vendredi 2 mars 2012

La France ramène au bercail ses barbouzes infiltrés en Syrie parmis les journalistes

                                                               heu...on a un problème là !


En Syrie, des hauts gradés ainsi que des spécialistes du renseignement militaire des services français, dont un certain nombre sous fausse identité de reporter, entrainent les rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL). La totalité d'entre eux sont entré clanddestinement en territoire Syrien.


L’ambassadeur de France à Beyrouth, Denis Pietton, a officiellement visité la semaine dernière la région de Baalbeck, à l’Est du Liban. En réalité, il a voyagé avec une équipe sécuritaire française dans le Nord de la Békaa, région frontalière limitrophe de la province syrienne de Homs.


L’ambassadeur Denis Pietton et ses hôtes ont récupéré à un point de passage illégal des agents des services de renseignement français fuyant l’Émirat islamique de Baba Amr où ils dispensaient leur savoir-faire en matière de combat urbain.


En vertu de la Convention de Vienne, les voitures diplomatiques ne peuvent être perquisitionnées. Le convoi a donc pu ramener les agents français à l’ambassade sans que la police libanaise puisse intervenir.


Avec toute l’arrogance de l’ancienne puissance mandataire, l’ambassadeur de France s’était, une fois de plus, publiquement ingéré dans les affaires libanaises en déclarant le 23 février dernier à nos confrères du Daily Star : « Le Liban devrait rester à l’écart des troubles en Syrie ».


voltairenet.org

Après la Grèce et le Portugal, c'est au tour de l'Espagne de rater l'objectif budgétaire de Bruxelles

                                         en Espagne comme en Grèce on maudit l'Allemagne


Les derniers chiffres macro économiques du Portugal, ont jeté un froid sur Bruxelles, c'est désormais avec l'Espagne le troisième pays de l' Euro du sud qui rate les objectifs budgétaires promis.


Pourtant l'Espagne a été un élève modèle en sabrant dans les pensions, salaires, allocations etc... Il faut croire que ce n'est pas suffisant.


Le premier ministre de l'Espagne, Mariano Rajoy, annonce que le déficit 2012 sera de 5,8% du PIB au lieu de 4,4%.
Il s'est déplacé au conseil de l'Europe pour plaider pour un objectif budgétaire plus souple. Son annonce a jeté un froid...


Le Premier ministre, Mariano Rajoy , a déclaré au Conseil européen, qui a signé le pacte de stabilité et de croissance que «le déficit est de 5,8%" cette année. Ceci étant du à la baisse de 1,7% du PIB en 2012.


Rajoy a expliqué "vouloir respecter les procédures et les engagements promis à l'UE", même si l'objectif final est de 1,4 points de PIB plus élevé que l'engagement initial de l'Espagne de ne pas dépasser 4,4%.


Le Premier ministre a justifié l'objectif de réajustement parce que la croissance pour 2012 sera négative.


La chancelière allemande Angela Merkel a réagi et déclaré que "cela n'a aucun sens de parler de rigueur" sans respecter les objectifs de déficit.


Néanmoins, le Premier ministre a déclaré qu '«il se conformera aux recommandations de l'UE pour réduire son déficit excessif", par ailleurs le premier ministre espagnol affirme n'avoir pas violé l'accord de réduction des déficits  parce qu' «il y a eu intention d'atteindre les 3% en 2013 », comme recommandé par le pacte fiscal.


Effort budgétaire étalé sur deux ans
Avec ce changement, l'effort de réduction du déficit est désormais étalé sur deux ans entre 2012 et 2013.





Le PS c'est le Parti Socialiste ou le Parti Sachs ? ou comment passer de Blum à Barroso



Vous ne méritez plus une appelation qui est réservée à un parti de Gauche.


L'Histoire de la gauche en France est glorieuse. En 1789 la Révolution Française, l'insurrection de la Commune en 1870, Jean Jaurès assassiné en 1914 avant la grande boucherie qu'il avait pressenti et condamné, le Front Populaire en 1936 avec ses acquis dont on profite encore aujourd'hui, 1945 le CNR (Conseil National de la Résistance) sorti du "NON" à Hitler et Petain, union de bonne volonté de la droite et de la gauche en vue d'aporter à la population un compromis social pour les générations futures.


Vous, vous appartenez à un parti qui est actuellement de centre droit. Un parti socio-démocrate comme ceux qui saignent la Grèce, l’Espagne et le Portugal. Sous la cravache des Goldman Sachs. Vous êtes le Parti Sachs qui veut mettre notre Pays à Sac.


Au Sénat, les sénateurs socialistes se sont abstenus et ont ainsi permis au MES d’être adopté.


Je me souviens encore de vos cris de joie quand, fait exceptionnel, le Sénat est passé à gauche !




Mais pour quoi faire ?


