lundi 2 juillet 2012

Sauvetages européens : la France paye autant que l'Allemagne !

Il faudra qu'un jour un homme politique français, s'il a envie d'être applaudi debout par 63 millions de compatriotes, rappelle que la France fait partie du cercle restreint des "contributeurs nets européens". 


146 % du PIB !
Voici le réel bilan comptable de la SARL FRANCE :
(Recettes) PIB officiel : 2 774 milliards de dollars
(Dépenses) DETTE NATIONALE :
- Dette souveraine « politico-médiatiquement correcte » : 2 261 milliards de dollars
- Prêts à la Nation : 214,9 milliards de dollars
- Garanties bancaires « politico-médiatiquement correctes » : 479 milliards de dollars
- Garantie Dexia : 55,48 milliards de dollars
Total de la dette nationale : 3 010 milliards de dollars  


(Dépenses) du à la DETTE EUROPÉENNE :
- Passif dû à la BCE : 569 milliards de dollars
- Financement du budget de l’UE : 23,2 milliards de dollars
- Passif dû au Fonds de stabilisation (FESF) : 110 milliards de dollars
- Passif dû au Fonds de renflouement de l’économie : 203 milliards de dollars
- Garantie auprès de la Banque Européenne d’Investissement : 137,6 milliards de dollars
Dette totale européenne : 1 043 milliards de dollars
Cumul de la dette nationale et européenne de la France : 4 053 milliards de dollars
En résumé :
La dette officielle de la France est de quasiment 90% du PIB, alors que la dette réelle de notre pays est de 146% du PIB…






Vu l'état catastrophique de nos hôpitaux mouroirs, surbondés, exsangues (l'hôpital, c'est ce machin tragique où l'on atterrit avec une chance raisonnable de trépasser aux urgences embouteillées, à ne pas confondre avec la chambre individuelle et le personnel réquisitionné (type Val de Grâce ou H. américain de Neuilly, si vous êtes politicien ou de famille "noble").


Vu la situation de nos hôpitaux, on va pour rien qu'une année, récupérer notre surplus de bienfaiteur (les hôpitaux espagnols, grecs et portugais sont désormais ultra-modernes). 


Il y en a qui croient encore qu'il s'agit d'un prêt à ces pays ? 
C'est un don, vous ne reverrez jamais l'argent. 
Cet argent que l'on vous demande en baissant vos salaires et en augmentant votre temps de travail, c'est celui de la dette grecque. 
sans compter l'argent prêté à l'Irlande, puis au Portugal et à l'Espagne, à la Létonie, la Slovénie, la Roumanie... 
Que croyez qu'ils vont faire quand le robinet européen sera tari ?


Le problème bancaire concerne aussi bien la France que les autres états d'Europe ,c'est bien la finance internationale qui a le monopole sur tout les pays mondiaux : Les pays ultra-libéralistes ainsi que néo-libéralistes fonctionnent tous ainsi (les pays des l'OCDE par exemple). 
Ce système bancaire basé sur la dette et l'appauvrissement des états est en place partout. Aux Etats-unis, un président s'est opposé à la privatisation de la création monétaire et de ce que cela induisait. En 1963, Kennedy avait pour projet, un retour arrière à ce cadeau historique fait aux banques commerciales privées. 
Il n'aura pas le temps de le finaliser, son assassinat ayant eu lieu la même année. 


En Europe, l'article 104 du traité de Maastricht enfonce le clou, les banques commerciales ont gagné la partie sur le vieux continent. 


Copie de l'article : «article 104, § 1 interdit en effet à la BCE et aux banques centrales des Etats membres, si après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des Etats membres ; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE, ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. » 
Le traité de Lisbonne reprend l'article 104. 


La constitution européenne est pour les banques commerciales un vrai bonheur. La Chine, je n'ai pas trouvé suffisamment de documents pour en parler en détail. Le Brésil fait de la résistance, l'Amérique du sud prend la voix du contre-pied. L'Afrique et le reste de l'Asie, je ne sais pas en détail. Dans l'ensemble les pays occidentaux par le biais de l'OMC ont imposé ce système véreux presque partout. Le total de la dette publique mondiale est de 36 000 milliards d'euro. 


La majorité de cette dette est détenu par les banques commerciales, assureurs et fonds souverains. En se basant sur un taux d'intérêt de 5%, le transfert de la richesse publique vers le privée est de l'ordre de 1 800 milliards d'euro par an. C'est le plus gros hold-up jamais commis.

