Le taux obligataire italien sur dix ans à plus de 7% : le scénario grec.
Un tout petit rebond, voila ce que la démission de Silvio Berlusconi aura eu comme effet sur les marchés.
L'explosion des taux d'intérets italiens va tout simplement ERADIQUER le système social transalpin.
Tout ce qui a été négocié par les représentants du prolétariat depuis 50 ans va disparaitre dans des manifestations, grèves et vandalisme.
La hausse des taux obligataires du trésor italien a achevé de déprimer les investisseurs qui avaient pourtant retrouvé du punch après l'annonce de la démission du "cavalière" patron du Milan A.C (un peu comme si Bernard tapie était resté le roi de l'O.M et dirigeait la France depuis la fin des années 90).
Banqueroute et détournement de mineurs.
L'exubérant dirigeant italien laisse derrière lui une dette abyssale de 120% du PIB qu'il n'a jamais eu le courage de maitriser.
Cette incompétence à gérer correctement la troisième puissance commerciale de l'Europe se double d'une immoralité plus que choquante, lors de parties fines ou les femmes (même mineures) sont rabaissées au role d'objet sexuel dévouées au plaisir du Maître.
Une décadence qui tiens à la fois de la chute de l'Empire romain, de la décadence des Bourbons et de l'immoralité des Borgias.
N'en doutons pas l'Italie qui suit la Grèce sur le chemin du redressement "F.M.Iesque" ne va récolter que les fruits amers d'une recession due à la contraction volontaire des ses finances publiques.
Ce n'est pas l'Angleterre d'avant Margaret Thatcher, c'est l'U.R.S.S de Gorbatcheff...et c'est bien pire !