jeudi 9 août 2012

Un reportage allemand sur la Syrie fait vibrer le monde des médias occidentaux


Un grand média allemand : Al-Qaïda veut établir un Etat Wahhabite, en Syrie, avec l’appui saoudien


Un reportage fait vibrer le monde des médias occidentaux…

Des vérités sur la Syrie sont diffusées, pour la première fois, sur la plus importante chaîne de télévision allemande : des bandes d’Al-Qaïda infiltrent la Syrie, dans le but de tuer les minorités musulmanes et chrétiennes (le groupe des hommes du clan «Berri», assassinés, à Alep, le 03 août 2012, par une bande d’Al-Qaïda-ALS sont des Sunnites chafïtes, comme la majorité des victimes de cette soi-disant révolution).
Ces bandes visent leur élimination, avec l’appui et l’argent des Saoudiens… Le documentaire a été filmé, en Syrie et au Liban. Une remarque importante sur les vocabulaires : le Wahhabisme est un groupe takfirite (déclarant apostat quiconque ne les suit pas et rendant son sang, son argent et ses femmes licites pour eux !!!), Les Wahabites n’ont rien à voir avec les Salafs (les gens des trois premiers siècles après le début de la prophétie du prophète Mohammad). Donc, ils ne sont pas salafistes et il sont les pires ennemie des Sunnites…

Un grand média allemand : Al-Qaïda veut établir un Etat Wahhabite, en Syrie, avec l’appui saoudien

La France est elle responsable de la Première Guerre Mondiale ?

Seule la France voulait la guerre


La façon dont nous avons appris cette Histoire témoigne donc d’un parti pris. A bien y regarder, un seul Etat voulait en réalité la guerre, la France, pour pouvoir récupérer l’Alsace Moselle. Tous les autres ont été entraînés dans une logique qu’ils ont essayé de freiner jusqu’au bout. Même Guillaume II, lui qu’on a bien vite traité de va-t-en guerre alors qu’il a élaboré force propositions de paix ou de guerres limitées. On ne peut en dire autant des dirigeants français. Cela ne remet pas en cause la légitimité de la récupération de l’Alsace Moselle mais cela relativise grandement l’aggressivité germanique en la  matière. La France, mère de la paix et de la démocratie moderne ? C’est à voir.
Seconde sonnerie du réveil historique, le hiatus entre dirigeants, élus et opinions publiques. La France a réussi à entraîner l’Italie dans cette guerre en lui promettant des territoires déjà promis à la Serbie. Résultat, elle n’a eu que les territoires déjà promis par l’Autriche au cas où elle ne l’agresserait pas. Mais qui en Italie voulait cette guerre pour récupérer des territoires bien septentrionaux ? Quelques élites. Probablement pas les 650 000 morts des armées italiennes…
Une analyse plus profonde nous amène donc à une vision plus amère de la Grande Guerre. Mais c’en est devenu un mot d’ordre qui pollue parfois les films. Prenons le cas de Joyeux Noël où des troupes fraternisent en décembre 1914 sur le front de la Somme. Allemands, Français et Britanniques arrêtent les hostilités car ils sont usés par les hostilités. C’est un anachronisme : en 1914, on veut encore se battre. On n’est pas en 1917. Ne nous trompons pas d’époque. C’est encore valable à présent.
Ainsi nous devons sans doute nous affranchir d’une histoire a posteriori qui glorifie le sacrifice de générations indispensables. Leur sacrifice a fait sens. Il a témoigné d’une générosité ou d’un fanatisme. Mais cela n’a sans doute pas été la fin d’une génération de super héros. Car que penser des survivants qui se sont battus ? Ont ils créé un meilleur monde ?

