Invalidité en grèce : les pédophiles, les voleurs kleptomanes et les pyromanes considérés comme handicapés.
source (en grec)
La mise en place d'une nouvelle Commission spéciale de scientifiques chargés de mettre à jour le règlement fixant les taux d'invalidité, ce qui implique toute maladie ou blessure d'ordre mentale ou physique, a été décidé par le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, George Koutroumanis (en photo en contre bas).
Le "révolutionnaire" de la pension d'invalidité grecque par qui le scandale arrive.
La décision est intervenue après une publication dans le numéro n ° 2611, du Journal officiel grec le 8 Novembre 2011.
Ont été inclus parmi les malades mentaux, des groupes de personnes comme les pédophiles, les exhibitionnistes, les "dépendants" aux jeux d'argent, ainsi que les kleptomanes et les pyromanes, un fait qui a provoqué un tollé des handicapés "version traditionnelle". En grèce un taux d'invalidité de plus de 67% donne automatiquement droit à une allocation (contre 80% en France d'où le nombre d'handicapés à 79% chez nous).
Plus précisément, le règlement, publié en Novembre 2011 au journal officiel (dont les pages font office de loi en ce qui concerne la santé et l'assurance) instaure un «bonus» d'incapacité de 20% à 35% aux catégories de personnes sous le vocable de «perversions sexuelles».
Ces chiffres et ces "conditions nlouvelles", outre le scandale qu'ils provoquent en Grèce, élargissent le nombre d'allocataires, ce qui est le contraire du but recherché.
Dans la péninsule hellénique l'invalidité, comme en france donne droit à des tarifs réduits sur la facture d'électricité, ou des billets de transports en commun moins cher.
Verra t on en grèce une recrudescence de papy "le sac de bonbons à la main" devant les écoles dans le but d'améliorer leur fins de mois ?
dimanche 8 janvier 2012
La Grèce creuse l' euro gouffre : le FMI estime que la décote sur sa dette devra ètre plus importante que 50%
Et dire que l' euro devait leur apporter le progrès !
Les préoccupation au sujet de la viabilité de la dette en Grèce sont soulevées par l'économiste en chef du Fonds monétaire international, Olivier Blansar,qui s'exprimait sur le réseau de télévision CNBC
«nous avons besoin d'une réduction significative afin de permettre à la Grèce de s'en sortir." a souligné M. Blansar précisant que la "remise sur la dette grecque" prévu dans l'accord du sommet de l'UE en Octobre aura besoin de dépasser les 50%.
Ils vont apprécier la nouvelle et leur banques encore plus !
Le magazine allemand Der Spiegel s'appuie également sur un document interne du Fonds monétaire international, en vertu duquel le programme de sauvetage de la Grèce est largement insuffisant. Le magazine estime que le FMI a des doutes sur la capacité de la Grèce à s'attaquer aux problèmes stucturels quiu pèsent sur sa dette et note que cela impliquera de nouvelles mesures pour Athénes afin d'éviter la faillite et atteindre les objectifs fixés par les créanciers de la péninsule hellénique.
Sur la même longueur d'onde est le directeur de cabinet du ministère allemand des Finances , Clemens Fouest. Dans une interview il estime que le "hair cut" (literralement "coupe de cheveux" en français) de 50% sur la dette grecque n'est pas suffisant pour remettre le pays sur une trajectoire viable et exprime sa gratitude aux investisseurs pour leur participation à la restructuration de la dette souveraine d'Athènes.
Ils (les investisseurs) apprécieront et au premier chef les banques françaises "gavées" de dette obligataire grecque.
Leur faillite entrainerait leur sauvetage par Paris ce qui impliquerait une explosion de la dette française.
Mars 2012 à un mois de l'élection présidentielle de 2012 sera apocalyptique !
Les préoccupation au sujet de la viabilité de la dette en Grèce sont soulevées par l'économiste en chef du Fonds monétaire international, Olivier Blansar,qui s'exprimait sur le réseau de télévision CNBC
«nous avons besoin d'une réduction significative afin de permettre à la Grèce de s'en sortir." a souligné M. Blansar précisant que la "remise sur la dette grecque" prévu dans l'accord du sommet de l'UE en Octobre aura besoin de dépasser les 50%.
