mercredi 7 mars 2012

Le CAC 40 au bord d'un nouveau crack ?

 13 avril 2012
Bourse : vers une rechute brutale ?


Passé le week end pascal, les places boursières en Europe ont toutes dévissé de 2,5 à 5 %, les taux obligataires italiens ou espagnols sont repartis à la hausse. Le résultat de cette panique est en passe d' annuler "l'effet BCE" (achat de titres obligataires pour faire baisser les taux). 




Pour Olivier Delamarche, gérant de Platinium gestion, le CAC 40 descendra à 2000 points.


Nombreux sont ceux qui se sont interrogés ces dernières semaines sur la fin de la crise. Était-elle « réglée » ? Il faut sortir de cette logique simpliste. On ne « règle » pas une crise d’une telle ampleur. Les pays européens font face aujourd’hui à une crise de surendettement publique, c’est-à-dire d’inadéquation structurelle entre les dépenses publiques et ce que leur économie est capable de délivrer en termes de croissance et donc de recettes fiscales. On ne s’en sortira donc durablement que lorsque des politiques de croissance auront été instaurées et produiront leurs effets, et quand nos État (y compris la sécurité sociale) auront été réformés pour être plus efficaces et moins coûteux. Le CAC 40 chute de 3% en raison d'une émission obligataire de l' Espagne qui s'est mal passée.


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4 avril 2012
La Bourse de Paris a accusé le coup, tétanisée, comme les autres places européennes, par l'échec d'une émission obligataire de l' Espagne qui a levé le minimum pour des taux en hausse.
L'activité privée a continué de se contracter en mars dans la zone euro, traduisant un retour en récession au premier trimestre, selon une deuxième estimation mercredi de l'indice PMI des directeurs d'achats.


Toutefois, de fortes disparités nationales subsistent: l'Italie et l'Espagne sont fermement ancrées en récession en mars. En Allemagne, la croissance ralentit et affiche son plus bas niveau depuis trois mois et en France, l'activité se replie pour la première fois depuis quatre mois.


Le dossier espagnol a aussi pesé sur les échanges après l'échec d'une émission obligataire qui s'est faite à des taux d'emprunt en forte hausse.


Vu la situation économique très difficile du pays, "les investisseurs doutent que Madrid puisse respecter son objectif de déficit à 5,3% du PIB cette année", a commenté Duarte Caldas d'IG Markets.


Outre-Atlantique, le ralentissement des embauches dans le secteur privé en mars a peu joué sur la tendance, les intervenants attendant malgré tout avec un certain optimisme le rapport officiel sur l'emploi, vendredi.


La hausse de l'activité dans les services aux Etats-Unis a ralenti en mars, mais il s'agit tout de même du 27e mois consécutif d'expansion du secteur, sachant que le seuil des 50 points marque la frontière entre croissance et contraction de l'activité.


Toutes les valeurs du CAC 40 ont terminé dans le rouge.


                      
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7 mars 2012


CRACK 40


En chutant de manière sévère le 6 mars, le CAC 40 ranime les peurs de récession en France .


Et tout cela ne serait qu’une baisse conjoncturelle et passagère après que la BCE ait inondé de liquidités le système. 


De qui se moque t-on? Franchement vous connaissez beaucoup de scéances de consolidation à plus de 3% de baisse?
                                   à chaque fois on s'endette, et à chaque fois ça retombe...


D’une part les distributions massives de liquidités par les banques centrales ne permettent pas le redémarrage de l’investissement, car on n’investit pas dans un contexte recessif. Donc la monnaie de singe alimente la spéculation, c’est ce qui fait exploser le prix du baril de pétrole et qui alimente les scéances de hausse sans fondement des bourses.


D’autre part la situation économique continue à se dégrader. Des banques sont au bord de l’implosion, la Grèce, l’Espagne, La Californie, les crédits à la consommation des ménages américains, autant de motifs de crise systémique, alors à moindre rumeur, c’est le grand plongeon.