Une tragédie européenne | MoreThan Words

Les dictateurs de François Hollande

source : rue89.com
Tout sourire, François Hollande serre la pince au roi du Bahreïn sur le perron de l’Elysée. La photo, publiée par l’agence de presse officielle du royaume, rappelle celles de Nicolas Sarkozy en compagnie de Kadhafi, Moubarak ou Ben Ali avant la chute de leur régime respectif.
Sauf que Hamed ben Issa Al Khalifa est toujours au pouvoir au Bahreïn. Que le régime réprime depuis un an et demi la révolte de son peuple en envoyant ses soldats. La France avait d’ailleurs contribué à former les forces de l’ordre bahreïnies à la « gestion des foules ». Et que François Hollande avait affiché sa volonté de rompre avec ses prédécesseurs, promettant de « ne pas inviter les dictateurs à Paris ».
Arrêt sur images souligne que la rencontre du 23 juillet, apparemment imprévue, est passée à la trappe dans la presse française (malgré des articles du Figaro,du Point et d’Europe 1). Elle n’a pas donné lieu à un communiqué de l’Elysée et n’était pas signalée dans l’agenda officiel de l’Elysée, disponible en ligne.
La consultation de cet agenda montre qu’au moins six autres représentants de pays autoritaires ou franchement dictatoriaux ont été reçus par François Hollande depuis son élection.
1

Mohammed VI, roi du Maroc

24 mai
En visite privée en France au mois de mai, l’altesse marocaine a fait escale à l’Elysée, palais remarquable à ne pas manquer quand on vient pour les vacances.
A l’issue de la rencontre, François Hollande a « réaffirmé son attachement à l’amitié entre la France et le Maroc » et « salué le processus de réforme démocratique, économique et sociale en cours dans le royaume à l’initiative » du roi.
Langue de bois diplomatique oblige, rien sur la prison pour les artistes contestataires, la répression du Mouvement du 20 février en période de crise sociale intense et le durcissement du régime depuis l’arrivée au pouvoir des islamistes.
2

Le Premier ministre du Qatar

7 juin
François Hollande a d’abord décliné toutes les invitations du Qatar. Si la relation entre Nicolas Sarkozy et l’émirat était très amicale, le nouveau Président veut garder ses distances, comme l’écrivait Nabil Ennasri sur Rue89 en juin :
« Le caractère personnalisé de la relation France-Qatar sera mise de côté. Dès son accession au pouvoir, Nicolas Sarkozy faisait l’honneur à l’émir du Qatar d’être le premier chef d’Etat arabe accueilli à l’Elysée. [...]
On imagine que le Président “normal” souhaitera une relation plus mesurée, moins fringante et moins personnelle. »
L’article concluait tout de même à une continuité prévisible dans les relations franco-qataries. Le 7 juin, François Hollande reçoit le Premier ministre du Qatarà l’Elysée pendant plus d’une heure.
3

Le fils du roi Abdallah d’Arabie Saoudite

11 juin
La monarchie absolue saoudienne a envoyé en France l’un des fils du roi, Mitaeb (Mutaib en anglais), également chef de la Garde nationale (« chargée dela protection des centres névralgiques du pouvoir saoudien ». En mars 2012, confronté à des manifestations d’étudiants, le prince déclarait :
« La situation dans la plupart des pays arabes nous obige à être prudents, à protéger la sécurité nationale et à combattre les appels à l’embrasement qui visent à déstabiliser le pays. »
Le communiqué satisfait de l’Elysée évoque la situation syrienne, le G20 et la coopération avec le royaume. Quoi d’autre après tout, au pays où les femmes n’ont pas le droit de conduire.
4

