisation de “fuites” diverses et manipulées à souhait. »
Toujours ce 10 août, nous avons également pu remarquer plusieurs articles (anodins ?) rapportant les propos d’un responsable du département d’Etat et annonçant que le Hezbollah « pourrait mener des attaques contre l’Europe », sans préciser exactement la nature de ces attaques. Les lecteurs devant se contenter d’imprécision, « Nous pensons que le Hezbollah pourrait mener des attaques en Europe ou ailleurs à tout moment et [...] sans aucune forme d’avertissement. Le Hezbollah et l’Iran vont tous deux maintenir une activité terroriste intense dans un futur proche. [...]  Principale force du gouvernement libanais, le mouvement chiite dirigé par le cheikh Hassan Nasrallah et étroitement lié à l’Iran est engagée dans une intensification de sa campagne terroriste à travers le monde», a ajouté Daniel Benjamin, coordonnateur de la lutte anti-terroriste au département d’Etat.
Les médias de masse ont largement rapporté cette nouvelle ainsi qu’une probable et énième estimation de l’attaque israélienne contre l’Iran pour cet automne. Juste avant le mardi 6 novembre 2012 comme le développait Mark Weisbrot en février ?

Plans de guerre américains

Le 24 novembre 2011, nous avions publié « Israël a-t-il les moyens d’attaquer l’Iran ? » de Vincent Eiffling (Chroniques persanes) se penchant sur les moyens militaires à la disposition de Tsahal et de quelques questions portant sur les risques et les conséquences de ces frappes sur les installations nucléaires. Le 6 décembre 2011, nous vous proposions une analyse de ces « risques et conséquences régionales » du même auteur. Le 26 janvier 2012, nous publiions cette fois une approche des «options militaires des Etats-Unis » de Konstantin Bogdanov (RIA Novosti) avec les points communs avec les guerres de Yougoslavie et d’Irak et les conséquences.
La fuite, plus que probabalement volontaire, de l’ambassadeur Dan Shapiro, si c’est bel et bien lui la source de cette fuite, et rapportait dans la presse israélienne, donne d’avantage de détails sur les opérations conjointes d’Israël et des États-Unis, ainsi que sur le dispositif, les objectifs visés, les résultats escomptés et diverses conséquences si l’Iran n’obtempère pas. Il importe de préciser qu’il ne s’agit pas d’une action unilatérale d’Israël, mais que ces opérations intègrent les États-Unis comme l’un des agresseurs de l’Iran, violant ainsi le principe westphalien de non-recours à la force. Comme nous l’avons vu tout au long de ces mois de publications sur la crise iranienne, les États-Unis ne désirent pas entrer en conflit avec l’Iran mais favorisent les sanctions et une résolution diplomatique.
Ces détails ont un but précis, intimider une énième fois le régime des mollahs, et, éventuellement, désinformer l’appareil militaire iranien. Aucun ultimatum n’a encore été adressé à Téhéran pour qu’elle cesse d’enrichir de l’uranium. Ces détails sont un type de scénario réglé comme une horloge et faisant état d’une très grande puissance de feu écrasante américano-israélienne. Ce scénario ne se résume pas qu’à l’Iran car il concerne également le Liban où le Hezbollah pourrait attaquer Israël en représailles à l’attaque contre l’Iran. Une riposte de la Syrie, noyée dans une guerre civile, n’a pas été prise en compte dans ce scénario, ce qui ne signifie pas que la Syrie ne lancera pas de représailles à son tour. Il n’y a aucune mention non plus d’un éventuel blocage du détroit d’Ormuz de la part de l’Iran ou de frappes ciblant les bases militaires américaines dans la région ou les installations pétrolifères d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Emirats Arabes Unis.
  • Ces opérations conjointes débuteront par des tirs de missiles de croisière Tomahawk contre les défenses iraniennes. Ces premières frappes visent notamment la destruction des centres de commandement, de contrôle et de décision. Il existera une possibilité de destruction de certaines infrastructures critiques. Les frappes chirurgicales seraient menées à partir de plusieurs sites, entre autres l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, les forces navales de l’U.S. Navy en Méditerranée ainsi que celles placées en retrait du détroit d’Ormuz.
  • Après les premières minutes de l’intervention contre les défenses, les aéronefs américains seront maîtres du ciel iranien. Viendra ensuite le lancement de l’attaque sur les installations nucléaires sur décision du président états-unien, Barack H. Obama ou Mitt W. Romney. Cette seconde phase sera lancée depuis 3 à 4 porte-avions de la Cinquième Flotte des États-Unis placés au large des côtes iraniennes. En matière d’effectifs aériens pour l’attaque (n’est donc pas compris le ravitaillement), cela équivaut à deux fois l’armée de l’air israélienne. L’opération sera menée suivant la doctrine de domination rapide « Choc et stupeur ». Il existe une possibilité d’interventions précises d’unités des forces spéciales sur le terrain (probablement avec désignateur au laser pour cibler un objectif et guider une bombe ou un missile).
  • Pas d’escalade du conflit. En cas de représailles iraniennes, les ripostes seront lancées au cas par cas. En cas de réaction disproportionnée de l’Iran, il s’en suivra une destruction des installations du Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (les Pasdarans) et de leur branche, la Force de Mobilisation de la Résistance (les Bassidjis), des symboles du régime et des frappes contre les installations militaires de l’armée régulière (l’Artesh).
  • Des navires de guerre de la Sixième Flotte des États-Unis seront déployées sur les côtes libanaises pour tenir le Hezbollah en respect.
  • Un ultimatum sera fixé à l’Iran après les premières frappes, c’est à dire l’arrêt définitif de l’enrichissement d’uranium sur le territoire iranien. Accompagnée par la fermeture des centres d’enrichissement et une proposition de nucléaire civil en échange. Quelques jours de réflexion seront accordés.
  • En cas de refus, de nouvelles frappes chirurgicales de missiles de croisière Tomahawk sur différentes cibles militaires et utilisation de bombes anti-bunker Massive Ordnance Penetrator GBU-57A/B (MOP) par les bombardiers stratégiques.
  • Aucune invasion terrestre.
Je précise, il s’agit ni plus ni moins que d’une fuite d’un scénario d’attaque contre les installations nucléaires de l’Iran et non pas des prémisses d’une hypothétique guerre mondiale. Ce qui ne veut pas dire que ce scénario, aussi plausible soit-il, ne fera pas éclater la Troisième Guerre mondiale, ou la quatrième en considérant la Guerre Froide comme la troisième. Loin de toute objectivité, et tout comme pour la Syrie, nous avons du mal à envisager la Russie et la Chine entrer en guerre contre les États-Unis pour la seule sauvegarde de leurs intérêts en Iran ou pour protéger la République islamique d’Iran, son régime ou son peuple. Mais face aux menaces US contre l’Iran, Chine et Russie désormais…