Résultat, des variations de cotations incroyables dans une même journée.


Et donc pour nos petits sous? Dans un contexte comme celui ci on peut prendre le train de la spéculation,  certains réalisent d’ailleurs des enrichessements fabuleux. 

Aux USA la crise a jété un nombres croissant d'américains dans des camps de SDF



Les USA comptent plus de 10 millions de sans emplois, soit 3 millions de plus que lorsque Barack Obama a pris les rènes de la maison blanche .

Les analystes américains de la situation sociale évaluent à près de 5 000 le nombre de citoyens contraints par la crise d'aller vivre dans des tentes au sein de camps de SDF éparpillés au quatres coins des Etats-Unis, on en dénombre 55. 


Le plus important s'apelle « Pinella Hope », en Floride, dans la zone plus connue comme le siège de Disney World. Une organisation catholique offre quelques services à ces habitants, tels que des machines à laver, des ordinateurs, des téléphones, etc. 
                                   règlement de "pinellas hope"


Beaucoup de campements sont organisés et tiennent des réunions pour se distribuer les travaux communautaires. Pour certains, avec peu de perspectives de trouver du travail, les tentes sont devenues leurs logements semi-permanents. Plusieurs de ces personnes jusqu'à il y a peu avaient des vies confortables, typiques de la classe moyenne US. Maintenant elles dorment sur des oreillers aussi mouillés que leurs couvre-lits, en hiver alors que les températures baissent sont nettement en dessous sous zéro. « Toutes les nuits, au moment de dormir, nous mettons littéralement nos têtes dans l'humidité » a dit à la BBC, Alana Gehringer, habitante d'un campement de l'état de Michigan. 


Ce regroupement de 20 tentes s'est formé dans un bois sur au bord d'une route, dans les environs de la ville « Ann Arbor ». Ils n'ont pas de toilettes, ils disposent seulement d'électricité dans la tente communautaire où les habitants se réunissent autour d'un poêle à bois pour échapper au froid. Et malgré cela chaque fois il y a plus de personnes qui vivent ainsi. La police, les hôpitaux et les hébergements publics demandent fréquemment s'ils peuvent envoyer plus de gens à vivre là. « Avant-hier soir par exemple, nous recevons un appel en nous disant qu'il y avait six personnes qui n'avaient pas de place dans le foyer. Nous recevons autour de 9 à 10 appels de ce type par nuit » dit Brian Durance, l'un des organisateurs du campement. 


La réalité des réfugiés de la Floride et du Michigan est la même dans plusieurs endroits. Lundi Obama a rendu public le plan d'augmentation des impôts pour les riches « Nous voulons que tous aient des opportunités justes ». Le président US a mentionné ceux qui « luttent pour entrer dans la classe moyenne ». A « Pinella Hope », à « Ann Arbor » et dans d'autres dizaines de lieux du pays, en plus de ceux qui veulent entrer dans la classe moyenne, il y-a ceux qui en furent expulsés par la crise et veulent revenir.


source : news.bbc.co

Syrie : l' Armée Syrienne Libre en fuite au Liban



En Syrie , Bachar al-Assad n'en démord pas : il combat le terrorisme et Al Quaïda . En outre il accuse l' occident d' ètre derrière le soutiens à l' ASL ( armée syrienne libre ). 
La reprises des enclaves révoltées se poursuit à Rastan, entre la ville de Homs et de Hama. L' armée régulière syrienne combat également dans la localité de Deraa, près de la frontière avec la Jordanie. 
Partout en Syrie , bashar El Assad semble faire refluer l'insurrection armée.
De plus en plus de médias rapportent même que des agents français seraient retenus prisonniers par l'armée syrienne .


