16 mars 2012 François Hollande à nié avoir tenu à Londres des propos contradictoires à son programme.
"Non, c'est le même discours , c'est le même programme que nous présentons, ce sont les mêmes enjeux : comment relancer l'économie, comment réduire les déficits, comment faire qu'il y ait davantage de croissance, comment faire place à la justice", a-t-il déclaré à son arrivée à la gare Saint-Pancras de Londres.
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02 mars 2012 François Hollande retourne en Angleterre : je ne suis pas dangereux ! Le candidat du parti socialiste était se rendait à nouveau à Londres. Le premier ministre, David Cameron refuse toujours de lui accorder une entrevue même à titre privé. Loin de renoncer, il s'est adressé aux Français d'Angleterre qui l'ont reçu chaleureusement, ainsi que Ed Milliband , chef du parti travailliste.
------------------ Non il n'est pas venu remettre à la City une promesse de guerre, mais plutôt une assurance de libéralisme à la sauce solférinienne.
François Hollande devant la presse britannique rassure au rique de dire tout et son contraire entre Paris et Londres. Soucieux de flatter la City dans le sens du poil, le champion du parti socialiste pour 2012 prècise que l'époque de françois Mitterrand est désormais révolue. Tonitruand, il lance en guise d'argument imparable : "Aujourd'hui, il n'y a plus de communistes en France."
Le candidat du parti socialiste tentait de rassurer la finance londonienne après son discours "anti finance" du Bourget, au cours duquel il a martelé qu'il entendait bien combattre la finance, son pire ennemi.
Le candidat socialiste ajoute qu'il n'est pas radical mais modéré. Dailleurs en France, il n'est pas vu comme étant "très à gauche" , et "réguler la finance" n'était que la reprise d'un discours de Barack Obama.
Aveu que la gauche française apprèciera : "La gauche a été au pouvoir pendant quinze années, durant ce laps de temps nous avons libéralisé l'économie et ouvert l'économie à la finance et beaucoup privatisé. Il n'y a pas de raisons d'avoir peur".
On sait maintenant ce que signifiait la visite sur la tombe de Mitterrand et le discours "anti finance" : de la pure communication, pour le reste, ce sera la ponction Bruxelloise en jurant que c'est la faute au prédécesseur !
François Hollande "est mal informé, ça lui promet quelques déboires", selon Jean-Luc Mélenchon, qui lors d'une déclaration devant des journalistes étrangers a tenu à préciser qu'il est le candidat des communistes français, "ce sont des propos qui ne vont pas le servir" a t il conclu avant de fustiger le mépris dont fait preuve François Hollande à l'égard de sa gauche.
Le PIB de la Grèce a encore baissé de 7% au dernier trimestre 2011 par rapport à l'année dernière comme l'indique les statistiques du ministère des finances d' Athènes .
Ce très mauvais chiffre survient après un recul de plus de 5% au troisième trimestre.
le gouvernement grec n'en finit plus de courir après son PIB, vu que ses prévisions bien qu'apocalyptyiques sont toujours en deça de la réalité. Le budget 2011 tablait sur une récession de 5,5%, qui devrait empirer en 2012, soit la cinquième année consécutive de recession.
Les économistes grecs s'attendent désormais au pire, bien pire encore qu'en 2011.
L'activité économique en Grèce est quasiment à l'arret depuis que la troïka (UE BCE FMI) impose une austérité, en contrepartie du sauvetage financier du pays, qui rapelle aux grecs les vieux souvenirs de l'occupation allemande (famine et misère, le tout saupoudré d'humiliation).
La rigueur vient encore d'être durcie avec le vote d'un train de mesures supplémentaires de réduction des salaires et des avantages socuiaux "acquis".
Abandonnez votre vieux Deutsch Mark qu'ils disaient
L'UE et le FMI espèrent que ce choc économique relancera l'économie de la péninsule Hellénique. Les syndicats et le patronat pour une fois unis, s'opposent à ces mesures, estimant qu'elles vont finir d'achever l'économie du pays, aujourd'hui au bord du chaos social.
Mariano Rajoy élu en 2011 premier ministre espagnol
Le gouvernement conservateur de l'Espagne a aprouvé de vastes réformes du marché du travail. le gouvernement de Mariano Rajoy tente ainsi de relancer une économie malade et de résoudre un véritable cauchemar au coeur de l'Europe : un taux de chômage de près de 23%.
Le plan est conçu pour encourager les entreprises à embaucher plus de gens en supprimant les indemnités de licenciement et en accordant des allégements fiscaux pour l'emploi des jeunes.
Mais l'approbation accélérée de ces mesures ont généré de violents affrontements entre la police antiémeute et les manifestants espagnols qui disent qu'ils vont être dépouillés de ce qu'ils ont de plus précieux dans leur système économique.