Abdallah II de Jordanie

3 juillet
Royaume corrompu secoué de manifestations régulières, la Jordanie est dirigée par le roi Abdallah II depuis 1999. Maâti Kabbal, journaliste et écrivain, publiait une tribune sur Rue89 en novembre 2007 :
« Dans la vie politique jordanienne, le tribalisme reste l’un des paramètres majeurs. Nulle décision ne doit se faire sans l’aval de la tribu. Par ailleurs, le trône hachémite a toujours eu recours aux tribus comme un bras justicier.
La société jordanienne est le produit d’un syncrétisme ayant permis au trône de préserver l’équilibre de la société jordanienne tantôt par la persuasion, tantôt par la coercition. »
François Hollande accueille le roi le 3 juillet pour « approfondir le partenariat »entre les deux pays :
« Alors que la Jordanie est engagée dans un processus profond de réformes politique, économique et sociale visant à répondre aux aspirations du peuple jordanien, le chef de l’Etat a souligné la volonté de la France de la soutenir activement. »
Dans la foulée du printemps arabe, la Jordanie a connu des mouvements de protestation cette année, réprimés avec une violence moindre que dans les pays voisins. Le chercheur Denis Bauchard répondait à Arte en mai, sans optimisme démesuré toutefois :
« Je pense que la situation reste, pour l’instant, maîtrisée et sans trop de brutalité. Le nombre très limité des morts – moins de cinq – contraste avec ce qui se passe en Syrie et même avec ce qu’il s’est passé en Egypte.
Dans l’immédiat, la situation paraît sous contrôle : l’aide reçue non seulement des Etats-Unis mais aussi de l’Arabie saoudite tout récemment peut permettre au roi d’acheter la paix sociale et la paix politique. »
5

Ali Bongo, président du Gabon

5 juillet
Héritier d’Omar Bongo, Ali Bongo a succédé à son père en 2009. Il a rencontré François Hollande le 5 juillet. Slate Afrique parle d’un accueil « tiède » :
« Durant son séjour, les officiels français qui ont rendu visite à Ali Bongo ont fait le service minimum, bien loin du ballet de politiques français de gauche comme de droite qui défilaient devant son père et prédécesseur.
Cette distance affichée par le nouveau pouvoir français est due à l’insatisfaction en matière de démocratie dans son ancienne colonie. »
Sur les photos choisies par l’Elysée pour illustrer l’entretien, François Hollande sourit le moins possible.
6

Le prince héritier d’Abou Dhabi

11 juillet
Le 11 juillet, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nayan entre à l’Elysée. Il dispose d’une sacrée carte de visite : fils du fondateur des Emirats arabes unis, prince héritier et ministre de la Défense. Reçu à l’Elysée, il fait ensuite un tour à Matignon pour rencontrer Jean-Marc Ayrault.
En mars, le Guardian écrivait à son sujet :
« Pour prévenir la contestation, Mohammed bin Zayed Al Nayan a parcouru Abou Dhabi le mois dernier pour évaluer le climat. A l’issue de ce voyage, il a ordonné 1,5 milliard de dollards d’investissements dans l’électricité et l’eau dans le nord des Emirats. »
En France on avait le Redressement productif ; le cheikh invente le redressement préventif.

Nicolas Sarkozy et son complice BHL s’immiscent dans les affaires françaises internationales sans mandat

Syrie : Sarkozy à Alep avec sa kalachnikov ou en psychiatrie à Sainte-Anne ?