Comment Chypre a plongé avec la Grèce


La Grèce et la Chypre grecque : les destins liés de deux boulets parasitaires



Le petit État insulaire va bénéficier du secours financier de l'Europe et du FMI pour recapitaliser ses banques juste au moment où il prend, le 1er juillet, la présidence de l'Union européenne pour six mois.


Difficile de faire pire pour l'image. Chypre, la troisième plus petite économie de la zone euro (devant l'Estonie et Malte), prend ce dimanche la présidence tournante de l'Union européenne (UE). Alors même qu'elle est en pleines tractations pour son sauvetage financier! L'île pourrait recevoir jusqu'à 10 milliards d'euros, soit l'équivalent de plus de la moitié de son PIB.


Comment Chypre en est arrivé à devenir le cinquième État membre à faire appel à l'aide de l'UE? Première réponse: l'île a été contaminée par la crise grecque. «L'effacement partiel de la dette grecque (au mois de mars, NDLR) nous a coûté 73 % de nos créances», expose au Figaro Andreas Mavroyiannis, ministre délégué aux Affaires européennes. D'où la nécessité de recapitaliser les trois grandes banques du pays, dont la Laiki, passée sous le contrôle de l'État. «Mais l'exposition de nos banques va bien au-delà», poursuit le diplomate francophone, chef d'orchestre de la présidence chypriote de l'UE. En plus des obligations grecques passées par pertes et profits à hauteur de 3 milliards d'euros, les établissements financiers chypriotes détiennent 23 milliards de créances privées en Grèce. La Commission européenne estime d'ores et déjà que le taux de «prêts non performants», autrement dit les crédits qui subissent des difficultés de remboursement, atteint les niveaux dangereux de 10 à 14 % selon les établissements bancaires.




Les banques asséchées


«Le vrai problème aujourd'hui, analyse un banquier de Nicosie, c'est la liquidité. Il y a un gros problème de confiance, les banques ne prêtent plus.» Dans le monde de la finance chypriote, certains redoutaient, avant la demande d'aide, le «bank run» comme les professionnels désignent les retraits massifs d'argent. Pour retenir les capitaux, les banques de l'île offrent à leurs déposants des taux de rémunération 2,5 fois plus élevés que dans le reste de la zone euro.


La santé du secteur bancaire est, plus qu'ailleurs, vitale pour l'île. Pays agricole pauvre jusqu'à l'invasion du nord par l'armée turque en 1974, la petite république a développé son secteur de la finance grâce au régime fiscal favorable aux sociétés offshore et à son impôt sur les sociétés, le plus bas de l'UE (10 %). Résultat, les capitaux y transitent toujours, russes pour beaucoup, mais aussi grecs, depuis ces deux dernières années.


La dépendance de Chypre à l'égard de la Grèce n'explique pas, loin s'en faut, toute l'étendue du sinistre. Comme les autres grands malades de l'Europe, l'île a cédé aux sirènes du crédit facile. Ce règne de l'argent coulant à flots a coïncidé, rappelle Citigroup dans une note récente, avec l'accession à l'UE en 2004. «Les Chypriotes ont encore couramment trois ou quatre banques, il suffisait de pousser la porte pour obtenir un crédit afin de financer l'achat de sa maison, d'un appartement sur la côte ou d'une grosse voiture», remarque un financier.




Service public «trop gras»


Pour Andreas Theophanous, professeur d'économie sur le campus tout neuf de l'université de Nicosie, Chypre paie aussi la croissance continue de ses dépenses publiques. «Le secteur public est trop gras», résume-t-il. Les dépenses publiques représentent près de 48 % du PIB. Les fonctionnaires, qui terminent leur journée de travail à 14 h 30 (sauf le mercredi), touchaient encore récemment des retraites bien plus élevées que les employés du privé, pour des cotisations dérisoires.


Comment se manifeste cette crise bancaire dans ce pays au niveau de vie supérieur à celui de la Grèce? Le secteur le plus touché est l'immobilier. Les prix ont chuté, nombre de chantiers et de projets sont gelés, à la fois faute de demandes et de financements. Au cours des trois derniers trimestres, souligne Citigroup, le PIB a reculé. Les prévisions pour l'ensemble de 2012 oscillent, selon les sources, entre - 0,8 % et 1,1 %. Conséquence directe, le chômage, de 3,5 % avant la crise de 2008-2009, atteint 10 % de la population active, pourtant l'une des plus diplômées d'Europe.