L'Espagne est désireuse de rétablir la confiance des investisseurs, de satisfaire l'Union européenne et d'autres institutions internationales en adoptant des réformes structurelles majeures afin de réduire son déficit et balayer les craintes selon lesquelles elle pourrait ètre la prochaine Grèce en recherche d'un plan de sauvetage tous les ans auprès de l'UE et du FMI.
Mariano Rajoy t'es foutu l'Espagne est dans la rue !
Dans le cadre de la réforme du marché du travail espagnol, les entreprises devant faire face à des circonstances difficiles seront en mesure de sortir des conventions collectives afin d' ajuster les horaires d'un salarié sur l'année et non plus par jour ou par semaine. Les indemnités de licenciements en Espagne - longtemps considérés comme les plus généreuses en Europe - seront réduites de 45 jours de salaire par année travaillée à 33 jours seulement.
Les petites entreprises comptant 50 employés ou moins qui embauchent des chomeurs recevant des allocations, obtiendreont 50 % des prestations de chômage de cette personne pendant que l'employé continuera à en recevoir 25 % en plus de son salaire.
Pendant ce temps, les travailleurs indépendants qui souhaitent créer une entreprise bénéfécieront d'allégements fiscaux pour la première personne qu'ils embauchent si cette personne a moins de 30 ans. Le taux de chômage en Espagne pour les personnes de moins de 25 ans est presque de 48 %.
Les entreprises seront également autorisées à licencier des travailleurs facilement et avec peu d'indemnités quand les temps deviendront plus difficiles.
Une nouvelle règle stipule qu'une entreprise doit simplement démontrer que son chiffre d'affaires est en baisse depuis trois trimestres consécutifs en vue de licencier des travailleurs, avec une indemnité de départ de seulement 20 jours par année de travail.
En cas de licenciements sans raisons économiques, le montant maximal qu'une personne licenciée peourra percevoir descendra à un maximum de 24 mois de salaire, contre 42 sous l'ancienne loi.
Et une fois que le nouveau paquet est passé, les travailleurs qui ont actuellement des arrangements de départ de 45 jours par année travaillée verrez que réduit à 33 jours.
Les réformes du travail sont la dernière partie d'une poussée en trois parties pour relancer une économie qui devrait se glisser dans la récession au cours du trimestre, après en boitant à l'affaissement près de deux ans en 2010.
Les deux premières réformes prises par le nouveau gouvernement avait un paquet euro 15 milliards de déficit des mesures de réduction et un plan pour forcer les banques à mettre de côté 50 milliards d'euros supplémentaires dans les dispositions pour couvrir leur exposition à un marché immobilier qui a plongé il ya trois ans.
Le Parti populaire a pris le pouvoir en Décembre après avoir marqué une victoire écrasante aux élections générales de novembre qui se sont terminées près de huit ans de règne socialiste.
Le gouvernement a décider de manière unilatérale d'introduire ces réformes en raison de la lenteur des progrès dans les négociations entre employeurs et syndicats, qui avaient seulement atteint un accord sur la fin de la pratique des travailleurs d'indexation «payer pour l'inflation.
Les mesures ont été introduites sous la forme d'un décret, ce qui signifie qu'il ira devant le Parlement pour un vote par oui ou non, sans possibilité d'amendement. L'approbation est garantie parce que le Parti populaire a une large majorité.
Les résidents de Villamayor de Santiago , village d' Espagne à 120 kilomètres au sud-est de Madrid, ont décidé de retourner à la Peseta , de peur que l' euro se déprécie fortement.
les habitants de ce village ont été durement touchés par le chômage - un tiers de la population du village soit 2500 personnes sont sans travail - et ont totalement perdu confiance dans la monnaie unique.
Le prix des denrées alimentaires de base a également augmenté de 43 % depuis 2002 (non vous ne révez pas) et il est à craindre que l'Espagne ne puisse ètre renflouée par l'UE, la Troïka ou n'importe quelle autre usine à gaz financière que les eurocrates délirants pourraient inventer afin de sauver leur empire en carton.
Les commerçants du village ont pris l'initiative radicale de revenir à la peseta dans l'espoir que certains résidents auraient encore en leur possésioin de vieilles pièces de monnaie ou des billets oubliés sous les matelas.
Et leur pari semble ètre payant - plus 6.000 euros en pesetas ont dépensés depuis que 30 entreprises locales aient commencé l'accepter en Janvier 2012.
Le village espère maintenant que cela pourrait susciter un mouvement national citoyens ou les réserves d'épargne en pesetas sont estimés à 1,7 milliard d'euros.
Contrairement à ce qui se passe dans d'autres pays de la zone euro, en Espagne, les pesetas peuvent encore être échangées contre des euros à la Banque d'Espagne à Madrid, aucune date limite n'a encore été fixé.
Même avec la perte de pas seulement un, mais de deux drones de plusieurs million-dollar ces dernières semaines, le chef du Département américain de la Défense dit que l'Amérique est résoliment pour continuer les instrusions furtives de drones au dessus de l'Iran.