L’été est vraiment chaud. A chacun de choisir où envoyer cet homme. Alep, avec sa kalachnikov en bandoulière, où dans le 14e arrondissement de Paris, à l’hôpital psychiatrique de Sainte-Anne. De quel droit cet homme veut-il s’occuper des relations internationales françaises après avoir été battu lors de la présidentielle dernière ?
C’est incroyable. Il n’y a pas de mot pour décrire l’attitude de cet homme. Non content d’avoir rabaissé la France sous sa présidence, l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy s’immisce dans les affaires françaises internationales, sans mandat, comme le fait son complice BHL, l’autre clown. Qui est-il aujourd’hui ? Pire, membre du Conseil constitutionnel, il a un devoir de réserve.
Il n’a pas encore compris qu’il n’est plus président. C’est ainsi qu’il s’est entretenu longuement mardi par téléphone avec le président du Conseil national syrien, Abdel Basset Sayda. Encore une fois, à quel titre ? Les deux fous à lier,  qui pouvaient par décence garder secret leur conversation, ont poussé le toupet en faisant un communiqué conjoint.
MM. Sarkozy et Sayda ont évoqué «pendant près de 40 minutes» la situation dans le pays. «Ils ont constaté la complète convergence de leurs analyses sur la gravité de la crise syrienne et sur la nécessité d’une action rapide de la communauté internationale pour éviter des massacres», soulignent-ils dans leur communiqué diffusé à Paris.
Le délire ne s’est pas arrêté en si bon chemin. En effet, les deux sanguinaires, MM. Sarkozy et Sayda «sont convenus qu’il y a de grandes similitudes avec la crise libyenne». Fier d’avoir donc assassiné ou fait assassiner un homme, un vrai, l’ex roitelet élyséen semble s’en vanter. Hitler n’a rien inventé ou du moins, il a fait de nombreux bébés. 
Ce qui est sûr, François Hollande a probablement apprécié.

Crise de la zone euro : Shell craint un « bank run » des grandes banques européennes



shellaoute.jpgCrise de la zone euro oblige, le groupe pétrolier préfère placer ses liquidités dans des banques américaines.
 Shell préfigure-t-il un « bank run » des grandes entreprises vis-à-vis des banques européennes ? Le groupe pétrolier anglo-néerlandais est en train de retirer une partie de ses liquidités des banques européennes, affirme le journal The Times dans son édition de lundi, citant le directeur financier de Shell, Simon Henry.
« En raison de la crise, nous n’avons plus la même volonté de prendre des risques de crédit en Europe », explique le dirigeant. Qui préfère désormais placer les 15 milliards de dollars de liquidités de Shell dans des banques américaines ou les investir en bons du Trésor américain.
Ce mouvement n’est pas sans rappeler celui de Siemens. En septembre 2011, en pleine crise de la zone euro et alors que les banques étaient l’objet de toutes les inquiétudes, le conglomérat industriel allemand avait, selon le FinancialTimes, retiré 500 millions d’euros de la Société générale, afin de placer cette somme auprès de la Banque centrale européenne (BCE).
Plus généralement, depuis la faillite de la banque américaine Lehman Brothers en septembre 2008, les grandes entreprises disposent de systèmes de gestion de leur risque de contrepartie bancaire, systèmes qui consistent à s’éloigner des banques dont le CDS (credit default swap, contrat contre le risque de faillite)) dépasse un certain seuil. 

Thierry Meyssan et la guerre en Syrie‎

Les dirigeants occidentaux retombent en enfance

Le slogan « Bachar doit partir ! » était destiné à être scandé par des foules manifestant à Damas et Alep. A défaut de telles manifestations, il est repris à leur compte par les leaders occidentaux bien qu'il ne ressorte pas du registre classique de la diplomatie. Pourquoi ? En 1985, un chercheur en sciences sociales, Gene Sharp, publiait une étude commandée par l'OTAN sur la manière de Rendre l'Europe impossible à conquérir. Il faisait remarquer qu'en définitive un gouvernement n'existe que parce que les (...) - 06. Controverses / ,



Démasqué, le président du Conseil des ministres syriens s'enfuit

Se sentant démasqué, le président du Conseil des ministres syriens, Riad Hijab, a été exfiltré par l'OTAN vers le Liban, dimanche 5 août 2012. L'agence de presse nationale syrienne (SANA) n'a pas rendu compte de l'événement, se contentant de signaler qu'il avait été « démis de ses fonctions ». La Syrie étant un régime présidentiel (comme les États-Unis), les ministres sont nommés directement par le président de la République et cette vacance n'a pas d'incidence sur le reste du gouvernement. Le président Bachar (...) - 04. En bref / 