A Homs, l’aide humanitaire – un convoi de sept camions – est toujours bloquée aux portes de Bab Amr, quatre jours après la fin des combats, mais CICR et Croissant-Rouge syrien ont pu procéder lundi à des distributions dans le secteur voisin d’Inchaat. A Bab Amr, toutefois, les habitants reviennent, le plus souvent pour découvrir leurs habitations détruites : l’agence Sana évoque l’action des « services compétents » pour la remise en état le plus rapide possible des services et installations du quartier, et déblayer les rues. 


L’oléoduc qui passe à proximité de Bab Amr et qui avait été saboté par les opposants a été remis en état. Les autorités affirment avoir découvert dans le quartier un « laboratoire » voué à la fabrications d’armes, qui contenait en outre un avion de reconnaissance de type israélien !


L’ASL se réfugie au Nord-Liban


Mais le fait militaire dominant de ces dernières 48 heures, c’est ce qui se passe entre la ville d’al-Qusayr (20 kilomètres environ au sud-ouest de Homs) et la frontière libanaise, distante d’une grosse dizaine de kilomètres d’al-Qusayr : selon l’OSDH, des groupes de « civils » et de « blessés » fuyant la répression à Homs et dans sa région ont été pilonnés mardi 6 mars par les forces syriennes, dans le village de Rablé, alors qu’ils empruntaient un pont conduisant à la frontière libanaise, sur le fleuve Oronte. Une autre source opposante de Homs précise qu’il s’agit du pont qu’ont emprunté voici quelques jours les journalistes français Edith Bouvier et William Daniels et leurs accompagnateurs. Selon les mêmes sources partisanes, confirmées toutefois le 6 mars par le HCR, de 1 500 à 2 000 personnes ont déjà utilisé ce pont depuis le week-end dernier pour se réfugier au Liban. Il semble que les forces syriennes aient décidé de fermer ce passage.


Car soyons clairs : en fait de « civils« , ce sont bien les débris des bandes ASL chassées de Homs puis d’al-Qusayr qui utilisent cet itinéraire de fuite. Sans doute avec des familles, des civils compromis. Mais ce sont d’abord des combattants qui tentent, avec armes et bagages, de fuir au Liban après leur défaite militaire. On a écrit ici que la chute de Bab Amr représentait un tournant dans cette sanglante guerre sans nom. Ayant, dans une large mesure, éteint les incendies de Hama, de Homs, de Rastan – où l’on signale toutefois, de source opposante, des combats ce mardi -, et maintenant d’al-Qusayr, ayant, ou étant en train de nettoyer une autre portion de la frontière libanaise, du côté de Damas, entre Zabadani et Yabroud, l’armée syrienne a, on peut le dire, « cassé les reins » de l’ASL, expulsée des principaux centres urbains, notamment ceux de l’axe Damas-Alep. L’exode en cours du côté d’Al-Qusayr serait la suite logique de cet effondrement militaire ASL.


On ne doit pas oublier que, suite à des accord bilatéraux, l’armée libanaise s’est redéployée le long de sa frontière avec la Syrie, pour empêcher ou gêner les flux d’armes et d’hommes à destination du pays voisin. Ce contrôle, parallèle au renforcement des positions syriennes, n’a pu que précariser les lignes de ravitaillement de ces groupes armés, même si le filet ne peut être complètement étanche, vu la longueur de cette frontière, et le caractère montagneux d’une partie importante de celle-ci. L’offensive, ou plutôt les offensives de l’armée syrienne ont fait semble-t-il le reste. On verra comment l’armée libanaise, mais aussi le Hezbollah, puissant dans cette partie orientale du Liban, contrôleront ces « réfugiés » : les Libanais, quelles que soient leur tendance, ne voudront certainement pas que l’ASL se constitue un petit sanctuaire sur leur territoire.


Etouffer et réduire


Du côté de Deraa, d’autres opérations sont en cours, notamment à Hirak (à une vingtaine de kilomètres au nord-est de Deraa), impliquant des effectifs importants. Enfin on sait que les militaires syriens ont renforcé leur surveillance de la frontière turque, autre grand secteur d’infiltration des groupes ASL. Etouffer logistiquement et détruire ces bandes, c’est la stratégie suivie par le gouvernement syrien, avec un certain succès semble-t-il.