Pour jouer les carpettes ?


Pour vous coucher ?


Vos arguments, on les connaît.


Vous trouvez que ce MES est une bonne chose. Que c’est « un pot » qui va permettre de soutenir les Etats en difficulté. Donc vous ne pouvez voter contre. Mais ensuite vous demanderez à le modifier. 


Soyons clairs. Il est bon ou il n’est pas bon, ce MES ? Pourquoi le laisser passer si c’est ensuite pour le modifier ? D’autant plus que c’est impossible. Vous croyez qu’on ne le sait pas ?


Quelles modifications pensez-vous obtenir ?


Il n’y aura pas de coupes drastiques dans nos budgets sociaux ? Comment sera-ce possible puisque le déficit, actuellement fixé à 3%, ne pourra pas dépasser 0,5% ? Vous le mettrez à 0,6 ? 0,7 ? Quelle générosité !


Par ailleurs, pensez-vous que nous n’avons pas compris vers quel monde vous nous dirigez ? Vous croyez que nous n’avons pas la télé et que nous ne voyons pas ce qui se passe en Grèce ?


Sarkozy a planré un couteau dans le ventre de la France et vous, vous lui tenez la main ?


 Vous nous dites «  le changement c’est maintenant  » ?


Quel changement ?


L’Otan, et les banques seront nos maîtres. Quel changement ? L’austérité sera notre vie. Quel changement ? Les amis de Bilderberg, ce cher Valls, sont vos amis. Quel changement ?


Nous devions être cornaqués par l’admirable DSK et l’on comprend mieux maintenant que votre parti l’ait adoubé voulant faire croire, par le biais d’une presse aux ordres, que la France l’attendait.


Non, la France n’attendait pas DSK, l’économiste « brillant » au service du FMI.


Pas plus que nous n’attendons Hollande, flanqué des deux amis de DSK, Cambadélis et Moscovici .


Vous nous prenez pour des imbéciles ?


 Vous pensez que nous ne sommes pas informés ?


Ce soir, en vous abstenant, vous nous avez vendus aux banques.


la suite sur : agoravox.fr

De la chute des subprimes à la mise sous tutelle de l'Europe par la bourse



Une observation attentive des marchés financiers aux États-Unis demontre que la crise des subprimes n'est pas due seulement à la spéculation aveugle mais aussi à un gigantesque système de fraude organisé.


La crise financière, est-ce uniquement un accident de parcours des marchés financiers américains ? Ou existe t il une réalité caché.


Plusieurs milliers d’enquêtes ont été menées par le FBI sur ces prêts à haut risque avant 2008. certains régulateurs avaient sonné l'alarme contre ces pratiques : ils ont été mis au placard. La crise des subprimes est le résultat d’une entreprise de contrefaçon financière, soigneusement élaboré par les plus grands groupes financiers : déclaration de revenus bidonnées ; demarchage de clients de prèts hypothécaires insolvables, AAA de complaisance par les agences de notation ; et, pour couronner le tout intoxication planétaire de la finance sous des appelations trompeuses et pompeuses.


Le FBI, en plein mandat de G.W. Bush alertait : « une épidémie de fraudes sur le marché des prêts immobiliers qui, si elle n’était pas combattue, pourrait faire autant de dégâts que la crise des Caisses d’épargne, pendant les années 1980, qui avait coûté plus de 130 milliards aux contribuables américains ». Ce marché « attire des groupes criminels et des professionnels peu scrupuleux ». En 2006, un autre service d’enquêtes, le FINCEN (Office de répression des crimes financiers) du département du Trésor dénombrait 37 313 escroqueries. Pour 20 %, il s’agit de fausses déclarations (faux certificats, faux revenus) mais pour 80% de véritables circuits mafieux avec des officines de blanchiment d’argent. Mai 2004, plus courageux que d’autres, le chef de la gestion de Freddie Mac envoie un e-mail au PDG, Richard Syron, pour arrêter sur-le-champ le financement de prêts à des personnes sans revenus et aucune exigence d’actifs... le PDG ordonne qu’il soit licencié immédiatement (Tiré de Jean Montaldo, Lettre ouverte aux bandits de la finance).


Les comptes de Freddie Mac et ceux de Fannie Mae, les deux géants américains du refinancement de prêts immobiliers étaient pour leur part falsifiés. Poursuivis par l’organisme du contrôle du logement dès 2004, ils ont été condamnés mais d'une sanction relativement clémente au regard des enjeux.


