mardi 5 juin 2012
Grèce : Patras dans la crainte de nouvelles violences anti immigrés
les troubles ont éclaté après l' assasinat d'un homme de 30 ans, Lazanias Thanasis, par trois jeunes Afghans (dont deux mineurs).
La recherche d'un terrain commun en matière de gestion du problème d'immigration qui sévit depuis des années Patras sera le défi ... de vastes étendues de convoquer une réunion pour lundi prochain, Juin 11, la région de la Grèce occidentale. en même temps la majorité des résidents dans les quartiers sud de la capitale achéenne se trouve dans une attente alors qu'ils demeurent en vigueur les mesures de sécurité de la police autour des lieux où les immigrants illégaux ont fui pour éviter une nouvelle vague d'attaques.
Les propositions des autorités locales et les représentants des partis politiques sur les mesures pour s'attaquer au problème de l'immigration clandestine sera discuté à Patras le lundi suivant, Juin 11, à 11 matin lors d'une réunion convoquée par la Région de Katsifaras Grèce occidentale Apostolos, suite à une décision prise lors de la dernière réunion le 24 mai, le Conseil régional. La réunion se tiendra dans la salle de réunion de l'organe de gestion intérimaire dans l'ancien bâtiment de la région (Nouvelle- Autoroute Patras - Athènes 28, 1er étage) et celle-ci sont invités à se joindre le président de l'Union régionale des municipalités et maire de Grèce de l'Ouest Agrinio Paul Moscholios, le maire John Dimaras Patras, les dirigeants des factions représentées au sein du Conseil régional de la Grèce occidentale les chefs des factions à Patras le Conseil municipal, des représentants de partis politiques et des représentants de la race des résidents dans les quartiers sud de Patras. "Il est évident qu'aucune solution proposée peut ne pas être pratique si elle n'est pas fondée sur une base élémentaire d'un accord entre toutes les parties prenantes », dit le texte de l'invitation de la Région. Katsifaras Il a déjà informé, à partir du vendredi, le comité de course des résidents, en notant que «le district a considéré tous les aspects du problème et la position modélisée mettant l'accent sur la décision prise lors d'une réunion du Conseil régional en Vonitsa au début Avril. " Cependant, il est utile à un large débat sur les propositions de tous les côtés afin d'établir un cadre commun et fixer des objectifs clairs. patrastimes.gr
LES ENJEUX DE LA CRISE FINANCIÈRE: Une conférence de Michel Chossudovsky
Michel Chossudovsky est professeur d'économie, directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et auteur de Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial. * Les causes et les conséquences de l'effondrement des marchés; * L'économie réelle en banqueroute; * Les impacts sur l'emploi et le niveau de vie; * La décomposition des finances publiques; * Impacts sur les services de santé et d'éducation; * L'enrichissement d'une minorité sociale; * La mondialisation de la pauvreté.
L ' Islande se révolte : le tabou bancaire interdit de TV
C'est le moment ou jamais ! Il faut diffuser cette vidéo et parler autour de soit de ce qui se passe en Islande. Ce qui se passe est historique et j'espère que la contagion gagnera le reste du monde soit-disant libre. Cette vidéo est la preuve que nous povons changer les choses et je remercie Peter de "The Plot 911" de l'avoir mise en ligne. C'est par soucis de maximisation de sa diffusion que je me permet de la mettre à nouveau en ligne. N'hésitez pas à faire comme moi en changeant le titre pour que cette vidéo se propage comme un virus, vous participerez ainsi à la libération !
Le système bancaire, on va lui faire sa fête ou l'insouciance populaire avant le chaos généralisé
Clément Satger, candidat dans la 3e circonscription de Haute Garonne. Discutions à Flourens pendant la fête du village ce dimanche 3 juin 2012. Le système bancaire, on va lui faire sa fête!
La grece en crise : la bourse d'Athènes est passée de 5000 à 500 en 5 ans
http://www.zonebourse.com/ATHENE-ATHEX-COMP-7404/
ATHEN-ATHEX COMP
L’Athex 20 est l’indice boursier constitué des 20 entreprises grecques les plus importantes cotées à la bourse d’Athènes, crée en 1876 et siégeant depuis 2007 au 110 Rue Athinon. Il est géré en partenariat avec la société indépendante FTSE, née d’une joint-venture entre le Financial Time et le London Stock Exchange....
ATHEN-ATHEX COMP
L’Athex 20 est l’indice boursier constitué des 20 entreprises grecques les plus importantes cotées à la bourse d’Athènes, crée en 1876 et siégeant depuis 2007 au 110 Rue Athinon. Il est géré en partenariat avec la société indépendante FTSE, née d’une joint-venture entre le Financial Time et le London Stock Exchange....
