Moody's envidage un défaut de toute la zone Euro : toutes les notes sont menacées
La crise financière actuelle met en péril les notes dans l'Union européenne.
Moody's a dit que "la probabilité de défaut de plusieurs pays de la zone euro n'est plus négligeable. Plus la crise de liquidité continue, plus les chances de défaut rapides augmentent . Un ensemble de défaut ferait augmenter la probabilité qu'un ou plusieurs pays non seulement fasse défaut, mais quitte l'euro. "
Un scénario de plus vers une fragmentation de la zone Euro. un tel évènement aurait des impacts négatifs sur la notation des pays de la zone euro et de l'Europe en général.
Certains au sein de l'Eurozone pensent plus que jamais à un scénario d'échec de l'Euro : il passerait noël, mais pas l'hiver !
Bien que le scénario sur lequel table Moody's reste celui d'un Euro qui sera conservé sans défaut d'un de ses membres, l'autre scénario envisage des conséquences très négatives sur le moyen terme.
Si plus d'Euro, plus de job pour José Manuel Barroso ?
Les marchés financiers ont fait de l'Italie, l'Espagne et maintenant la France les maillons faibles en raison du scepticisme des investisseurs sur la capacité des dirigeants européens à résoudre la crise.
Le pire c'est que même l'Allemagne est menacée, un comble...
Nouvelles révélations à propos des négociations Aubry-Duflot (françois Hollande et Eva Joly ayant été écartés) qui empoisonne la candidature socialiste. Après l'accord PS EELV qui apporterait le soutien et les votes des Verts en échange de la fermeture de dizaines de centrales nucléaires, une autre clause de l'accord prévoit l'abandon par la France de son droit de veto au Conseil de sécurité de l'ONU.
La rumeur a été rapidement démentie par le Parti socialiste, mais cela a suffi à provoquer la controverse et la critique sévère de l'UMP de Nicolas Sarkozy.
Le Figaro explique que l'accord PS EELV prévoit la suppression du veto français à l'ONU. L'ex juge Eva Joly estime que c'est un "privilège dépassé". Le chef de la campagne de françois Hollande, Pierre Moscovici, assure que le droit de veto français n'est pas remis en cause, mais en attendant l'accord a été signé.
LE CAIRE - Les attaquants ont déclenché des explosions, lundi matin, le long d'un gazoduc dans la péninsule égyptienne du Sinaï qui transporte du carburant vers Israël et la Jordanie, entrainant un arrêt des exportations.
L'attaque sur le pipeline a été le deuxième de ce mois et le huitième depuis le soulèvement populaire qui a renversé le dirigeant égyptien de longue date Hosni Moubarak en Février.
Abdel-Wahab Mabrouk, le gouverneur de la province du Nord-Sinaï, a déclaré à MENA que les assaillants ont placé des explosifs près de la ville d'El-Arish dans trois endroits distincts le long de la ligne qui transporte le gaz naturel. Deux explosions ont causées d'énormes incendies, mais la troisième charge n'a pas explosé.
Selon le rapport, les vannes principales du terminal ont été immédiatement fermées et le feu a été maîtrisé, mais les exportations vers la Jordanie et Israël ont été interrompues comme le débit de gaz aux foyers et aux industries de la région.
Huit hommes masqués et armés sont arrivés dans deux véhicules utilitaires, ont mis un pistolet sur sa tête du technicien et l'ont forcé à s'asseoir et à les regarder poser leurs explosifs. Ils ont libéré le garde environ 20 minutes plus tard.
Comme le commando s'en alla, le gardien courut avertir la police. Il n'était pas blessé et il n'y avait pas d'autres dommages étant donné que le pipeline traverse une zone désertique à environ 10 kilomètres au large de la route principale.
L'explosion de lundi est venu alors que les Egyptiens commencaient à voter pour les premieres élections législatives de leur nation depuis l'éviction de Moubarak, un pas de géant vers la démocratie après des décennies de dictature.
Les attentats précédents de l'oléoduc ont été imputées à Al-Qaïda, cela a inspiré des militants qui ont intensifié leur activité dans le Sinaï, en profitant d'un vide de sécuritaire causé par les forces de police peu présentes depuis l'ère post-Moubarak.
Il ya deux semaines, les forces de sécurité égyptiennes ont lancé une campagne contre les saboteurs et arrêté le chef du groupe présumé soupsconné d'être le cerveau des explosions de pipelines.
