dimanche 17 juin 2012

La fin de l' Euro : la faute du traité de Maastricht et des eurocrates incompétents




La Grèce n'aurait jamais du entrer dans l' Europe.
 Le risque était connu , son impossibilité a faire face, compte tenu de l’énormité de sa dette et ses recettes fiscales qui ne couvraient même pas les intérêts. il fallait absolument faire la grande Europe malgré ses disparités, ses politiques industrielles différentes, son rythme de travail et ses salaires et avantages différents et tout ça nous mène dans un tunnel dont on ne verra jamais le bout.


La Grèce sera incapable d'améliorer sa situation. 
Elle est déjà virtuellement hors de l'euro. Si les banques centrales se sont concertées c'est non pour sauver la Grèce insolvable mais éviter la contagion.


Tous les dirigeants européens disent que ce serait une catastrophe ... Mais personne n'explique pourquoi.
Il faudrait préciser que depuis Maastricht ils nous envoient sciemment dans le mur.


l' Euro est trop fort pour La Grèce comme pour la France. Malheureusement le manque de sérieux des politiques qui ont, sans aucun contrôle, sous la pression des banques, accepté l'entrée de ce pays vont nous coûter cher. 
Peut-on vraiment faire confiance à ceux qui gouvernent, quand on constate autant de légèreté ?


Un petit pays comme la Grèce (10 Millions d'habitants, 3% du PIB de la zone euro, 4% de la dette de la zone euro) est en train de mettre en grave danger la 2ème économie mondiale (l'Europe). 
Si un petit pays peut provoquer un véritable cataclysme, alors qu'est ce que ça sera avec le Portugal, l'Irlande ou pire l'Espagne ?


 Si notre avenir ne tient qu'à si peu de chose alors pourquoi encore se donner de la peine à travailler et à payer des impôts !
Autant attendre la fin du système, qui de toute façon va finir par exploser bientôt.

Crise bancaire en zone euro : Les dominos tombent les uns après les autres



Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne, Chypre : six États foncent vers un défaut de paiement total.

Espagne 
L’agence d’évaluation financière américaine Moody’s a abaissé mercredi la note d’endettement de long terme de l’Espagne de trois crans, à “Baa3″. Celle-ci se situe juste au-dessus de la catégorie “spéculative”, une sanction sévère pour le gouvernement de Mariano Rajoy.
le chiffre de 73,6% de dette publique pour l’Espagne en 2011 cité par l’article n’est là que pour faire illusion. Si on inclut toutes les garanties déjà faites par le gouvernement espagnol (à sa banque centrale, aux banques, aux communautés autonomes), on passe à plus de 120% du PIB. 


“l’Espagne n’a pas de problème de dette publique”? Alors pourquoi les taux sur sa dette publique battent ils des records historiques ?  

Chypre 
L’agence d’évaluation financière Moody’s a abaissé mercredi de deux crans la note d’endettement de long terme de Chypre à Ba3, l’enfonçant encore plus loin en catégorie spéculative.

Barroso se réveille
Considérant que l’Union Européenne était à un moment “crucial”, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a décoché de son côté des flèches en direction de “capitales” qui ne mesurent pas l’urgence de la situation.

“Nous avons un problème systémique devant nous, nous devons avoir un cap et le maintenir. Je ne sais pas si l’urgence est bien comprise par toutes les capitales aujourd’hui”, a-t-il déclaré devant le Parlement européen à Strasbourg.




Le temps est hors de prix
Plus le temps passe et plus on aggrave le problème. 
En attendant les créanciers empochent les intérêts de la dette calculés sur des taux toujours plus élevés. 
Pour l’instant ils gagnent car les dirigeants européens refusent d’envisager l’inévitable, préférant prendre le risque de devoir se passer la patate de plus en plus chaude jusqu’au défaut définitif. Solution qui sera d’autant plus difficile qu’elle sera tardive.


Il aura fallu 4 ans à Barroso pour reconnaître qu’il s’agit d’une crise systémique.
Quelle clairvoyance, quel courage politique !


L’incurie de nos gouvernants a laissé faire les banques, sans les avoir nationalisées. 
Défaut ou pas, l’addition sera salée pour le peuple, la cupidité faisant fi de la compassion !

Pourquoi le tout sauf Ségolène Royal ?

                                     Votez pour Ségo , n'écoutez pas la première dame !


La dame du Poitou n’est pas la personne que certains s’imaginent...


Cette dame a liquidé son premier suppléant lorsqu’elle était députée du territoire des chèvres . Il s’agissait du maire de LEZAY , un élu local au service de tous ses concitoyens. le personnel de son secrétariat fut méprisé par cette mégère puis licencié dans des conditions scandaleuses ; d’ailleurs elle a perdu ses procès et a été condamnée à leur verser des indemnités importantes.
Il circule dans le Poitou un enregistrement de la scène de purge de son vice président au conseil régional Mr FOUNTAIN , cette séance ressemblait à des liquidations dans les Pays de L’Est du temps des Staliniens.


Voici, la dernière réunion en date où Ségolène Royal a viré le président de la commission des finances de la région Poitou-Charente.





Ségolène Royal n'a pas été la dernière a critiquer le désormais fameux "Casse toi alors, pauvre con!" de Nicolas Sarkozy, pourtant les réunions du conseil régional de Poitou-Charente sont très mouvementés, y compris les claquements de portes qui font ressembler ces réunions a des pièces de boulevard.