La Grèce s'enfonce un peu plus dans le Chaos
La crise financière devenue l' euro en crise s'est focalisé sur la dette grecque.
La Grèce en crise , c'est bien plus terrifiant vu à travers ses conséquences humaines que comptables.
Alors que l'attention de l’Europe s’est plutôt concentrée sur l'Espagne ces derniers jours, le candidat au poste de Premier ministre grec pour les élections du 17 Juin, Alexis Tsipras, a présenté son programme aux Grecs, en leur promettant qu’il est possible de redresser le pays sans les faire souffrir.
Son parti Syriza a annoncé vendredi que s’il est élu, il remettra en cause la politique d’austérité imposée par l’Europe, et de cesser en particulier les coupes sur les salaires du secteur public et les pensions. Les économies budgétaires seront plutôt recherchées dans les contrats exagérément dispendieux que l’Etat aurait conclus. En outre, il prévoit de nationaliser les banques, et des pans entiers de l’économie grecque (le secteur de l’énergie, le secteur de la défense, des télécommunications, les chemins de fer…), d’endiguer la fuite des capitaux avec des mesures de contrôle (ce qu'aucun gouvernement grec n'a jamais réussi), de créer une taxation spécifique sur l’industrie du tourisme ainsi que sur les compagnies de navigation, et de négocier un moratoire de paiement avec l’Union Européenne.
Cependant, un florilège des articles de l'édition de samedi du journal grec Ekathimerini montre que l’isolement du pays est de plus en plus grand :
- Les pharmaciens refusent désormais de donner les médicaments dont ils ont besoin aux bénéficiaires de l’EOPYY, l’organisme de sécurité sociale, parce que cet organisme ne parvient plus à les rembourser. A fin mars, déjà 272 millions d’euros de dettes s’étaient ajoutées aux 540 millions d’euros en retard de paiement depuis 2011.
- L'association des fournisseurs de médicaments a cessé la fourniture de médicaments à six grands hôpitaux d’Athènes et ils réclament le paiement de 150 millions de dettes.
- Le gouvernement intérimaire tente par tous les moyens de trouver 300 millions d’euros nécessaires pour couvrir les factures d'électricité en retard de paiement afin d'éviter que la compagnie électrique turque Botas et le géant russe Gazprom ne coupent l'alimentation du pays dès le 15 Juin.
- Deux prostituées polonaises ont été arrêtés à Athènes, et des tests médicaux ont révélé qu'elles étaient contaminées par le virus du VIH. Depuis le début de cette année, 35 prostituées ont été testées séropositives dans la capitale grecque.
- Cette semaine, cinq immigrés (deux Polonais, un Pakistanais, un Bengali et un Albanais) ont été poignardés à Athènes par des hommes qui portaient des casques de moto. Les crimes sont attribués à des sympathisants du parti néo-nazi de l'Aube Dorée. Personne n'a été arrêté.
- L'association des cynophiles a déposé une plainte au parquet d’Athènes et a publié quatre photos qui montrent des restes de chiens qui indiquent qu’ils ont été consommés. On soupçonne que des étrangers tuent des chiens pour revendre leur viande.
- 41,6 milliards d’euros d’échéances de prêts sont en retard de paiement de plus de 90 jours à la Banque de Grèce. Cela correspond à environ 16% du total des prêts.
- Après Euler Hermes, c’est au tour d’Atradius, la seconde compagnie d’assurance-crédit, à décider de cesser de couvrir les exportations de marchandises à destination de la Grèce.
- L'Association grecque des hôteliers s'attend cette année à une baisse de 2 millions du nombre de touristes par rapport à l'an dernier, en raison des mauvaises nouvelles sur la Grèce diffusées dans les médias du monde entier. Des offres de dernière minute, et de grandes remises seront consenties pour essayer d’inverser cette tendance.
- L'indice grec des ventes de détail a atteint 69,6 en mars 2012, le pire résultat depuis 2000. La base de l'indice (100) remonte à l'année 2005. Le commerce de détail a reculé de 15,1% en mars en moyenne par rapport au mois de mars de l’année dernière. Les Grecs économisent en particulier sur les denrées alimentaires (- 11,4%), le carburant (- 18,4%) et les produits pharmaceutiques (- 10,5%).
source:express.be
Les sous-marins nucléaires d'Israel qui venaient d'Allemagne
Israël est en train d'équiper des sous-marins fournis par l'Allemagne avec des missiles de croisière à têtes nucléaires, affirme l'hebdomadaire allemand Der Spiegel à paraître lundi.
D'après le magazine, Berlin a toujours nié que ces sous-marins puissent faire partie de l'arsenal nucléaire israélien.