Ils vont apprécier la nouvelle et leur banques encore plus !
Le magazine allemand Der Spiegel s'appuie également sur un document interne du Fonds monétaire international, en vertu duquel le programme de sauvetage de la Grèce est largement insuffisant. Le magazine estime que le FMI a des doutes sur la capacité de la Grèce à s'attaquer aux problèmes stucturels quiu pèsent sur sa dette et note que cela impliquera de nouvelles mesures pour Athénes afin d'éviter la faillite et atteindre les objectifs fixés par les créanciers de la péninsule hellénique.
Sur la même longueur d'onde est le directeur de cabinet du ministère allemand des Finances , Clemens Fouest. Dans une interview il estime que le "hair cut" (literralement "coupe de cheveux" en français) de 50% sur la dette grecque n'est pas suffisant pour remettre le pays sur une trajectoire viable et exprime sa gratitude aux investisseurs pour leur participation à la restructuration de la dette souveraine d'Athènes.
Ils (les investisseurs) apprécieront et au premier chef les banques françaises "gavées" de dette obligataire grecque.
Leur faillite entrainerait leur sauvetage par Paris ce qui impliquerait une explosion de la dette française.
Mars 2012 à un mois de l'élection présidentielle de 2012 sera apocalyptique !
La fin de l'Euro en Grèce ? Même le FMI ne croit plus en la capacité d'Athènes à se réformer.
Juste avant la prochaine mission de la troïka en Grèce, de mauvaises nouvelles arrivent de Washington. Selon des informations du Fonds monétaire international, la Grèce à un besoin urgent de plusieurs milliards d'aide supplémentaires en euro pour mars 2012.
Des doutes croissants se font jour sur la capacité de la Grèce à se sauver sans restructuration globale de sa dette. Le Fonds monétaire international ( FMI ), en plus de la Banque centrale européenne ( BCE ) et la Commission de l'UE (la fameuse Troïka) doutent que les pays fortement endettés de l' euro zone puissent continuer à porter en permanence sur leurs épaules les plans de renflouement de la Grèce.
Les experts du FMI et de la troïka vont se déplacer à Athènes des la mi-Janvier, afin d'ajuster le plan de sauvetage à la détérioration de la situation économique. Selon une note interne du FMI les créanciers privés de la Grèce doivent ou accepter une nouvelle décote sur une plus grande proportion de leurs créances ou demander aux autres menbres de l'euro zone de participer "encore plus" au sauvetage de la Grèce.
Le FMI a vivement critiqué la lenteur des réformes, à Athènes. Les progrès dans la collecte des impôts et la privatisation d'actifs d'état serait largement en dessous des attentes de la troïka. Le plan de sauvetage adopté en Octobre 2011 était censé ramener la dette du gouvernement grec en 2020 à seulement 120% du PIB. Or, moins de trois après, plus personne ne croit à cette objectif.
la Grèce parierai sur un excédent de recettes "irréaliste" vu que plus les impots augmentent et plus les recettes diminiuent. les grecs echappent toujours à l'impôt.
Les derniers chiffres budgétaires de la Grèce montrent que la dette grecque est entrée dans une dynamique "hors de contrôle".
Le montant même des taux d'intérêt à payer par Athènes représente plus de dix pour cent de son produit intérieur brut. Lors des dernières décennies, aucun pays industriel n'a jamais atteint un tel ratio. Ce n'est tout simplement pas soutenable.
Les négociations sur un nouveau programme d'aide sont à l'heure actuelle au pont mort. Ceci s'applique aux discussions avec les donateurs et les créanciers privés de la péninsule hellénique. Ces derniers ont, comme convenu en Octobre 2011 abandonné 100 milliards d '€ de créance (la décote de 50%). Cette "remise" menace de faire sombrer plusieurs banques françaises qu'il faudra bien recapitaliser dans la douleur. Cette décotte n'empèchera même pas la Grèce de filer vers un nouvel endettement massif selon les dernières analyses de la troïka.
Le 16 Janvier 2012 des représentants de la troïka à Athènes discuteront des détails du flux d'aide et de son rendement estimé. La situation en Grèce reste grave. Pour Mars 2012 le pays a un besoin urgent d'argent frais, parce que les obligations anciennes à rembourser atteignent 14,5 milliards d'euros pour cette année. Parce que le pays lourdement endetté sur les marchés financiers ne reçoit actuellement pas de capital frais, il doit compter sur les différents versements du FMI et des pays de la zone euro.
