mardi 22 mai 2012
Les solutions de françois Hollande ce sont des "aneries" pour la ministre autrichienne des finances
«La croissance financée par la dette ? Ce sont les recettes d'hier"
"ce sont ces mêmes absurdités qui nous ont amenés à un tel gâchis...ce sont des âneries."
François Hollande doit avoir les oreilles qui sifflent tant la sortie de la ministre autrichienne des finances a été sans concessions.
La ministre autrichienne des Finances Maria Fekter a qualifié d'"absurdes" les positions du président français François Hollande pour résoudre la crise de la dette en zone euro, insistant sur la nécessaire discipline budgétaire.
"De la croissance financée par de la dette ? Ce sont des recettes d'avant-hier. Les arguments que développe François Hollande sont absurdes (...)" dit-elle, citée par le journal Oberösterreichische Nachrichten.
François Hollande a fait de l'adjonction d'un volet croissance au pacte budgétaire son objectif prioritaire sur la scène européenne.
Il a déclaré lundi aborder sans esprit de "conflit" le Conseil européen de mercredi soir à Bruxelles, où il souhaite que "tout soit mis sur la table".
Maria Fekter, dont le franc-parler a déjà créé des frictions par le passé avec ses collègues européens, juge qu'il est faux de croire que toute mesure d'austérité est automatiquement un frein à la croissance.
Priée de dire si la Grèce devait sortir de l'euro, elle estime qu'une telle éventualité ne résoudrait pas les problèmes d'Athènes.
L'Allemagne rejette toute solution de facilité (les euro obligations) de manière décisive, mais estime nécessaire d'entamer des réformes et des investissements ciblés dans la recherche et l'éducation.
C'est pas gagné...
75 millions de jeunes au chomage dans le monde
"Des augmentations importantes du taux de chômge des jeunes ont été observées, particulièrement dans les économies développées et l'Union européenne, en Europe centrale et du Sud-Est (hors UE ), dans la CEI , en Amérique latine, dans les Caraïbes et en Asie du Sud", note l'OIT dans son commentaire. Et en Afrique du Nord, le taux de chômage des jeunes a été dopé par le printemps arabe : il progresse "de près de 5 points de pourcentage entre 2010 et 2011", malgré un taux déjà très élevé dans la région. Mais l'OIT note qu'aucune région du globe n'est épargnée...
la France enfer de la jeunesse
la jeunesse en France est totalement ignorée par les entreprises et les politiques, sans compter les égoïstes de 40-60 ans qui ont voulu cette mondialisation a outrance.
On parle toujours des 15-24 ans, mais jamais de statistiques des 15-35 ans.
Beaucoup de déprime et plus grave encore : Le systeme des retraites va s'écrouler.
La France est le pays le plus taxé au monde. La réussite est honnie donc les jeunes, barrez-vous, allez entreprendre et créer des richesses ailleurs. Il n'y a que la caste des élus qui bénéficie d'un statut de paradis fiscal (indemnités non-imposables) pour les autres c'est l'enfer !
Etre jeune en France comme en Europe du sud, c'est être au chômage à bac +10, c'est passer l'épreuve du permis onéreux qui dure plus d'un an, c'est une impossibilité à se loger convenablement, être proprio est devenue une utopie, atteindre à 30 ans un CDI au SMIC pour les plus chanceux mais de vivre dans 15m2 ou accepter la colocation à vie et en plus sans retraite, stress au boulot avec management qui prône le harcèlement moral et pour éponger les dettes des séniors qui se sont gâvés avec les 30 glorieuses et la générosité à crédit de Mitterrand.
"ouf ! je suis retraité, multipropriétaire et j'ai pu placer mon fiston..."
Un jeune fonctionnaire du ministère des Finances, lassé de constater partout la précarité des « vingtenaires », a voulu comprendre à quel point notre système économique défavorisait la jeunesse. Son constat est accablant : chiffres et exemples à l'appui, il démontre qu'en France toutes les conditions sont réunies pour qu'éclate une guerre des générations qui ne dit pas encore son nom.
Les privilèges des papy-boomers, la banalisation du chômage chez les moins de 30 ans, l'état de servitude que subissent trop souvent les stagiaires, les clichés sur la « bof génération » ou encore les monopoles de la « génération 68 » : l'auteur examine à la loupe des questions qui attestent que la France est en train de revenir à un régime archaïque dans lequel la naissance et le milieu l'emportent sur le mérite ou l'envie de réussir. Mais des mesures sont possibles, urgentes, et ce livre trace les grandes lignes de ce qui pourrait devenir un contrat social équitable entre les générations, pourvu que les politiques aient le courage de s'attaquer aux privilèges de la vraie classe dominante : les plus de 50 ans et les retraités .
la France enfer de la jeunesse
la jeunesse en France est totalement ignorée par les entreprises et les politiques, sans compter les égoïstes de 40-60 ans qui ont voulu cette mondialisation a outrance.
On parle toujours des 15-24 ans, mais jamais de statistiques des 15-35 ans.