Et bien entendu, il n’y avait aucune responsabilité dans l’après-vente : on s’en débarrassait, on touchait sa « com », et le risque était pour l’acheteur final ! Nos pauvres banques et assurances européennes ont fait les frais de ce système américain pensé par les plus renommées des institutions financières anglo-saxonnes… Et les vertueuses banques allemandes n'ont pas été les dernières à acheter ces produits toxiques maquillés en produits "sûrs" notés AAA grâce à la complaisances des agences de notation payées par ceux qu'elles notent. Dans l'esprit des banquiers allemands imprégnés de rigueur germanique, il n'était pas concevable que des jeunes loups de la finance installés au sein des firmes les plus prestigieuses de Wall Street créent délibérément des produits dont ils connaissaient la toxicité, voire, pire, dont ils misaient sur l'effondrement. Dans son livre Boomerang, le journaliste vedette américain Michael Lewis montrait il y a quelques mois comment les banquiers allemands furent jusqu'à la toute veille du déclenchement de la crise financière de 2008 les derniers à acheter ces produits inventés par les banques d'affaires ou les hedge funds américains.


Les institutions financières américaines n’en étaient pourtant pas à leur coup d’essai même si elles jouissent d’une remarquable impunité en raison de leur pouvoir de pénétration au cœur même des institutions de l’État fédéral américain . Leurs responsables deviennent ministres, et passent de la finance à l’État, et de l’État à la finance. Ils font ainsi fortune dans la confusion des genres depuis les années 1980. Malgré ses discours sur la nécessité de changer la société américaine, Barack Obama s'est lui aussi entouré de conseillers issus de Wall Street, comme vient de le montrer le recrutement de son dernier directeur de cabinet il y a 10 jours. Chez nous, pareillement, grâce à la crise de 2008, les employés européens de ces prestigieuses institutions à l’origine pourtant de la propagation de la crise par la dérégulation ou la falsification de bilan, accèdent désormais aux plus hautes fonctions. Goldman Sachs s'est ainsi révélé un excellent pourvoyeur de hauts responsables politiques depuis un an, même s'il est important de souligner qu'aucune des personnalités concernées -qu'il s'agisse des premiers ministres grecs ou italiens ou de l'actuel président de la BCE- n'a été mise en cause à titre individuel dans les fraudes liées à la création de produits toxiques.


Au-delà de l'intention politique généreuse affichée -permettre aux plus pauvres d'accéder à la propriété, les subprimes avaient été développées au sein des grandes banques américaines de manière consciente et délibérée afin de réaliser des profits à court terme. Avec le recul, il apparaît clairement que les profits de long terme étaient également au rendez-vous...


En effet, confrontées à la crise des subprimes, les banques centrales ont été obligées d’intervenir en premier ressort pour fournir directement aux banques des liquidités. Or, lorsque l’on prête, il faut un actif en collatéral ou en garantie. Les banques ont donné en garantie… les actifs subprimes. Ceux-ci se sont donc retrouvés dans le bilan des banques centrales. Belle opération : tandis que les profits et les bonus sont privatisés, les pertes sont, elles, « nationalisées » ! Voilà pour les profits à court terme.


Ce n’est pas tout. La crise de 2008 a aussi eu d’autres conséquences à moyen et long terme. En effet, les banques centrales ont alimenté le système financier privé à des taux directeurs de plus en bas pour chercher à soutenir l’économie et l’emploi. Mais en période de crise, le risque de chômage croît, la demande diminue... si bien que le marché se réduit pour l’offre industrielle qui subsiste et n’est pas encore délocalisée. Dès lors, soutenir l’économie devient impossible sans une vision et une stratégie à long terme, que n’ont pas les marchés ! La conséquence de la crise des subprimes a donc été d’alimenter abondamment le système financier en argent gratuit ou quasi gratuit, mais pour la spéculation qui prit, dès lors, une nouvelle ampleur, notamment sur les matières premières. Conséquence : les vannes de la création monétaire ont également été ouvertes, mais pour le système financier et uniquement pour lui. De façon massive : 750 milliards d’euros issus de la Banque centrale européenne, 2 000 milliards de dollars issus de la Fed (réserve fédérale américaine) !


Première conséquence de cette situation : les prestigieuses institutions financières américaines croulent désormais sous la liquidité gratuite, au moment où nos banques et nos assurances européennes doivent, à cause de la régulation sur les fonds propres - avec la crise de la dette publique et les nouveaux ratio d’investissement - se débarrasser d’actifs. Si bien que cette liquidité américaine permet aux institutions financières américaines d’avoir les moyens d'acheter les bons actifs en Europe !


