Les Ambassades britanniques dans la zone Euro élaborent des plans pour aider les expatriés britanniques en cas d'effondrement de la monnaie unique.
Comme le gouvernement italien lutte désespérémrent pour emprunter et que l'Espagne envisage de demander une aide internationale de renflouement, les ministres britanniques en privé ont averti que l'éclatement de l'euro, il y a peu impensable, est désormais de plus en plus plausible.
Les diplomates se préparent à aider les Britanniques à l'étranger en cas d'effondrement bancaire et anticipent même des émeutes liées à la crise de la dette.
Outre manche, une planification d'urgence est actuellement en cours.
Un ministre de premier plan a maintenant révélé l'ampleur de la préoccupation du gouvernement britannique, affirmant que la Grande-Bretagne estime que l'effondrement de l'euro est maintenant juste une question de temps.
«C'est dans notre intérêt qu'ils continuent à gagner du temps parce que cela nous donne plus de temps pour se préparer»,a déclaré le ministre au Daily Telegraph.
Au Foreign Office on prépare les ambassades et les consulats à des scénarios extrêmes, y compris des émeutes très violentes.
La Grèce connait plusieurs foyers de désordre civil tandis que son gouvernement se débat avec ses dettes énormes. Les responsables britanniques pensent que des scènes similaires ne peuvent pas être exclues dans les autres nations, si l'effondrement de l'Euro venait à se produire.
Les diplomates ont également été dit de se préparer à aider des dizaines de milliers de citoyens britanniques dans les pays en zone Euro avec les conséquences d'un effondrement financier qui ne leur laisserait pas accéder à leurs comptes bancaires ou même de retirer de l'argent aux distributeurs.
Ce qui alimente les craintes des marchés financiers sur l'Euro, sont les rapports d'hier à Madrid suggérant que le nouveau gouvernement du Parti Populaire pourrait demander un renflouement de ses banques ruinées, soit par un sauvetage européen ou alors avec l'aide Fonds Monétaire International (FMI).
Il ya aussi des craintes croissantes pour l'Italie, dont le nouveau gouvernement a été contraint de payer des taux d'intérêt éxorbitants sur de nouvelles obligations émises hier, bien au-dessus du niveau considéré comme soutenable par un état (5%).
Le nouveau gouvernement italien sera obligé d'emettre plus de 30 milliards d'euros d'obligations nouvelles d'ici la fin Janvier 2012 afin de refinancer ses dettes. Les analystes disent qu'il n'y a aucune garantie que les investisseurs achetent l'ensemble de ces obligations, ce qui pourrait forcer l'Italie à faire défaut.
Le gouvernement italien au cours de discussions avec la chancelière allemande Angela Merkel et le président français Nicolas Sarkozy, le Premier ministre Mario Monti avait convenu que l'effondrement italien "serait inévitablement la fin de l'euro."
Les traités de l'UE qui ont créé l'euro et définissent ses règles d'adhésion ne contiennent aucune disposition pour que des membres puisse quitter l'Euro zone, ce qui signifie une rupture désordonnée et potentiellement chaotique.
Si les gouvernements de la zone Euro font défaut sur leurs dettes, les banques européennes qui détiennent beaucoup de leurs obligations risquerait l'effondrement immédiat.
Certains analystes disent que l'ondes de choc d'un tel événement serait le risque de l'effondrement du système financier mondial dans son ensemble, laissant les banques incapables de garantir l'argent des petits épargnants et ddétruirait les entreprises dépendantes du crédit bancaire.
Certains économistes estiment qu'en cas d'effondrement de l'euro le PIB de ses Etats-membres pourrait se réduire de moitié et déclencherait un chômage de masse.
On entrerait alors dans ce qu'a connu l'Allemagne dans les années 20 et 30, c'est à dire troubles violents, dictature et guerre mondiale.
La société Facebook prend un nouvel essort.
Le chef de file de réseaux sociaux en ligne veut effectuer une intoduction en bourse dans la période d'avril à Juin 2012. Ainsi, Facebook pense obtenir 7500 millions d'euros avec son entrée en bourse, qui donnerait à la compagnie une valeur de plus de 75 milliards d'euros, selon le wall street journal.
David Ebersman le directeur financier de Facebook a négocié avec les banquiers dans la Silicon Valley, mais le fondateur et PDG, Mark Zuckerberg, n'avait pas encore décidé sur les modalités et quels étaient ses plans, qui peuvent encore changer à tout moment.
Le réseau social avec plus de 800 millions d'utilisateurs, après sept années de croissance explosive, n'a pas encore choisi les banques qui vont gérer son introduction en bourse. Cependant, il aurait produit une brochure dans laquelle sont présentes les conditions internes , selon des sources proches du dossier. Un représentant Facebook a refusé de commenter.