Bonus

Dans ce court métrage d’anticipation réalisé par Ronen Barany, la scène se déroule le samedi 23 février 2013 quelque part en Israël. L’Iran a lancé une attaque surprise. Un couple assez nerveux tente de fuir par l’autoroute. Des nuages de fumée sont filmées pendant qu’un message d’alerte est diffusé sur les ondes déclarant que les télécommunications sont tombées et le contact est perdu avec la ville de Haïfa ainsi que le sud du pays. Le gouverement a été conduit dans un lieu sûr. L’attaque surprise a pris de court l’État hébreu et tous les habitants lorsqu’un puissant flash survient. La panique s’intensifie. Le couple s’arrête au bord de l’autoroute où une femme tente de rassurer un enfant blessé. Un 4×4 amène un autre blessé avec un soldat de Tsahal. Des avions de chasse passent dans le ciel. Une base militaire est détruite lorsqu’une explosion nucléaire retentit.

La BCE va imprimer des Euros pour aider la Grèce jusqu'à ce qu'elle reçoive la prochaine aide de l'UE


Comment la BCE aide discrètement la Grèce

La Banque centrale européenne est en train de prendre des mesures risquées pour aider à sauver Athènes de sa crise financière aiguë. De plus en plus, les dirigeants de la zone euro poussent la BCE à faire le sale boulot. Finalement, la Grèce doit honorer ses créanciers avec de l'argent fraîchement imprimé, en toute discrétion... ce qui n'amuse pas les allemands...

