Les animaux de compagnie abandonnés par les humains qui meurent à Fukushima

Japon Demonstration des anti nucléaire à Tokyo : 250 000 manifestants

Les organisateurs de la manifestation anti nucléaire font état de 200.000 personnes qui ont rejoint la manifestation.

Les gens qui ont rejoint la protestation ont pu remarquer qu'il étaient plus de 4 fois plus nombreux que . la dernière fois où 45.000 protestataires s'étaient donné Rendez Vous.

En fait, la plupart des gens ont recueilli des informations sur le web pour rejoindre la manifestation, il était très difficile de compter combien de personnes ont pris part au rassemblement.

 D'après les nouvelles de la télévision japonaise, ils ne disent pas combien de personnes ont participé à cette manifestation. Ils ont essayé de garder cette info à l'intérieur du Japon.

Si ça continue, le nombre de manifestants "anti centrales nucléaires" au Japon va bientôt dépasser le nombre de 500.000 !

Fukushima : Les experts mettent en garde contre une nouvelle catastrophe

Interview par Marc Willacy d'ABC Australie sur les dangers de la piscine de combustible n°4 de Fukushima.
Les personnes interrogées sont :
- Pr. Hiroaki Koide, expert en réacteurs nucléaires de l'université de Kyoto.
- Robert Alvarez, conseiller en politique énergétique aux Etats-Unis
- Yoshimi Hitosugi, porte-parole de TEPCO
- Tomohiko Suzuki, journaliste et travailleur clandestin à la centrale de Fukushima.
- Misuhei Murata, ancien embassadeur du Japon en Suisse.

Fukushima : le réacteur 4 et sa piscine qui met le monde en grave danger (reportage japonais VOSTFR)

Devant les inquiétudes grandissantes suscitées par la piscine de combustibles usagés de l'unité 4 de Fukushima Daiichi, le bâtiment très endommagé, et l'impossibilité d'obtenir des données fiables et complètes de TEPCO, la chaîne a décidé de mener sa propre enquête auprès d'experts, ingénieurs et travailleurs de Fukushima, et de faire réaliser ses propres expériences sur les barres de combustible.


Il a ainsi été révélé qu'elles peuvent subir de graves dommages au delà de 700 °C ou en cas de choc thermique, donc bien avant d'en arriver à leur fusion à 1800 °C.


S'il n'y a plus d'eau dans la piscine de stockage, le refroidissement par convexion naturelle dans l'air limiterait l'échauffement des barres à une plage entre 150 et 300 °C. Mais les radiations émises seraient mortelles sur tout le site.


Sans refroidissement par l'air, la destruction des barres par échauffement et la libération des matières radioactives signerait probablement le début de la fin pour le Japon, et peut-être pour le monde.