Un rayon de soleil éclaire ce sombre tableau. Pour l'heure, le tourisme, 18 % du PIB et plus de 25 000 emplois, résiste. L'an dernier, se réjouit le ministre de l'Industrie et du Commerce Neoclis Sylikiotis, le nombre de visiteurs a augmenté de 10 % (49 % pour les Russes) et «ils ont dépensé davantage». La foule des plages ferait presque oublier, comme l'observe un banquier, l'avenue Makarios, la grande artère commerçante de Nicosie, où «les magasins ferment les uns après les autres».


http://hellenologie.blogspot.com/

Chypre : UN PAYS EN FAILLITE PREND LA PRESIDENCE DE L'UE








UN PAYS EN FAILLITE PREND LA PRESIDENCE DE L'UE 
Tout un symbole, non? Vous imaginez? Chypre, dont les banques sont totalement mourues, prend la présidence tournante de l'Union Européenne, ha ha ha. Nigel Farage va s'amuser, je le vois venir gros comme une assemblée plénière de Bruxelles, ha ha ha... Franchement, dans un roman, même d'anticipation, personne n'y aurait cru chers lecteurs... Là aussi, en 5 ans on aura tout vu ensemble. Ce qu'il y a d'encore plus drôle, est que les banques chypriotes sont pleines de l'argent sale des mafias russes, albanaises, bulgares et serbes, ce qui vous explique pourquoi le ministre des Finances a demandé à Moscou de sauver ses banques de toute urgence... Et Moscou n'a pas trop le choix, puisque l'argent de la corruption s'y trouve aussi. Si les banques chypriotes coulent, ce sont toutes les mafias ruinées qui vont courser ensuite les politiques... ha ha ha... Malachie aurait pu être chypriote car bien Malachie etc. (elle est bonne).




Les parasites chypriotes-grecs réclament l'argent des contribuables européens et russes


Nicosie demanderait, selon les informations du Handelsblatt, une aide de la Russie et, pour ses banques, du FESF et du MES.
Chypre va sans doute la semaine prochaine demander l'aide de l'Union européenne... et de la Russie. Selon le site Internet du quotidien allemand Handelsblatt, la république insulaire devrait déposer "dans la semaine qui vient" une demande d'aide bancaire auprès du FESF ou du MES et, parallèlement, obtenir un crédit de la Russie de 3 à 5 milliards d'euros.


Moscou intéressé


Moscou avait déjà accordé une aide de 2,5 milliards d'euros à Chypre l'an passé à des conditions avantageuses. Chypre a en effet une importance considérable pour l'économie russe et pour celles de l'ex-URSS, car elle est la plate-forme financière utilisée par les oligarques locaux. Un effondrement du système financier chypriote aurait des conséquences très sérieuses sur l'économie de ces pays. D'où l'intérêt de la Russie dans cette affaire.


Eviter les conditions


En décidant de diviser son aide entre Bruxelles et Moscou, Nicosie entend éviter de passer sous les fourches caudines des conditions de la Troïka. La grande peur des Chypriotes, c'est qu'on leur impose non seulement une austérité drastique (le gouvernement est dirigé par une alliance entre communistes et centristes), mais surtout une augmentation de son taux d'imposition avantageux qui fait la richesse de son système financier. Nicosie pourrait donc s'inspirer de Madrid en ne demandant qu'une aide bancaire qui ne soumet pas aux conditions d'une aide classique (mais dont les conditions restent cependant à définir).


Un système financier très éprouvé


Les banques chypriotes ont été durement touchées par leur exposition en Grèce. La banque populaire chypriote, connu sous le nom de Marfin, doit absolument trouver 1,8 milliard d'euros avant la fin juin pour satisfaire aux règles de solvabilité de l'Union européenne. Mais les autres banques ne sont guère plus vaillantes après les coupes réalisées dans leur portefeuille d'obligations grecques.




Chypre est aussi un paradis fiscal Comment peux t-on faire l'europe avec autant de disparité dans les systèmes fiscaux. Concurrencer les autres pays de la zone euro, puis demander de l'aide pour couvrir ses besoins. Ce n'est pas acceptable Je comprends pourquoi les armateurs grecs menacent de se délocaliser à Chypre Laissons Chypre se débrouiller avec ses problèmes et proposons en parallèle une harmonisation des systèmes fiscaux. Ceux qui refusent sortent de la zone euro"

Aux USA aussi les facistes c'est les banksters documentaire " America freedom to facism " FULL (sous titré français)