Il ya quelques jours, Jean-Claude Juncker, dirigeant de l'Eurogroupe a averti qu'il n'y avait plus de temps à perdre.
Les dirigeants doivent utiliser "tous les moyens à leur disposition" pour sauver l'union monétaire.
Sous-entendez : "Ctrl+Print, Mr Dragui !"
En Grèce, par exemple, où la liquidité se raréfie, le gouvernement d'Athènes doit rembourser une obligation d'un montant de 3 milliards d'euros à la BCE pour le 20 août.

Paradoxe Ponzifesque : La BCE pompe tellement d'argent à la Grèce que le pays ne peut, à son tour, pas rembourser la BCE.

Et personne ne parle ouvertement de ces flux d'argent absurdes !

En conséquence, la BCE prévoit de maintenir la Grèce à flots jusqu'à la prochaine tranche d'aide de l'Union européenne et du Fonds monétaire international.
                                                        Un mendiant à Athènes 


Chut... on imprime
La BCE a choisi de passer par la banque centrale grecque.Ce moyen va lui permettre d'émettre des prêts d'urgence supplémentaires pour les banques du pays. A leur tour, ces dernières sont censées utiliser cet argent pour acheter des obligations grecques à échéances courtes. Soit 4 milliards d'euros, selon le plan.

La banque centrale grecque accepte les obligations douteuses à titre de garantie, ce qui permet de doter les banques commerciales d'euros fraîchement imprimés, qui finalement reveiennent à la BCE.

Une autre absurdité
Durant les deux dernières semaines, la BCE a refusé les obligations du gouvernement grec en garantie de ses opérations de refinancement. Mais la banque centrale grecque, qui est en réalité la succursale de la BCE à Athènes est encore autorisée à les accepter.

Le fait que les banquiers de la zone Euro sont prêts à passer par de telles contorsions montre la précarité de la situation !

Depuis quelques semaines, il devient clair que les Grecs pourraient être à court d'argent cet été.


Comment l'absurde BCE aide discrètement la Grèce

ECB Prints Money for Greece To Buy Time for Athens - SPIEGEL ONLINE
Et il n'ya pas de plan de sauvegarde d'urgence en place.

Syrie : l'armée "humanitaire" de François Hollande


Des soldats français, déguisés en “humanitaire”, à la frontière Syrie / Jordanie !



La politique étrangère de la « France » s’est transformée en politique spectacle UMPS, pour couvrir la réalité sur le terrain : 
aide logistique aux mercenaires/ASL/Takfiristes/Al-Qaïda et opération militaire, sous couvert « d’humanitaire », à la frontière jordano-syrienne de la soldatesque Sarko-Hollande, tout cela, aux frais des contribuables français.

Alors que les médias propagandistes inondent les écrans TV et internet de « commentaires », après les déclarations intempestives de Sarkozy, criminel de guerre, illégitimement, élu, en 2007, après avoir fraudé, dans le cadre du financement de sa campagne électorale présidentielle, son ex-secrétaire d’état, le judéo-sioniste, Pierre Lellouche, vient de confirmer ce que l’on sait déjà. Hollande poursuit la même politique étrangère que Sarkozy arrimé à l’axe de la guerre, sans fin, Tel-Aviv Washington. En ce qui concerne la Syrie, le duo machiavélique synchronise, “à l”américaine”, sa communication politique spectacle.



« L’ex-secrétaire d’Etat UMP Pierre Lellouche a vu aujourd’hui de “grandes différences” entre les crises libyenne et syrienne, ajoutant espérer que l’initiative de Nicolas Sarkozy sur le dossier syrien était “coordonnée” avec le nouveau pouvoir socialiste ».

Il a ajouté que : “Je ne suis pas choqué par le fait qu’un ancien chef de l’Etat puisse, dans une démocratie, s’intéresser à une situation qui l’a occupé, jusqu’à ses dernières semaines. J’espère que tout ça a été coordonné avec le nouveau pouvoir en place parce qu’il n’y a pas de place pour deux diplomaties françaises. Et que quand on est chef d’Etat, qu’on a été chef de l’Etat, on doit pouvoir se parler, sur ces sujets-là”, a encore dit Pierre Lellouche.