Mais selon Der Spiegel, d'anciens hauts responsables du ministère de la Défense allemand lui ont assuré que le gouvernement avait en fait toujours pensé qu'Israël équipait de munitions atomiques les submersibles d'attaque de classe Dolphin.
«Je confirme que nous avons des sous-marins allemands, ce n'est pas un secret», a déclaré le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Yigal Palmor à l'AFP.
«Pour le reste je ne suis pas tenu de me prononcer sur leurs capacités», a-t-il ajouté.
Israël, qui n'a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP), n'a jamais confirmé ni démenti ses capacités nucléaires, une politique officiellement qualifiée d'«ambiguïté délibérée».
L'État hébreu est cependant largement considéré comme la seule puissance nucléaire de la région.
L'annonce que les sous-marins vendus à Israël étaient dotés de munitions atomiques a donné lieu à une réaction de l'opposition sociale-démocrate (SPD) qui a demandé des explications au gouvernement d'Angela Merkel.
«Le gouvernement fédéral doit fournir des renseignements pour que l'on sache si les sous-marins livrés par l'Allemagne peuvent être équipés de systèmes potentiellement porteurs d'ogives nucléaires», a déclaré à l'hebdomadaire Rolf Mützenich, porte-parole sur les questions de politique extérieure du groupe parlementaire du SPD.
«Jusqu'à présent, ces livraisons avaient été entre autres justifiées par le fait que ces sous-marins faisaient partie d'un arsenal de dissuasion conventionnel», a-t-il fait remarquer.
«La livraison (des sous-marins, NDLR) s'est faite sans armement», a répondu au Spiegel le porte-parole de la chancelière Angela Merkel, Steffen Seibert, ajoutant: «le gouvernement fédéral ne participe pas aux spéculations sur son armement ultérieur».
L'Allemagne a déjà livré trois de ces sous-marins à Israël, finançant d'ailleurs la plupart de la facture, et trois autres doivent être livrés d'ici à 2017.
Israël étudie par ailleurs la possibilité d'en commander trois de plus, selon Der Spiegel.
«Les Allemands peuvent être fiers d'avoir garanti l'existence de l'État d'Israël pour les années à venir», a déclaré à propos de ce contrat le ministre israélien de la Défense Ehud Barak, cité par le journal.
Selon Der Spiegel, Berlin espérait notamment en échange de ces contrats voir des concessions israéliennes sur les colonies dans les territoires occupés palestiniens.
source:derspiegel.de
Bank Run et fuite des investisseurs : l' Euro en voie de désintégration
L’euro est presque fichu, affirme Ambrose Evans-Pritchard dans le Telegraph. Il n’est plus tenable sur le plan politique et économique, et les évènements s’accélèrent. Le monde se prépare pour une grave crise d'ampleur internationale.
La Suisse a menacé de mettre en place des contrôles de capitaux pour empêcher les arrivées massives de capitaux en provenance de l’Europe qui poussent le franc à s'apprécier. Le Danemark a aussi pris des mesures pour stopper l’arrivée de capitaux.
La Commission Européenne a évoqué le « danger de désintégration » de la zone euro, et la Banque Centrale Européenne a estimé que tel qu’il avait été conçu, le projet n’était pas viable.
Les dirigeants européens travaillent actuellement à l’approfondissement de l’intégration européenne. La Chancelière Angela Merkel a proposé la création d’un ministre des Finances européen, et d'attribuer de nouveaux pouvoirs à la Commission, au Parlement européen et à la Cour de justice. Elle envisage également la création d’un coordinateur qui superviserait les réformes du marché du travail, des systèmes sociaux et de la fiscalité dans les pays membres. Les dirigeants européens veulent être en position de pouvoir développer un agenda pour la mise au point de l’union fiscale pour le sommet des 28 et 29 juin prochains.
L’Espagne a révélé jeudi dernier que près de 100 milliards d’euros (97 milliards, précisément, soit 10% du PIB du pays) de capitaux avaient quitté le pays rien qu’au premier trimestre de cette année. Aberto Gallo, de la banque RBS, estime que l’Espagne aura besoin d’un plan de sauvetage qu’il chiffre à entre 370 milliards d’euros et 450 milliards d’euros, ce qui portera sa dette à 110% de son PIB. La grande question est de savoir si l’Europe est encore capable de collecter une enveloppe financière d’une telle envergure.
L’ex-vice chancelier allemand Joschka Fischer a exhorté les dirigeants européens à cesser d’aggraver la situation en poursuivant les politiques d’austérité. « Ne nous racontons pas d’histoires : si l’euro s’écroule, l’Union Européenne s’écroulera aussi, ce qui déclenchera une crise mondiale d’une gravité sans précédent pour la plupart d’entre nous».