La résistance de l'État syrien s'organise

La résistance de l'État syrien s'organise Par Ghaleb Kandil Après l'écrasement des escadrons de la mort atlantistes à Damas, des milliers de combattants mercenaires et takfiristes se sont massés à Alep, dans le Nord. Cette ville devrait être le théâtre d'une bataille décisive qui déterminera l'évolution d'une guerre planifiée pour être longue et pour provoquer la destruction et le chaos en Syrie. L'objectif ultime étant d'affaiblir l'État et de démembrer le tissu social et national syrien afin de sortir le (...) - Tendances de l'Orient / 


L'Occident et l'apologie du terrorisme

Cette nouvelle chronique de Thierry Meyssan est consacrée à l'analyse et au commentaire d'une déclaration officielle ou d'un document d'actualité. Toujours attentif aux silences autant qu'aux paroles, il observe cette semaine le renversement doctrinal des Occidentaux face au terrorisme. Le Conseil de sécurité s'est réuni peu après l'attentat du 18 juillet qui a décapité le commandement des forces de sécurité syriennes. Certes, les deux séances qui ont suivi portaient sur les propositions de résolution des (...) - 06. Controverses / 

Mouvement des indignés : pour la révolution il faudra repasser !

Mais ils sont où les indignés ?

Pas ou peu de nouvelles de ce mouvement en France à priori. Mais au fait, avait-il réellement commencé ? Les temps forts n'ont jamais dépassé 10 000 personnes, pas de quoi parler de révolution. Et pourtant, tout le monde l'attend cette révolution, alors que se passe t'-il ? Pourquoi la mayonnaise n'a-t-elle pas pris ? Est-ce que tout cela a été vain ? La date du 15 mai 2011 est souvent présentée comme le démarrage de la contestation, en Espagne sans aucun doute mais en France, est-ce si simple ? 



“Les indignés quittent la scène publique sans tapage” écrit La Croix, quirevient sur l’évacuation d’une vingtaine de militants anticapitalistes du mouvement “Occupy”, installés depuis octobre devant la Banque centrale européenne, à Francfort. Pour le quotidien : 
Dix mois après son installation, la disparition de cette enclave bohème dans un décor de buildings abritant les sièges des plus grandes banques sonne la fin du phénomène “Occupy” en Europe. 
L’évacuation des indignés de Francfort fait en effet suite à celles de Londres (février 2012), Paris (décembre 2011) et Madrid (juin 2011), rappelle le quotidien français. Si “ici et là […], il reste quelques tentes”, le mouvement, qui dénonce “le pouvoir du capitalisme, de l’argent et des banques” a “fait long feu” en Europe, estime La Croix, qui attribue cet essoufflement notamment à“un manque de coordination et de stratégie globale”.
Le quotidien fait néanmoins remarquer que malgré l’affaiblissement du mouvement, “les conditions qui ont engendré “Occupy” sont toujours là”.“D’autres mouvements vont naître”, explique le politologue allemand Tadzio Müller, selon lequel toutefois “la question demeure : où construire le pouvoir social ?”
                                              Le jour où "ils" ont eu vraiment peur...

"Doucement dans l' allée"

Le Repas des Indignés à Amiens ou comment ne pas être génant du tout !


SAMEDI 4 AOUT
12h30
LE REPAS DES INDIGNES

Sur la Place face au tribunal, avec repli envisageable sous le kiosque, au cas où !


/*/Les Indigné(e)s d'Amiens proposent un déjeuner collectif qui se veut être un moment de partage, ou chacun apporte ce qu'il veut et/ou ce qu'il peut.


/*/Venez nombreux, venez manifester une INDIGNATION nécessaire et légitime.


/*/Un débat aura lieu vers 15h00, ou chacun pourra librement intervenir et participer.


/*/ N'hésitez pas à venir avec vos instruments, et à créer de l'animation ! 

Pour vous inscrire, voici l'événement FB : https://www.facebook.com/events/366173083450598/