Chaude ambiance au conseil régional de Poitou-Charente. Lors du vote du Budget, le premier vice-président de Ségolène Royal, Jean-françois Fountaine, un proche de Lionel Jospin, avait souhaité une augmentation des impôts, contre l'avis de la Présidente de Région. Hier, lors de l'ouverture de la séance, elle a refusé de lui donner la parole, créant un véritable tollé. Jean François Fountaine, accompagné d'autres élus, a claqué la porte dans un vacarme inhabituel. Du coup, Ségolène Royal a retiré la commission des finances à Jean-François Fountaine. Les élus ont désigné un remplaçant.


Bizarrement, ce limogeage a fait beaucoup moins de bruit dans les média que la petite phrase présidentielle...
                                       Zemmour : ils ne veulent plus de Ségolène !

On comprends que les députés (de droite comme de gauche) ne veulent pas de cette hystérique au perchoir de l' Assemblée. 
Ils ont donc fait alliance avec la première...pour la faire battre à La Rochelle en opposition frontale avec le nouveau pouvoir exécutif et les leaders de Solférino.

Trierweiler gate : Pauvre François Hollande piégé par sa concubine dominatrice

Une femme jalouse, emplie de vengeance..
Il est vraiment mal barré, le mec, avec une femme comme ça. Comment va faire notre cher François pour s'affirmer avec cette femme tout à fait autoritaire, caractérielle, avide de pouvoir et qui cherche, par tous les moyens, à s'immiscer dans la vie politique de notre pays ? 
Déjà que le statut de Première Dame de France ne lui suffisait pas. Elle coupe ensuite la parole de François Hollande à plusieurs reprises en public... 
Elle s'octroie le droit de virer Dray du QG de campagne, contredit le Président dans ses soutiens politiques.
 Sans parler, maintenant, de ses menaces, lorsque François ne fait pas ce qu'elle veut ! François a intérêt à filer droit... Sinon :
 "Tu ne sais pas de quoi je suis capable" !! On va où là ?
 Et tout ça en à peine un mois !! Certains semblent découvrir le personnage, mais Valérie n'a peut être pas gagné son surnom, pour rien. 
On n'a vraiment pas fini d'entendre parler des frasques de "François-Valérie"... Pauvre François !!


Usurpation totalement illégitime du pouvoir
Et ça devient une histoire nationale quasi aussi importante dans les médias que le watergate.
Cette femme n'est rien d'autre que la compagne du président, sa parole ne vaut que celle de tout citoyen, et si la presse devait faire un article pour tout les tweet pro falorni ou royal, que tout utilisateur de tweeter peut faire, on ne s'en sortirait plus.
Cette femme est-elle représentative du président ? non !
Est-elle la porte-parole de la présidence ? non !
Est-elle la porte-parole du PS ? non !


                                             Comment gagner le 6 mai et passer pour un con le 17 juin...




Ce n'est pas une question de sexisme
Comment une journaliste politique de plus de 45 ans, ayant une bonne opinion d'elle même, se posant la question de son rôle , de son métier etc, comment peut elle prendre les français pour des imbéciles ? 
Honte à elle, nous méritons mieux, et nous qui l'avions acceptée, elle nous ridiculise. Elle n'a aucun regret, persuadé qu'elle peut tout faire, au nom de sa liberté de parole, et c'est là qu'elle est dangereuse !
Qu'elle se cache, qu'elle garde sa vie privée, et qu'elle prenne des cours de savoir vivre et surtout qu'elle arrête de nous la jouer, il y en a assez de son cinéma de midinette sur le retour 

L' Euro en phase terminale ?



Les hommes providentiels apparaissent quand la providence ou plutôt l'inconscience, a conduit à une situation catastrophique. La crise de l'euro n'est pour l'instant qu'une longue agonie et on hésite encore pour savoir si de simples antalgiques suffisent ou s'il faut passer aux soins palliatifs.


Je ne suis pas germanophobe mais...
L'Allemagne qui en a toujours après la Grèce, elle s'est tout de même enrichie sur son dos. 
Elle serait dailleurs encore redevable de dommages de guerre... 
Des catégories de grecs ont toujours payé leurs impôts, puisque prélevés à la source. 
Il est inadmissible que les armateurs, l'église orthodoxes ne payent pas d'impôts. Les premiers responsables de cette crise ce sont les dirigeants grecs. 


Faire payer le rentier
Aux banques on leur prête à 1% mais pas au même taux aux payés endettés, aux entreprises, aux particuliers. 
Est-ce moral tout cela ? 
Oui certains s'enrichissent sur les difficultés rencontrés par d'autres!
Un rapport de la Bundesbank de novembre 2011 estime les avoirs privés grecs dans les banques suisses à environ 400 milliards d'euros, dont 80 ont quitté la Grèce pour la Suisse entre janvier et octobre 2011. 
Donc, il y a largement de quoi renflouer leur péniche en perdition !
Le choix des moyens techniques et des outils pour y parvenir importent moins que que la volonté nettement affichée de prendre une direction claire.


L'Europe paravent des USA
A bien y regarder, le dollar n'est pas intrinsèquement en meilleure position que l'Euro, sauf qu'il est géré de manière moins désordonnée, que les USA impriment la monnaie dans laquelle ils s'endettent et que la Fed agit comme prêteur de dernier ressort à un taux bas et unique pour tous. Les marchés semblent y trouver leur compte et investissent dans le dollar, ayant l'impression que les choses sont claires et qu'ils savent à quoi s'en tenir.


Nos dirigeants européens sont ils capables de se mettre d'accord et de montrer au monde qu'ils veulent mettre l'Euro en ordre de marche ?