Le monde entier commence à accuser le coup : les chiffres de l’emploi pour mai ont été décevants aux Etats Unis, et le pays menace de replonger dans la récession ; l’économie brésilienne faiblit, et la croissance indienne s’essouffle : elle n’a jamais été aussi faible depuis 9 ans. L’index manufacturier de la Chine publié par HSBC s’est contracté en mai, les carnets de commandes s’étiolent et les stocks grossissent. La prospective que les économies les plus dynamiques du monde puissent cesser de tirer la croissance mondiale semble désormais possible, et la baisse des taux d’intérêt pour les dettes souveraines des pays refuges (la Suisse, l'Allemagne, le Royaume Uni), qui sont parfois devenus négatifs, comme le taux sur les obligations allemandes à deux ans, semble indiquer que les marchés anticipent une déflation d’ampleur internationale.
Le financier milliardaire George Soros a lui aussi exhorté les dirigeants européens à faire ce qu’il fallait pour sortir de cette crise, indiquant qu’il estimait qu’il ne restait plus qu’un délai de 3 mois pour redresser la situation. Pour Soros, en réalité, l’Allemagne étant le seul poids-lourds créditeur de l’Europe, elle est la seule qui puisse faire quelque chose, quelles que soient les décisions prises par les autres membres.
Evans-Pritchard partage son point de vue. Il pense que l’Allemagne est la seule qui puisse dénouer cette situation, en acceptant de mettre en place l’union fiscale avec la mutualisation des dettes des Etats membres. Mais durant le week-end, la chancelière allemande est restée inébranlable en assénant un « sous aucun prétexte » au projet des euro-obligations…
source : thedailytelegraph
Trois mois pour sauver l'euro
L'Europe a trois mois pour sauver l'euro, affirme le milliardaire philanthrope américain, George Soros, dans le texte d'un discours prononcé, samedi, et publié, dimanche, sur son site internet.
"A mon avis, les autorités disposent d'une fenêtre de trois mois pendant laquelle elles peuvent encore corriger leurs erreurs et inverser les tendances actuelles. Par autorités, je veux dire principalement le gouvernement allemand et la Bundesbank, parce que, dans une crise, les créanciers ont le pouvoir et rien ne peut être fait sans le soutien de l'Allemagne", affirme le milliardaire et ex-spécialiste des raids financiers contre les devises. "Je m'attends à ce que les Grecs soient suffisamment effrayés par la perspective d'une expulsion de l'Union européenne, pour donner une faible majorité de sièges à la coalition qui est prête à appliquer l'accord actuel avec l'UE, le FMI et les créanciers bancaires", a-t-il ajouté.
Mais, d'ici trois mois "l'économie allemande va également s'affaiblir et il sera encore plus difficile pour la Chancelière (allemande Angela) Merkel de persuader l'opinion allemande d'accepter des responsabilités supplémentaires envers l'Europe. C'est ce qui crée cette fenêtre de trois mois", a-t-il conclu. Mme Merkel a appelé, samedi, l'opposition gouvernementale allemande à soutenir le futur fonds permanent de soutien à la zone euro (ESM) et le pacte budgétaire européen, affirmant que la "situation, dans la zone euro, est, actuellement, de nouveau, très fragile".
source : french.irib.ir
Quand La France Annulait sa Dette ou La Banqueroute Des Deux Tiers
Le 30 septembre 1797, le ministre des finances du Directoire, Dominique Ramel, provoqua un scandale chez la bourgeoisie et autres forces de l’argent, en annulant purement et simplement les deux-tiers de la dette française. Cet évènement, peu connu du grand public, est appelé par les historiens la « Banqueroute des deux tiers ». Précédemment, le gouvernement avait également fait brûler en place publique la planche à assignat, symbole de la spéculation de l’époque.
S’en était trop pour la bourgeoisie : Dominique Ramel ne joua plus aucun rôle sous le Consulat et l’Empire. Pour l’oligarchie, la défense de l’intérêt général est et a toujours été un péché mortel.
Seule une méthode identique permettra à la France de se débarrasser du piège à loup financier sur lequel ses élites politiques l’ont délibérément fait marcher.
Que la chose soit donc dite sans plus attendre : il est hors de question que la France rembourse sa « dette », qui par ailleurs usurpe son nom, puisque comme nous allons le démontrer, celle-ci est le résultat d’un braquage et non d’un engagement contractuel.
La chose paraît difficile à croire mais elle est pourtant réalité : la dette ne vient que d’un simple jeu d’écriture.
La « dette » française est illégitime
La « dette » française ne doit pas être remboursée parce qu’elle est illégitime. Elle est illégitime car elle est le produit d’une succession de mesures et de décisions qui d’abord, l’ont créée de toute pièce, puis ensuite, l’ont rendu irremboursable.