Autrement dit il y a bel et bien coordination UMPS sur les décisions prises concernant la politique étrangère adoptée vis-à-vis de la Syrie et elle vise une intervention militaire sous forme d’aide « humanitaire », car la guerre de proxis menée par l’ASL, les milliers de mercenaires takfiristes et autres terroristes d’al-Qaïda n’a pas donné les résultats escomptés : chasser Assad du pouvoir.

Par conséquent la phase « humanitaire » a été enclenchée. Elle vise d’abord le front Sud syrien, le plus à découvert, actuellement, le gros des troupes syriennes se concentrant au Nord, à Alep, et prés de la Frontière turque. C’est au Sud qu’avait démarré la guerre par proxis (mercenaires, takfiristes, Al-Qaïda et autres) de déstabilisation du gouvernement syrien de Bashar Al Assad avec la complicité de la Jordanie allié inconditionnel de l’Axe américano sioniste.



« La France a envoyé, jeudi, un groupement médico-chirurgical militaire, à destination de la Jordanie, pour venir en aide aux réfugiés qui fuient les combats, en Syrie, et affluent à la frontière syro-jordanienne. Un Airbus A310 transportant quelque 90 militaires et plus de 20 tonnes de matériel médical a décollé, à la mi-journée, de la base aérienne d’Istres (Bouches-du-Rhône), à destination d’Amman, a constaté un journaliste de l’AFP, sur place.

L’appareil, avec à son bord une cinquantaine d’hommes, dont 25 membres du service de santé des armées, avait quitté l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, un peu plus tôt dans la matinée avant de faire escale à Istres. Là, une quarantaine de militaires supplémentaires, dont du personnel médical et infirmier, ont rejoint le groupement parti de Roissy, tandis qu’était embarqué le matériel nécessaire à l’installation d’une structure médicale légère qui devrait être opérationnelle dès la fin de la semaine, selon le médecin en chef Gérard Dosseh.

Un deuxième avion, transportant, cette fois, uniquement du matériel médical, devrait s’envoler, pour Amman, depuis Istres, samedi matin. Le déploiement d’un groupement médico-chirurgical militaire français, à la frontière jordano-syrienne, pour venir en aide aux réfugiés a été décidé, lundi, par le Président François Hollande »

De plus, comme l’a annoncé le Porte-parole du Quai d’Orsay, Vincent Floréani :

« une mission interministérielle (Intérieur, Défense, Affaires étrangères), est partie, mardi matin, pour la Jordanie, afin de préparer le déploiement du groupement médico-chirurgical militaire français, annoncé, lundi, par l’Elysée, pour venir en aide aux réfugiés »

.

Pour une mission d’aide « humanitaire » de secours aux réfugiés, ce déploiement en force d’une telle Armada politico-militaire semble, tout particulièrement, excessive, sauf d’être l’arbre qui cache la forêt, d’une attaque militaire, sous couvert d’humanitaire.

L’objectif est clair : intervenir, directement, en lançant des opérations militaires menées par des forces spéciales lâchées contre l’armée syrienne, restée, majoritairement, fidèle à Assad, (inclus le grand nombre de Sunnites, qui servent, au sein de cette armée).

Fabius, le chef d’orchestre de cette opération militaire, doit se rendre, en Jordanie, le 15 Août, pour coordonner celle-ci avec le roi de Jordanie, le terrain ayant été déblayé, pour cela, par la mission interministérielle. Il passera, également, en Turquie et au Liban, deux pays impliqués, directement, dans la guerre, par proxis menée contre la Syrie, surtout, la Turquie, qui est, de facto, en guerre contre la Syrie, depuis plus d’un an et qui risque de le payer très cher (effet boomerang avec son problème kurde).

Toujours, dans le cadre des préparatifs, pour une attaque israélienne contre la Syrie – et le Hezbollah – visant, en fait, à « neutraliser » l’allié de l’ennemi public N°1 de l’entité sioniste l’Iran, le Mossad a lâché ses chiens takfiristes, dans le Sinaï, pour occuper l’armée égyptienne.

