Tout est la faute de la gauche depuis 30 ans !
Après ètre revenu du sommet européen qui a acheté du temps jusqu'aux élections de 2012 (en mai pour la France et en automne pour l'Allemagne), Nicolas Sarkozy a fait le point sur l'état de la France.
Devant un Yves Calvi pugnace et un jean Pierre Pernaud conciliant, le Président de la République Française a accusé François Mitterrand et la retraite à 60 ans (même Michel Rocard était contre ! ) sans oublier les 35 heures du gouvernement Jospin.
Le Parti Socialiste n'a pas tardé à réagir fustigeant un "bonimenteur" et un président à bout de souffle qui nous ressert le programme de 2007 "il faut travailler plus".
Il a quand même à demi-mots annoncé son programme pour 2012-2017 :
Hausse de la TVA et supression des 35 heures.
Convergence avec les impots allemands sur les entreprises et appel aux investissements chinois.
vendredi 28 octobre 2011
Tunisie victoire des islamistes d'Ennahda : Emeutes à Sidi Bouzid et Regueb "nous ne voulons pas pire que Ben Ali".
Des candidats laïcs invalidés.
Après plusieurs invalidations de candidats démocrates et laïcs dans plusieurs circonscritions pour "financement illegal", des heurts assez violents ont éclaté simultanément dans les villes de Sidi Bouzid et Regueb.
Des jeunes ont saccagé le bureau du parti islamiste Ennahda et ont jeté des pierres contre les forces de l'ordre.
On a pas fait la révolution pour ètre dirigés par "pire que Ben Ali".
Les manifestants reprochent a Ennahda à la fois des irrégularités ainsi que des annonces plutôt inquiétantes pour l'avenir.
Irrégularités et voix à vendre
Dans plusieurs régions rurales, les votes auraient été achetés par de l'argent ou même des dons en nature (en l'occurence des moutons pour fèter l'Aïd)
"ils sont allé voir des gens modestes et leur ont proposé des moutons gratuits pour l'Aïd si on votait pour eux ! "
Bourrage d'urnes en France ?
Plus grave, des rumeurs d'irrégularités dans un bureau de vote en France où un adjoint aurait profité de l'absence mommentanée du président du bureau de vote pour glisser des bulletins Ennahda dans l'urne.
Des prises de positions dictatoriales
Le parti Ennadha s'est exprimé sur la langue française couramment parlé en Tunisie qu'il accuse de dénaturer l'identité tunisienne et musulmane.
La goutte d'eau qui a fait déborder le vase laïc est le projet d'interdiction du maillot de bain sur les plages.
"Nous n'avons pas fait la révolution pour se retrouver dirigés par pire que Ben Ali, nous avons mis un mois et demi pour chasser le clan Ben Ali il en faudra moins pour virer ceux là !"
Moins d'un an après la révolution qui a vu la déchéance et l'éxil du président "à vie" ben Ali la Tunisie pourrait retomber dans la violence, voire pire une guerre civile...
Après plusieurs invalidations de candidats démocrates et laïcs dans plusieurs circonscritions pour "financement illegal", des heurts assez violents ont éclaté simultanément dans les villes de Sidi Bouzid et Regueb.
Des jeunes ont saccagé le bureau du parti islamiste Ennahda et ont jeté des pierres contre les forces de l'ordre.
On a pas fait la révolution pour ètre dirigés par "pire que Ben Ali".
Les manifestants reprochent a Ennahda à la fois des irrégularités ainsi que des annonces plutôt inquiétantes pour l'avenir.
Irrégularités et voix à vendre
Dans plusieurs régions rurales, les votes auraient été achetés par de l'argent ou même des dons en nature (en l'occurence des moutons pour fèter l'Aïd)
"ils sont allé voir des gens modestes et leur ont proposé des moutons gratuits pour l'Aïd si on votait pour eux ! "
Bourrage d'urnes en France ?
Plus grave, des rumeurs d'irrégularités dans un bureau de vote en France où un adjoint aurait profité de l'absence mommentanée du président du bureau de vote pour glisser des bulletins Ennahda dans l'urne.
Des prises de positions dictatoriales
Le parti Ennadha s'est exprimé sur la langue française couramment parlé en Tunisie qu'il accuse de dénaturer l'identité tunisienne et musulmane.
La goutte d'eau qui a fait déborder le vase laïc est le projet d'interdiction du maillot de bain sur les plages.
"Nous n'avons pas fait la révolution pour se retrouver dirigés par pire que Ben Ali, nous avons mis un mois et demi pour chasser le clan Ben Ali il en faudra moins pour virer ceux là !"
Moins d'un an après la révolution qui a vu la déchéance et l'éxil du président "à vie" ben Ali la Tunisie pourrait retomber dans la violence, voire pire une guerre civile...