Comme l’a révélé André-Jacques Holbecq, puis comme l’a diffusé Etienne Chouard, avec d’autres à sa suite, la dette de la France vient la réforme de la Banque de France de 1973. Cette loi interdit à notre Banque centrale de prêter à l’Etat à taux zéro et, donc, l’oblige à emprunter avec des taux d’intérêts sur les marchés financiers en cas de budget déséquilibré.
Le chiffre commence à être connu : à quelques dizaines de milliards près, la somme des taux d’intérêts payés depuis 1973 est quasi égale au montant de la dette actuelle. Traduction : pas de taux d’intérêt = pas de dette. Grâce au Parti Socialiste, cet acte de haute trahison a été consacré au sommet de la hiérarchie des normes, à l’article 104 du traité de Maastricht, plus précisément, puis à l’article 123 du traité de Lisbonne.
Cette loi a été faite dans le dos du peuple, dans la plus totale opacité. L’immense majorité des citoyens (des quoi ?) ignore proprement son existence, si bien que ses initiateurs, Messieurs Valérie Giscard d’Estaing et Georges Pompidou, n’ont pour le moment aucun compte à rendre face à l’Histoire.
La chose paraît difficile à croire mais elle est pourtant réalité : la dette ne vient que d’un simple jeu d’écriture. Rien de plus. Est-il logique que la France ait vue naître une dette si colossale alors que les dépenses de l’Etat sont restées stables (contrairement aux idées reçues) et que jamais dans l’Histoire elle n’a produit autant de richesse ? Si l’équation ne tient pas, c’est parce que la source de la dette n’est pas prise en compte.
La classe politique française a agi par fraude. De l’extrême gauche à l’extrême droite, le secret a été bien gardé pendant des décennies. Il n’est donc pas sévère de considérer aujourd’hui un homme politique comme une prostituée de l’oligarchie financière. De même, journalistes et économistes ont failli à leur mission en ne divulguant pas le coup fourré (le contraire nous eut étonné).
Le peuple français est tombé dans un guet-apens mise en place par les prostituées précitées sur ordre de leur maître. Les français l’ignorent, mais chaque année, ils payent un tribut à l’oligarchie financière.
Outre cette fraude inconnue, il existe une autre cause d’illégitimité de la dette, qui pour dire les choses clairement, frôle le délire et la folie : on a prêté à la France de l’argent qui n’existe pas. Le lecteur a bien lu.
Compte tenu de la dématérialisation de la monnaie suite à la dénonciation des accords de Bretton-Woods et de la libéralisation du système de réserve fractionnaire, les banques et autres organismes financiers ont prêté des capitaux qui n’étaient pas couverts par de véritables réserves, soit des capitaux qui n’existent pas et uniquement symbolisés, sans qu’on nous explique d’ailleurs en quel honneur, par une ligne comptable sur un ordinateur. Cet argent n’existait pas. Il était fiction. Pourtant, le peuple français fut bien sommé de rembourser cette fiction avec la sueur de son front et le produit de son travail. En droit, on appelle ce genre de manœuvre dolosive un dol.
Enfin, le poids de cette dette a été maintenu par une politique monétaire du franc fort, puis de l’euro fort, afin d’éviter tout rabotage par l’inflation.
Répétons-le, le peuple français s’est fait piéger par sa classe politique. Il serait temps qu’il s’en rende compte… Mais les derniers résultats électoraux nous laissent penser qu’il en est loin.
Un quart des impôts payés par le peuple français va directement dans les poches de l’oligarchie financière chaque année au titre des intérêts de la dette.
Abroger la loi de 73 n’est pas suffisant : il faut tuer la Bête
Quatre candidats à l’élection présidentielle ont fait semblant de proposer l’abrogation de la loi de 73. En effet, pour se faire, il faut dénoncer les traités européens, ce qu’aucun des faux abrogationnistes n’a fait. Comme toujours, nous étions dans le Théâtre de Guignol et non dans la politique sérieuse.
Ceci posé, même si nos faux abrogationnistes, nos faux dissidents, avaient été plus sincères et plus complets sur la question de la loi de 73, ils n’auraient pas pour autant fait trembler Goldman Sachs d’un seul pouce. Pourquoi ? Comprenez cher lecteur : avec ou sans crédit de la Banque de France, nos candidats se proposaient de rembourser la dette. Dans tous les cas, les banques sont gagnantes, puisqu’on les paye. On ratifie le racket. On valide le braquage. On accepte l’humiliation sans broncher. Croyez-vous qu’il importe à JP Morgan d’être remboursée avec des capitaux venant des marchés ou d’une banque centrale ? Bien sûr que non ! JP Morgan veux notre argent, qu’importe sa forme ou son origine.