Le film examine le système de la Réserve fédérale, y compris sa genèse et les fonctions. Le film affirme que le Federal Reserve System est un système de la société privée, pour les sociétés sans but lucratif, pas un organisme gouvernemental, et qu'il a été commandé pour imprimer de l'argent fiat au nom du gouvernement fédéral, à un prix finalement payé par le revenu personnel d'impôt (par le service de l'intérêt obligataire). Le film se réfère également au fait que le dollar des États-Unis n'est pas soutenu par l'or, et déclare que cela signifie le dollar n'a pas de dossier immobiliers autres que des paiements d'impôts futurs. Par conséquent, les Etats film qui Federal Reserve Notes représentent la dette au lieu de la richesse.
Le film fait valoir que le Federal Reserve System fonctionne par la manipulation de ce qui est parfois appelé le cycle des affaires de l'expansion économique et la rétraction en mettant de nouvelles notes en circulation pour augmenter la facilité d'obtention de crédit, qui dévalue la monnaie, l'inflation en augmentant composés d'intérêt (taux préférentiel). taux Le film fait valoir que cette manipulation est responsable d'une dévaluation de 96% de la monnaie américaine, car elle a été rendue possible à rompre le lien de plus en plus avec le soutien de l'or par le Federal Reserve Act de 1913. Le film dit que ce processus de création de nouveaux fonds et en l'ajoutant à l'offre de monnaie est connu sous le nom avilissement et est une cause de l'inflation. De cette façon, le film conclut que le système de Réserve fédérale contrôle simultanément l'offre de monnaie et sa valeur.
La thèse centrale du film peut être que cette politique monétaire est la forme la plus forte de la gouvernance qui ait jamais existé, et est au centre des ambitions de puissance inconstitutionnelles, mondiaux des intérêts qui sont censés contrôler le Système fédéral de réserve.
Le film fait également valoir que les intérêts privés, il revendications sont le contrôle de la Federal Reserve System ont été présents depuis des générations. Le film propose que la plupart des Américains sont tenu dans l'ignorance de la façon dont la Réserve fédérale fonctionne à travers des actions de politiciens corrompus et des médias de plus en plus centralisés. En utilisant ce que le film appelle légalistes et économique "charabia" des termes tels que «la monétisation de la dette» ou «la politique monétaire pour ajuster une fluidité accrue du crédit», ces intérêts, selon le film, de cacher les véritables actions de la Fed derrière voiles de la légitimité. Les entretiens sont réalisés avec plusieurs organisations et les législateurs élus, qui soutiennent ces points de vue.
Un argument avancé dans le film est qu'il n'ya pas de raison pour que le système de la Réserve fédérale devrait avoir un monopole sur l'offre de monnaie des États-Unis. Le film affirme que «l'Amérique s'entendait très bien avant que la Réserve fédérale est entrée en existence." Cela conduit le film à la question de savoir pourquoi le Système fédéral de réserve a été créée.
Le film prétend que le Congrès américain n'a aucun contrôle ou de surveillance au cours de la Fed, et a donc aucun contrôle sur la valeur de l'argent aux États-Unis. Le film fait valoir que le contrôle du Congrès sur la valeur de l'argent est exigé par l'article 1, section 8 de la Constitution des États-Unis. La phrase en question (article 5) stipule que les États-Unis Le Congrès aura le pouvoir "de battre monnaie, en déterminer la valeur de celui-ci, et de la monnaie étrangère ..."
Le film comprend un appel à l'action pour abolir la Réserve fédérale. En 2007, le Boston Globe a déclaré que le député Ron Paul , "dit-il n'est pas d'accord avec tous les arguments du film, mais il dit que le film a eu« un impact énorme »sur l'appui de sa campagne est l'élaboration", [ 2 ] une référence à la candidature présidentielle de Paul en 2007 et 2008.


http://en.wikipedia.org/wiki/America:_Freedom_to_Fascism

Henin Beaumont : Le vrai visage de Jean-Luc Mélenchon avec ses petits miliciens




MELENCHON LE RINGARD INSULTE UN PERSONNAGE DE CABU 
Regardez bien Melenchon, quel plaisir inouï il prend à humilier verbalement un commerçant de Hénin Beaumont qui n'a eu qu'un seul tort, c'est de se tromper dans ses chiffres. Melenchon se délecte à l'humilier, à l'insulter, etc., ça le fait jouir, c'est tellement horrible que cela crève les images. Il exulte de sa victoire dialectique contre ce brave type tout droit sorti d'un dessin de Cabu. Et c'est Melenchon qui nous parle de rassemblement... ha ha ha le rassemblement des Français par l'insulte... Après il s'étonne de s'être pris une raclée... Il l'a bien méritée. Merci aux lecteurs pour cet extrait de LCP, la seule chaîne qui mérite d'être regardée aujourd'hui :- )