Le premier ministre et le ministre de la Défense israéliens, Benjamin Netanyahu et Ehud Barak, voudraient attaquer les sites nucléaires iraniens à l’automne, écrivent vendredi Nahum Barnea et Shimon Shiffer, principaux commentateurs du journal israélien Yediot Aharonot.D’après la revue, les deux hommes politiques israéliens sont "déterminés à attaquer l’Iran avant la présidentielle américaine" prévue en novembre prochain.
"MM. Netanyahu et Barak considèrent que le prix que coûtera cette attaque (quelque 375 millions de dollars par jour) sera remboursée par le fait que le programme nucléaire iranien recoulera de plusieurs années en arrière", lit-on dans le journal.
Le chef du département militaire israélien est conscient des conséquences d’une telle mesure. Il reconnaît que Téhéran ripostera en cas d’attaque en impliquant le mouvement libanais de Hezbollah "avec ses milliers de missiles". Mais, M.Barak est persuadé qu’Israël tiendra bon dans cette épreuve. D’après la revue, les deux hommes politiques israéliens sont "déterminés à attaquer l’Iran avant la présidentielle américaine" prévue en novembre prochain.
"MM. Netanyahu et Barak considèrent que le prix que coûtera cette attaque (quelque 375 millions de dollars par jour) sera remboursée par le fait que le programme nucléaire iranien recoulera de plusieurs années en arrière", lit-on dans le journal.
Le chef du département militaire israélien est conscient des conséquences d’une telle mesure. Il reconnaît que Téhéran ripostera en cas d’attaque en impliquant le mouvement libanais de Hezbollah "avec ses milliers de missiles". Mais, M.Barak est persuadé qu’Israël tiendra bon dans cette épreuve.Quant à Benjamin Netanyahu, il est convaincu que l’attaque s’impose, l’administration américaine actuelle n’étant pas, selon lui, en mesure d’arrêter la recherche de l’arme nucléaire par l’Iran, lit-on dans le journal.Toutefois, les hauts responsables militaires israéliens ont une vision des choses bien différente.
"Aucun responsable - ni de l’armée, ni dans les milieux de la Défense, pas même le président - ne soutient l’idée d’une attaque israélienne", soulignent les auteurs de l’article avant d’ajouter que "beaucoup de responsables américains sont persuadés que MM. Barak et Netanyahu tentent d’impliquer les Etats-Unis malgré leur volonté dans une guerre contre l’Iran".
Plusieurs pays occidentaux, les Etats-Unis en tête, soupçonnent l’Iran de chercher à se doter de l’arme nucléaire sous couvert d’un programme mené, selon Téhéran, à des fins civiles. Le Conseil de sécurité de l’Onu a adopté plusieurs résolutions sanctionnant l’Iran pour son refus d’établir un moratoire sur l’enrichissement de l’uranium.
En novembre dernier, le journal Haaretz a écrit que le chef du gouvernement israélien cherchait à convaincre ses ministres de soutenir une éventuelle attaque contre les installations nucléaires iraniennes. Moscou a alors qualifié ces projets de "lourde erreur".
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Avec le temps, puisqu’on n’en parle presque plus, on pourrait penser que la crise nucléaire est terminée. Oui, la crise spectaculaire, avec ses explosions, ses émanations gigantesques, ses déplacements de population, est terminée. Mais la crise nucléaire est maintenant permanente au Japon. Pour les évacués qui ne peuvent pas rentrer chez eux, pour les évacués à qui les autorités demandent de rentrer chez eux alors que c’est encore contaminé, pour les familles séparées, pour les enfants qui ne peuvent plus jouer dehors parce qu’ils savent que c’est dangereux, pour les personnes dont on a repéré des nodules dans la thyroïde, pour les parents qui doivent surveiller quotidiennement la nourriture de leur famille, pour les milliers d’ouvriers qui travaillent dans l’ex-centrale de Fukushima Daiichi, pour les personnes recrutées pour décontaminer les zones interdites, pour les personnes contaminées, pour ces centaines de milliers de Japonais qui manifestent régulièrement pour sortir du nucléaire, la crise n’est pas terminée.
Unité 1
Unité 2
Terre : personne ne veut de la terre contaminée qu’on racle partout dans les territoires touchés par les retombées radioactives. On en fait quoi ? Si on était sûr qu’elle ne contenait que du césium, il « suffirait » de la mettre de côté durant 300 ans.
On vient de découvrir qu’une société filiale de Tepco demandait à ses employés d’insérer leur dosimètre dans un

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