Bien sûr; et malheureusement, la Syrie n’en a pas fini avec la violence : traquées, pas coordonnées, en rupture de munitions, les bandes de l’ASL demeurent sans doute encore assez fortes pour entretenir quelque temps encore une insécurité sporadique. Et puis, encore une fois, il y a des groupes armés qui ne relèvent pas de l’ASL, mais plutôt de tendances ultra religieuses, et notamment d’al-Qaïda, et qui s’infiltreraient ou se renforceraient depuis l’Irak. Mais nous croyons que dans la partie de la Syrie que nous avons évoquée plus haut, leur capacité stratégique – déjà pas évidente auparavant du fait de l’absence de véritable coordination stratégique – a été réduite à bien peu de choses. Et sur le plan politique, leurs exactions – qui visaient autant des civils que des militaires -, le mal qu’elle ont fait notamment à Homs, les ont, on peut le penser, décrédibilisé auprès de la frange de la population séduite par les sirènes de l’opposition radicale, au moins une partie d’entre elle : vivre pendant des semaines à l’heure et  sous la coupe de bandes armées à fort recrutement étranger et à orientation islamiste, voire carrément salafiste ou wahhabite, n’a rien de plaisant, même pour des opposants à Bachar al-Assad !


Le CNS d’Alain Juppé et d’Hillary Clinton va, lui, continuer à publier des communiqués vengeurs, comme l’OSDH des bilans partisans : mais le bras armé de ces messieurs semble cassé.


source : infosyrie.fr

Israel a autant d'ogives nucléaires que la Grande Bretagne ou la France



Depuis qu' Israel s'est dotée de l'arme nucléaire au début des années 60, Tel Aviv nie "officiellement" détenir un arsenal nucléaire. 
En Israel, les citoyens qui relayent ce fait "officieux" sont trainés devant les tribunaux.


D'après le groupe de recherche IHS Jane's , spécialisé dans la collecte d'informations militaires, Tsahal possède 100 à 300 ogives nucléaires, ce qui place l'Etat hébreu sur le même rang que la France et la Grande-Bretagne.


L'armée de défense d'Israël disposerait de 200 ogives nucléaires, indique un article publié mardi par des experts de l'Institut international d'études stratégiques de Londres (IISS). 


Selon IHS Jane's, des ogives nucléaires seraient également installées sur les missiles balistiques Jericho III. Avec une portée supérieure à 7.000 km, ces derniers sont capables de détruire des cibles en Europe et en Asie, y compris en Iran.


Selon les experts, ces ogives peuvent équiper les missiles balistiques intercontinentaux Jericho I, ainsi que les missiles de portée intermédiaire Jericho II.


Israel, selon certains analystes sera à plus ou moins long terme obligé de " déporter" les arabes israeliens et les Palestiniens apatrides hors de ses frontières ( hors des frontières de 1948, mais aussi hors des territoires occupés depuis 1967). 


Dans la cas où l' Europe s’opposerait activement à une telle solution, Tel-Aviv, pour assurer son existence, n'aurait alors d'autre alternative que de menacer  certaines capitales européennes du feu nucléaire, vu que l' Europe serait dans l'incapacité de riposter sans éliminer massivement les Palestiniens.


source : fr.rian.ru
                     alterinfo.net

Multiplication des SDF en Espagne : 1500 euro d'amende pour mendicité



La nouvelle loi anti-mendicité approuvée par la Ville de Valladolid a rouvert le débat public sur les sans abris en Espagne .
Une amende de 1.500 euro pour mendicité est-ce la meilleure solution pour mettre fin aux 30.000 personnes sans-abri en Espagne qui peinent à survivre ?


La Ville d' Alicante a approuvé en 2011 , l'ordonnance sur mendicité et la prostitution dans les lieux publics avec des sanctions allant de 750 à 3.000 euros. Le ministère de la Sécurité publique, a défendu l'ordonnance municipale.