Beaucoup de déprime et plus grave encore : Le systeme des retraites va s'écrouler.
La France est le pays le plus taxé au monde. La réussite est honnie donc les jeunes, barrez-vous, allez entreprendre et créer des richesses ailleurs. Il n'y a que la caste des élus qui bénéficie d'un statut de paradis fiscal (indemnités non-imposables) pour les autres c'est l'enfer !
Etre jeune en France comme en Europe du sud, c'est être au chômage à bac +10, c'est passer l'épreuve du permis onéreux qui dure plus d'un an, c'est une impossibilité à se loger convenablement, être proprio est devenue une utopie, atteindre à 30 ans un CDI au SMIC pour les plus chanceux mais de vivre dans 15m2 ou accepter la colocation à vie et en plus sans retraite, stress au boulot avec management qui prône le harcèlement moral et pour éponger les dettes des séniors qui se sont gâvés avec les 30 glorieuses et la générosité à crédit de Mitterrand.
"ouf ! je suis retraité, multipropriétaire et j'ai pu placer mon fiston..."
Un jeune fonctionnaire du ministère des Finances, lassé de constater partout la précarité des « vingtenaires », a voulu comprendre à quel point notre système économique défavorisait la jeunesse. Son constat est accablant : chiffres et exemples à l'appui, il démontre qu'en France toutes les conditions sont réunies pour qu'éclate une guerre des générations qui ne dit pas encore son nom.
Les privilèges des papy-boomers, la banalisation du chômage chez les moins de 30 ans, l'état de servitude que subissent trop souvent les stagiaires, les clichés sur la « bof génération » ou encore les monopoles de la « génération 68 » : l'auteur examine à la loupe des questions qui attestent que la France est en train de revenir à un régime archaïque dans lequel la naissance et le milieu l'emportent sur le mérite ou l'envie de réussir. Mais des mesures sont possibles, urgentes, et ce livre trace les grandes lignes de ce qui pourrait devenir un contrat social équitable entre les générations, pourvu que les politiques aient le courage de s'attaquer aux privilèges de la vraie classe dominante : les plus de 50 ans et les retraités .
Georges Soros le visage de la finance spéculatrice
George Soros et ses potes des Hedge Funds (fonds spéculatifs/ ou d’investissements) qui ont lancé l’offensive sur la Grèce en lui rachetant sa dette à taux exorbitant.
La Grèce n’y est pour rien, ni les autres pays qui ont été attaqués par les Hedge Funds anglo-saxons.
George Soros est l’adversaire , il a un nom et un visage. Et il n’en est pas à son premier coup !
Je cite Wikipedia:
« George Soros a été critiqué pour avoir spéculé contre les bandes de fluctuation du SME (Système monétaire européen), qu’il critiquait comme enrichissant mécaniquement la spéculation et l’encourageant. Les bandes de fluctuations ont été élargies en juillet 1993, à 15% contre 2,25%, suite à ces spéculations, qui ont valu à Georges Soros un ressentiment important de la part de tous les partisans français du « franc fort », ainsi qu’en Grande-Bretagne, où il avait auparavant spéculé contre la livre.
Condamné pour délit d’initié dans l’affaire de la Société générale qui avait vu le gouvernement socialiste de la fin des années 1980 fermer les yeux sur la tentative d’OPA menée par Georges Pebereau et Robert Lyon, président de la Caisse des Dépôts, sur une banque privée, Soros s’est pourvu en cassation.
Ses détracteurs critiquent le rôle joué par Soros à travers son fonds d’investissement Quantum Fund, domicilié à Curaçao (Antilles néerlandaises) — un paradis fiscal régulièrement dénoncé par le Groupe d’action financière sur le blanchiment de capitaux (GAFI), qui regroupe plusieurs gouvernements, comme étant l’un des plus importants centres de blanchiment d’argent issu du narcotrafic. En opérant à partir de Curaçao, Soros n’a pas uniquement évité de payer des impôts, mais il a aussi caché la nature de ses investisseurs et l’utilisation de leur argent. Pour autant, aucune accusation de blanchiment n’a jamais été formulée contre lui. »
La méthode infernale
Il « suffit » que les acteurs financiers s’entendent, après avoir investit dans des titres types CDS, pour mettre en masse sur le marché les obligation d’un État pour que celui coule. C’est un mécanisme très simple d’offre et de demande. Si la dette grecque n’est pas en « vente » massivement sur le marché, cela signifie qu’elle se porte bien et que le pays peut donc emprunter à bas coup. Si d’un coup d’un seul, des acteurs se mettent à vendre toutes leurs créances grecques, c’est un signal envoyé au marché. La Grèce ne vaut plus rien, personne ne veut de sa dette, le coût de l’emprunt pour le pays grimpe fortement et le précipite dans une spirale infernale.
Pour peu que vous ayez « investit » dans quelques titres vous prémunissant d’un défaut de paiement, dans de l’or, du franc suisse, tout ce que vous voulez en valeur refuge, tous les cours de ces valeurs bondissent, et vous spéculez ainsi sur chacun de vos « investissements » pour vous faire quelques milliards. Le malheur des uns, fait le bonheur des autres.
