mardi 15 mai 2012

Effondrement traumatisant de l' Economie Mondiale en cours

Un sinistre rapport, daté d'aujourd'hui et émis par le ministère des Finances russe, est en circulation au Kremlin à propos du système de paiement interbancaire américain, le Clearing House Interbank of Paiement System (CHIPS). Ce rapport précise qu'un important effondrement économique mondial est actuellement en cours et pourrait très bien entrer dans une redoutable "zone de chute libre."




Pratiquement inconnue de tous, sauf de l'élite financière mondiale, le CHIPS est la principale maison privée de compensation des grosses opérations aux Etats-Unis, qui gère le transfert de plus de 1 milliard de dollars par jour au travers des 250.000 paiements interbancaires qui, avec le Fedwire Funds Service, exploité par la Fed, constitue le principal réseau américain au niveau international (96% du trafic mondial) des paiements en dollars américains.


D'après ce rapport, la cause sous-jacente de l'effondrement du CHIPS, est due à une demande "sans précédent" dans le cadre du soulagement en liquidité immédiate demandée par les principales banques de l'Union Européenne et les États-Unis.  Écrasées par la dette combinée des USA et les pays européens, dont le total avoisine les 39 000 milliards de dollars...


Il est important de noter que ce qui se passe actuellement est une répétition virtuelle de la crise financière de 2008 aux États-Unis. Carl Levin (libéral) et Tom Coburn (conservateur) du Sénat américain signalent que ce "n'est pas un désastre déclenché naturellement, mais le résultat d'un risque élevé, de produits financiers complexes, de conflits d'intérêts non divulgués, de l'échec des régulateurs et des agences de notation de crédit, et le marché lui-même qui ne parvient pas à freiner les excès de Wall Street".


« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. 


Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques  priveront les gens de  toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession,  jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis » 
 Thomas Jefferson (1802), 3ème président des Etats-Unis.


Dans un monde occidental dépourvu de toute moralité, et sans les connaissances des anciens, il est hors de doute que cet effondrement économique à venir les prendra par surprise complète (comme la dernière l'a fait) ; comme ils ont été formés comme des esclaves obéissant seulement à l'adhésion de ces voix les menant à leur perte.
Mais pour ceux qui connaissent la vérité, le temps tire à sa fin pour se préparer ... cela va venir beaucoup plus tôt que n'importe qui puisse le croire.


ruine et guerre mondiale
Avant la fin de l'année, le dollar s'écroulera et avec lui l'économie mondiale. Des guerres sont en préparation. Le Pakistan sera frappé avant la fin de l'année. 
Si l'Iran est frappé, la Chine entrera en guerre contre les USA et toute la région s'embrasera. Les américains n'ont nullement besoin de l'Afghanistan, ils l'utiliseront juste pour envahir le Pakistan et lui ôter son arsenal nucléaire. L'Egypte aussi sera attaquée. C'est pour préparer cette guerre que la Libye avait été attaquée. Un front d'attaque qui facilitera l'invasion par le Sinaï, la mer et la Libye.


Alors, fantasme ou réalité ?
la vérité se lira sur les visages de nos dirigeants...

Quel scénario pour la crise nucléaire avec l'Iran ?

Des sanctions qui font mal
L'Iran est dans une situation économique difficile. La grande majorité des pays importateurs de pétrole respectent l'embargo sur le pétrole. Et c'est de loin la principale ressource du pays. On a appris cette semaine que l'Iran offrait des conditions exceptionnelles de crédit sur ses ventes de pétrole, mais il y a  peu d'intéressés. L'embargo est respecté et il fonctionne. Mais ce ne sera pas suffisant pour faire plier l'Iran.


Quel scénario ?


Scénario 1 : L'État d'Israël n'attaque pas l'Iran. La seule raison qui justifirait cela serait la preuve incontestable que l'Iran ne développe pas d'armement nucléaire. 
Ni l'ONU, l'OTAN ou l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ne peuvent prouver que les "craintes" d'Israël sont fondées ou pas. 


Scénario 2 : Israël exerce des pressions sur la communauté internationale afin de faire le sale travail: détruire les infrastructures de la production de l'armement nucléaire. Le problème, c'est que la communauté internationale est en pleine crise économique. Personne dans la communauté internationale a les moyens de se lancer dans un conflit conventionel,et si un tel conflit éclate, le monde arabe deviendra une zone de conflits incontrôlable. 
Les risques de représailles sévères contre le territoire Israëlien deviendraient très élevés. Pendant ce temps L'Iran développerait ses bombes nucléaires, décision qui serait justifiée par...la légitime défense.


 À ce moment, nous aurions deux États antagonistes munis d'armes de destructions massives, tout pourrait arriver, y compris l'impensable.
 Même si l'Iran faisait parvenir à Israël des demandes "raisonnables" : reconnaissance de l'État palestinien et cessation de la colonisation, cela seraot toujours qualifié d' "innaceptable" pour Israël. 