L’attaque contre un poste frontière égyptien, dans le Sinaï, prés de Gaza, n’a pu se faire que, sous couverture du Mossad, Shin Bet et consorts, cette zone étant sous surveillance aérienne 24h/24, par les drones israéliens. Le moindre mouvement palestinien, dans le secteur, déclenche, immédiatement, un feu nourri de l’aviation israélienne ou de ces drones de surveillance/attaque quand ce n’est pas des mitrailleuses postées le long de la ligne de démarcation avec la Bande de Gaza. L’armée égyptienne/ le gouvernement des Frères Musulmans fait, donc, le sale boulot, pour les judéo-sionistes, en protégeant cette entité coloniale de toute attaque, sur son flanc Sud, en bouclant, également, la Bande de Gaza, pour « neutraliser » le Hamas. Il y a, bel et bien, des préparatifs de guerre régionale, au Moyen-Orient, la « France » de Hollande y participe, activement, dans la continuité de la politique de Sarkozy.

Après 5 ans de « Sarkozisme », les Français vont-ils se laisser rouler dans la farine, acceptant cure d’austérité, sur cure d’austérité, alors que des centaines de millions d’euros sont dépensés en opérations militaires, pour le compte de gouvernements étrangers -US Israël- par le « Hollandisme » ? Il est grand temps d’unir toutes les forces de gauche, comme de droite, soucieuses de garantir et restaurer l’indépendance de la France, en matière de politique étrangère. C’est cette France là que la majorité des Français aime et soutient et pas celle, sous la botte de SarkoHollande/UMPS, des collabos de l’Axe guerrier Tel-Aviv/Washington.

Des soldats français, déguisés en “humanitaire”, à la frontière Syrie/Jordanie ! par Mireille Delmarre - COMITE VALMY

Fukushima et le Japon entrés dans l'ère des mutants

Des papillons mutants à Fukushima


Des papillons des alentours de la centrale de Fukushima et les deux générations suivantes ont souffert de mutations à cause de la radioactivité, ont découvert des chercheurs japonais.

Environ 12% de petits papillons bleus de la famille des lycénidés exposés à la radioactivité à l'état de larves lors de la catastrophe nucléaire de mars 2011 ont développé des anomalies, notamment des ailes plus petites et une malformation des yeux, ont expliqué des chercheurs.

Ces insectes attrapés non loin de la centrale accidentée Fukushima Daiichi (nord-est) en mai, soit deux mois après l'accident, ont ensuite été élevés en laboratoires à des fins de reproduction. Quelque 18% de la génération suivante a développé des problèmes similaires, a souligné Joji Otaki, professeur à l'Université Ryukyu d'Okinawa (sud), mardi auprès de l'AFP.

La proportion a encore grimpé (à 34%) pour la troisième génération, alors que les scientifiques avaient pris soin de choisir un papillon sain d'une autre région pour l'accoupler avec un papillon de Fukushima.

Six mois après le désastre, un nouveau lot de papillon a été attrapé près de Fukushima Daiichi et cette fois le taux d'anomalie a été mesuré à 52%, a précisé M. Otaki.

Les scientifiques ont aussi réalisé une expérience test sur une population de papillons non affectés. Ils les ont exposés en laboratoire à de faibles doses de radioactivité et ont constaté la même proportion d'anomalies que chez la première génération de papillons de Fukushima.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans Scientific Reports, un journal sur internet diffusé par l'éditeur du magazine Nature.

Nous en avons tiré la conclusion claire que les radiations dégagées par la centrale Fukushima Daiichi avaient endommagé les gènes des papillons, a souligné M. Otaki.

Il a toutefois prévenu que ces résultats devaient être pris avec précaution, précisant que l'effet observé n'était avéré à l'heure actuelle que sur les papillons et sur aucune autre espèce animale ni sur l'homme.


                                                                        Est-il hallal ?

Son équipe va mener de nouvelles expériences sur d'autres animaux.

Aucune personne n'est morte directement du fait des radiations provoquées par l'accident de Fukushima, mais les habitants de la région et les travailleurs qui interviennent sur la centrale endommagée, redoutent toujours des effets à long terme.

Des associations affirment que des effets de la radioactivité se sont transmis sur plusieurs générations à Hiroshima et Nagasaki (sud-ouest), après le lancement de bombes atomiques par les Américains en août 1945 à la fin de la Seconde guerre mondiale.

Des papillons mutants découverts après Fukushima

Petit Bestiaire à Mutants...