Entendons-nous : l’abrogation de la loi de 73 est indispensable et servira à financer nos déficits futurs. Mais il est hors de question d’utiliser ce nouveau levier pour rembourser les déficits passés, et pour cause : on ne rembourse pas un voleur.
Une simple abrogation de la loi de 73 est insuffisante puisqu’à elle seule, elle ne permet pas de détruire le carcan bancaire. Certes, les chaînes ne sont pas alourdies par de nouveaux taux d’intérêts, mais elles resteront intactes.
Le retour aux crédits de la Banque de France serait la perte d’une source de profit pour les banques, mais cette amputation serait parfaitement compensable par un surcroît de spéculation sur le marché des produits dérivés, et croyez bien que les concernés ne se gêneraient pas.
En revanche, il est un spectre qui terrifie les banquiers, un spectre contre lequel ils ne peuvent rien : la banqueroute. La banqueroute est un pistolet braqué sur la tempe des banques. Compte tenu de l’illégitimité absolu de ce montage qu’on nous oblige à appeler dette, aucun égard ne doit nous retenir d’appuyer sur la gâchette.
Tel Nicolas Ramel, il faudra opérer à une banqueroute partielle de la dette.
Martelons-le : le seul et unique moyen de mettre les banques au pas est la banqueroute. L’abrogation de la loi de 73 est insuffisante.
L’oligarchie financière, bien aidée en cela par la clique de prostituées qui nous gouverne depuis quarante ans, ne reculera devant aucun obstacle pour voler son argent au peuple de France.
La banqueroute ou l’esclavage
Un quart des impôts payés par le peuple français va directement dans les poches de l’oligarchie financière chaque année au titre des intérêts de la dette. Demain, à cause de l’augmentation des taux d’intérêts, c’est 30, 40, 50% de nos impôts qu’il nous sera sommé de donner à cette même oligarchie parasite.
En sus de cela, des sacrifices inacceptables tel ceux déjà pratiqués en Grèce seront exigés : blocage voire diminution des salaires des fonctionnaires, baisse des retraites privées et publiques, des allocations chômage, des aides sociales diverses, fermeture d’hôpitaux, de commissariats, augmentation d’impôts et création de taxes. Si tout cela n’aboutit pas à une guerre civile, le choc des civilisations soigneusement orchestré aidant, se sera miracle.
L’oligarchie financière, bien aidée en cela par la clique de prostituées qui nous gouverne depuis quarante ans, ne reculera devant aucun obstacle pour voler son argent au peuple de France.
Nous ne travaillerons plus pour nous même, plus pour nos familles, plus pour notre pays, mais pour des banques, des hedge funds et des fonds de pension. Notre travail ne nous appartiendra plus. L’esclavage, de plus en plus en visible, sera officieusement rétabli. Nos vies nous seront volées. Nos maîtres pourront tout exiger de nous et, assommés, mystifiés, déracinés et abrutis par le totalitarisme de marché, nous plierons.
Ce cercle de servitude ne peut être brisé que par la solution Ramel, la banqueroute.
La France a la chance de disposer en son Histoire d’une jurisprudence en la matière. Qu’on réitère donc la règle. Suite à la banqueroute de 1797, la France, jouissant de la confiance des investisseurs, a pu redécoller économiquement sous le Ier Empire et continuer sa domination sur tout le continent…
Ecoutons donc ce conseil posthume de Dominique Ramel, cet authentique serviteur de la France (il y en eu peu). Un simple décret présidentiel suffirait à annuler la dette illégitime et éviter le retour à l’esclavage. Parti en si bon chemin, il faudrait ensuite déclarer nul et non avenus les produits dérivés, tel ce qui fut un jour fait aux droits féodaux, car on ne doit pas taxer la spéculation mais l’éradiquer.
Il est vrai que l’homme qui prendrait de telles mesures verrait son espérance de vie chuter aussitôt de plusieurs décennies. Pour un exploit de ce type, courage, patriotisme et volonté de sauver le peuple du péril qui le guette lui seraient nécessaires…Mais de tout cela, la classe politique française actuelle est précisément dépourvue.
Entende qui a des oreilles pour entendre.
S’en était trop pour la bourgeoisie : Dominique Ramel ne joua plus aucun rôle sous le Consulat et l’Empire. Pour l’oligarchie, la défense de l’intérêt général est et a toujours été un péché mortel.
Seule une méthode identique permettra à la France de se débarrasser du piège à loup financier sur lequel ses élites politiques l’ont délibérément fait marcher.