A la mi-Mars si les négociations echouent, Athènes menace de faire faillite. Dans son discours du Nouvel An, le Premier ministre Papademos, averti les créanciers et donateurs de la Grèce du risque d'une «insolvabilité catastrophique incontrôlée".
Athénes ne réforme pas ou très peu, se contente de couper dans les budgets sociaux et les salaires. Puis à deux ou trois mois du gouffre, elle menace : "si je coule vous coulez avec moi".
Une sortie de l'euro est examinée de plus en plus séroieusement en Grèce - cela aurait des conséquences désastreuses pour le pays. Le gouverneur de la banque centrale grecque, Georgios Provopoulos avait, dans une interview averti des conséquences dramatiques si la Grèce retournait à la drachme. Le pays retournerait en matière de richesse nationale à une situation équivalente aux années 1950.
Sortie de la Grèce de la zone euro : L'Allemagne s'y prépare pour mars 2012
L'Allemagne se prépare actuellement pour une sortie grecque de la zone euro qui pourrait survenir dès Mars 2012.
La Grèce est en attente d'une autre tranche de l'argent renflouement de la troïka (BCE UE FMI) et doit se conformer à une autre série de mesures d'austérité. Vu l'impopularité que rencontreraient de nouvelles réformes, Athènes envisage tout simplement quitter la zone euro volontairement et de revenir à son ancienne monnaie nationale, selon la dernière déclaration du Parlement grec.
Une telle démarche de la Grèce, aussi surprenante que cela puisse paraître à certains économistes, aura deux conséquences majeures.
Le résultat positif sera que la zone euro en elle-même deviendra plus stable et plus forte et aura un maillon faible de moins à s'inquiéter. Cela signifie également que le financement soit par la BCE / FMI, le FESF (Fonds européen de stabilité financière), ou le MES (Mécanisme européen de stabilité) sera réduit de façon spectaculaire afin de mieux soutenir l'incertitude financière en cours en Espagne et en Italie.
Le résultat négatif sera que la drachme grecque (son ancienne monnaie) devra probablement encaisser une dévaluation de 50% par rapport à 2001.
L'effet secondaire sera aussi une dévaluation importante des obligations grecques et c'est là que l'Allemagne entre en scène.
Les banques allemandes, comme d'autres banques européennes ainsi que des institutions financières françaises, sont connus pour detenir de grandes quantités d'obligations grecques dans leur bilans, bien que les chiffres exacts ne soient pas disponibles.
La chancelière allemande Angela Merkel se prépare à financer les banques allemandes et d'injecter des capitaux supplémentaires si une telle dévalorisation profonde des exploitations produisent ce qui mettrait un stress supplémentaire sur les banques tenues depuis la crise financière de 2008 de respecter les exigences de fonds propres imposé par le traité "Bâle III".
L'Allemagne a une approche très bien planifiée et préventive de ce qui convient de faire pour solutionner la crise obligataire en zone euro, mais se rend compte que la reprise économique ne vient pas avec une certaine angoisse.
Mme Merkel se rend compte aussi que le résultat final aura un impact positif sur la zone euro et l'économie européenne sur les marchés internationaux.
Une zone euro plus saine gagnerait en crédibilité.
Il ya aura certainement encore quelques problèmes dans le futur immédiat du au ralentissement économique. Une éventuelle récession et une activité plus lente du commerce. Mais quand on pense à long terme, comme le fait actuellement Berlin au lieu de s'emprisonner dans une vision "court-termiste", il apparait alors comme préférable de laisser l'expérience "euro" suivre son cours.
Retirer la Grèce de l'équation financière de l'euro rends les perspectives plus optimistes.
Il se peut très bien que les exportations américaines vers l'euro zone ralentissent en raison de la croissance lente, mais si l'Allemagne prend les devants et permet à la Grèce de suivre sa propre voie, le commerce international et l'activité économique se rétabliraient d'ici 2015.
L'Initiative de l'Allemagne pourrait également ouvrir la porte à la création d'une union fiscale qui est la première étape vers l'émission d'euro-obligations très souhaitable pour tous.