Facebook n'est pas la seule société à voulir ètre cotée, d'autres entreprises comme Groupon, Zynga, LinkedIn et Pandora ont fait le feront dans les prochains mois. Et, les investisseurs sont plus disposés à acheter des actions de Facebook ainsi que d'autres sociétés Internet en croissance
Zynga a effectué une introduction pour 750 millions d'euros . En Novembre, il a été le seul à plonger en dessous de son prix d'introduction dans les prochaines semaines. Pour sa part, LinkedIn et Pandora sont aussi échangés, mais à des niveaux inférieurs à ceux obtenus dans sa première apparition publique plus tôt cette année.
Mais la réalité est que Facebook est devenu l'un des sites les plus visités, un défi aux entreprises comme Google et Yahoo!. Facebook n'a pas divulgué ses résultats financiers, mais une source proche a déclaré à Reuters récemment que les revenus de l'entreprise au cours des six premiers mois de 2011 ont atteint 1.200 millions d'euros.
À cet égard, un ancien partenaire de Kleiner Perkins Caufield & Byers, et maintenant la tête du réseau social Erly.com, Eric Feng, a déclaré que grâce à l'argent que vous investissez dans l'introduction en bourse de Facebook permettra de travailler sur de nouveaux projets.
Aux États-Unis, est décédé, Svetlana Alliloueva, fille de Joseph Staline. Elle avait 85 ans. Allilueva est né au secrétariat général du PCUS de l'union de Joseph Staline et de Nadejda Alliloueva à Leningrad, le 28 Février 1926. Six ans plus tard, sa mère s'est suicidée.
Après le lycée, elle entre à la faculté de l'Université de Moscou, mais sur l'insistance de son père a ensuite évolué vers l'apprentissage de l'histoire. Elle rejoint ensuite l'Académie des sciences sociales à Moscou. Elle a travaillé comme traductrice d'anglais et rédactrice en chef d'un magazine littéraire.
Allilueva devient l'épouse d'un Indien Rajah Pont Singh, ils travaillent à Moscou. En 1967. il meurt et Allilueva, part en Inde pour la dispersion des cendres de son mari dans son village ancestral. Après trois mois en Inde elle refuse de retourner en URSS. Allilueva demandé alors à l'ambassade des Etats-Unis le droit d'asile, mais cela lui est refusé.
Elle vécu ensuite en Suisse. Quelques années plus tard la publication du livre "Vingt Lettres à un ami», dans lequel elle parle de son père et de sa vie au Kremlin, fait sensation dans le monde. En 1970, elle épouse en seconde noce un architecte américain V. Peters, met au monde une fille, divorce deux ans plus tard, mais a conserve le nom de Lana Peters.
En 1982. elle déménage en Angleterre. Deux ans plus tard, tout d'un coup Allilueva retourne en URSS, en déclarant lors d'une conférence à Moscou qu'en l'Occident "n'a pas été libre une seule journée." Toutefois, en 1986. Allilueva envoit une lettre au Comité central du PCUS pour lui permettre de voyager à l'étranger.
Après l'intervention personnelle du secrétaire général de la Comité central du PCUS, Mikhaïl Gorbatchev, elle sera finalement autorisé à retourner vivre aux Etats-Unis. Svetlana Alliloueva conservera la double citoyenneté de l'URSS et des Etats-Unis. Au fil des ans, les journalistes ont découvert qu'elle a vécu successivement dans une maison de soins infirmiers en Angleterre, ainsi que dans un monastère en Suisse, pour retourner finir ses jours aux Etats Unis où elle est décédée à l'age de 85 ans.
Clivages au coeur de la gauche assorti d'un accord flou passé avec EELV.
Elle a dit Gauche molle ?
Pourquoi signer un accord et ensuite le désavouer au grés des soubresaut médiatiques ? François Hollande ne parle d'appliquer que " l'essentiel" de l'accord PS EELV. Oui mais qui décide de ce qui est primordial dans ce projet, AREVA, l'UMP Copé ?
Les Verts, estiment de moins en moins françois Hollande et ne tarissent pas d'éloges envers martine Aubry qu'ils ne manquent jamais de citer dans leurs interventions. Ils sont désormais liés à un candidat qu'ils méprisent de plus en plus ouvertement au point de lui manquer de respect comme Jean Vincent Placé qui selon certains se verrait bien...ministre !
Les électeurs quantité négligeable ?
Un candidat qui change d'avis au gré de ses interlocuteurs, expert en apparence, adepte de l'aller retour entre Bayrou et Duflot : voila qui a de quoi dépiter les français qui attendaient une ligne idéologique et un positionnement politique clair.
Difficile d'interpréter cette précipitation à conclure un pacte avec les verts, le renier ensuite avant de tendre la main au centre droit.
Imiter François Mitterrand tel un "Cantelou d'un soir" sera plutôt léger pour mener une campagne inédite depuis 1945, sur fond d'apocalypse de l'économie occidentale.
La crise actuelle ressemble plus à la fin de l'URSS et de ses satellites, qu'à un problème exclusivement franço français. Le flou idéologique et la critique du président actuel ne suffira pas. pour 2012.