Seconde conséquence : les États européens, déjà bien piégés dans l’endettement par les mécanismes décrits précédemment, vont désormais l’être totalement avec l’engrenage infernal résultant de la crise des subprimes. En effet, avec celle-ci, la récession diminue les recettes publiques au moment même où les dépenses ne peuvent se réduire que lentement. L’endettement public devient dès lors difficilement maîtrisable. La crainte de la banqueroute s’accroît au sein des marchés, qui l’accentuent encore par des intérêts élevés faisant payer le risque. Si les marchés refusent d’acheter la dette publique, sauf à des taux totalement usuriers - la Banque Centrale refusant de monétiser pour la dette des États - la seule issue sera, pour les pays de la zone euro, la banqueroute accompagnée de la sortie de l’euro et de la dévaluation. Cette deuxième conséquence, nous ne la vivons pas encore mais elle est techniquement programmée. À moins que le système actuel des institutions européennes - et plus particulièrement la BCE - ne soit réformé pour sortir de ce piège !


source :  atlantico

L' Europe c'est la paix : les propriétaires en grèce se sont armés de fusils automatiques



Les propriétaires prets à en découdre en Grèce. Selon Nigel Farage, parlementaire européen eurosceptique  (UKIP. Parti pour l’indépendance du Royaume Uni), des propriétaires de maisons grecs s’équiperaient d'armes automatiques (M16,  Kalachnikovs), persuadés qu'ils sont qu'ils devront défendre leur biens à l'avenir. Selon l’opinion du député eurpéen Nigel Farage , ce sont des signes avant coureurs d'une prochaine révolté générale qui pourrait assez vite dégénérer en guerre civile.


Voici ce qu’il sait au sujet de la Grèce actuellement en train de sombrer dans le chaos.


« J’ai de nombreuses fois parlé de ce problème grec, et dimanche dernier [12 février] fut un jour dramatique où le Parlement a siégé pour décider s’il acceptait ou non le nouveau plan de sauvetage. Il s’y est passé un certain nombre de choses intéressantes. Avant le vote, 80 000 personnes se sont rassemblées devant le Parlement grec, et ont en réalité tenté de le prendre d’assaut…


Il y avait 5000 policiers grecs sur place, qui se sont servis de gaz lacrymogènes. Une dizaine de grands bâtiments étaient en flammes. C’était vraiment une mise en scène dramatique, à laquelle on pouvait assister ce dimanche à Athènes. Avant le vote, le Premier ministre grec déclara: Dans un pays démocratique, il n’y a pas de place pour la violence et la destruction.


Quel pays démocratique? lui ais-je rétorqué aujourd’hui [15 février] à l’assemblée du Parlement européen. Comme vous le savez, il y a en Grèce un Premier ministre qui n’a été élu par personne, et la dite troïka composée de bureaucrates de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne et du Fond monétaire international. Ces trois types passent une fois par quinzaine pour expliquer au premier ministre grec ce qu’il doit faire ou ne pas faire. Il n’y a pas de démocratie en Grèce. On a volé la démocratie au pays qui l’a inventée. Peut-on encore s’étonner que le peuple descende dans la rue et qu’il y ait des violences, alors qu’on l’a privé de ses droits? C’est là l’élément central que j’ai souligné aujourd’hui. »





Quant au fait que la police tende actuellement peu à peu à se retourner contre son maître, Farage déclare:


« Je l’approuve, car la suite de la citation de Papademos [le Premier ministre grec] fut celle-ci: cette attitude ne sera pas tolérée! Cela annonce bien une volonté de réagir très durement.


Et les protestations n’ont pas eu lieu qu’à Athènes, mais aussi dans toutes les grandes villes du pays. Nous constatons que la police a compris que le peuple grec était désespéré. Nous parlons d’un pays dont la société est à la veille d’imploser.


En Grèce, le niveau de vie s’effondre. La vitesse à laquelle l’économie du pays recule ne fait que s’accélérer. Ils sont comme pris dans un tourbillon de déflation mortelle et je pense que la police s’est rendu compte qu’il y aura prochainement un nombre incroyable de sans-abri.


Les gens en sont au point qu’ils abandonnent leur enfants, les donnent à l’État ou les proposent à l’adoption, car ils n’ont plus les moyens de les nourrir. Ce que je veux dire avec cela, c’est que la situation est vraiment très, très mauvaise…


Mais je voudrais encore vous dire une autre chose que je n’ai pour le moment racontée à personne. Vous êtes le premier à qui je la confie. J’ai reçu la semaine dernière la visite d’un ex ambassadeur grec de premier plan. Il était un de ceux qui ont négocié l’entrée de la Grèce dans le marché interne européen dans les années 70-80. Il m’a dit que lui et ses amis qui tous vivent dans les faubourgs d’Athènes dans des maisons un peu isolées, achètent tous des Kalachnikov. Il m’a dit: nous le faisons, car nous sommes convaincus que ceux d’entre nous qui possèdent du patrimoine se verront prochainement contraints de défendre leurs biens.


Cela fait extrêmement peur. Et malgré tous ces événements -parce qu’il n’y a pas assez de politiciens grecs courageux- ils votent pour ce plan de sauvetage et pour encore plus d’économies et d’austérité. Très honnêtement, je suis convaincu que si l’on continue sur cette lancée, on en arrivera à une révolution. »


 source : sosheimat