Drone Sentinel RQ-170 exibé à la télévision iranienne
Malgré ces pertes, le ministère américain de la Défense ne montre aucun signe de lassitude, même si Téhéran a insisté sur le fait qu'ils ont bien réussi à "décoder" les technologies top-secretes sous le capot du drone modèle Sentinel RQ-170 qu'ils ont récupéré.
Le secrétaire à la Défense, Leon Panetta, a déclaré que les missions furtives dans l'espace Iranien continueront .
Le premier d'une nouvelle flotte de drones au départ des bases aériennes pour patrouiller dans le ciel international est l'"Avenger", un engin furtif qui est une mise à jour technologique de l'arsenal des Predators et Reapers actuellement dans les arsenaux de l'Amérique.
Ayant la possibilité d'échapper à la détection radar et pouvant cibler ses ennemis à l'aide de mini missiles sur chaque aile, le Pentagone compte envoyer son "Avenger" en Afghanistan. Étant donné que la technologie des talibans ne nécessite pas que les USA fassent patyrouiller un drone avec des technologies aussi évoluées que l'Avenger, la décision de le déployer en Afghanistan soulève des questions sur les intentions exactes de l'oncle Sam dans la région.
Récemment, un drone "sentinel RQ-170" dans le ciel de l'Afghanistan, dans le cadre d'une mission de reconnaissance a été intrecepté. Les Etats-Unis ont perdu le contact avec l'engin, et ont, plus tard, tenté de nier son existence, conduisant finalement le gouvernement de l'Iran à diffuser des images du drone "ultra technologique".
Ils l'ont récupéré après l'avoir vu voler dans leur espace aérien. Les Etats-Unis affirmeront plus tard que le drone "sentinel RQ-170" s'était perdu sur le territoire iranien par erreur, bien que les responsables de Téhéran disent que l'engin a été intercepté près de leur frontière avec l'Afghanistan, donc au coeur de leur territoire.
Moins de deux semaines après que l'Iran ait réussi à détourner l'"intrus volant", les États-Unis ont perdu un second drone de guerre, ce qui laisserait supposer que Teheran dispose de moyens de défenses contre ces "minis-avions" sans pilotes, ce qui serait une surprise plutôt désagréable pour les stratèges de l'OTAN.
Les pertes de ces "machines de pointe" sont évalués à plusieurs dizaines de millions de dollars pour chaque appareil.
Quels farceurs ces iraniens !
Et cerise sur le gateau, l'Iran a envoyé en défi au président Obama une modèle réduit rose du drone "sentinel RQ-170". Etait gravé en persan sur l'objet : "nous allons marcher sur les Etats-Unis".
Qui va bénéficier de la nouvelle série de mesures d'austérité en Grèce , qui a obtenu une réponse violente de la foule pendant le vote des mesures d' austérité au parlement?
Adrian Salbuchi, économiste argentin (voir la video plus haut) dit que c'est les banquiers, qui sont responsables en premier lieu de la crise économique actuelle.
Il ya deux questions clés qui doivent être posées, dont la première est de savoir qui dirige la Grèce. " Est-ce le peuple grec? Ou est-ce le FMI? La Banque Centrale Européenne? L'Union européenne? L'Allemagne et ses "big banquiers" privés?
Adrian Salbuchi pose cette question parce que le Premier ministre Lucas Papademos est un membre de la commission trilatérale, qui est l'un des groupes d'influence, où vous avez également le gratin de la finance, les hauts gradés de la Deutsche Bank, Dresdner Bank, Santander Bank, Goldman Sachs, Citicorp ...
Alors, à qui M. Papademos donnera la priorité ? aux intérêts du peuple grec ou aux intérêts des banquiers ?
La deuxième question, selon Salbuchi, est de savoir à qui tout cet argent est du. Une crise de la dette souveraine, ça arrive maintes et maintes fois au cours d'une histoire nationale.
" Est-ce que les banquiers sont si stupides qu'ils font toujours l'erreur de prêter trop d'argent aux états souverains? Et les gouvernements sont-ils si stupides qu'ils s'endettent pour beaucoup plus qu'ils ne peuvent rembourser? Ou est-ce que tout cela fait partie d'un modèle où, les impayés ont pour but de contrôler des pays entiers? "
Salbuchi conclu en disant que tous les gouvernements aux prises avec la crise de la dette souveraine ont à faire un choix : ou servir le peuple ou les banquiers.
" Tous les gouvernements, que ce soit en Grèce, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni, tous les gouvernements ont aujourd'hui deux choix: ils peuvent soit gouverner pour le peuple, ou ils peuvent gouverner afin de favoriser les banquiers, ce qui signifie qu'ils seront toujours contre le peuple. "
Des dixaines de milliers de manifestants , dont la plupart non-violents, sont descendus dans les rues d'Athènes en réponse à un nouvel ensemble de mesures d'austérité soutenues par leur gouvernement. Les protestations ont dégénéré avec des bâtiments incendiés et des affrontements avec des manifestants radicaux et la police anti-émeute.