Concernant l’euro, le terrain est très favorable à ce genre de petit jeu tant l’économie de la zone euro est intégrée. La Grèce va probablement déclencher un effet domino qui profitera à tous ceux qui ont orchestré la descente aux enfers de l’euro.
Bank Run en Espagne et en Grèce : la fin du système euro ?
Le Bank run à l’Anglo-saxonne qualifie la course à laquelle se livrent les déposants d’une Banque qui, craignant qu’elle dépose son bilan et ferme, veulent récupérer leurs dépôts, sous toutes formes. L’histoire de la Grande Crise (celle de 1929) est souvent illustrée par ces photos de queues interminables dans les rues des villes américaines, anglaises mais aussi françaises, allemandes etc.

Mais tout çà, c’était le passé ! L’époque de l’obscurantisme financier et bancaire. Tout çà c’était fini et ne pouvait plus exister. En tout cas, c’était la conviction de nombre de spécialistes de la Banque. Jusqu’au jour, où….
L’inquiétude en Zone Euro est bien installée, d’ailleurs les places boursières du monde entier ont les yeux rivés sur l’état de santé économique du vieux continent. Et pour cause, la sortie de la Grèce de l’Union européenne est alarmante, une éventualité si les partis anti-austérité s’imposent lors du vote du 17 juin prochain.
Cela constituerait un arrêt ferme des aides européennes et le dur retour à la monnaie grecque, la drachme (une perte estimée à 50 milliards d’€ pour l’Etat français selon l’ancien ministre de l’économie François Baroin).
Cette perspective pousse les épargnants à prendre possession de leur épargne en euros. Ainsi, prêt d’un milliard d’€ aurait été retiré par les particuliers grecs de leurs comptes bancaires, en seulement cinq jours.
De l’autre côté de l’Europe, la situation est similaire en Espagne. Engluées, dans la crise immobilière, l’agence de notation Moody’s a abaissé jeudi les notes de 16 banques espagnoles. Il faut avouer que le montant des créances douteuses atteignait en mars le médiocre record de 148 milliards d’€.
Ainsi, l’Espagne fait également face à une ruée des clients aux guichets de leurs banques. Pour l’heure, une information démentie par le gouvernement espagnol. Néanmoins, le quotidien "El Mundo" relayait hier dans ses colonnes, un retrait colossal d’un milliard d’€ de la banque Espagnole Bankia, nationalisée la semaine dernière sous le poids de ses dettes.
my bankster is not rich !
le début de la fin
Les autorités seraient en train d'étudier un projet de gel des retraits bancaires à 1000 euros par mois et par personne. Mais le mettre en place serait annoncer la faillite du système bancaire et les gens se battront pour sauver leurs économies. Une vraie catastrophe.
"Le rapprochement rapide des taux à court terme avec les taux à long terme est le symptôme indubitable d’une crise de liquidité."
Ce rapprochement rapide des taux à court terme avec les taux à long terme indique aussi un manque de confiance croissant des investisseurs dans la capacité de l’espagne à rembourser ses dettes à court terme. Rappelons par ailleurs au passage que l’on considère généralement que des taux supérieurs à 6 ou 7% ne sont pas supportables...
Anonymous et les étudiants du Quebec en guerre contre l' austérité
Le gouvernement Canadien veut faire interdire des manifestations étudiantes. Les Anonymous répondent en lançant des attaques informatiques !
Plusieurs sites du gouvernement Canadien (mels.gouv.qc.ca, gouv.qc.ca) ne répondent plus aux demandes des internautes. La raison, des attaques numériques de types DDoS (Dénis Distribués de Services) lançées par des Anonymous.
"Le Gouvernement du Québec assassine le droit de manifester en adoptant une loi d'urgence visant à faire taire les manifestations contre la hausse des droits de scolarité. expliquent les hacktivistes. Gouvernement du Québec, vous êtes prévenu !". Les actions menées par les citoyens du Québec sont légitimes et justifiées. Le peuple du Québec a le droit de protester contre l'augmentation démesurée des droits de scolarité. Nous vous demandons de laisser le peuple québécois dire ce qu'il souhaite vous faire entendre."
Plusieurs sites du gouvernement Canadien (mels.gouv.qc.ca, gouv.qc.ca) ne répondent plus aux demandes des internautes. La raison, des attaques numériques de types DDoS (Dénis Distribués de Services) lançées par des Anonymous.
"Le Gouvernement du Québec assassine le droit de manifester en adoptant une loi d'urgence visant à faire taire les manifestations contre la hausse des droits de scolarité. expliquent les hacktivistes. Gouvernement du Québec, vous êtes prévenu !". Les actions menées par les citoyens du Québec sont légitimes et justifiées. Le peuple du Québec a le droit de protester contre l'augmentation démesurée des droits de scolarité. Nous vous demandons de laisser le peuple québécois dire ce qu'il souhaite vous faire entendre."