Scénario 3 : Attaques cybernétiques afin de détruire la chaîne de production nucléaire. Cela aurait déjà été tenté avec un certain taux de réussite, mais le programme d'enrichissement continue alors... retour à la case départ.


Scénario 4 : Israël attaque l'Iran de façon conventionnelle. Cela implique des pertes de vies importantes, un chaos total et un risque d'Alliance pro-Iranienne dans le monde arabe (Hezbollah etc.) 


Scénario 5 : Israël attaque Téhéran avec des armes de destructions massives pour décapiter le gouvernement et l'appareil militaire. Israël prends le risque de cette attaque en pensant que personne dans le monde arabe ne peut riposter et que les autres puissances nucléaires n'oseront pas une riposte par crainte d'une escalade du conflit. La seule façon pour que ce plan puisse fonctionner c'est par une frappe dans un très bref délai. 


La paix
La seule solution serait de faire un espèce de "Camp David" et que Netanyahu-Ahmadinejad ne sortent de là qu'avec un accord concret. 
Est-ce que l'humanité va accepter d'être l'otage de ses deux individus qui nous mènent tout droit à la catastrophe ?

Pourquoi la sortie de la Grèce de la zone Euro est inéluctable





Evasion fiscale en hausse
Le problème, c’est que le succès des plans de rigueur proposés repose sur des rentrées fiscales à taux pleins… Or l’évasion fiscale se substitue à la fraude, avec la bénédiction implicite de l’Europe au nom de la libre circulation des biens et des personnes et de la liberté d’établissement. Les avions d’Athènes à Sofia (Bulgarie) sont de plus en plus remplis, des affiches en grec ont fait leur apparition dans les agences immobilières. 
Les entreprises de Builgarie font des prévisions de vente à la hausse, surtout pour les segments du haut de gamme.


Effondrement des revenus
Baisser les salaires sans baisser les loyers, tout en baissant les intérêts partout sauf chez ceux qui doivent emprunter parce qu’ils ne parviennent pas à rembourser…
Réduire les revenus du travail sans réduire les revenus du capital immobilier tout en réduisant les revenus des créanciers en augmentant la valeur de leur créance pour faire ensuite défaut…
Les Grecs voient leurs salaires se réduire comme peau de chagrin, alors lorsqu’on les menaces du pire s’ils quittent l’union européenne, ils considèrent qu’ils n’ont plus rien à perdre. 600, 400, peut-être bientôt 200 euros de revenus, que se soit au sein de l’europe ou en dehors. 
Alors autant tout casser et voir ce que cela donne !


Panique bancaire (bank run)
Les retraits bancaires sont aussi phénoménaux, en l’espace de deux ans (2010-2012), lesquels retraits contribuent à alimenter la fuite des capitaux vers ces cieux étoilés, chypriotes, suisses, bulgares ou autres :
« Toutefois, les pertes de liquidités pour les banques ayant résulté des retraits de dépôts sont considérables, les dépôts bancaires totalisant en mars 2010, soit exactement deux ans plus tôt, 228 milliards d’euros, soit un écart d’environ 63 milliards d’euros. »


Si on suit le même ratio, avec 228 milliards de dépôts, on atteindrait alors une fuite de capitaux de -32,5% …
En même temps, cette fuite des capitaux ne date pas d’hier, comme le fait remarqué Tsipras de la Syriza (Front de gauche grec). 
Il est clair donc que si ce mouvement se poursuit, une crise de liquidité viendra étayer la crise de solvabilité en Grèce, avec un risque de Bank Run généralisé.
En fait, la fuite des capitaux actuelle est surtout celle de ceux qui peuvent fuir le système bancaire grec et qui ont déjà fuit. Le reste, les dépôts des ménages, est encore dans le système. 
Et c’est bien là tout le problème : depuis 2 ans que la crise financière a explosé en Grèce, aucune restriction de mouvement de capitaux n’est intervenue.
On est donc en plein dans le coeur du réacteur libéral : liberté totale de circulation des capitaux.


Une armée très couteuse
Autre particularité de la Grèce, ses dépenses d’armement qui la placent en 22ème position mondiale (selon la CIA) entre la Chine et les USA avec 4,30% de son PIB.


Pour mémoire, la France est 54ème (2,60% du PIB) et, plus amusant, le grand satan du moment, l’Iran, en 62ème position (2,5%), juste avant la Croatie et le Sierra Leone… ça laisse songeur…


Christine Lagarde, si heureuse qu’elle était en tant que ministre de pouvoir affirmer triomphalement que la France avait conditionné son aide à la Grèce sous réserve du maintien des contrats d’armement. 


Des eurocrates bornés
C’est désolant, indigne, honteux ! Non seulement nous imposons aux Grecs un régime inhumain mais en outre il est absolument impossible que l’objectif qui le « justifie » soit atteint !
Nous prétendons sauver la Grèce, c’est une imposture. C’est l’euro que nous tentons désespérément de sauver. Et ce sera en vain. Seule l’idéologie, en l’occurrence l’idéologie européiste, peut être source d’un tel aveuglement…