Que la chose soit donc dite sans plus attendre : il est hors de question que la France rembourse sa « dette », qui par ailleurs usurpe son nom, puisque comme nous allons le démontrer, celle-ci est le résultat d’un braquage et non d’un engagement contractuel.
La chose paraît difficile à croire mais elle est pourtant réalité : la dette ne vient que d’un simple jeu d’écriture.
La « dette » française est illégitime
La « dette » française ne doit pas être remboursée parce qu’elle est illégitime. Elle est illégitime car elle est le produit d’une succession de mesures et de décisions qui d’abord, l’ont créée de toute pièce, puis ensuite, l’ont rendu irremboursable.
Comme l’a révélé André-Jacques Holbecq, puis comme l’a diffusé Etienne Chouard, avec d’autres à sa suite, la dette de la France vient la réforme de la Banque de France de 1973. Cette loi interdit à notre Banque centrale de prêter à l’Etat à taux zéro et, donc, l’oblige à emprunter avec des taux d’intérêts sur les marchés financiers en cas de budget déséquilibré.
Le chiffre commence à être connu : à quelques dizaines de milliards près, la somme des taux d’intérêts payés depuis 1973 est quasi égale au montant de la dette actuelle. Traduction : pas de taux d’intérêt = pas de dette. Grâce au Parti Socialiste, cet acte de haute trahison a été consacré au sommet de la hiérarchie des normes, à l’article 104 du traité de Maastricht, plus précisément, puis à l’article 123 du traité de Lisbonne.
Cette loi a été faite dans le dos du peuple, dans la plus totale opacité. L’immense majorité des citoyens (des quoi ?) ignore proprement son existence, si bien que ses initiateurs, Messieurs Valérie Giscard d’Estaing et Georges Pompidou, n’ont pour le moment aucun compte à rendre face à l’Histoire.
La chose paraît difficile à croire mais elle est pourtant réalité : la dette ne vient que d’un simple jeu d’écriture. Rien de plus. Est-il logique que la France ait vue naître une dette si colossale alors que les dépenses de l’Etat sont restées stables (contrairement aux idées reçues) et que jamais dans l’Histoire elle n’a produit autant de richesse ? Si l’équation ne tient pas, c’est parce que la source de la dette n’est pas prise en compte.
La classe politique française a agi par fraude. De l’extrême gauche à l’extrême droite, le secret a été bien gardé pendant des décennies. Il n’est donc pas sévère de considérer aujourd’hui un homme politique comme une prostituée de l’oligarchie financière. De même, journalistes et économistes ont failli à leur mission en ne divulguant pas le coup fourré (le contraire nous eut étonné).
Le peuple français est tombé dans un guet-apens mise en place par les prostituées précitées sur ordre de leur maître. Les français l’ignorent, mais chaque année, ils payent un tribut à l’oligarchie financière.
Outre cette fraude inconnue, il existe une autre cause d’illégitimité de la dette, qui pour dire les choses clairement, frôle le délire et la folie : on a prêté à la France de l’argent qui n’existe pas. Le lecteur a bien lu.
Compte tenu de la dématérialisation de la monnaie suite à la dénonciation des accords de Bretton-Woods et de la libéralisation du système de réserve fractionnaire, les banques et autres organismes financiers ont prêté des capitaux qui n’étaient pas couverts par de véritables réserves, soit des capitaux qui n’existent pas et uniquement symbolisés, sans qu’on nous explique d’ailleurs en quel honneur, par une ligne comptable sur un ordinateur. Cet argent n’existait pas. Il était fiction. Pourtant, le peuple français fut bien sommé de rembourser cette fiction avec la sueur de son front et le produit de son travail. En droit, on appelle ce genre de manœuvre dolosive un dol.
Enfin, le poids de cette dette a été maintenu par une politique monétaire du franc fort, puis de l’euro fort, afin d’éviter tout rabotage par l’inflation.
Répétons-le, le peuple français s’est fait piéger par sa classe politique. Il serait temps qu’il s’en rende compte… Mais les derniers résultats électoraux nous laissent penser qu’il en est loin.
Un quart des impôts payés par le peuple français va directement dans les poches de l’oligarchie financière chaque année au titre des intérêts de la dette.
Abroger la loi de 73 n’est pas suffisant : il faut tuer la Bête
Quatre candidats à l’élection présidentielle ont fait semblant de proposer l’abrogation de la loi de 73. En effet, pour se faire, il faut dénoncer les traités européens, ce qu’aucun des faux abrogationnistes n’a fait. Comme toujours, nous étions dans le Théâtre de Guignol et non dans la politique sérieuse.