Valladolid est la dernière ville d' Espagne a adopter ce genre de mesures, Barcelone a été la première.
Depuis 2006, la mendicité organisée qualifiée d' "arrogante, intrusive , agressive  ou organisée." se verra infliger des sanctions financières allant de € 120 à ceux qui entravent la circulation, et jusqu'à 3000 euro pour les femmes qui mendient dans la rue avec leurs enfants.




A Oviedo, des peines plus légères
La ville permet l'activité des musiciens et des artistes de rue, mais interdit la mendicité qu'elle réprime avec des peines légères , assorties d'incitations à se rendre dans les services sociaux.




Carthagène, un application plus répressive
La ville de Carthagène a une ordonnance qui interdit expressément la mendicité dans les rues. La loi interdit également la vente de tissus ou de services non autorisés comme le nettoyage des pare-brise des voitures, en échange d'argent. 
la police locale poursuit en particulier les enfants qui mendient , et dans ce cas, les sanctions sont plus dures. Parfois, les parents peuvent perdre la garde des enfants surpris à mendier.


source : abc.es

Défaut de la Grèce : Des fonds de pension grecs refusent l'accord volontaire

Ils sont cinq modestes fonds de pension en Grèce , et ils ont dit non au défaut "négocié" de leur pays.


La décote "volontaire" visant à radier 50% de la dette de la Grèce détenue par le secteur privé, indispensable pour empécher Athènes d'ètre déclaré en "défaut chaotique" (ce qui causerait l'activation des assurances sur le défaut obligataire CDS).


 Ces cinq fonds, qui représentent les journalistes, la police et les auto-entrepreneurs, détiennent environ 2 milliards d'euros d'obligations grecques, soit quelque 1% des titres du pays dans les mains des créanciers privés du pays, selon la presse.


En revanche, une demi-douzaine d'autres petits fonds de pension détenant environ 2,7 milliards d'euros d'obligations grecs ont déjà indiqué qu'ils participeront à l'opération. Deux autres petits fonds de pension possédant 1,7 milliard de papier grec doivent encore se prononcer ce mercredi.


Les poids lourds sont d'accord


Les poids lourds de la finance européenne ont pour leur part annoncé dès lundi soir leur accord: les trois banques allemandes Allianz, Commerzbank, Deutsche Bank, les groupes français Axa, BNP Paribas, CNP Assurances, la néerlandaise ING Bank, l'Italienne Intesa San Paolo, les trois banques grecques Alpha Bank, Eurobank EFG et Banque Nationale de Grèce (BNG), ainsi que le fonds américain Greylock Capital Management.


Face aux craintes des investisseurs, la Grèce a essayé de mettre la pression mardi sur ses créanciers privés en adoptant un texte prévenant les banques et fonds qu'elle pourrait recourir à des clauses d'action collective (CAC) lui permettant de contraindre les créanciers rétifs à suivre le mouvement. Les banques, les fonds spéculatifs et de pension et autres compagnies d'assurance détenant des obligations souveraines grecques ont jusqu'à jeudi 20H00 GMT pour dire si oui ou non elles participent à l'opération d'échange d'obligations, une sorte de faillite contrôlée, inédite par son ampleur dans l'histoire financière.


Ce renoncement est une condition essentielle du second plan de sauvetage international destiné à éviter la banqueroute à Athènes courant mars, date à laquelle le pays doit rembourser 14,4 milliards d'euros. Mais l'opération, qui vise à sortir la Grèce du surendettement en effaçant quelque 107 milliards d'euros de dette sur les plus de 350 milliards de dette actuelle, doit être volontaire pour réussir. Le gouvernement grec vise entre 75 et 90% de taux d'acceptation. Les investisseurs craignent un éventuel défaut de paiement désordonné du pays si un grand nombre de créanciers privés ne prend pas part à cet échange.


source : latribune.fr