Ceci posé, même si nos faux abrogationnistes, nos faux dissidents, avaient été plus sincères et plus complets sur la question de la loi de 73, ils n’auraient pas pour autant fait trembler Goldman Sachs d’un seul pouce. Pourquoi ? Comprenez cher lecteur : avec ou sans crédit de la Banque de France, nos candidats se proposaient de rembourser la dette. Dans tous les cas, les banques sont gagnantes, puisqu’on les paye. On ratifie le racket. On valide le braquage. On accepte l’humiliation sans broncher. Croyez-vous qu’il importe à JP Morgan d’être remboursée avec des capitaux venant des marchés ou d’une banque centrale ? Bien sûr que non ! JP Morgan veux notre argent, qu’importe sa forme ou son origine.
Entendons-nous : l’abrogation de la loi de 73 est indispensable et servira à financer nos déficits futurs. Mais il est hors de question d’utiliser ce nouveau levier pour rembourser les déficits passés, et pour cause : on ne rembourse pas un voleur.
Une simple abrogation de la loi de 73 est insuffisante puisqu’à elle seule, elle ne permet pas de détruire le carcan bancaire. Certes, les chaînes ne sont pas alourdies par de nouveaux taux d’intérêts, mais elles resteront intactes.
Le retour aux crédits de la Banque de France serait la perte d’une source de profit pour les banques, mais cette amputation serait parfaitement compensable par un surcroît de spéculation sur le marché des produits dérivés, et croyez bien que les concernés ne se gêneraient pas.
En revanche, il est un spectre qui terrifie les banquiers, un spectre contre lequel ils ne peuvent rien : la banqueroute. La banqueroute est un pistolet braqué sur la tempe des banques. Compte tenu de l’illégitimité absolu de ce montage qu’on nous oblige à appeler dette, aucun égard ne doit nous retenir d’appuyer sur la gâchette.
Tel Nicolas Ramel, il faudra opérer à une banqueroute partielle de la dette.
Martelons-le : le seul et unique moyen de mettre les banques au pas est la banqueroute. L’abrogation de la loi de 73 est insuffisante.
L’oligarchie financière, bien aidée en cela par la clique de prostituées qui nous gouverne depuis quarante ans, ne reculera devant aucun obstacle pour voler son argent au peuple de France.
La banqueroute ou l’esclavage
Un quart des impôts payés par le peuple français va directement dans les poches de l’oligarchie financière chaque année au titre des intérêts de la dette. Demain, à cause de l’augmentation des taux d’intérêts, c’est 30, 40, 50% de nos impôts qu’il nous sera sommé de donner à cette même oligarchie parasite.
En sus de cela, des sacrifices inacceptables tel ceux déjà pratiqués en Grèce seront exigés : blocage voire diminution des salaires des fonctionnaires, baisse des retraites privées et publiques, des allocations chômage, des aides sociales diverses, fermeture d’hôpitaux, de commissariats, augmentation d’impôts et création de taxes. Si tout cela n’aboutit pas à une guerre civile, le choc des civilisations soigneusement orchestré aidant, se sera miracle.
L’oligarchie financière, bien aidée en cela par la clique de prostituées qui nous gouverne depuis quarante ans, ne reculera devant aucun obstacle pour voler son argent au peuple de France.
Nous ne travaillerons plus pour nous même, plus pour nos familles, plus pour notre pays, mais pour des banques, des hedge funds et des fonds de pension. Notre travail ne nous appartiendra plus. L’esclavage, de plus en plus en visible, sera officieusement rétabli. Nos vies nous seront volées. Nos maîtres pourront tout exiger de nous et, assommés, mystifiés, déracinés et abrutis par le totalitarisme de marché, nous plierons.
Ce cercle de servitude ne peut être brisé que par la solution Ramel, la banqueroute.
La France a la chance de disposer en son Histoire d’une jurisprudence en la matière. Qu’on réitère donc la règle. Suite à la banqueroute de 1797, la France, jouissant de la confiance des investisseurs, a pu redécoller économiquement sous le Ier Empire et continuer sa domination sur tout le continent…
Ecoutons donc ce conseil posthume de Dominique Ramel, cet authentique serviteur de la France (il y en eu peu). Un simple décret présidentiel suffirait à annuler la dette illégitime et éviter le retour à l’esclavage. Parti en si bon chemin, il faudrait ensuite déclarer nul et non avenus les produits dérivés, tel ce qui fut un jour fait aux droits féodaux, car on ne doit pas taxer la spéculation mais l’éradiquer.
Il est vrai que l’homme qui prendrait de telles mesures verrait son espérance de vie chuter aussitôt de plusieurs décennies. Pour un exploit de ce type, courage, patriotisme et volonté de sauver le peuple du péril qui le guette lui seraient nécessaires…Mais de tout cela, la classe politique française actuelle est précisément dépourvue.
Entende qui a des oreilles pour entendre.